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La vague - Ingrid Astier

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Résumé :

Sur la presqu’île de Tahiti, la fin de la route est le début de tous les possibles. Chacun vient y chercher l’aventure. Pour les plus téméraires, elle porte le nom de Teahupo’o, la plus belle vague du monde.
La plus dangereuse aussi. Hiro est le surfeur légendaire de La Vague. Après sept ans d’absence, sa sœur Moea retrouve leur vallée luxuriante. Et Birdy, un ancien champion de surf brisé par le récif. Arrive Taj, un Hawaïen sous ice, qui pense que tout lui appartient.
Mais on ne touche pas impunément au paradis.
Bienvenue en enfer.
Ici c’est Teahupo’o, le mur de crânes.

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Vos #AvisPolar

  • l’oeil de sauron 21 mars 2021
    La vague - Ingrid Astier

    je vais être honnête, je suis assez déçue, je m’attendais à autre chose et là, bah, je n’ai pas vu la vague mais j’ai le droit à une mer d’huile. Vous vous dites, ça y est elle est dure, elle se remet à rien aimer. non, mais je m’attendais à plus noir où tout du moins plus dur et finalement, c’est un roman noir paisible, ça ne va pas du tout !

    J’ai apprécié les personnages, ils sont sympas ou détestables et remplissent leur rôle très bien mais finalement je ne suis attachée à aucun d’entre eux car on ne fait que les survoler.

    En ce qui concerne l’histoire, ma foi, c’est là que ça coince en fait, compte tenu de tous les thèmes abordés dans ce roman. La drogue, le surf, la pauvreté et les enfants livrés à eux mêmes et d’autres encore que je tairais pour ne pas spoiler. En fait c’est trop et on attend quelque chose qui ne vient pas parce qu’on ne sait pas d’où ça doit venir non plus. Limite , à un moment je me suis dit, en fait c’est un polar, puis non c’est un roman noir et franchement, à 10 pages de la fin, je me suis dit, bon, il y a une suite ça va se terminer comme ça, c’est atroce et non, ça finit ! Je ne sais ce qui est le pire d’ailleurs. J’ai l’air dur mais c’est de la frustration. J’aurais aimé tout un roman noir avec Reva comme protagoniste, tout un roman avec Hiro et Moea et pourquoi pas un autre avec la drogue et Taj. Les 3 romans romans auraient très bien pu être reliés entre eux ça aurait été incroyable surtout que l’auteure écrit bien et que le lieu vend du rêve. Là, finalement, je vois plein de choses mais rien, c’est comme si tu ouvrais les cases de ton calendrier de l’avent et que elles se révèlent vide. L’enveloppe est belle, la thématique attirante mais ça s’arrête là.

    C’est réellement frustrant, c’est vraiment dommage d’avoir tout mis ensemble. Après c’est un avis personnel, ne l’oubliez pas et malgré ça, je l’ai lu en 2 jours et j’ai voyagé à Tahiti, au soleil… Et ça ne m’empêchera pas d’en lire d’autres, c’est pas mal déjà !

    https://loeildesauron190081932.wordpress.com/2021/03/19/la-vague-dingrid-astier/

  • Killing79 11 mai 2019
    La vague - Ingrid Astier

    J’avais rencontré il y a quelques années Ingrid Astier dans un salon du polar. La rencontre avait été adorable et la dédicace originale. Son arrivée dans la nouvelle collection Equinox des éditions Les Escales a été un déclic pour moi. Je me suis dit que c’était le moment de la découvrir et voilà comment « La vague » est arrivée dans mes mains.

    On est transporté en Polynésie Française et le dépaysement est radical. Comme dans ses précédents livres, l’autrice aime s’imprégner de l’endroit où se déroule son histoire pour retranscrire au mieux les lieux. L’environnement et l’ambiance de ce pays à l’autre bout du monde est si différent de notre monde que rien ne passe comme chez nous. A nos yeux, les us et coutumes sont si particuliers, les mentalités sont si surprenantes que même les personnages les plus simples en deviennent insaisissables. A chaque chapitre, tout est fantaisiste et le lecteur est déphasé comme après un décalage horaire.

    Dans ce coin isolé, la mer et ses caprices jouent un rôle central et sont au centre du roman. La vague représente, par sa dangerosité, tous les souvenirs, toutes les possibilités, tous les espoirs des habitants.

    Le décor planté, le roman part malheureusement dans tous les sens. On assiste à des scènes diverses, concernant les différents protagonistes, qui se succèdent sans véritable fil conducteur. Plusieurs passages sont intéressants et prenants mais je n’ai pas toujours compris l’utilité de certains autres. Le résultat est donc légèrement brouillon et le scénario un peu dénué d’intérêt.

    Pour résumer, Ingrid Astier réussit à merveille son immersion dans l’atmosphère et le mode de vie de la région. La découverte de cette aventure a été inégale mais agréable. Je vous conseille cette histoire de surf, plus pour son exotisme que pour son intrigue qui m’a personnellement laissé de marbre. Une deuxième lecture de cette autrice me sera nécessaire pour être convaincu.

    http://leslivresdek79.com/2019/05/11/457-ingrid-astier-la-vague/

  • jeanmid 16 mars 2019
    La vague - Ingrid Astier

    Connaissez -vous l’Ile de Gotland ? Je peux vous dire que dans mon cas , il y a encore quelques jours je ne savais rien de cette « Ile de Dieu » ni où la situer sur une mappemonde .
    Grâce à Marc Voltenauer c’est maintenant chose faite ! Ce morceau de terre sis dans la Mer Baltique entre la Suède et l’Estonie nous offre bien des surprises et des mystères qui remontent à l’époque des vikings .
    L’inspecteur Andreas Auer a quitté la Suisse et est parti là-bas pour tenter de retrouver ses racines et ses parents naturels laissant son compagnon Mickaël , convalescent , mais en bonne compagnie .
    Ses recherches minutieuses dans le passé de l’île et de ses habitants vont l’amener à exhumer une troublante affaire qui s’est déroulée à la fin des années 70 , où une famille entière de six personnes - les Senderlin- fut décimée , les grands parents , les parents ainsi que les deux jeunes enfants , sans que l’on ne retrouve jamais les meurtriers . Un « cold case » vieux de 37 ans qui a marqué les esprits des témoins de l’époque dont certains évoquent une mise en scène macabre perpétrée sur le corps des deux parents , ressemblant à des rites pratiqués par les clans vikings qui consistaient à ouvrir la cage thoracique de leurs victimes pour en extraire le poumon avant d’écarter leurs côtes . Un supplice appelé l’aigle de sang.
    Andreas décide alors de reprendre l’enquête à zéro avec la complicité d’une policière locale , Anna Lindström , tout en n’hésitant pas à bousculer si nécessaire les protagonistes de l’époque , instinctivement persuadé que la résolution de cette affaire le conduira à la vérité sur son passé .

    Ce troisième opus de l’auteur suisse est pour moi celui qui est sans doute le plus abouti .
    Est-ce car Marc Voltenauer a pris le temps de s’imprégner en profondeur de l’atmosphère de Gotland ? Parce que son histoire personnelle , où se mélange la culture helvétique et suédoise , lui a mieux permis d’appréhender l’histoire du lieu ? Je ne sais pas . Ce que j’ai ressenti par contre c’est cette intensité dramatique et émotionnelle grâce à cette intrigue incroyable où le personnage principal cherche désespérément à retrouver ses repères et à percer les mystères qui entourent ses souvenirs quitte à ce qu’ils soient douloureux . Côté style l’écriture de Marc est un vrai régal : une fois les bases de l’histoire posées , on se retrouve plongé immédiatement dans un scénario parfaitement charpenté dans lequel les événements s’accélèrent , ne laissant définitivement aucun répit au lecteur comme un jeu de pistes ( ou un jeu de massacre ) grandeur nature mais où l’erreur se paie cash . Quant au lieu , quoi de mieux que ce quasi huit-clos sur une île chargée d’histoire(s) et dans laquelle se concentrent et se succèdent les péripéties et les tragédies ?
    Bien joué l’ami !

  • L’atelier de Litote 13 février 2019
    La vague - Ingrid Astier

    Embarquement immédiat pour la Polynésie, sa culture, ses îles, ses surfeurs, ses vahinés et sa face cachée. Un roman sombre et lumineux à la fois. Un peu comme voir le côté pile et le côté face de Tahiti, tout n’est pas que soleil, plage de sable blanc et cocotiers, il y a forcément un revers à la médaille. L’action se déroule essentiellement à Teahupo’o dans un cadre paradisiaque qui est devenu le rêve de tous les surfeurs et l’un des meilleurs spots mondiaux de surf. On y trouve par grande houle, une vague déferlante tubulaire qui reste une des plus impressionnantes mais surtout une des plus dangereuses Birdy peut en témoigner. Parmi les insulaires, il y a une belle galerie de personnage notamment Hiro qui ne pense qu’a la prochaine vague qu’il affrontera et à comment garder sa famille en sécurité, son ami Lascar, sa sœur Moea qui de retour au pays va tenter de se reconstruire, son fils Tuhiti 13 ans qui ne pense qu’à paraître plus âgé et s’embarquer dans de nouvelles expériences. Il y a Taj un surfeur hawaïen junkie trop sur de lui qui navigue dans des eaux peu recommandables. Tous ces portraits sont soigneusement brossés et on prend plaisir à les suivre dans leur vie quotidienne si différente de la notre, comme aller pêcher le poisson qu’on dégustera au prochain repas. Mais rapidement arrive des ondes bien plus négatives en la personne d’un trafiquant de drogue, on apprend que toute l’île est gangrenée par une drogue de synthèse appelée Ice. On découvre alors la violence, la différence de niveaux de vie entre la population locale, ses exclus et les hordes de touristes. L’intrigue est parfaitement bien menée même si elle prend un certain temps à s’installer c’est le temps qu’il fallait pour nous permettre de mieux cerner les protagonistes et surtout pour faire monter une tension latente qui finira comme une éruption volcanique. Alors débute une histoire croisée où le passé et le présent se croise et où nous allons suivre le parcours touchant de Reva. J’ai beaucoup aimé les références à la culture polynésiennes, légendes, proverbes, dont je connais fort peu de choses. J’ai quelques fois été gêné par l’emploi d’expressions ou de termes tahitiens mais aussi tout le vocabulaire en mode surfeur que je ne connais pas et qui n’est pas expliqué comme « take-off, barrel, bowl, reef etc… mais j’ai décidé que cela faisait parie du charme et j’ai apprécié la saveur de ce livre hors du commun. Bonne lecture

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