- Auteur : Kathy REICHS
- Traducteur : Viviane Mikhalkov
- Genre : Thriller
- Editeur : Pocket
- Date de sortie : 0000
- Sortie poche : 1er janvier 2004
- ISBN : 2266214179
- EAN : 9782266214179
Disponible sur
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Résumé :
Sur les flancs des Smoky Mountains, en Caroline du Nord, la brume recouvre les corps démembrés des victimes d’une catastrophe aérienne : certains sont accrochés aux branches des arbres, d’autres, ceinturés dans leurs sièges passagers, se consument lentement. Une vision d’horreur que découvre le docteur Temperance Brennan, anthropologue judiciaire dépêchée sur les lieux. À proximité du site elle découvre, abandonnés par les loups, les restes d’un pied. Après analyse, Temperance constate avec stupeur qu’il ne correspond à aucun des passagers... Peu de temps après, sous la pression du vice-gouverneur Temperance Brennan est dessaisie de l’enquête. Une injustice qu’elle est bien décidée à réparer grâce au soutien amical du shérif Lucy Crowe.
Mais dans cette région au passé lourd de traditions, si les montagnes sont " fumantes ", nul doute qu’elles ont quelque chose à cacher...
universpolars 6 septembre 2024
Voyage fatal - Kathy Reichs
Un voyage effectivement fatal, mais pour moi. J’estime avoir perdu mon temps avec ce bouquin. C’est tellement décousu, à mes yeux, que je me suis presque surpris à lire « en automatique ». Je ne vais pas être tendre avec ce récit.
Kathy Reichs, dont je découvre l’écriture, met en scène une anthropologue judiciaire du nom de Temperance Brennen. L’auteure, ayant elle-même pratiqué cette profession, utilise ce personnage, sauf erreur, dans une série de plus de 20 bouquins.
Celui-ci, qui traînait dans ma bibliothèque depuis quelques années, est le 4ème. J’ai aussi cru comprendre que la série « Bones », que je ne connais pas, est plus ou moins une adaptation des bouquins de Reichs.
Nous arrivons ici sur les lieux d’un crash d’avion, en moyenne montagne, en même temps que notre héroïne. Une centaine de morts, un peu partout, dans tous les états, plutôt mauvais, évidemment. Et un pied, retrouvé sur le lieu du crash, mais qui n’a rien à voir avec l’accident … Le lieu exact du crash - pas de bol - sera l’élément principal de l’intrigue.
Les investigations entreprises face à cette crise majeure sont techniquement intéressantes mais c’est un peu longuet, voire carrément chiant. Face à un cruel manque de rythme, je suis assez impitoyable, je l’admets. J’ai du mal à supporter un récit qui traîne en longueur.
L’auteure met en place ses divers jalons sans trop se presser, comme un dimanche matin, dans son jardin, à planter tranquillement ses quelques graines. Ces jalons sont parfois constitués d’éléments biologiques traînant sur des dizaines de pages, et je n’aime pas ça. J’ai hésité, pour la première fois, à abandonner. Je déteste avoir l’impression d’ouvrir un manuel scolaire. J’ai assez donné …
Bref. Après une très longue approche d’environ 250 pages, on voit enfin une lumière scintiller quelque part. L’intrigue se met gentiment en place, mais il faudra encore attendre. C’est flou, c’est brouillon, ce n’est pas intéressant. Le fil rouge, qui se déroule d’une manière anarchique, n’est pour moi pas assez prononcé.
Pour couronner le tout, le personnage principal, cette anthropologue judiciaire, elle m’a profondément agacé. Au niveau des protagonistes, je crois bien qu’ils vont rapidement s’effacer de ma mémoire.
Je précise évidemment que ce récit pourra plaire à bien des lecteurs, étant donné que tous les goûts sont dans la nature. C’est un style, une approche ainsi que des thèmes qui ne m’ont pas du tout parlé.
universpolars 6 septembre 2024
Voyage fatal - Kathy Reichs
Un voyage effectivement fatal, mais pour moi. J’estime avoir perdu mon temps avec ce bouquin. C’est tellement décousu, à mes yeux, que je me suis presque surpris à lire « en automatique ». Je ne vais pas être tendre avec ce récit.
Kathy Reichs, dont je découvre l’écriture, met en scène une anthropologue judiciaire du nom de Temperance Brennen. L’auteure, ayant elle-même pratiqué cette profession, utilise ce personnage, sauf erreur, dans une série de plus de 20 bouquins.
Celui-ci, qui traînait dans ma bibliothèque depuis quelques années, est le 4ème. J’ai aussi cru comprendre que la série « Bones », que je ne connais pas, est plus ou moins une adaptation des bouquins de Reichs.
Nous arrivons ici sur les lieux d’un crash d’avion, en moyenne montagne, en même temps que notre héroïne. Une centaine de morts, un peu partout, dans tous les états, plutôt mauvais, évidemment. Et un pied, retrouvé sur le lieu du crash, mais qui n’a rien à voir avec l’accident … Le lieu exact du crash - pas de bol - sera l’élément principal de l’intrigue.
Les investigations entreprises face à cette crise majeure sont techniquement intéressantes mais c’est un peu longuet, voire carrément chiant. Face à un cruel manque de rythme, je suis assez impitoyable, je l’admets. J’ai du mal à supporter un récit qui traîne en longueur.
L’auteure met en place ses divers jalons sans trop se presser, comme un dimanche matin, dans son jardin, à planter tranquillement ses quelques graines. Ces jalons sont parfois constitués d’éléments biologiques traînant sur des dizaines de pages, et je n’aime pas ça. J’ai hésité, pour la première fois, à abandonner. Je déteste avoir l’impression d’ouvrir un manuel scolaire. J’ai assez donné …
Bref. Après une très longue approche d’environ 250 pages, on voit enfin une lumière scintiller quelque part. L’intrigue se met gentiment en place, mais il faudra encore attendre. C’est flou, c’est brouillon, ce n’est pas intéressant. Le fil rouge, qui se déroule d’une manière anarchique, n’est pour moi pas assez prononcé.
Pour couronner le tout, le personnage principal, cette anthropologue judiciaire, elle m’a profondément agacé. Au niveau des protagonistes, je crois bien qu’ils vont rapidement s’effacer de ma mémoire.
Je précise évidemment que ce récit pourra plaire à bien des lecteurs, étant donné que tous les goûts sont dans la nature. C’est un style, une approche ainsi que des thèmes qui ne m’ont pas du tout parlé.