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Purgatoire des innocents - Karine Giebel

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42 #AvisPolar
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Résumé :

Raphaël a passé des années en prison pour vols à main armée puis pour récidive. Pendant son absence, sa mère est morte de chagrin tandis que son jeune frère William prenait le même chemin que lui. Raphaël, à sa libération, entraîne celui-ci dans leur premier braquage en commun, une bijouterie de la place Vendôme, avec la complicité d’un jeune couple. L’affaire tourne mal, un policier et une passante sont tués, et William est grièvement blessé. Leur cavale devient pour Raphaël une véritable course contre la montre : il faut sauver son frère. Les quatre fuyards atterrissent à quelques heures de Paris, et trouvent le numéro d’une vétérinaire, Sandra, qu’ils prennent en otage chez elle, dans sa ferme isolée, et forcent à soigner William. Sa vie contre celle du braqueur. C’est dans cet état d’esprit que Sandra doit opérer dans son salon, sans trembler, elle qui n’est pas chirurgienne. Mais les jours passent et William n’est toujours pas en état de reprendre la route. Et lorsque le mari de Sandra prévient sa femme de son retour, tous attendent. Les uns de le prendre également en otage et Sandra d’être sauvée… ou peut-être autre chose… Car ce que Raphaël ignore, c’est qu’ils sont dans la demeure du diable.

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Vos #AvisPolar

  • Emilie Nal 3 septembre 2024
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    Comment vous parler de ce roman qui m’a pris aux tripes., par lesquels je suis passée par une gamme d’émotion, oscillant entre rage, colère, tristesse et espoir.

    En braquant une bijouterie, Raphaël, William et leurs complices ignorent tout de ce qui les attend dans cette ferme isolée.
    Cette Sandra, si bizarre, tellement mystérieuse. Qui est-elle réellement ?
    Est-elle aussi innocente qu’elle en a l’air ?

    Je viens de tourner la dernière page de « Purgatoire des innocents » et je peux vous dire qu’il ne laisse pas indemne. En commençant ce thriller à huis-clos, vous ne pourrez plus le lâcher, vous supplierez même qu’on vous laisse tranquille. Je vous déconseille de le lire le soir car vous ferez de l’insomnie. Vous l’aurez compris, il est extrêmement difficile de lâcher ce roman. Et le sort de certains personnages vous obligera à tourner les pages encore et encore. Avec cette question lancinante : quand est-ce que le supplice va s’arrêter ?

    Karine Giebel a une plume addictive mais ô cruelle ! mais l’aimerait-on si elle n’avait rien de tout ça ?
    Elle sait s’y prendre avec ses personnages et ses lecteurs. Les attirant dans sa toile jusqu’à la toute fin où le couperet tombe et nous laissant meurtri par la façon dont elle traite ceux qu’elle a créé.
    Avec elle, il est difficile de ne pas s’attacher à ses protagonistes. J’aurais beau essayer de lire un de ses romans avec froideur, essayer de ne pas m’attacher, mais je peux vous garantir que c’est impossible.
    Elle est une mante religieuse. De par ses mots, elle va éveiller un amour naissant entre son personnage et son lecteur, au point qu’il sera impossible de revenir en arrière.
    C’est ce que « Purgatoire des innocents » m’évoque.

    Et Raphaël ainsi que William sont ceux qui m’auront le plus marqué, par leur amour fraternel, leur solidarité.
    Deux frères unis dans l’horreur !
    Ils vont me manquer ces deux gars qui ont tout du voyou mais tellement attachants.

  • lecturesdudimanche 16 mai 2024
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    Mon histoire avec Karine Giebel est récente… Un premier livre que j’ai abandonné, un second qui m’a totalement ébranlée parce qu’elle a ravivé de mauvaises choses. Cette fois, j’ai plongé un peu prudemment au départ. Mais j’ai rapidement été happée par une histoire totalement addictive et passionnante, et pourtant révoltante !

    Après un braquage qui tourne mal, un groupe de voleurs débarquent chez Sandra, vétérinaire, afin de faire soigner l’un des leurs. Leur arrivée dans la vie de Sandra est tonitruante, et si le « chef de meute », Raph, est brusque et violent, on ressent assez vite pourtant qu’il est habité par ce fameux « code d’honneur » qu’on retrouve parfois chez les voyous. Raph est un stéréotype du grand banditisme, et il se sent responsable du ratage de leur dernier coup, d’autant que le blessé dans leurs rangs n’est autre que son plus jeune frère, Will. Sandra vit cette captivité d’étrange manière et le lecteur comprend assez vite que quelque chose cloche… Puis d’un coup, la situation se retourne contre les malfrats et on plonge dans une indicible horreur. On ose à peine respirer, on lit des choses qui nous révoltent, qui provoquent des haut-le-cœur, et l’auteur ne nous épargne rien, plantant en plein cœur sa plume acérée.

    La sensation d’enfermement est omniprésente et la violence est à son apogée. Impossible de ne pas entrer en empathie avec des personnages qu’on aurait détestés dans une situation normale. J’ai admiré Raph, mais j’ai eu un coup de cœur pour Will, sa douceur qui donne l’impression qu’il n’a rien à faire dans cette galère, son courage, sa personnalité. Un jeune homme promis à un bel avenir mais qui pensait que la seule voie acceptable était celle de ses frères. Quel gâchis ! Il y a aussi le personnage de Jessica qui force le respect, mais je préfère ne rien dévoiler la concernant. De mon côté, j’ai eu un peu de mal avec Sandra, mais l’analyse juste et empathique d’une amie lectrice dans nos échanges (nous étions en LC) m’a rappelé qu’il ne nous appartient pas de nous insurger contre une absence de rébellion. Et surtout que comprendre ne signifie pas cautionner.

    Concernant le final… pas de mots, juste une émotion vive et probablement inoubliable !

    Ce n’est donc effectivement pas un livre à mettre entre toutes les mains, mais si vous êtes prêts à plonger dans une ambiance aussi malsaine qu’étouffante, alors foncez ! Il est clair que j’ai enfin compris pourquoi ce titre revenait aussi souvent dans la rubrique « C’est vous qui le dites ! » du blog, et d’ailleurs maintenant, je le dis aussi ! 🙂

  • Mazee 15 mars 2024
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    j’ai adoré ce roman ! Il nous transporte dans les limbes de ce qu’on peut ressentir tant pour les " méchants", que les "gentils ". Je peux dire que je l’ai dévoré malgré le côté sombre, voir noir de ce roman mais c’est une pure merveille que je recommande vivement !¡

  • Mazee 15 mars 2024
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    j’ai adoré ce roman ! Il nous transporte dans les limbes de ce qu’on peut ressentir tant pour les " méchants", que les "gentils ". Je peux dire que je l’ai dévoré malgré le côté sombre, voir noir de ce roman mais c’est une pure merveille que je recommande vivement !¡

  • Nofret 17 novembre 2023
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    Un braquage qui tourne mal. Mais pour les quatre complices, les choses vont prendre une tournure encore plus horrible que ce qu’ils pouvaient imaginer. Parmi les braqueurs, deux frères : Raphaël et William.

    Une lecture qui a de quoi retourner.
    Le livre est très prenant, surtout dans la dernière partie. Beaucoup d’émotions dans les dernières pages, cela s’ajoute aussi à la tension accumulée précédemment… Pour conclure, j’ai beaucoup apprécié cette lecture, même si cela a été, assez éprouvant sur la fin.

  • titine_bouquine 28 juillet 2023
    Marathon du polar 2023, équipe LESTONTONSFLINGUEURS
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    Après un cambriolage spectaculaire dans une bijouterie de la place Vendôme, quatre truands en cavale se barricadent dans la ferme isolée d’une vétérinaire, qu’ils ont prise en otage et qu’ils s’amusent à terroriser. Ils croient avoir trouvé la planque idéale !

    Dans ce roman, l’auteure prend plaisir à faire souffrir les personnages. Il faut s’accrocher car c’est un huit clos éprouvant alors que l’histoire, plutôt banale à première vue, débute de manière assez classique.
    On nous décrit bien la peur qui vrille l’estomac et chatouille les nerfs.

    Peut on aller plus loin dans l’horreur ? Mais j’aime tellement !

  • Kamiyu-chan 22 juillet 2023
    Marathon du polar 2023, équipe CAMVAL
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    Purgatoire des innocents commence par un braquage qui tourne mal, une fuite et une planque qui avait l’air idéale... sauf que les apparences peuvent être trompeuses. Raphaël, Will et leurs acolytes vont l’apprendre à leurs dépends.

    J’ai tout simplement adoré ce thriller. L’écriture, toujours aussi nerveuse, permet d’enchaîner les rebondissements, à mesure que ce qui devait être un bon coup tourne au cauchemar. Aucun des personnages n’est ce qu’il paraît être et tous cachent une profonde noirceur. Je me suis laissée emportée par ce polar très sombre et ai apprécié de me faire mener en bateau par l’auteure.

    A chaque fois que je lis un thriller de Karine Giebel, je me demande comment j’ai pu passé à côté de cette auteure pendant des années. Celui-ci ne fait pas exception et fait parti de ses meilleurs. A lire absolument si vous aimez les romans noirs.

  • SIGPRO2022 27 novembre 2022
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    Purgatoire des innocents de Karine Giebel
    Ce n’est pas le premier livre que je lis de Karine Giebel et très certainement pas le dernier, mais je peux vous assurer qu’après celui n’est pas à mettre en toutes les mains et qu’avant que je ne revienne vers Karine Giebel, je vais prendre le temps de le digérer. Tout commence le mardi 4 novembre il est 15 heures, place Vendôme à Paris un couple se présente dans une bijouterie et se fait présenter un collier en platine, incrusté d’un diamant blanc en poire de huit carats, de deux diamants jaunes de sept et cinq carats et de deux diamants roses de deux carats chacun. Le vendeur remarque cette jeune femme qui psalmodie avec élégance et distinction. « Elle a des yeux étonnants, qui le mettent mal à l’aise. Le gauche est bleu irisé d’un soupçon de vert. Le droit marron foncé. Elle n’est pas maquillée. Ce collier lui irait à merveille. Toutes les femmes ne sont pas faites pour porter trois millions d’euros autour du cou. Elle, si. » Le quadragénaire qu’il l’accompagne ne correspond pas non plus au portrait d’un milliardaire malgré son costume Armani et l’Audemars Piguet qui orne son poignet. Une vieille cicatrice barrant sa joue droite lui confère un air de truand. Un troisième client entre dans la bijouterie, un homme élégant qui est aussitôt pris en charge par l’assistante du bijoutier. Un sourire transfigure la jeune femme. « Je le veux, » dit-elle parlant de la pièce exceptionnelle présentée. Il est à toi… Tout ce qui se trouve ici est à toi, ajoute l’homme. N’est-ce-pas monsieur ? Monsieur est généreux, hasarde le bijoutier. Ou éperdument amoureux ! Ni l’un ni l’autre répond-il en écartant sa veste ou un Colt Double Eagle brille autant que le collier. 16h30 à 300 km au Sud de Paris sur une petite route Sandra vétérinaire de son métier, fonce . A son autoradio elle apprend que trois voleurs et une femme ont braqué une bijouterie et qu’à leur sortie une fusillade a éclaté avec la police dont un policier est grièvement blessé et une passante a été tuée. D’après les éléments un des braqueurs est blessé. Trois hommes, une femme. Trente millions d’euros de bijoux dans le coffre d’une Audi. Un Double Eagle, un Glock, un beretta, tout était pourtant bien rodée. Une voiture banalisée au mauvais moment, au bon endroit, trois poulets qui les chopent quand ils s’arrachent. Coups de feu ! Une passante s’écroule. Un flic s’écroule. Un plan parfait qui s’écroule ainsi que William le frère de Raphaël qui pisse le sang soutenu par Fred. Christel sur le siège passager ne bouge pas murée dans le silence. 20 h on s’arrête au prochain bled et on trouve un toubib. 20h20, l’Audi est rangée le long du trottoir. Raphaël note le numéro de l’inscription d’une plaque S. Thuillier, vétérinaire. Un peu plus tard il pénètre dans la cabine téléphonique est demande l’intervention à son cabinet de la vétérinaire, prétextant avoir buté un Labrador avec son véhicule. Boulot, boulot, Sandra s’engouffre dans son 4x4 et s’approche de la berline noire à l’invitation de Raphaël. Médusée elle découvre un homme blessé… On va chez vous. Dans le même temps nous allons suivre deux jeunes collégiennes qui lorsqu’elles sortent du collège sont épiés par un homme. Pourquoi Jessica imaginerait-elle une seule seconde qu’un homme l’épie du matin au soir ? Qu’il passe des nuits entières sous la fenêtre de sa chambre à se masturber en pensant à elle et qu’elle va devenir sa proie pour nourrir les instincts pervers d’un homme ayant oublié qu’il en était un. Plus que quelques heures à tenir est un enlèvement se concrétise celui de la jeune Jessica et de son amie Aurélie. Il est 19h55 ce jeudi 6 novembre. Le scénario dessiné par Karine Giebel se précise et au fil des pages nous allons suivre les différents itinéraires balisés par ces deux histoires. C’est alors que sous la plume acide de Karine Giebel ces trajectoires vont se réunir et là nous entrons dans une autre dimension ou les auteurs du braquage vont devenir des victimes du couple Thuillier, qui va s’avérer être un des plus tordus. Cette ferme ou se tient quatre chevaux dans des box entourés d’herbages cache en sous-sol et dans les bâtiments des chambres des horreurs et ou 13 corps d’innocentes jeunes filles séquestrés violés, massacrés ayant subi les pires outrages ont été sommairement enterrés un peu partout aux abords de bois dans cette propriété. Rien ne nous est épargné dans ce roman, la pédophilie, le cannibalisme, l’inceste, les tortures, le sadisme, les viols, l’extrême violence, la soumission, la mort qui vient comme une délivrance, mais aussi le courage, l’abnégation, la résilience, la fraternité, la camaraderie, est un final en apothéose. Le purgatoire des innocents est un thriller implacable, terrifiant sous la plume acérée de Karine Giebel. Ce livre, que dis-je ce pavé de 600 pages que vous allez dévorer, ne vous laissera surement pas indifférent. Je vous l’assure ou alors il est grand temps d’aller consulter. Bien à vous.

  • moons 11 avril 2022
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    Sur près de 620 pages, Karin Giebel nous offre un roman d’une violence inouïe. Entre horreur et fascination.

    On démarre sur un banal cambriolage dans une bijouterie qui tourne mal.
    Un blessé grave et les voleurs sont en fuites.
    Ils trouvent refuge dans une petite bourgade, où ils viennent chercher "secours" chez une vétérinaire l’obligeant à s’occuper du jeune homme.

    Un huis clos oppressant abordant le thème de la séquestration, même si parfois les apparences sont trompeuses, sera pris qui croyait prendre.

    L’ambiance devient de plus en plus pesante.
    Parfois je me demande comment un cerveau peut sortir autant d’atrocités.

    Il faut être bien accroché, certains passages sont très détaillés et atroces.
    Un roman bien sombre, glauque et pervers, d’une monstruosité sans limite et vicieux.

    Un thriller gore, déconseillé aux âmes sensibles.

  • hund 28 novembre 2021
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    Une intrique prenante... une fois de plus le lecteur est tenu en haleine au fil des pages ..l auteure vous entraîne et arrive à vous faire entrer dans la peau des personnages ...une pepite

  • angelita 13 août 2021
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    Purgatoire des innocents de Karine Giebel, présentation
    Elle a tout enterré car cela fait trop mal. Elle a changé, elle sait qu’elle sera jugée, que personne ne comprendra. Elle aurait préféré mourir car elle n’est plus elle.

    Le 4 novembre, braquage dans une grande bijouterie parisienne. Il y a des blessés, un mort. Les malfrats ne peuvent se rendre là où ils avaient prévu de laisser passer du temps car l’un des leurs est blessé et doit être soigné. Ils se tournent donc vers une vétérinaire, Sandra.

    Avis Purgatoire des innocents de Karine Giebel
    Est-ce dû au fait des vacances qui me permettent de lire un peu plus ? Ou à ce roman vraiment addictif, comme pratiquement tous les Karine Giebel ? Je vais bientôt être à jour de tous les romans de cette autrice. Après, cela va être dur d’attendre ces parutions. Bref, plus de 600 pages lues en trois jours. Quand un roman de Karine Giebel est commencé, ça tourne à l’addiction car le lecteur souhaite réellement connaître ce qui se déroule au fil des pages. Pour toujours plus de surprises. Je suis réellement heureuse d’avoir découvert cette romancière il y a quelques années.

    Très difficile de faire un résumé du Purgatoire des innocents et de donner un avis assez concis sur ce roman. Je vais tenter. Après un casse dans une grande bijouterie parisienne où il y a eu des morts et des blessés, ils sont quatre à se retrouver dans un lieu très reculé après avoir menacé Sandra, vétérinaire de son état. Elle doit soigner William, le frère de Raphaël. Ce dernier a déjà fait, par deux fois, de la prison. Il est très lié à son petit frère William. Oui, ce sont des malfrats qui font des casses, qui essaient de passer à travers les mailles du filet, mais jamais il n’y a eu de morts. Raphaël devra jongler avec l’état de son frère, les nombreuses révoltes de Sandra qui ne se laisse pas faire, le fait qu’elle tente de les monter les uns contre les autres et également ses deux autres comparses qui veulent partir. Raphaël se révèle violent envers les uns et les autres. Mais il sent que chez Sandra, il y a quelque chose de profondément ancré, de noir. Arrive ensuite Patrick, le mari de Sandra.

    Tout va changer pour Raphaël, William et celle qui reste Christel et deux jeunes adolescentes qui ont été enlevées. Tous vont subir les pires sévices qu’ils soient physiques ou psychologiques. Voulez-vous plonger dans l’horreur, dans les ténèbres ? Ce sera le cas avec ce roman. Vont-ils être plus forts que ce tyran ? Il faudra puiser au plus profond de soi, essayer de ne pas abandonner mais aussi tenter de se soutenir, donner le change.

    Ce sont des histoires de pouvoir, de dépendance, sur d’autres être humains, de peur également face à ceux qui détiennent ce pouvoir. Mais la peur peut également faire avancer, répondre aux actes les plus abominables. Quand deux hommes qui se rencontrent détiennent du pouvoir aussi bien physique qu’intellectuel, qui va arriver à prendre le dessus ? Le physique joue beaucoup mais le mental encore plus, surtout lorsque l’on a été enfermé pendant de nombreuses années, on sait comment cela se passe. Le pouvoir sur une petite fille qui est devenue une femme et qui n’a rien connu sauf cette violence psychologique.

    Tous révèlent leurs plus bas, leurs plus vils instincts. Les deux frères, et surtout Raphaël, même si ce sont des malfrats, veulent tout faire pour sauver ces deux jeunes filles, même s’ils savent qu’ils vont mourir. Mais ils n’abandonneront jamais, malgré les échecs.

    Le style est toujours aussi percutant. Les phrases, les mots sont courts et annoncent le pire, toujours le pire. Karine Giebel a une sacrée imagination pour tous ces rebondissements, pour mêler aussi bien psychologie de ces personnages que tout le reste. Rien n’est laissé au hasard. Toujours une très grande maîtrise et un roman vraiment addictif. Si j’arrive à dire quels sont les romans qui me plaisent le moins, ils sont peu nombreux, pour ceux qui sont des coups de coeur, je n’arriverai vraiment pas à les classer. Merci Karine Giebel pour ce moment.

  • spirale_livresque 20 juillet 2021
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    Comme d’habitude je suis toujours fascinée par la manière dont Karine Giebel nous transporte via ses livres. Même si j’avoue avoir été dégoutée plus d’une fois dans le roman, j’ai adoré. On aime et on déteste à tour de rôle les personnages et nos sentiments sont mis à rude épreuve (comme dans chacun de ses livres mais on aime ça). Ce n’est pas mon livre préféré de cette autrice mais ça reste une excellente lecture que je vous recommande (si vous avez le coeur bien attaché)

  • Zoer 2 avril 2021
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    Quel suspens ! Et cela tout du long, pour un livre de 600 pages c’est assez incroyable. Aucune longueur. Deux temporalités qui s’accordent parfaitement. Les personnages tous très bien développé et présentés.

    Il faut s’accrocher psychologiquement, on est prit au piège et on veut en sortir mais notre curiosité prend le dessus ; et pour moi c’est ça un bon thriller !

  • Elodie Mariatte 16 novembre 2020
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    Le premier livre de Karine GIEBEL dans lequel je me suis plongée. Les mots du titre sont d’une toute beauté "Le purgatoire des innocents", et insufflent une dimension à la fois mystérieuse, tragique et poétique.
    N’ayant encore jamais lu de roman de cette autrice Française contemporaine, c’était l’occasion de me lancer dans la lecture de ce gros bébé de 500 pages.

    J’ai tout particulièrement apprécié les moments d’introspection des personnages qui martèlent le récit, prétextes à de véritables moments de réflexion sur la vie, la mort, les choix et décisions d’une existence, l’amour entre frères, le temps qui passe...Ces passages sont de véritables petits bijoux, parfois durs, parfois mélancoliques,mais toujours très philosophiques. L’autrice décortique et dépeint à merveille l’esprit et émotions de ses protagonistes. Au-delà du roman, elle capte l’essence des Hommes. Pour moi, ces "tableaux intérieurs", cette plongée dans l’âme humaine est l’aspect le plus réussi du roman.

    Toutefois, je n’ai pas du tout accroché à ce livre, à cause du sujet et de l’histoire elle-même (un braquage d’une bijouterie qui tourne mal) mais également à cause de la longueur de ce huis-clos qui s’étire au fil des pages. C’est long, très long, et parfois les répétitions s’enchainent. Selon moi, il aurait fallu abréger quelques chapitres pour rendre l’ensemble plus prenant et moins indigeste.

    Mais les maths... A quoi vont-ils donc lui servir plus tard ?
    Elle a beau chercher, elle ne voit pas.
    Elle a toujours préféré les mots aux chiffres. Tellement plus poétiques. Tellement plus beaux. Tellement plus généreux, riches et élégants. tellement plus émouvants.
    On ne déclare pas son amour avec des chiffres.
    On n’appelle pas au secours avec des nombres.
    Mais avec des mots. Ou des gestes. Avec les yeux et la parole.
    On rêve avec des mots. Avec les chiffres, on compte.
    Le temps, les heures, les minutes. Qui passent trop vite ou trop lentement.
    On compte les jours de vacances qui restent avant de retourner en classe. Les années qui nous séparent de la mort. L’argent qu’on ne peut pas dépenser.
    Ou les êtres chers disparus.

  • Sweethydark 15 octobre 2020
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    Ce livre fait partie de ces romans que l’on commence et que l’on ne lâche plus, qu’on oublie pas facilement. Tout y est superbement bien écrit. L’histoire est excellente, dès le début de celle-ci, on est happé dans un récit sordide. L’autrice va crescendo dans l’horreur et la perversion. Dans cette noirceur, on se prend peu à peu d’intérêt pour chacun des personnages, qui nous paraissent ingrats au début, mais si attachants par la suite. Nous tournons et tournons les pages pour connaître leurs sorts, car les prédateurs deviennent les proies. Aucun personnages ne vous laissera indifférent jusqu’a la fin.....

  • Bea 22 août 2020
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    Je pense qu’il s’agit de l’auteure que j’affectionne le plus, tous ses romans sont plus époustouflants les uns que les autres. Je ne me lasse pas de les lire. Des personnages attachants, un suspense intense..... jusqu’à la fin toujours aussi déroutante. J’adore

  • mouffette_masquee 19 avril 2020
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    Résumé : Raphaël, ex taulard longue durée, vient casser une bijouterie avec son frère William et deux complices. Montant du l’opération : 30 millions d’euros, deux morts et un blessé grave. Le blessé, c’est William. Il faut se tirer vite fait et se mettre au vert dans une planque où on pourra soigner le blessé. À la campagne, chez Sandra, une vétérinaire qui pourra administrer les soins nécessaires. Elle a plutôt intérêt à coopérer, de toute façon elle n’aura pas le choix. Mais Sandra cache un lourd secret, qui pourra faire basculer la fuite en carnage.

    Mon avis : Ce livre était le tout premier que je lisais de cette autrice et ce fut une très belle découverte ! L’histoire est très bien menée : un braqueur dont on s’attache et à qui on veut faire confiance, une otage qui ne semble pas si victime que ça... quoi que ? Dans ce thriller psychologique d’exception, on ne sait plus à qui se fier, qui est le méchant, qui est le gentil ? Et si ce n’était pas si simple ? Karine Giebel joue avec nos émotions et nos a priori pour nous déstabiliser. Au fur et à mesure qu’on avance dans l’intrigue on rentre dans l’horreur, avec un fort sentiment de malaise... Mais à aucun moment je ne m’attendais aux différents revirements de situations qui m’ont laissée bouche bée et inquiète pour la suite. Les personnages principaux, Raphaël et Sandra, sont chacun à leur manière extrêmement attachant mais également très complexes, ayant de multiples facettes. Parfois forts, ils m’ont surtout beaucoup émue. Le final est vraiment déroutant, mais explosif ! Une lecture vraiment intense, autant en actions qu’en émotions.

  • jeanmid 14 avril 2020
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    Dire que l’on ne sort pas indemne d’un tel roman est un euphémisme. C’est dur , terriblement angoissant et même difficile à supporter par moment .
    On en sort totalement bouleversé, désespéré que l’espèce humaine puisse engendrer de tels monstres capables d’imaginer de telles atrocités .....et le pire : qu’ils puissent en prendre du plaisir. Car c’est en effet l’enfer que va faire vivre cet individu - un fou ? un psychopathe ? un meurtrier démoniaque ? - à ces malheureux êtres humains , dans sa ferme perdue du Centre de la France .
    Cette ferme au milieu des bois où ont atterri Raphaël , William , Fred et Christel , quatre braqueurs en cavale qui viennent de réussir le casse du siècle mais ont laissé sur le carreau deux innocents , l’un des leurs étant grièvement blessé . Ils vont y faire connaissance avec Sandra , une vétérinaire de campagne qui , bien malgré elle , va devoir réparer les dégâts. Mais une bien mauvaise surprise les attend au tournant...
    Avec ce livre Karine Giebel atteint les sommets de l’horreur ; elle nous dépeint l’indicible , la barbarie à l’état pur , sans concession , comme peu l’on décrite avant elle dans la littérature policière , tout du moins francophone . Un must du genre sans aucun doute .

  • Audrey 6 avril 2020
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    Un seul mot : wahou !

    Karine Giebel signe de sa plume un roman sombre et complexe. Je ne m’attendais pas à un récit aussi violent au début de ma lecture. Je suis passé par toutes les émotions au fur et à mesure de ma lecture ! On sent l’adrénaline monter au fil de l’histoire, ce qui nous fait tourner les pages à une vitesse folle.
    Le personnage de Raphaël est pour moi le plus intéressant. Je me suis beaucoup attaché à lui.

    En tout cas il faut avoir le cœur bien accroché pour aller au bout de ce récit !

    C’est pour moi un énorme coup de cœur pour ce thriller psychologique !!

  • DarkBurty 13 mars 2020
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    « La douleur est une bonne compagne, fiston. Parce qu’elle est la plus fidèle qui soit. »

    Purgatoire : lieux où les âmes des morts terminent d’expier leurs fautes.

    Un braquage qui tourne mal, une planque de rêves qui tombe à pic.
    Pour Raphaël, son frère cadet William et leurs deux complices, c’était le coup du siècle. Mais on est jamais à l’abri de rien. Deux morts, un blessé. Forcés de trouver une solution de replis, ils se retrouvent malgré eux chez une hôte de maison au premiers abords sympathique. Du moins lorsqu’elle est sous la menace d’une arme.
    Sandra, vétérinaire de campagne se retrouve séquestrée dans sa propre maison par les braqueurs. Mais ce qu’ils ne savent pas encore c’est qu’elle n’est pas ce qu’ils croient, ce qu’elle laisse penser. D’une femme soumise et apeurée par la situation, elle sait que la situation basculera au moment où IL rentrera à la maison. Elle a essayé de les prévenir, ils n’ont pas voulu écouter. Ils pensaient avoir trouvé l’endroit rêvé pour se planquer, ils ont atterri en Enfer.

    Beaucoup de personnages dans cette intrigue. Des caractères et personnalités qui feront émerger autant de pitié que de haine chez le lecteur. D’un côté, Sandra et son mari, couple étrange où ce qui les unit échappe à tous ; de l’autre, Raphaël et son frère William unit plus que jamais face à l’adversité de la vie et enfin deux gamines innocentes qui se retrouvent victimes d’un être qui n’a plus rien d’humain. Qu’est-ce qui les unit réellement les uns aux autres ? Fraternité, amitié, amour ? Du moins c’est qu’on pourrait croire de l’extérieur car après avoir commencé ce livre, nos sentiments et émotions seront mises à rudes épreuves et les méchants ne sont pas forcément ceux que l’on aurait cru au départ. Âmes sensibles prenaient garde...

    C’est le premier roman de l’auteur que j’ai découvert et que j’ai dévoré. Karine GIEBEL a cette manie de vouloir aller au plus profond de la noirceur humaine et c’est ce qui me plaît tellement. Dès que l’on croit qu’il ne peut y avoir pire situation, elle s’aventure encore et toujours un peu plus loin pour notre plus grand plaisir. L’auteure met à rudes épreuves l’espoir de ses personnages et de ses lecteurs. Il vaudrait mieux que vous ayez le cœur bien accroché avant de pénétrer dans ce monde empli de noirceur.

    Je recommanderais ce livre aux lecteurs qui sont friands de la psychologie humaine sous ses plus vils aspects, car l’auteure aime décortiquer chacun de ses personnages et c’est cela qui fait qu’on en veut toujours plus. Sortez les mouchoirs si vous êtes sensibles car les happy ends n’existent pas ici.

  • LeahBookAddict 27 janvier 2020
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    Quel claque !
    Une plume incisive, une ambiance oppressante et addictive, âme sensible s’abstenir 😅

  • bonne_heure_litteraire 18 décembre 2019
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    .
    Retour sur cette lecture terminée hier soir et qui vraiment était grandiose ! 👌
    .
    Une plume incisive, qui vous propulse dans les profondeurs de l’enfer sur terre avec ce que l’homme à de plus abject et de plus inhumain.😈
    .
    Entre violence, torture physique et mentale, peur, pédophilie et inceste, l’auteure nous malmène à grands coups dans les tripes pour atteindre le coup de ❤
    .
    C’est assez paradoxal d’avoir un coup de ❤ pour un roman aussi violent et extrème mais c’est pourtant mon ressenti.
    .
    Ça ne s’explique pas, ça se ressent.🤷‍♀️
    Et on passe par toutes sortes d’émotions commr ça : 😱🥶🥵😈🤯
    .
    Bien sûr si vous ne l’avez pas lu, je vous conseille d’avoir le coeur et l’estomac bien accrochés...

  • Severine Hugget 27 novembre 2019
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    Très bon livre comme tout ceux de cette auteur, au départ, on part sur méchant et gentil mais au fil des pages, on est plus très sûr et on espère toujours une fin heureuse qui n arrive jamais mais c est aussi pour ça qu’on aime les romans de karine giebel, doute et fin tragique.

  • La Carnet de Peg 27 novembre 2019
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    Après avoir passer plusieurs années en prison, Raphaël braque une bijouterie, accompagné de son jeune frère William et de 2 complices, Christel et Frédéric. Le braquage tourne mal : un flic tué et 2 blessés, un passant et William. Raphaël a prévu une planque mais lorsqu’ils y arrivent, elle est entourée de flics. Il faut se réfugier ailleurs. William commence à sombrer, il faut faire vite. Ils arrivent dans un village où travaille une vétérinaire, Sandra. Ils l’a prennent en otage et l’obligent à les héberger et à soigner William. Sandra est mariée mais son mari, gendarme, est absent pour quelques jours.

    En parallèle, nous découvrons l’histoire d’un homme qui recherche une nouvelle proie. Il enlève, viole et torture des jeunes filles qu’il séquestre chez lui.

    Comme d’habitude, les personnages de Karine Giebel sont plus tourmentés (et c’est peu dire) les uns que les autres. Raphaël a toujours vécu dans la violence, il reproduit ce qu’il connaît. On a pourtant du mal à le détester. Il est violent c’est vrai mais pourtant il a quelque chose de touchant. William, lui, est le gentil de la bande. On se demande vraiment ce qu’il fait là. Sandra, la vétérinaire, est elle beaucoup plus difficile à capter. Elle semble fragile mais elle a en même temps un comportement de déséquilibrée.

    Sans en dire trop sur l’intrigue, le huis clos qui est le centre de l’histoire est très prenant, très glauque aussi. Karine Giebel nous décrit les souffrances physiques et psychologiques des personnages. C’est souvent (toujours ?) difficilement soutenable. C’est un vrai page-turner. 594 Pages qu’on dévore de bout en bout. La tension est maintenue jusqu’à la fin. Du grand Giebel.

    Donc pour moi, un vrai coup de cœur. A lire absolument pour ceux qui aiment le genre.
    Âmes sensibles s’abstenir !

  • Mouchemike 16 octobre 2019
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    bon bah je crois que je viens de faire mon Baptême du feu, lire mon premier Karine Giebel, je pense qu’une fois qu’on a lu un de ces livres on peut quasiment tout lire.(j’ai bien dit quasiment car je me dit qu’un autre auteur est peut-être capable du pire, je ne sais pas où peut s’arrêter cette espèce là).

    Le purgatoire des innocents est un livre comme je les aime, la première page commençant par un braquage (et donc de l’action) pour ne s’arrêter qu’à la dernière ligne du livre. Mme Giebel nous entraîne dans une histoire à couper le souffle et surtout vous couper l’envie de dormir, de manger ou de respirer.

    Nous allons donc suivre notre équipe de braqueurs avec Raphaël en chef d’orchestre, son petit frère William et leurs deux complices Christelle et Fred (un couple un peu particulier). A la sortie de ce dernier, notre équipe se retrouve sous le feu nourris de la police et William se retrouve blessé. Ils partent donc le plus vite possible avec leur Audi loin des lieux du braquage.

    Ils vont se retrouver dans un joli petit village et chercher de l’aide au prêt d’une vétérinaire nommée Sandra. Cette dernière va avoir la lourde tâche de soigner William sous l’œil attentif de Raphaël. Ce dernier se demande où est son mari. Elle les prévient qu’il est gendarme et va rentrer d’ici quelques jours mais qu’ils devraient vraiment partir avant son retour.

    Raphaël, en bon gangster, n’est pas du tout impressionné jusqu’à ce que le mari rentre et que tout bascule en une seule journée. La suite je vous laisse la découvrir. Karine Giebel va vous coller la chair de poule, vous retourner le cœur et l’estomac mais va vous scotcher à son bouquin comme à une drogue.

  • Céline de Roany 4 août 2019
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    L’idée de départ est vraiment amusante. Une version un peu trash de l’arroseur arrosé, traitée de manière structurée, mais que je n’ai pas aimée, pour plusieurs raisons :
    – l’écriture. C’était mon premier Giebel, et je n’aime pas son style. Je trouve le vocabulaire trop pauvre et je n’entends nulle part ce que Duras appelait la musica. Oui, je sais, ce n’est pas censé être du Duras, ni même être « littéraire ». Mais j’aime quand les mots de l’auteur coulent comme d’une source. Je n’ai pas ressenti ça.
    – les personnages : trop caricaturaux. Ce n’est pas tant leur caractère, encore qu’il soit dessiné à l’emporte pièce dans le genre « personne n’est tout blanc, personne n’est tout noir », que leurs réactions. J’ai trouvé leur arrivée robotisée, sans nuance et toujours exagérées. Bref, je n’ai pas marché.
    – les émotions : je ne les ai pas ressenties. Pourtant, il y avait de quoi faire. Il y a du mélo, de la peur, de la terreur, de l’intimidation, du rapport de force. Pas une fois je n’ai vibré avec un des personnages. Leur sort m’indifférait complètement et à la limite, j’étais contente qu’ils meurent, ça faisait un pignochard de moins…
    – l’histoire : trop prévisible. Sans avoir lu le 4ème de couverture parce que j’étais sur tablette, j’ai tout deviné à l’avance. Et ça, tu peux imaginer que ça m’ait pas mal gâché le livre.
    – la violence : gratuite, inutile, répétitive et pas toujours très crédible.
    – l’action. Ou plutôt le manque d’action. A part les tortures physiques ou morales, il ne se passe pas grand chose et je me suis vraiment beaucoup ennuyée à la lecture de ce livre. Ça a été un soulagement de le terminer, je peux te l’avouer.
    – le manque de souffle : quel est le thème de ce livre ? Quand je referme un livre, je me demande toujours : de quoi ça parle ? Sur quoi l’auteur a voulu nous faire réfléchir ? Quelles sont les contre-intrigue qui ont aidé à élargir le sujet. Et là, ben rien. On m’a bien glissé la rédemption, mais la rédemption de qui ?

    Le verdict
    Je n’ai pas du tout aimé. Entre violence gratuite, absence d’action et de suspense, j’ai plutôt eu l’impression d’assister à une litanie de tortures pas très originales.

    Je vais tout de même essayer de lire un autre Giebel, j’entends tellement cette auteur portée aux nues que je me dis que j’ai peut-être raté quelque chose, mais sans grand espoir je te l’avoue…

  • mimi85600 10 juillet 2019
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    Un braquage qui tourne au bain de sang. L’un des braqueurs, William, est blessé et son frère Raphaël ainsi que leurs coéquipiers Fred et Christel, doivent trouver un moyen de le soigner et de se planquer en attendant qu’il aille mieux. Ils pensaient se réfugier chez Sandra, une innocente vétérinaire, ils plongent tout droit en enfer. Dans l’antre du diable.

    Un huis-clos d’une violence sans nom, un thriller psychologique dont je me souviendrai longtemps. Je crois que durant cette lecture je suis passée par tellement d’émotions différentes qu’il me serait impossible de les énumérer toutes.

    Et quelle fin... Une fin à laquelle on ne s’attend vraiment pas.

    J’ai terminé ce livre à bout de souffle, le coeur en miettes et la gorge nouée.

    Mais après.....

    Qu’est ce qu’on lit juste après...

    Est-ce qu’on peut réussir à plonger dans une nouvelle lecture juste après...

  • Morgane Andre 5 juillet 2019
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    Ce livre fut le premier de Karine Giebel dans ma bibliothèque et non le dernier !
    L’auteure nous plonge dans une sorte de huis-clos psychologique et sauvage avec un rythme soutenu et une tension palpable qui fait en sorte que le lecteur ne souhaite poser son livre que pour des besoins vitaux !

    Comme enfermée dans ce cauchemar avec les personnages , certains passages sont à la fois poignant , inquiétant et/ou angoissant mais on ne peut s’empêcher de se fondre dans ce purgatoire !

    Je recommande vivement ce livre , que j’avais tout simplement dévoré ! A lire absolument sans modération , toutefois certaines pages peuvent choquer un public sensible

  • alexbzh56 11 juin 2019
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    Un livre qui ne vous ne laissera pas indifférent ! Une fois plongé dans ce livre vous n’aurez qu’une envie c’est de savoir comment ce dénouement va se passer !!!! J’adore cette auteur. Je recommande chaudement ce polar.

  • alexbzh56 11 juin 2019
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    Un livre qui ne vous ne laissera pas indifférent ! Une fois plongé dans ce livre vous n’aurez qu’une envie c’est de savoir comment ce dénouement va se passer !!!! J’adore cette auteure. Je recommande chaudement ce polar.

  • mouffette_masquee 11 juin 2019
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    Une très belle découverte ! L’histoire est très bien menée. Un braqueur dont on s’attache et à qui on veut faire confiance, une otage qui ne semble pas si victime que ça... quoi que ? On ne sait plus à qui se fier, qui est le méchant, qui est le gentil. Au fur et à mesure qu’on avance dans l’intrigue on rentre dans l’horreur, avec un fort sentiment de malaise... le final est déroutant, mais explosif !

  • colorandbook 24 mai 2019
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    Même si j’ai trouve le récit un peu long et parfois trop descriptif, j’ai vraiment passé un bon moment de lecture.
    Enfin, je ne sais pas vraiment si on peu appeler ça "un bon moment" car cette histoire reste totalement angoissante.
    On a une belle palette de personnages, une histoire très prenante et angoissante.
    J’ai ressentis des sentiments très contradictoires durant ma lecture.
    C’est un excellent roman noir, mais honnêtement je ne le conseillerai pas à tout le monde.
    Il faut être accroché et avoir le cœur solide pour arriver au bout de cette histoire.

  • booksandmartini 24 mai 2019
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    Ça faisait longtemps qu’un livre ne m’avait pas pris aux tripes et fait pleurer à ce point. Et je me suis retrouver pendant les 15 dernières pages à lire en pleurant.

    Pour mon premier Karine Giebel, c’est une sacrée réussite et j’y retournerai plus que certainement. L’auteure a sut me prendre dans son histoire. Je dévorais les pages sans même m’en rendre compte.

    Alors oui, cette histoire repousse un peu beaucoup certaine limite, mais ça rendait certains personnages beaucoup plus touchant et attachant. Je me suis énerver pour eux, littéralement hors de mes gonds, j’ai eut de l’espoir pour eux. J’ai eut faim, froid pour eux, tout un tas d’émotions ce succédant au fils des mots, lignes, pages... Je dois reconnaître que certains passage était dur à lire, non pas à cause de la plume de Karine Giebel qui était plus que parfaite. L’auteure dirige son récit d’un main de maître.

    Je n’ai pas vu venir la fin, ni à quelle point elle me toucherai. Et pourtant j’ai fermé ce livre avec un gout d’achevé. Tout à pris son sens, trouver sa place, et fermer les éternels questions trop faciles tel que « et lui/elle devient quoi ? ».

    Par contre, attention aux âmes sensibles !

  • Litterature and co 5 avril 2019
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    Le premier roman de K. Giebel que j’ai lu, il m’a retourné le cœur et bizarrement, j’ai aimé.
    C’est étrange, gore, mais surtout rempli de suspens. Il me semble que c’est l’un des seuls romans qui m’a fait frissonner.
    Je n’ai pas eu l’occasion de lire tous les romans de cette auteure, mais il est certain que celui-ci m’a permis de l’apprécier et de reconnaître qu’elle était douée.
    Au plaisir d’en lire d’autres.

  • KNaniie 26 mars 2019
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    Ce fut mon premier de Karine Giebel et ce fut une grosse découverte. Un suspense atroce, un livre à perdre haleine. Une fin qu’on imagine même pas.
    Je vais continuer à la lire.
    Je la recommande fortement.

  • KNaniie 26 mars 2019
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    Ce fut mon premier de Karine Giebel et ce fut une grosse découverte. Un suspense atroce, un livre à perdre haleine. Une fin qu’on imagine même pas.
    Je vais continuer à la lire.
    Je la recommande fortement.

  • claire chronique 6 mars 2019
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    Purgatoire des innocents de Karine Giebel
    j’ai adorer ce livre je l’ai lue en un week end un super opus de karine giebel

  • AUFILDESPAGES 27 février 2019
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    Mon 3eme livre de Karine Giebel et je suis un peu déçue, car je le pensais différent en fait ...
    Au délà des sévices détaillées et du malaise que l’auteure apporte au long du livre je n’ai pas réussit à plonger dedans comme il le fallait je pense ....
    Je ne sais pas vraiment pourquoi d’ailleurs !
    Par contre c’est vrai que la plume de l’auteure qui nous balade est géniale ! Je vais continuer à lire sa bibliographie avec beaucoup d’enthousiasme

  • lireencore93420 24 février 2019
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    @jodyane m’as choisis ce livre dans le cadre de #piochedansmapal, et ce livre aussi qui était au programme pour le #bookclubdeluciole.

    Deux bonnes raisons pour me décider a lire mon 3eme opus de @karinegiebel-

    Christel essaye un très beau collier dans une célèbre boutique de la place Vendôme, un homme l’accompagne, et lui dit tout peut être a toi, évidemment cet individu est un braqueur, et ses complices Will et Fred les attendent.

    Mais la BRB ( Brigade répressive du banditisme) les attendent, eux aussi, ils s’en sortent avec Will trés blessée.

    Raphael exige qu’on s’arrête au prochain village, il faut faire soigner son frére, Will, justement une plaque de Vétérinaire, se plante sur son nez.

    Il l’appelle, elle va soigner son frére.

    Elle les emmènent a la ferme, et ils savent pas encore que c’est l’antichambre du diable.

    Gros coup de coeur pour cet huit clos entre des braqueurs et un pervers sexuelle, quand les persécutants deviennent des persécutés.

    C’est un récit très incisif, et qui par moment est trés dur, ames sensibles, s’abstenir.

    On ressent l’attachement des deux frères, et je pense que c’est l’amour qu’il a entre eux qui vas les forcer a être encore plus fort.

    La symbolique de ce livre est vraiment la domination affective ? Pourquoi Sandra cette sympatique vétérinaire as accepter tout cela, pendant aussi longtemps, je vous laisse le découvrir.

    Ce livre est vraiment a lire, il est absolument incroyable.

    Plus je découvre cet auteure, plus je raffole de ces récits, et j’en suis seulement a mon troisième.

  • meslivresetmoi33 11 février 2019
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    Une grosse claque, voilà ce que j’ai pris avec ce livre ! Un scénario génial, des personnages complexes, un suspens insoutenable ! J’ai eu du mal à lâcher ce bouquin, j’avais l’impression d’abandonner les personnages à leur triste sort.
    Raphaël ne se doutait pas qu’en séquestrant une vétérinaire pour soigner son frère blessé dans le braquage qu’ils ont commis, sa vie basculerait dans l’horreur la plus totale !
    Un roman qui prend aux tripes et on ne sent pas les 630 pages...A lire absolument !!

  • Les lectures de Maryline 21 décembre 2018
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    Mais comment ai-je pu laisser ce livre aussi longtemps dans ma PAL ??? Quelle grossière erreur ! C’est une tuerie ce thriller ! Je suis fan fan fan ! Tout ce que j’aime est réunit dans ce roman, tout ce qui fait pour moi un excellent thriller est écrit dans CE livre. Bravo à l’auteur, un énorme coup de cœur pour moi ! A partir d’aujourd’hui, je le dis solennellement, Karine Giebel va devenir mon auteur préférée ! Je me demande même pourquoi je ne l’ai pas lu avant. J’avais simplement lu un recueil de nouvelles "Maitres du jeu" que j’avais beaucoup aimé à l’époque. Bref, revenons-en au livre en lui-même...

    Quatre braqueurs font main basse sur des bijoux et autres pierres précieuses, le coup est fantastique mais l’un d’eux, Will, va prendre une balle dans la jambe et l’un des flics est tué lors de leur départ. Ils seront donc les 4 personnes les plus recherchés du pays (3 hommes et 1 femme). Ils trouvent refuge dans une ferme isolée, loin de tout et prennent en otage la femme qui y habite, une vétérinaire qui va devoir soigner le blessé afin qu’ils puissent tous repartir se cacher à l’étranger. Mais ils ne savent pas où ils ont mis les pieds et les 4 protagonistes vont vite le regretter...

    Dans le même temps, on suit le kidnapping de deux jeunes lycéennes par un homme qui à l’air complètement cinglé et décidé à faire du mal tout en se faisant du bien. Les deux jeunes filles se font avoir et vont rapidement comprendre qu’elles sont tombées en enfer...

    C’est un vrai thriller auquel on assiste. Il y a du suspense jusqu’à la fin, il y a du sang partout, plusieurs morts, des disputes, des amitiés, de la torture mentale et physique... Bref, un vrai bon cocktail ! Je me suis attachée, au fil de ma lecture, à Raphaël, le personnage central de l’histoire. C’est un braqueur depuis son plus jeune âge, il a de l’expérience, il sait diriger une équipe et a un vrai caractère fort qui en impose. C’est son frère qu’il va vouloir sauver de cette fichue balle qui est venue se loger dans son genou. Malgré son passé de taulard, il a un cœur immense et va vite comprendre qu’il a ses faiblesses lui aussi. Je l’ai beaucoup aimé. L’autre personnage important est celui de Sandra, une femme fragile et forte à la fois, une femme qui fait tout pour satisfaire celui qui est toute sa vie...

    Ce thriller est une vraie bombe ! Tous ceux qui aiment ce genre vont adorer se plonger dans cette histoire terrifiante mais tellement géniale. Karine Giebel est une grande, une vraie auteur de thrillers. A lire sans modération !

  • universpolars 24 novembre 2018
    Purgatoire des innocents - Karine Giebel

    Ce thriller est le premier que j’ouvre de Karine Giebel. Je ne sais pas si c’est par celui-ci qu’il fallait commencer, mais finalement, quelle importance ? De toute manière, je n’y suis pas ressorti indemne.

    Karine Giebel nous enferme dans une sorte de huis-clos assez gênant et suffoquant, ne donnant pas une grande chance à l’espoir. C’est étouffant. On endure ce roman comme si l’on retenait un poids lourd qui nous glisse dessus.

    Je qualifierais ce récit de torture mentale, tant le manque d’espoir est désarmant. Le sentiment d’être inutile et impuissant face à ce morbide et sombre spectacle est absolument insupportable. Les protagonistes de cette histoire sont martyrisés par une auteure qui a, semble-t-il, décidé de se déchaîner totalement. C’est une vraie torture, autant pour nous que pour les personnages.

    Pas de place à l’espoir, mais une grande place pour la fraternité, celle qui est indestructible et qui laisse, finalement, une petite lumière quelque part. Cet aspect-là de l’histoire est loin d’être anodin. Mais est-ce vraiment encore utile de s’accrocher lorsqu’on rampe à quelques centimètres de sa propre tombe ? Grande question. Fascinant de s’identifier aux personnages de ce roman, d’endosser leur rôle, et de se demander comment nous réagirions à leur place.

    Cette histoire débute par une tuerie dans une bijouterie, un casse qui ne s’est pas vraiment déroulé comme prévu. Trois hommes, une femme, voici la formation de ce groupe de truands qui ne semble pas être composé de novices.

    Blessures, fuite, planque, trouver un médecin ; l’équipe est déstabilisée, mais déterminée. Ça passe ou ça casse. Le décor est planté.

    Karine Giebel nous offre ses brefs chapitres en respectant un rythme soutenu accompagné d’une tension frisant l’électrochoc. Écriture brute, sans fioritures, l’auteur nous sert donc l’essentiel. Dès le départ, le lecteur remarquera que l’auteure n’a pas sorti sa plume dans l’intention de nous préserver, mais plutôt pour nous la planter dans la peau.

    Personnages inquiétants, troubles, durs et vulnérables à la fois. Nous voici donc déjà avec quelques paradoxes dans l’âme des personnages, signes annonciateurs d’un thriller prometteur. Difficile de les cerner ; peuvent-ils d’ailleurs le faire eux-mêmes ? Pas si sûr.

    Un homme, un prédateur, perturbe également le rythme de ce roman en s’appliquant sur une tâche très importante, essentielle même : se faire une jeune et innocente ado, se l’accaparer et jouer un peu avec. C’est viscéral, c’est même peut-être un peu sentimental pour lui. Gerbant.

    Voici ce que nous sert l’auteure en entrée, juste l’essentiel, pas de garniture, pas de fioritures. C’est brut et c’est violent. L’écriture est sadique, sans ménagement. Dommage, à mon sens, que quelques longueurs s’installent inlassablement dans ce début de roman et cassent un peu ce rythme fou. L’auteure va droit au but, c’est vrai, mais avec trop de répétitions.

    Cependant, ça accélère soudainement. L’ambiguïté des personnages s’intensifie, leur personnalité devient complexe, troublante. Qui est le maître, qui est le bourreau et, finalement, qui est vraiment la victime, le dominé ou le dominant ? Ou bien alors, ces rôles peuvent-ils changer, évoluer, se déplacer d’une personne à l’autre comme un virus ? Sans doute pas, mais cela sera encore un peu plus complexe.

    L’emprise et la manipulation semblent avoir un rôle clé dans cette histoire, mais difficile de placer les protagonistes sur la bonne case de l’échiquier. Du moins, au début.

    L’auteure arrive à transmettre une bien étonnante sensation au lecteur concernant la qualité ou la fonction des personnages, et ceci avec une lenteur, ou plutôt une constance qui surprend. Les longueurs dont je me plaignais ci-avant deviennent presque un atout, au bout du compte.

    A un moment donné, je me suis senti assez malin pour deviner où voulait en venir l’auteure avec les événements qui étaient en train de se dérouler, notamment avec le rôle des personnages. En effet, j’avais vu juste, mais voilà, ce n’était pas un secret d’Etat ! Karine Giebelnous dévoile assez rapidement cet aspect du récit et, du coup, je ne me sens pas très fier de m’être senti malin si rapidement !

    L’auteure va très loin dans l’ignoble, dans la perversité, la cruauté et dans la douleur. Le personnage qui devient le centre du récit regorge d’inhumanité. Il inspire le dégoût à l’état pur. Ses propos, ses convictions et sa vision de l’être laissent penser que nous sommes face à la pire saloperie que le monde ait pu engendrer. Un pervers narcissique qui s’accapare de l’autre, qui renvoie tout à son image, l’image parfaite.

    Que se passe-t-il lorsqu’un prédateur façonné dans le roc se retrouve sous l’emprise d’un prédateur construit de perversité et d’apathie ? Cette histoire répondra, peut-être, à la question.

    Jusqu’où l’emprise sur une personne peut-elle aller ? Y aurait-il tout de même des limites ? Là aussi, Karine Giebel nous éclairera en mettant en scène un personnage troublant, perdu, une femme qui n’en est plus une, une âme en perdition totale.

    Tous ces ingrédients vont être lancés dans la marmite. Les émanations qui en ressortiront une fois la préparation bien chauffée vous laisseront un goût bien amer au fond de la gorge.

    Le dénouement suit une direction assez logique et juste, mais nous oublierions presque ce que sont les significations des termes "juste", "justice" ou encore "morale". On souhaiterait que cela se termine différemment ou, avec du recul, peut-être pas. Quelle torture psychique, je l’ai dit !

    Bonne lecture.

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