- Auteur : Marion Brunet
- Genre : Polar
- Editeur : Pocket Jeunesse
- Date de sortie : 14 janvier 2021
- EAN : 9782266305709
Inscrivez-vous ou connectez-vous pour pouvoir participer au Club !
Résumé :
Lorsque Élise et Victor découvrent le corps de Clarence, noyé près de la coque de leur voilier, Emma comprend que leur croisière a définitivement viré au cauchemar. Avec la disparition de son leader charismatique, ce sont tous les secrets de la bande qui remontent à la surface, les rancœurs et les lâchetés qui régissent toujours un groupe. Et quand une tempête terrifiante s’annonce, les émotions et les angoisses se cristallisent dans une atmosphère implacable...
Après le succès de Sans foi ni loi, acclamé par la critique et Pépite d’or du Salon du livre jeunesse à Montreuil, Marion Brunet revient avec un huis clos haletant où se mêlent l’intime et les peurs qui sommeillent en chacun de nous.
spitfire89 14 mai 2024
Plein Gris - Marion Brunet
Marion Brunet nous offre un huis clos en pleine mer entre la France et l’Irlande, une bande d’ami partie en toute convivialité voit cette ballade tournée au cauchemar.
Une ambiance oppressante où la mort d’un membre d’une bande va révélé des tensions, une vengeance et des secrets.
Du suspense, de la tension et des twist plot alors que le mettre mot est la survie en rejoignant les côtes française.
Marion Brunet nous plonge dans un thriller jeunesse psychologique entre nature humaine, amitié et nostalgie.
"Sam faisait des blagues, il était celui qui fait rire. Dans un groupe, une fois que les rôles sont assignés, c’est compliqué de faire bouger les lignes, les perceptions. Alors voilà, Sam était lunaire et drôle. Souvent à l’affût de l’effet de ses vannes sur Clarence, qui restait notre référence, lumineux et tout-puissant."
"Il cachait sa tendresse sous un humour redoutable et surtout une capacité d’autodérision remarquable pour son âge. Moi-même, j’en étais bien incapable, anxieuse de plaire et de paraître, et surtout de faire croire que ça n’avait pas d’importance."
"C’est une chose de se faire peur aux abords des jetées détrempées, se raconter les disparus, chaque année, les imprudents. Il y a aussi ce plaisir frissonnant des films catastrophes, lorsque l’écran s’emplit d’une vague géante et qu’une coque de noix s’agite au milieu, moucheron sur une table de banquet. Mais être au cœur, la voir arriver et n’avoir aucune porte de sortie relève de la terreur pure."