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Jeu de massacres - James Patterson

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Résumé :

UN MEURTRIER...
Le professeur Dylan Reinhart est l’auteur d’un ouvrage de référence sur les « comportements déviants ». Lorsque Elizabeth Needham, du NYPD, en reçoit un exemplaire accompagné d’une carte à jouer tachée de sang, tout porte à croire qu’un tueur s’intéresse à l’éminent docteur en psychologie...

DEUX ENQUÊTEURS...
Mais il apparaît vite que ce sang est celui d’un homme retrouvé poignardé à son domicile. Quant à la carte, un roi de trèfle, elle prend tout son sens lorsque Needham et Reinhart comprennent qu’elle désigne la deuxième victime d’un tueur que les journaux surnomment déjà le « Dealer ». Ces cartes ne sont donc pas une signature, mais les indices d’un jeu de piste dont Manhattan est le décor...

... ET 52 CARTES
Deux de cœur, neuf de carreau, valet de pique... Une à une, les cartes s’abattent. Et les victimes tombent. Une partie s’engage, qu’il faudra jouer jusqu’au bout. Jusqu’au moment où le Dealer perdra la main... à moins qu’il ait gardé un atout dans sa manche ?
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Vos #AvisPolar

  • spitfire89 2 avril 2023
    Jeu de massacres - James Patterson

    Thriller à l’origine de la série série télé Instinct, diffusée aux États-Unis depuis le printemps 2018 puis en France.

    Impair, pair et tue !

    Le Dr Dylan Reinhart s’est rendu célèbre par son livre décryptant les comportements criminels.

    Lorsqu’un exemplaire de ce best-seller est retrouvé sur une scène de meurtre accompagné d’un simple mot, force est de constater qu’un tueur en connaît tous les chapitres. Il apparaît vite que ce sang est celui d’un homme retrouvé poignardé à son domicile.
    Elizabeth Needham, inspectrice au NYPD en charge du dossier, recrute Dylan pour l’aider à comprendre le sens d’un autre indice laissé sur la scène de crime : une carte à jouer un roi de trèfle.
    Et quand une nouvelle carte est retrouvée sur un autre cadavre, la deuxième victime d’un tueur que les journaux surnomment déjà le « Dealer » , il semble évident pour le criminologue qu’elles ne sont pas qu’une signature mais bien un indice permettant de conduire à une prochaine victime d’un jeu de piste dont Manhattan est le décor.
    Tandis que tout New York cède à la panique, Dylan Reinhart est le seul à pouvoir s’immiscer dans l’esprit torturé de ce serial-killer.

    52 Cartes

    Deux de cœur, neuf de carreau, valet de pique. Une à une, les cartes s’abattent. Et les victimes tombent. Une partie s’engage, qu’il faudra jouer jusqu’au bout. Jusqu’au moment où le Dealer perdra la main.

    A moins qu’il ait gardé un atout dans sa manche ?

  • Auryn 3 avril 2020
    Jeu de massacres - James Patterson

    Un serial killer sème le trouble à New York. Sur chacun des corps, il laisse une carte de jeu qui annonce sa prochaine victime.
    Elisabeth Needham, inspecteur au NYPD, aidé du professeur Reinhart vont devoir jouer serré s’ils veulent arrêter ce tueur avant qu’il n’est abattu la totalité de ses cartes...

    James Patterson nous offre ici un polar classique et efficace. L’écriture est fluide et les chapitres courts en font un véritable page-turner.
    Le duo Needham / Reinhart fonctionne bien. Ils ont tous les deux des caractères bien trempés qui nous offrent des joutes verbales assez sympa.
    Le tueur, quant à lui, a un mode opératoire assez particulier et la signification des cartes-indices est des plus complexe.

    J’ai passé un très bon moment de lecture comme souvent avec cet auteur.

  • hellobooks 12 mars 2020
    Jeu de massacres - James Patterson

    Gros coup de cœur pour ce roman !

    Nous avons ici affaire à une histoire totalement originale, mêlant pleins de sujets que j’aime beaucoup, ce qui donne ce livre parfait ! En effet, il y a de la politique, de la corruption, de la psychologie, du polar, de la logique et réflexion et d’autres sujets tels que l’homosexualité et d’autres que je ne peux dévoiler, le tout assemblé avec des liens de cartes.

    Le personnage principal de ce roman n’est pas un policier chargé de l’affaire, mais plutôt un professeur en psychologie. Dylan Reinhart semble être un des pions du jeu du tueur avec son livre « les comportements déviants ». Cela donne une tournure particulière au récit, puisque Dylan va essayer de comprendre la réflexion et la logique du tueur et ne va pas, comme tout policier, chercher des indices, mener des interrogatoires comme dans tout policier lambda.

    De nombreux personnages vont graviter autour de Dylan et ils deviendront essentiels au fur et à mesure des pages, ou à un moment donné.

    Je trouve cela bien qu’il y ait en parallèle la vie personnelle de Dylan, cela lui donne un aspect plus réel. Une personne qui pourrait exister : un professeur de psychologie avec quelques petits problèmes dans sa vie privé.

    J’ai beaucoup apprécié que l’auteur parle de vrai concept de psychologie. En effet, il ne dit pas simplement que Dylan est un psychologue, mais il évoque de nombreuses théories qui sont très bien expliqués pour des novices en psychologie. L’auteur s’est très bien renseigné sur ce qu’ils disaient avant de l’écrire et cela rend le récit intéressant à lire, en plus du divertissement qu’il procure.

    Les chapitres sont courts, ce qui donne un rythme soutenu. De plus, l’auteur a une écriture fluide, avec un vocabulaire courant et non-familier, mettant de nombreuses actions, nous donnant alors un suspens qui va être présent des premières pages, aux dernières !

  • Marie Nel 7 mars 2020
    Jeu de massacres - James Patterson

    C’est le second roman de James Patterson que je lis. J’avais déjà eu le plaisir de le découvrir dans Incontrôlable. Je l’ai retrouvé ici avec plaisir. J’ai pu apprécier son style une nouvelle fois, précis, concis, qui pointe là où il faut. Il a l’art de mener le suspense tout le long du roman pour nous dévoiler la fin et nous étonner en même temps.

    Le roman commence très fort, puisque le premier chapitre est consacré au Dealer. On comprendra très vite qu’il s’agit en fait du tueur et qu’il nous dévoile une partie de ses pensées sur ses actes. Il s’adresse directement au lecteur. Et nous enchaînons par la suite avec l’histoire en elle-même. On fait la connaissance de Dylan Reinhart. Il est professeur à Yale et a écrit un roman sur les comportements des humains. Il est ce qu’on appelle un comportementaliste. Il va se retrouver au feu de l’action puisqu’il va voir arriver à l’université l’inspecteur Needham. Celle-ci mène en effet l’enquête car un journaliste de renom a reçu le livre de Dylan avec une carte à jouer tachée de sang. Celui-ci provient d’un meurtre qui vient d’avoir lieu. Tous deux vont vite comprendre que cette carte est un indice sur l’identité de la prochaine victime. Va ainsi s’en suivre un jeu du chat et de la souris entre le tueur et les deux enquêteurs qui va les mener sur un véritable jeu de piste où les meurtres vont se succéder chacun avec une nouvelle carte et donc un nouveau casse-tête.

    Ce que j’aime à chaque fois avec James Patterson, c’est qu’il construit son roman de telle façon que la lecture se fait rapidement. En effet, les chapitres sont très courts, cela donne donc beaucoup de rythme à la lecture. Si on rajoute à cela le suspense engendré par ces cartes qui mènent à chaque fois à une nouvelle victime, on obtient donc une lecture haletante et prenante. Elle n’a pas fait long feu et en une journée, j’avais fini ce roman. En plus, c’est toujours au moment où on pense que tout est résolu qu’un nouvel indice survient pour brouiller les pistes. Mes soupçons s’étaient portés sur certaines personnes, mais il s’est avéré que je me trompais et je suis tombée de haut lorsque le nom du coupable a été révélé.

    J’ai aussi bien aimé que l’auteur emploie le « je » tout au long du roman. Je trouve que l’on rentre encore mieux dans la peau du personnage et en occurrence ici dans celle de Dylan. Cela permet d’avoir ses pensées les plus intimes. On ressent encore mieux ce qu’il vit tout au long de ce jeu de piste.

    Les personnages sont bien travaillés, je les ai beaucoup aimés, que ce soit Dylan, Elizabeth ou les autres. J’ai aussi apprécié la vie intime de Dylan, l’auteur pointe d’ailleurs sur un sujet pas toujours évident et le rend le plus naturel possible.

    J’ai, vous l’aurez compris, passé un excellent moment de lecture en compagnie de tout ce petit monde. Plein de suspense et de questionnements tout le long, donnant une lecture rapide et intense. Ce roman me conforte dans l’idée que James Patterson peut faire partie des grands écrivains de thriller et de suspense. Je le lirai volontiers à nouveau.

  • mimi85600 10 juillet 2019
    Jeu de massacres - James Patterson

    Ayant adoré " Le président a disparu " et " Incontrôlable ", c’est sans hésiter que je suis allée vers le nouveau roman de James Patterson, gageant qu’il ne pourrait qu’être bon. Autant vous prévenir tout de suite, je suis tombée de haut. J’ai détesté ce "Jeu de massacres" de bout en bout. Pourquoi ? Eh bien je vais vous l’expliquer.

    Les personnages sont tellement creux, sans intérêts et parfois même caricaturaux que je ne suis jamais parvenue à m’y attacher et que ce soit clair, si je n’arrive pas à éprouver un tant soit peu d’empathie pour un personnage dans un livre, le pari est raté, je ne l’apprécierai pas. Pourtant, ça partait bien, entre ce prologue où le tueur s’adresse directement à nous lecteurs qui m’avait mis l’eau à la bouche et l’entrée en matière du professeur Reinhart.

    Quant à l’histoire en elle-même, elle manque cruellement de profondeur, on se retrouve avec une surenchère de meurtres à peine survolés et, avouons-le, certains détails sont tirés par les cheveux et abracadabrants. Alors bien sur il y a de l’action en veux-tu en voilà comme dans les superproductions américaines, les chapitres sont très courts et la lecture est rapide et facile. Mais justement, on entre là dans le "trop facile". On se contente du minimum syndical là où on aurait pu faire un grand roman.

    Quoi ? Ces raisons ne sont pas suffisantes ? Eh bien attendez de voir la fin, de savoir qui tue et pourquoi et croyez-moi vous n’aurez aucune surprise. C’est du vu, revu et rerevu. Il n’y a aucune originalité et la déception est à la hauteur de la médiocrité du roman.

    Merci quand même aux éditions L’archipel pour l’envoi de ce livre.

  • Marie Nel 28 mars 2019
    Jeu de massacres - James Patterson

    C’est le second roman de James Patterson que je lis. J’avais déjà eu le plaisir de le découvrir dans Incontrôlable. Je l’ai retrouvé ici avec plaisir. J’ai pu apprécier son style une nouvelle fois, précis, concis, qui pointe là où il faut. Il a l’art de mener le suspense tout le long du roman pour nous dévoiler la fin et nous étonner en même temps.

    Le roman commence très fort, puisque le premier chapitre est consacré au Dealer. On comprendra très vite qu’il s’agit en fait du tueur et qu’il nous dévoile une partie de ses pensées sur ses actes. Il s’adresse directement au lecteur. Et nous enchaînons par la suite avec l’histoire en elle-même. On fait la connaissance de Dylan Reinhart. Il est professeur à Yale et a écrit un roman sur les comportements des humains. Il est ce qu’on appelle un comportementaliste. Il va se retrouver au feu de l’action puisqu’il va voir arriver à l’université l’inspecteur Needham. Celle-ci mène en effet l’enquête car un journaliste de renom a reçu le livre de Dylan avec une carte à jouer tachée de sang. Celui-ci provient d’un meurtre qui vient d’avoir lieu. Tous deux vont vite comprendre que cette carte est un indice sur l’identité de la prochaine victime. Va ainsi s’en suivre un jeu du chat et de la souris entre le tueur et les deux enquêteurs qui va les mener sur un véritable jeu de piste où les meurtres vont se succéder chacun avec une nouvelle carte et donc un nouveau casse-tête.

    Ce que j’aime à chaque fois avec James Patterson, c’est qu’il construit son roman de telle façon que la lecture se fait rapidement. En effet, les chapitres sont très courts, cela donne donc beaucoup de rythme à la lecture. Si on rajoute à cela le suspense engendré par ces cartes qui mènent à chaque fois à une nouvelle victime, on obtient donc une lecture haletante et prenante. Elle n’a pas fait long feu et en une journée, j’avais fini ce roman. En plus, c’est toujours au moment où on pense que tout est résolu qu’un nouvel indice survient pour brouiller les pistes. Mes soupçons s’étaient portés sur certaines personnes, mais il s’est avéré que je me trompais et je suis tombée de haut lorsque le nom du coupable a été révélé.

    J’ai aussi bien aimé que l’auteur emploie le « je » tout au long du roman. Je trouve que l’on rentre encore mieux dans la peau du personnage et en occurrence ici dans celle de Dylan. Cela permet d’avoir ses pensées les plus intimes. On ressent encore mieux ce qu’il vit tout au long de ce jeu de piste.

    Les personnages sont bien travaillés, je les ai beaucoup aimés, que ce soit Dylan, Elizabeth ou les autres. J’ai aussi apprécié la vie intime de Dylan, l’auteur pointe d’ailleurs sur un sujet pas toujours évident et le rend le plus naturel possible.

    J’ai, vous l’aurez compris, passé un excellent moment de lecture en compagnie de tout ce petit monde. Plein de suspense et de questionnements tout le long, donnant une lecture rapide et intense. Ce roman me conforte dans l’idée que James Patterson peut faire partie des grands écrivains de thriller et de suspense. Je le lirai volontiers à nouveau.

  • claire chronique 5 mars 2019
    Jeu de massacres - James Patterson

    Tout d’abord merci aux éditions de l’archipel pour ce service-presse !
    Dylan Reinhart est professeur à l’université où il assure un cours d’introduction aux psychopathies, et il a aussi écrit un livre sur « les comportements déviants ».
    Elizabeth, l’enquêtrice, a reçu un exemplaire du livre de Dylan, accompagné d’une carte à jouer maculée de sang. le sang est celui d’un homme retrouvé poignardé.
    J’ai adoré le prologue, je me suis dit direct : « je suis sûre que ça va envoyer du lourd » !
    Avec une certaine jubilation, il nous explique le plaisir que l’on peut avoir à tuer de différentes façons. Vous l’aurez compris, le tueur est un petit futé. Il aura pour surnom le « dealer » en référence aux cartes de poker. le dealer sème ses cartes, donc ses indices.
    Un duo de choc va mener l’enquête : Elizabeth et Dylan que j’ai trouvé très sympathique d’ailleurs.
    Dylan, qui est en couple avec Tracy, aimerait adopter un enfant, mais la personne qui devait simplement faire une visite des lieux a malheureusement laissé échapper un « ho ! » lorsqu’elle a vu qu’il s’agissait d’une adoption pour un couple gay. Tracy n’a vraiment pas été content et donc l’adoption a été compromise.
    Le dealer expliquera qu’aucune de ses victimes n’est innocente et qu’il rend service à faire ça. Monsieur le Maire est sur les dents, car les élections approchent et toujours pas de dealer derrière les barreaux. Il craint que sa campagne ne fasse un flop. Vous l’aurez compris : enquête, corruption et secrets sont au rendez-vous.
    Un livre que j’ai beaucoup aimé avec des chapitres courts, une écriture fluide et pas de longueurs. Encore un très bon livre de l’auteur que j’ai vraiment beaucoup aimé comme « Incontrôlable ».

  • ellemlire 28 janvier 2019
    Jeu de massacres - James Patterson

    Merci à Mylène des éditions de l’Archipel pour sa confiance renouvelée.

    Cela faisait longtemps que je n’avais pas lu James Patterson. A une époque, j’avais enchaîné ses livres mais j’avais fini par décrocher avec la série des Michael Bennett, qui n’est pas du tout mon genre.

    Dans ce nouvel opus, écrit à quatre mains avec Howard Roughan, nous sommes à New York. Dylan Reinhart est professeur à l’université où il assure un cours d’introduction aux psychopathies, et il est aussi l’auteur d’un ouvrage sur les comportements déviants. Il est en pleine démonstration quand Elizabeth Needham du NYPD débarque dans l’amphithéâtre. Elle a reçu un exemplaire du livre de Dylan, accompagné d’une carte à jouer maculée de sang. le sang est celui d’un homme retrouvé poignardé.

    "Ce dingue joue avec nous aux devinettes. A nous de chercher qui sera sa prochaine victime. Pourquoi vous désignerait-il nommément comme cible ?"

    Dès le prologue, on entre dans le vif du sujet, puisque c’est le tueur, qui se fait appeler le Dealer qui s’adresse à nous. Il nous parle des différentes façons de tuer, et du plaisir et de la satisfaction qu’il en retire. On comprend alors qu’il est organisé et qu’il ne laisse rien au hasard.

    "Les vrais serial killers, ceux dont les gens se souviennent, ont toujours l’intelligence de s’inventer un alias, une espèce de nom d’artiste qui leur va comme un gant. Sinon quel intérêt ? Les psys vous diront que les types dans mon genre sont avant tout des narcissiques. S’ils sous-entendent par là qu’on est fiers de notre savoir-faire et qu’on apporte un soin méticuleux à chacune de nos prestations, je réponds qu’il y a pire insulte."

    Le Dealer est le maître du jeu. Tel un croupier, c’est lui qui distribue les cartes. Les cartes d’un jeu macabre. En effet, les cartes qu’il dépose sur les lieux du crime ont une signification et sont un indice sur la prochaine victime. Sur cette enquête, Dylan devient vite l’associé d’Elizabeth. Ils mettent leurs connaissances et leurs expériences en commun, pour arrêter au plus vite le tueur.

    Avec ce thriller, nous entrons dans le New York de la politique et des médias, mais surtout de la corruption. Qui influence qui ? Quels sont les arrangements de cette société ? Qui décide des informations à transmettre aux médias ? Et finalement qui est le maître de New York ?

    " Plus personne à New York ne pouvait ignorer l’existence du Dealer. L’affaire allait mobiliser tout ce que la ville comptait d’insignes, y compris du FBI, si jamais le nombre de victimes continuait à croître. Et cela, monsieur le Maire entendait l’éviter à tout prix."

    Dans Jeu de massacres, il n’y aucun temps mort. On ne s’ennuie pas un seul instant. Les chapitres s’enchaînent à une vitesse folle. C’est dynamique. le style est fluide. L’intrigue est bien ficelée. Et le suspense est au rendez-vous, le Dealer a toujours une longueur d’avance. J’ai tourné la dernière page sans m’en rendre compte. Mission accomplie pour James Patterson, j’ai passé un excellent moment.

    En bref, Jeu de massacres est un bon cru ! Il m’a réconciliée avec James Patterson. Ce thriller a été une lecture extrêmement divertissante. Un bon page-turner, mais qui malgré tout qui ne me marquera pas longtemps.

    https://ellemlireblog.wordpress.com/2019/01/18/jeu-de-massacres-james-patterson-et-howard-roughan/

  • Mes petits plaisirs à moi 27 janvier 2019
    Jeu de massacres - James Patterson

    Encore une fois James Patterson a fait mouche, selon moi. Il reprend la même recette habituelle : des chapitres très courts, un rythme endiablé, des morts à la pelle et des enquêteurs un peu dépassés mais déterminés. Toujours pas de super flics, mais des êtres désireux de mettre un terme à une mise en scène morbide organisée par un meneur de jeu adepte des parties de cartes. Au final, une recette qui m’a, encore une fois, offert un chouette moment de lecture. D’aucuns diront que c’est du polar de gare. Eh bien, oui ! Mais de temps en temps, cela ne fait pas de mal et ça vide l’esprit pour quelques heures.

    Ce que j’aime dans les personnages de Patterson, c’est leur profonde humanité. Ce sont des êtres simples, des êtres comme vous et moi qui ont leurs problèmes perso, des vies parfois tellement vides que leur boulot se révèle leur unique bouée de sauvetage. Mais derrière cela, leur altruisme fait plaisir à voir voire nous met la larme à l’œil. Ainsi le couple que forment Dylan et Tracy et leur projet d’adoption apportent au roman, malgré cette enquête morbide, un moment d’espoir qui fait chaud au cœur. Idem l’amitié qui naît entre Dylan et Elizabeth au fil des jours, cette sorte de lien quasi fraternel, nous change un peu de la traditionnelle amourette dont certains auteurs ne parviennent pas à renoncer dès qu’ils écrivent une histoire. On aime aussi les deux scènes entre Dylan et le petit Miles qui transcendent les codes et défrisent les conservatismes les plus zélés. En somme, Patterson aiment les gens, quels qu’ils soient, et cela se sent dans son écriture.

    On aime aussi le mécanisme de la vengeance instaurée par ce fameux Dealer. Il mène le jeu en abattant petit à petit ses cartes non pour marquer des points mais pour annoncer qu’il y aura une future victime. Cette mise en scène rappelle par certains points le film  Seven de David Fincher même si ici la succession des meurtres ne relève pas du religieux mais plus du symbolique car, derrière chaque carte laissée sur les différentes scènes de crime, se cache une signification reposant sur un jeu de mots ou une caractéristique de la future victime. C’est rudement bien pensé au final et le lecteur est tenu en haleine jusqu’au terme du roman. L’autre aspect intéressant de "cette partie de cartes", c’est que l’objectif du criminel n’est pas de jouer au chat et à la souris mais plutôt d’amener Dylan et Elizabeth à comprendre la légitimité de ses actes. Plus qu’un détraqué mental, le Dealer se veut redresseur de torts. Il ne tue pas pour tuer, il tue pour punir et faire justice puisque d’autres se sont montrés lâches dans ce domaine. Qui finalement pourrait le lui reprocher ? Même Dylan et Elizabeth devront s’interroger sur ses intentions et en arriveront un court instant à douter. Plus qu’un roman de serial killer, Patterson nous offre ici une réflexion sur le rôle de la Justice dans notre société et sur ses ambitions : est-elle toujours là pour faire le bien ? Ou n’est-elle qu’un moyen dont profite les puissants ?

    Je recommande fortement ce nouvel opus qui reprend le style "Patterson", et notamment son amour pour les belles motos et les embardées de folie dont était également friand Ben Casper dans Incontrôlable (à lire également si vous découvrez cet auteur).

  • Mes petits plaisirs à moi 27 janvier 2019
    Jeu de massacres - James Patterson

    Encore une fois James Patterson a fait mouche, selon moi. Il reprend la même recette habituelle : des chapitres très courts, un rythme endiablé, des morts à la pelle et des enquêteurs un peu dépassés mais déterminés. Toujours pas de super flics, mais des êtres désireux de mettre un terme à une mise en scène morbide organisée par un meneur de jeu adepte des parties de cartes. Au final, une recette qui m’a, encore une fois, offert un chouette moment de lecture. D’aucuns diront que c’est du polar de gare. Eh bien, oui ! Mais de temps en temps, cela ne fait pas de mal et ça vide l’esprit pour quelques heures.

    Ce que j’aime dans les personnages de Patterson, c’est leur profonde humanité. Ce sont des êtres simples, des êtres comme vous et moi qui ont leurs problèmes perso, des vies parfois tellement vides que leur boulot se révèle leur unique bouée de sauvetage. Mais derrière cela, leur altruisme fait plaisir à voir voire nous met la larme à l’œil. Ainsi le couple que forment Dylan et Tracy et leur projet d’adoption apportent au roman, malgré cette enquête morbide, un moment d’espoir qui fait chaud au cœur. Idem l’amitié qui naît entre Dylan et Elizabeth au fil des jours, cette sorte de lien quasi fraternel, nous change un peu de la traditionnelle amourette dont certains auteurs ne parviennent pas à renoncer dès qu’ils écrivent une histoire. On aime aussi les deux scènes entre Dylan et le petit Miles qui transcendent les codes et défrisent les conservatismes les plus zélés. En somme, Patterson aiment les gens, quels qu’ils soient, et cela se sent dans son écriture.

    On aime aussi le mécanisme de la vengeance instaurée par ce fameux Dealer. Il mène le jeu en abattant petit à petit ses cartes non pour marquer des points mais pour annoncer qu’il y aura une future victime. Cette mise en scène rappelle par certains points le film  Seven de David Fincher même si ici la succession des meurtres ne relève pas du religieux mais plus du symbolique car, derrière chaque carte laissée sur les différentes scènes de crime, se cache une signification reposant sur un jeu de mots ou une caractéristique de la future victime. C’est rudement bien pensé au final et le lecteur est tenu en haleine jusqu’au terme du roman. L’autre aspect intéressant de "cette partie de cartes", c’est que l’objectif du criminel n’est pas de jouer au chat et à la souris mais plutôt d’amener Dylan et Elizabeth à comprendre la légitimité de ses actes. Plus qu’un détraqué mental, le Dealer se veut redresseur de torts. Il ne tue pas pour tuer, il tue pour punir et faire justice puisque d’autres se sont montrés lâches dans ce domaine. Qui finalement pourrait le lui reprocher ? Même Dylan et Elizabeth devront s’interroger sur ses intentions et en arriveront un court instant à douter. Plus qu’un roman de serial killer, Patterson nous offre ici une réflexion sur le rôle de la Justice dans notre société et sur ses ambitions : est-elle toujours là pour faire le bien ? Ou n’est-elle qu’un moyen dont profite les puissants ?

    Je recommande fortement ce nouvel opus qui reprend le style "Patterson", et notamment son amour pour les belles motos et les embardées de folie dont était également friand Ben Casper dans Incontrôlable (à lire également si vous découvrez cet auteur).

  • L’atelier de Litote 25 janvier 2019
    Jeu de massacres - James Patterson

    Une collaboration fructueuse entre James Patterson et Howard Roughan, donne une superbe enquête, prenante et haletante avec des personnages intéressants et un final éblouissant. J’ai complètement accroché avec les personnages et notamment avec Dylan Rheinhart, professeur de psychologie et la détective Elizabeth Needham du NYPD. J’imagine parfaitement une série avec ces deux là sans toutefois omettre le charmant petit mari de Reinhart, Tracy. L’intrigue débute lorsque Needham vient interrompre Reinhart en plein cours, lui demandant de l’aide dans une affaire de meurtre où apparait une carte à jouer comme seul indice. Soudain d’autres cartes à jouer font leur apparition au côté d’autres victimes. Il s’agit maintenant de mettre la main sur un tueur en série particulièrement retord et qui ne manquera pas de nous donner des sueurs froides.
    Les chapitres sont très courts se qui nous assure un rythme rapide pour ce page-turner. Mon seul petit reproche est les nombreuses références à des paroles de chanson ou à des personnages américains célèbres là-bas mais que personnellement je ne connais pas qui viennent émailler le récit et pour lesquels je suis passée à côté. Mais ce qui fait la force de ce thriller c’est la façon dont le personnage de Reinhart est développé, dès le premier chapitre on ne le lâche plus, de l’amphithéâtre de Yale à sa vie privée, tout est passionnant chez cet homme de 45 ans. La rencontre avec Elizabeth Needham est délicieusement écrite donne à ce duo beaucoup de charme. Le flic tenace et le brillant professeur sont parfaits dans leur rôle respectif. Je ne terminerai pas cette chronique sans parler du mari de Dylan, Tracy qui est vraiment craquant, il sait défendre la veuve et l’orphelin contre des propriétaires avides. Il apporte juste la touche de légèreté nécessaire dans cette dangereuse traque que mène son compagnon et le fait de voir un couple gay dont l’un est un personnage principal c’est juste parfait. Bonne lecture.

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