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Nuit - Bernard Minier

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14 #AvisPolar
8 enquêteurs
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Résumé :

Nuit de tempête en mer du Nord. Secoué par des vents violents, l’hélicoptère dépose Kirsten Nigaard sur la plate-forme pétrolière. L’inspectrice norvégienne enquête sur le meurtre d’une technicienne de la base off-shore.

Un homme manque à l’appel. En fouillant sa cabine, Kirsten découvre une série de photos. Quelques jours plus tard, elle est dans le bureau de Martin Servaz.

L’absent s’appelle Julian Hirtmann, le tueur retors et insaisissable que le policier poursuit depuis des années. Étrangement, sur plusieurs clichés, Martin Servaz apparaît. Suivi, épié.

Kirsten lui tend alors une autre photo. Celle d’un enfant.
Au dos, juste un prénom : GUSTAV

Pour Kirsten et Martin, c’est le début d’un voyage terrifiant. Avec, au bout de la nuit, le plus redoutable des ennemis.

Source : XO Éditions

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Vos #AvisPolar

  • angelita 24 février 2024
    Nuit - Bernard Minier

    Nuit de Bernard Minier, présentation
    Elle est seule dans un wagon, en Norvège. Elle doit enquêter sur une femme retrouvée morte. Elle se fait accoster par une femme. Kristen est une femme pas sympa. Elle est froide, obsessionnelle, inflexible. Arrivée sur les lieux du crime, elle voit un papier qui porte son nom.

    L’enquête débute sur une plateforme balayée par la pluie et les vents violents.

    Avis Nuit de Bernard Minier
    Servaz#4

    Martin Servaz avec son collègue Espérandieu est sur la piste d’un violeur. Mais tout tourne mal, Servaz reçoit une balle qui l’envoie à l’hôpital entre la vie et la mort. Il sera indisponible pendant de nombreux mois avant de refaire son apparition au sein de son équipe. Mais tous trouvent que Servaz a changé. Il est plus solitaire et prend des décisions sans en informer son service, surtout lorsqu’arrive Kirsten Nigaard, une jeune femme de la police norvégienne, dépêchée pour les informer que le nom de Servaz, avec une photo d’un jeune garçon, Gustav, a été trouvé sur une plateforme dans la cabine d’un homme, suspecté d’avoir tué une femme. Va s’ensuivre une chasse à l’homme, l’homme étant Julian Hirtmann, bien connu de tous les services de police et notamment de Martin, qui a partagé quelques moments avec lui. Julian a trouvé un adversaire à sa taille, un ami. De plus, maintenant, Julian et Martin ont quelque chose en commun et seul Julian connaît la vérité.

    Martin accompagné de Kirsten revient sur les lieux où tout a commencé, après quelques péripéties à Toulouse. En anglais, il va tout lui expliquer et ils vont remonter la trace de Julian qui a toujours un coup d’avance, afin de retrouver cet enfant, Gustav et par la même occasion, celle de son père. Martin n’en fera qu’à sa tête et multipliera les allers et retours. Ils seront en danger avec ce couple qui a la garde de Gustav et qui est à la botte de Julian. Mais Julian protège ce qu’il a de plus cher au monde et surtout il a besoin de Martin. Ce sera un face à face entre les deux hommes très intense. Julian manipule Martin à merveille mais ce dernier a du répondant. Il prendra toutes les mesures adéquates pour aller au bout de ce projet, même si cela met en danger sa carrière et sa vie.

    Une belle histoire de manipulation où la victime est malgré tout Martin Servaz. Il n’a pas de chance avec les femmes. Servaz est un être entier qui n’arrive pas à se confier. Il n’arrive pas, non plus, à exprimer son amour à ceux qu’il aime le plus. Il laisse sa fille avoir le dessus sur lui, la laisse exprimer ses griefs contre lui car il sait qu’il ne peut pas argumenter. Mais il suffirait d’un mot pour qu’elle prenne conscience qu’elle est tout pour son père, dont le principal but est de la protéger, car elle pourrait être en danger.

    Bernard Minier a détaillé de fond en comble l’expérience de mort imminente vécue par son héros. Pour avoir lu diverses choses sur le sujet, c’était tout à fait réaliste et cela lui a pris de nombreuses pages pour raconter cette histoire vécue par Martin et ensuite son retour au sein des vivants, profondément changé mais Martin n’en tient pas forcément compte.

    J’ai énormément apprécié le personnage de Julian, qui n’est plus un fantôme, mais un homme bien réel. Un manipulateur de première, certes, qui a une profonde admiration pour Martin, mais qui reste toujours cet homme très dangereux pour les uns et les autres, et en particulier pour les femmes. Est-ce que c’en est fini pour Julian ? Je ne le pense pas. Même enfermé, il arrivera toujours à ses fins.

    Bernard Minier ne nous laisse pas sur notre faim avec la fin de son roman. Le lecteur sait qu’il y aura une suite. L’auteur clôture parfaitement cette quatrième aventure. J’ai aimé cette lecture très prenante, très enrichissante, aux multiples rebondissements. L’auteur sait y faire pour distiller des pistes qui s’avèrent fausses et pour donner sa vérité à la fin. Les personnages sont complets, très travaillés, tout comme les décors et cette nuit toujours présente encore et toujours. Au fil des autres tomes, Martin aura une autre personne à protéger et surtout une femme à retrouver, malgré le scepticisme de son ami.

  • angelita 24 février 2024
    Nuit - Bernard Minier

    Nuit de Bernard Minier, présentation
    Elle est seule dans un wagon, en Norvège. Elle doit enquêter sur une femme retrouvée morte. Elle se fait accoster par une femme. Kristen est une femme pas sympa. Elle est froide, obsessionnelle, inflexible. Arrivée sur les lieux du crime, elle voit un papier qui porte son nom.

    L’enquête débute sur une plateforme balayée par la pluie et les vents violents.

    Avis Nuit de Bernard Minier
    Servaz#4

    Martin Servaz avec son collègue Espérandieu est sur la piste d’un violeur. Mais tout tourne mal, Servaz reçoit une balle qui l’envoie à l’hôpital entre la vie et la mort. Il sera indisponible pendant de nombreux mois avant de refaire son apparition au sein de son équipe. Mais tous trouvent que Servaz a changé. Il est plus solitaire et prend des décisions sans en informer son service, surtout lorsqu’arrive Kirsten Nigaard, une jeune femme de la police norvégienne, dépêchée pour les informer que le nom de Servaz, avec une photo d’un jeune garçon, Gustav, a été trouvé sur une plateforme dans la cabine d’un homme, suspecté d’avoir tué une femme. Va s’ensuivre une chasse à l’homme, l’homme étant Julian Hirtmann, bien connu de tous les services de police et notamment de Martin, qui a partagé quelques moments avec lui. Julian a trouvé un adversaire à sa taille, un ami. De plus, maintenant, Julian et Martin ont quelque chose en commun et seul Julian connaît la vérité.

    Martin accompagné de Kirsten revient sur les lieux où tout a commencé, après quelques péripéties à Toulouse. En anglais, il va tout lui expliquer et ils vont remonter la trace de Julian qui a toujours un coup d’avance, afin de retrouver cet enfant, Gustav et par la même occasion, celle de son père. Martin n’en fera qu’à sa tête et multipliera les allers et retours. Ils seront en danger avec ce couple qui a la garde de Gustav et qui est à la botte de Julian. Mais Julian protège ce qu’il a de plus cher au monde et surtout il a besoin de Martin. Ce sera un face à face entre les deux hommes très intense. Julian manipule Martin à merveille mais ce dernier a du répondant. Il prendra toutes les mesures adéquates pour aller au bout de ce projet, même si cela met en danger sa carrière et sa vie.

    Une belle histoire de manipulation où la victime est malgré tout Martin Servaz. Il n’a pas de chance avec les femmes. Servaz est un être entier qui n’arrive pas à se confier. Il n’arrive pas, non plus, à exprimer son amour à ceux qu’il aime le plus. Il laisse sa fille avoir le dessus sur lui, la laisse exprimer ses griefs contre lui car il sait qu’il ne peut pas argumenter. Mais il suffirait d’un mot pour qu’elle prenne conscience qu’elle est tout pour son père, dont le principal but est de la protéger, car elle pourrait être en danger.

    Bernard Minier a détaillé de fond en comble l’expérience de mort imminente vécue par son héros. Pour avoir lu diverses choses sur le sujet, c’était tout à fait réaliste et cela lui a pris de nombreuses pages pour raconter cette histoire vécue par Martin et ensuite son retour au sein des vivants, profondément changé mais Martin n’en tient pas forcément compte.

    J’ai énormément apprécié le personnage de Julian, qui n’est plus un fantôme, mais un homme bien réel. Un manipulateur de première, certes, qui a une profonde admiration pour Martin, mais qui reste toujours cet homme très dangereux pour les uns et les autres, et en particulier pour les femmes. Est-ce que c’en est fini pour Julian ? Je ne le pense pas. Même enfermé, il arrivera toujours à ses fins.

    Bernard Minier ne nous laisse pas sur notre faim avec la fin de son roman. Le lecteur sait qu’il y aura une suite. L’auteur clôture parfaitement cette quatrième aventure. J’ai aimé cette lecture très prenante, très enrichissante, aux multiples rebondissements. L’auteur sait y faire pour distiller des pistes qui s’avèrent fausses et pour donner sa vérité à la fin. Les personnages sont complets, très travaillés, tout comme les décors et cette nuit toujours présente encore et toujours. Au fil des autres tomes, Martin aura une autre personne à protéger et surtout une femme à retrouver, malgré le scepticisme de son ami.

  • les_lectures_de_m 9 septembre 2023
    Marathon du polar 2023, équipe LABRIGADEDESCINQ
    Nuit - Bernard Minier

    Je continue la découverte des oeuvres de l’auteur dans l’ordre. Nous voici donc avec "Nuit", une nouvelle enquête pour Servaz. Ici, on se retrouve en Norvège, sur un bateau pétrolier, au coeur d’une tempête. Le ton est donné dès les premières pages. Kirsten Nigaard enquête sur le meurtre d’une technicienne. Or, un des employés manque à l’appel. Très vite, on sait qu’il s’agit de Julian Hirtmann. Ce dernier a même laissé quelques photos derrière lui, dont celle d’un enfant : Gustav. L’inspectrice se retrouve donc à faire équipe avec Martin pour tenter de le débusquer.

    J’aime toujours autant Martin Servaz. Tome après tome, il est fidèle à lui-même. Là encore, l’enquête est palpitante, on a envie de tourner les pages pour savoir ce qu’il se passe. Pourtant, j’ai moins aimé ce tome, qui est trop centré sur Julian Hirtmann à mon goût. J’avoue avoir été aussi un peu perdue dans les différents enquêteurs à la fois français et norvégiens. Pour autant, j’ai hâte de continuer ma découverte car j’adore la plume de l’auteur.

  • ValG 29 juillet 2023
    Marathon du polar 2023, équipe CAMVAL
    Nuit - Bernard Minier

    Retour du commandant Martin Servaz, héros dépressif des romans de Bernard Minier. Mais cette fois, changement de décor : exit la ville rose et les montagnes pyrénéennes, tout commence en Norvège. Dans cette nouvelle enquête, aussi angoissante que passionnante, le flic toulousain sera aux prises avec un vieil ennemi, Julian Hirtmann.
    J’ai dévoré ce livre, le suspens est haletant, c’est pour çà que je l’ai noté 4 étoiles
    Par contre, j’ai été un peu déçue par les invraisemblances et les pouvoirs quasi surnaturels de Julian Hirtmann, et j’ai failli ne mettre que 3 étoiles

  • Kamiyu-chan 27 juillet 2023
    Marathon du polar 2023, équipe CAMVAL
    Nuit - Bernard Minier

    Lors d’une nuit de tempête, Kirsten, une inspectrice norvégienne, retrouve, par hasard semble-t-il, la piste du célèbre tueur en série Julian Hirtmann. Dans la cabine de ce dernier, de nombreuses photo de Martin Servaz, qui semble avoir été traqué et épié pendant des années. Autre mystère, la photo d’un enfant prénommé Gustav. Kirsten va devoir faire équipe avec un Martin Servaz à peine remis d’une expérience de mort imminente, et traquer Hirtmann en France.

    Comme à son habitude, Bernard Minier nous plonge dans un univers sombre, où la neige est omniprésente. L’intrigue semble classique au départ, avec un meurtrier inaccessible, un enfant caché, de la corruption… Néanmoins, les nombreux rebondissements et les personnages attachants rendent le récit très addictif. On a du mal à lâcher « Nuit », tant on a envie de connaître l’issue du bras de fer entre Servaz et Hirtmann. Parallèlement à cela, les personnages se débattent avec leurs propres démons. Le dénouement est brutal et prend la forme d’un piège qui se referme inexorablement. J’avoue que j’ai eu beaucoup de mal à lâcher ce thriller.

    Cependant, même si j’ai beaucoup aimé, je trouve « Nuit » un ton en dessous des autres romans de Bernard Minier. Julian Hirtmann est tellement puissant que cela en devient invraisemblable par moment. Il en devient presque une sorte de dieu maléfique, capable de tout. Ce côté invraisemblable et inhumain de Hirtmann m’a posé problème. L’auteur s’est éloigné du personnage de « Glacé » qui, bien qu’extrêmement habile et retord, restait un simple humain. C’est dommage car Bernard Minier n’a pas besoin « d’en faire trop » pour rendre passionnant ses romans. Certains rebondissements sont, pour moi, en trop tant ils sont « gros ».

    Pour conclure, j’ai longuement hésité à mettre 3 ou 4 étoiles. J’en mets finalement 4 pour le côté addictif de « Nuit » et parce que Bernard Minier reste un de mes auteurs préférés.

  • Johanna 30 janvier 2023
    Nuit - Bernard Minier

    Je poursuis les aventures de Martin Servaz, et malheureusement ce quatrième roman m’a bien moins emballée que les précédents !

    L’intrigue démarrait super bien : une plateforme pétrolière en Norvège et j’aurais aimé que l’histoire se poursuive dans cet univers clos et inquiétant, mais pour faire revenir Martin, il fallait s’en retourner près de Toulouse !

    On retrouve donc notre flic préféré mais il est, encore une fois, mal en point ! Il y a un moment où il reprend du poil de la bête ou comment ça se passe ? Parce que ça devient lassant...

    Et les problèmes arrivent parce qu’ensuite l’enquête n’a rien d’intéressant, en fait il n’y a même pas trop d’enquête, on comprend pas trop à quoi est payé Servaz dans ce tome-là.
    À part à se faire encore une fois embobiner mais c’est trop, on n’y croit plus et Martin passe du flic ultra perspicace et intuitif dans les 3 premiers tomes au dindon de la farce dans celui-là.

    Après, ça reste très prenant et je l’ai quand même dévoré mais c’est aussi que j’attendais un rebondissement, un bon gros twist final qui n’est pas venu.

    Bref, il m’en reste trois à découvrir, et j’en possède déjà un donc j’espère que les prochains vont remonter dans mon estime !

  • labibliodeclo 25 septembre 2020
    Nuit - Bernard Minier

    Cette fois-ci, c’est l’ennemi de Martin Servaz, Julien Hirtmann, qui devient l’intrigue principale, l’ultime intrigue. Une intrigue et une histoire compliquée, surprenante. Cette fois-ci, Servaz est vulnérable physiquement, psychologiquement : à peine remis d’un coma, le voilà de nouveau les traces de Hirtmann, avec la ferme intention d’avoir des réponses à ses questions : Marianne est-elle en vie ? Qui est cet enfant qui porte, comme par hasard, le prénom du compositeur autrichien favori de son ennemi ? Comment cette histoire va-t-elle (enfin) se finir ? La seule chose que je peux vous dire, c’est que le dénouement est dingue, bluffant. Enfin, les masques tombent, la vérité éclate, et même si cela peut paraitre invraisemblable, on y croit. Moi, j’y ai cru.

    J’ai vu et lu beaucoup d’avis mitigé sur Nuit : certains s’arrêtent au fait que c’est invraisemblable et de ce fait n’apprécie pas l’histoire, de mon côté, j’ai beaucoup aimé cette fin, cette fin si inattendue, se renversement de situation. Servaz et Hirtmann sont deux personnages que j’ai beaucoup apprécié, tout autant l’un que l’autre, et cette fin m’a donc quelque peu touchée. En ce qui me concerne, j’ai vraiment hâte de découvrir les prochaines aventures de Martin, et le déroulement de sa vie, changée.

  • lireencore93420 27 avril 2020
    Nuit - Bernard Minier

    Quatrième tome de la saga du Commandant Servaz, cela commence très fort, ou il pourchasse un suspect et il est touché au cœur et va tomber dans un coma un certain temps. Il reviendra différent, comme apparu de l’autre monde.
    Il va faire allier avec Kirsten pour essayer d’attraper enfin, Hirtmann, mais ça va être bien sûr plus compliqué que ça ne parait.
    Enormément de rebondissements, on a du mal à savoir ce qui est bien et mal, car justement au milieu de l’équation se trouve un enfant qui se prénomme Gustav, qui est son père ? Hirtmann ou Servaz ?
    C’est un volet assez addictif, ou l’intrique est rondement menée, ou il est impossible de deviner la fin.
    Le rapport entre Servaz et Hirtmann et aussi intéressant, on se demande qui est le bon et le mauvais, la personnalité de ce psychopathe est vraiment particulièrement complexe, je vous rassure ce n’est pas devenu un enfant de chœur, mais on découvre une humanité sous cet esprit torturé.
    J’ai adoré ce tome ou nos émotions sont mis à dure épreuve, au début j’ai eu très peur pour le personnage principal, ensuite l’intensité de l’action prends le pas et pour finir l’émotion pour ce petit enfant qui as demandé rien à personne.
    A la fin de ce récit, on se sent bouleversée, complétement chamboulée, heureusement je sais qu’il me reste un dernier livre de cette fabuleuse série, après il faudra attendre pour acheter le dernier volet.

  • lireencore93420 27 avril 2020
    Nuit - Bernard Minier

    Quatrième tome de la saga du Commandant Servaz, cela commence très fort, ou il pourchasse un suspect et il est touché au cœur et va tomber dans un coma un certain temps. Il reviendra différent, comme apparu de l’autre monde.

    Il va faire allier avec Kirsten pour essayer d’attraper enfin, Hirtmann, mais ça va être bien sûr plus compliqué que ça ne parait.
    Enormément de rebondissements, on a du mal à savoir ce qui est bien et mal, car justement au milieu de l’équation se trouve un enfant qui se prénomme Gustav, qui est son père ? Hirtmann ou Servaz ?
    C’est un volet assez addictif, ou l’intrique est rondement menée, ou il est impossible de deviner la fin.
    Le rapport entre Servaz et Hirtmann et aussi intéressant, on se demande qui est le bon et le mauvais, la personnalité de ce psychopathe est vraiment particulièrement complexe, je vous rassure ce n’est pas devenu un enfant de chœur, mais on découvre une humanité sous cet esprit torturé.
    J’ai adoré ce tome ou nos émotions sont mis à dure épreuve, au début j’ai eu très peur pour le personnage principal, ensuite l’intensité de l’action prends le pas et pour finir l’émotion pour ce petit enfant qui as demandé rien à personne.
    A la fin de ce récit, on se sent bouleversée, complétement chamboulée, heureusement je sais qu’il me reste un dernier livre de cette fabuleuse série, après il faudra attendre pour acheter le dernier volet.

  • jeanmid 24 avril 2020
    Nuit - Bernard Minier

    Dans son nouveau roman "Nuit" , on ne peut pas dire que Bernard Minier ait beaucoup épargné son héros , le Commandant de police Martin Servaz . Il est vrai qu’il faut beaucoup donner de soi-même , voire même se mettre en danger , pour lutter contre un criminel de l’envergure de Julian Hirtmann . Dans ce nouvel épisode de cette lutte fratricide que se mènent depuis de nombreuses années les deux protagonistes , Martin va pouvoir compter sur l’aide précieuse de la policière norvégienne Kirsten Nigaard qui a retrouvé la trace d’Hirtmann sur une plateforme pétrolière de la Mer du Nord et dans sa chambre la mystérieuse photo d’un jeune enfant , Gustav .
    Bernard Minier a l’art de nous harponner dès les premières lignes de ses romans avec ses rebondissements multiples , son lot d’actions qui s’enchaînent à vitesse grand V et ses personnages façonnés dans le roc ou qui gardent en eux une part d’ombre malfaisante . Au noir - de la nuit comme celui de certaines âmes - et au sang viennent s’ajouter le blanc des montagnes toujours aussi omniprésent dans les romans de l’auteur français . Un thriller qui tient ses promesses malgré peut être quelques longueurs qui cassent un peu le rythme du récit .

  • Clarmac 13 décembre 2018
    Nuit - Bernard Minier

    Je n’ai pas vraiment pris de plaisir à lire ce thriller.

    Une impression que le nombre de page aurait pu être divisé par 2 ;le rythme en aurait été multiplié d’autant.
    Les descriptions (qui pour moi tirent en longueur), n’ont pas créées dans mon imaginaire d’atmosphère ou d’ambiance, elles m’ont plutôt ennuyées.

    Tant pis, lecture suivante...

  • universpolars 24 novembre 2018
    Nuit - Bernard Minier

    Je ne vais pas vous présenter Bernard Minier. D’une part, il le fait très bien lui-même, par le biais de ses thrillers qui sont pour moi incontournables - du moins jusqu’à présent ! - et, d’autre part, je préfère vous parler de son roman et entrer dans le vif du sujet !

    Thrillers incontournables pour moi, c’est sûr, mais cela ne m’empêche pas d’être très objectif. Ici, je ne pourrai pas faire abstraction de quelques détails qui m’ont dérangé.

    "Nuit"... Une jolie couverture ! Avant d’ouvrir le roman, j’aperçois déjà un "personnage" dont j’ai fait mention dans chacune de mes chroniques : le décor. Dans l’univers de Minier, le décor joue le rôle d’un personnage à part entière. Ce décor, bien travaillé et fouillé, a la faculté de nous enfermer dans une sorte de huis-clos qui a la particularité paradoxale d’être en principe bien aéré !

    Et, bien évidemment, le Commandant Martin Servaz, du SRPJ de Toulouse, fait désormais partie de ce décor !

    Mais ce n’est pas lui qui aura l’honneur de nous introduire dans l’histoire, et nous ne démarrerons pas en France. Nous sommes dans un train de nuit, entre Oslo et Bergen, en Norvège. Nous voyageons avec un nouveau personnage, Kristen Nigaard, du service national d’investigations criminelles de Norvège. Cette femme se rend sur une scène de crime à Bergen, dans une église. La victime a été massacrée sur l’autel et un détail troublant, mettant en cause la flic, est présent sur la scène de crime.

    Dès le départ, nous sommes confrontés à mon fameux personnage. Un décor froid, humide, sombre et maussade. La nuit est omniprésente, le noir est notre seule lumière. Il ne faudra pas trop compter sur une éventuelle éclaircie, en tout cas pas au niveau des faits.

    L’enquête sur le meurtre de l’église va nous conduire sur une plateforme pétrolière, en pleine mer du Nord. La tempête nous poursuit et la pluie, encore, ne nous lâche plus ; une eau glaciale nous fouette le visage en permanence. Et puis, d’une manière assez surprenante, le Commandant Martin Servaz fait enfin son entrée, dans un sale état.

    Un lien est désormais tiré entre Martin Servaz, Kristen Nigaard et un autre personnage que je m’attendais évidemment à revoir, Julian Hirtmann, ancien Procureur suisse, tueur en série redoutablement intelligent. Un autre lien va être mis en avant, un cadeau empoisonné, une présence autant redoutable qu’innocente. Je vous laisserai le découvrir par vous-même.

    Nous allons progresser en suivant les traces fraiches de ce tueur en série, nous allons constamment cheminer à l’ombre de cet homme totalement imprévisible, nous allons avancer vers lui - ou l’inverse ! -, au côté de Martin Servaz, tout en regardant derrière nous, tout en observant le passé. Un passé que le Commandant de police tentait difficilement d’oublier.

    L’auteur va très loin dans les descriptions, que cela soit pour les lieux, les événements ou encore pour les ressentis. C’est tout à son honneur, mais c’est tout à fait pesant, parfois. Le rythme, qui est le moteur d’un thriller, m’a paru quelques fois cassé, désordonné. Bernard Minier, généreux, nous donne beaucoup d’informations complémentaires, à savoir - comme je l’ai dit avant - beaucoup de renseignements descriptifs. C’est important mais, pour moi, c’est un peu trop.

    Les personnages, encore une fois, sont impeccablement décrits ! Aussi, la manière qu’utilise l’auteur pour nous amener les éléments d’enquête est également subtile, maîtrisée, et nous permet ainsi de garder une bonne pression dans les veines.

    Bernard Minier nous mène au centre de cette enquête avec habileté. Briefing, présentation de l’état de la situation, rappel des faits antérieurs ou encore directions de l’enquête : le lecteur vit, en live, le déroulement de cette énigme criminelle.

    Pas mal d’embûches, - pièges ? - s’élèveront devant les enquêteurs, en particulier devant Servaz, évidemment. L’auteur n’a pas trop de mal à nous tenir en haleine, malgré les quelques longueurs dont j’ai fait mention. Je dois reconnaître qu’en cours de route, j’avais vraiment besoin de savoir qui était en train de placer ces nombreuses barrières à travers les chemins enneigés empruntés par ce flic assez tourmenté !

    Bernard Minier aime nous faire languir, sans se presser, tout en plaçant sa trame, tranquillement, dans ce décor hivernal. Il nous fera peut-être même douter sur un personnage droit, juste et intègre. Et, au final, davantage de doutes vont s’ajouter vis à vis d’autres protagonistes de ce thriller, bien que j’aie assez rapidement vu venir certaines choses.

    Proche du dénouement, l’auteur va accélérer la cadence, tout en imbriquant de nombreux rebondissements. La neige tombe toujours à la même vitesse, la pluie atteint le sol sans se précipiter davantage, le vent reste identique, fort et puissant, mais les évènements, eux, prennent de la vitesse et de l’ampleur !

    Bernard Minier place un point à la fin de son histoire, mais cela ne sera pas un point final. En fermant ce livre, nous savons pertinemment que nous ne clôturons pas l’histoire impliquant Martin Servaz.

    Un bon millésime, malgré ces quelques longueurs !

    Bonne lecture.

  • QuoiLire 6 juillet 2017
    Nuit - Bernard Minier

    Il y a des auteurs qui malmènent leur héros et qui les usent jusqu’à la corde. Tout comme Jo Nesbo avec Harry Hole, Bernard Minier n’épargne pas Martin Servza dans nuit. Il bât même un record de vitesse quant à le mettre quelques sur la touche dès le quatrième tome.

    Un point positif au crédit de Bernard Minier est l’évolution de son personnage. Loin de le cantonner dans une routine et un fonctionnement prédéfini, dans Nuit, l’auteur fait évoluer la psychologie de son héros : plus sombre, plus solitaire au point de délaisser son équipe. Cependant, et cette fois-ci gros point négatif à l’auteur, dans ce roman, en rendant Martin Servaz plus solitaire, il ne compense pas le délaissement de son équipe. S’il l’affuble d’une collègue suédoise, celle-ci est totalement insipide par rapport aux membres de son équipes hauts en couleurs, et n’apporte que peu de chose à l’histoire.

    Pour ce qui est de l’histoire, il n’y a pas vraiment de surprise, elle est plutôt linéaire, et les effets de dernières pages sont assez convenus. Cette fois, l’auteur ne nous sommet pas une intrigue dont il faut trouver la solution, mais un thriller, un histoire noire, dont nous sommes pris à témoin.... sans doute un héritage de son précédent roman Une putain d’histoire.

    En dehors de cela, ce roman policier est agréable à lire, l’auteur installe une belle ambiance et varie le rythme de son roman au fil des pages. L’écriture est toujours aussi fluide et les références musicales ne se limitent plus à Mähler qui rencontre peu d’amateurs dans son lectorat.
    (https://quoilire.wordpress.com/2017/04/10/bernard-minier-nuit/)

  • l-tamisier 15 mai 2017
    Nuit - Bernard Minier

    Dans ce roman pas de mise en condition, l’auteur nous fait plonger directement dans son univers, un univers glacé. Pour cela nous suivons l’enquêtrice Kristen Nigaard de la police norvégienne en direction d’une plateforme pétrolière. Rien que l’ambiance : pluie, nuit, froid, pleine mer, loin de tout… nous permet de reconnaitre la patte de Bernard Minier. Ce déplacement ne sera pas sans conséquence pour notre commandant préféré. Car le suspect de l’enquête de Kristen n’est autre qu’une vieille connaissance : Julian Hirtmann. Ce tueur acharné, et tout aussi érudit que Martin Servaz, est semble-t-il bien en vie, et apparemment sur les traces de notre commandant. Parmi les clichés de Martin visiblement pris par Hirtmann, se trouve la photo d’un enfant, prénommé Gustav. Qui est-il ? Ils sont nombreux à vouloir le savoir.

    On retrouve Martin à Toulouse, sur son secteur en compagnie de son équipe et notamment son adjoint, et ami, Espérandieu. Ensemble ils mènent une investigation sur des viols commis sur des joggeuses. Je ne vous en dirais pas plus pour ne pas vous spoiler le roman, mais tout ce que je puis dire c’est que Bernard Minier ne va pas gâter son héros, loin de là, il va le malmener dans le corps et dans l’âme.

    Le retour du duo Servaz / Hirtmann

    C’est un pari risqué que de renouer avec un duo flic / tueur en série (qui n’est plus censé être). En tout cas pari réussi pour notre plus grande satisfaction.

    Quel plaisir donc de retrouver le commandant Martin Servaz. Certes quelques années ont passé mais il est toujours le même, pas geek pour un sou et toujours aussi érudit. Peut-être encore moins à l’écoute des conseils de son entourage que dans ses précédentes apparitions. On connait le personnage, lettré et tourmenté, mais avant tout un excellent flic. On pensait avoir cerné sa personnalité, et bien non, Bernard Minier nous fait découvrir une autre facette de cet homme. Un aspect plus confident, en prise avec ses sentiments de père vis à vis de sa relation avec sa fille Margot. Et pour cela quelle bonne idée que de faire resurgir un Julian Hirtmann tout aussi manipulateur et cruel afin de reformer le binôme avec Martin et de laisser ce dernier dévoiler un pan de son moi profond .

    Le lecteur va apprécier le jeu de piste auquel vont se prêter avec délectation l’un et avec souffrance l’autre. Un jeu de piste asphyxiant qui nous fera voyager dans les tréfonds de l’âme humaine, où l’image projetée par certains se trouve à l’opposé de leur vraie personnalité. Dans ce roman Martin fait équipe avec Kristen, la flic norvégienne, froide et saisissante de self-control, elle n’en reste pas moins une femme captivante, qui suscite une question chez Servaz : quel est le but de Hirtmann à les réunir sur cette enquête ?

    Ce roman accroche le lecteur dès les premiers pages, ne le laisse reprendre sa respiration qu’une fois le livre terminé. Une lecture sous apnée et angoisse complète dirigée de main de maître par Bernard Minier avec en fond les notes de Malher omniprésent. Frissons garantis !

    « Le train rouge jaillit du tunnel noir, telle la langue d’une bouche dans le paysage de glace. Bleu ardoise de la nuit, noir opaque du tunnel, blanc bleuâtre de la neige et gris légèrement plus sombre de la glace. Et puis, soudain, ce trait rouge vif – pareil à une trainée de sang qui vint couler jusqu’au bord du quai. »

    Le style

    Une nouvelle fois Bernard Minier réussit à créer une atmosphère particulièrement oppressante et captivante. La qualité des descriptions des décors, de lieux atypiques :train de nuit en Norvège, plateforme pétrolière, chalet de haute montagne, forêt glacée…. entraînent le lecteur dans les profondeurs du roman. Et puis il y a les personnages, Bernard Minier donne vie à ces derniers au point que leurs voix résonnent en nous une fois le livre fermé. Ils ont une intensité palpable et on sent leur présence à nos côtés au fil des mots. Le travail effectué par l’auteur sur les protagonistes permet d’associé le lecteur au cheminement de l’intrigue. Bernard Minier n’hésite pas à voyager pour travailler ses décors et ambiance, le train de nuit entre Oslo-Bergen il l’a prit, se privant des paysages pour se consacrer à l’ambiance nocturne et parfois angoissante qui règne dans les wagons. Au passage lors de l’interview – dont vous aurez bientôt connaissance – il m’a confié avoir longuement discuter avec le personnel du wagon bar non pas de Malher, mais de rock 😉

    Mon petit point positif :

    Une lecture très prenante dans laquelle on découvre Servaz encore plus intimement, plus paternel que jamais.

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