- Auteur : Nicolas Beuglet
- Editeurs : Pocket, XO Éditions, Éditions Des Falaises
- Date de sortie : 19 septembre 2019
- Sortie poche : 3 septembre 2020
- ISBN : 2266307592
- EAN : 9782266307598
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Résumé :
Le corps recouvert d’une étrange poudre blanche...
Des extrémités gangrenées...
Un visage figé dans un rictus de douleur...
En observant le cadavre de son père, Sarah Geringën est saisie d’épouvante. Et quand le médecin légiste lui tend la clé retrouvée au fond de son estomac, l’effroi la paralyse.
Et si son père n’était pas l’homme qu’il prétendait être ?
Des forêts obscures de Norvège aux plaines glaciales de Sibérie, l’ex-inspectrice des forces spéciales s’apprête à affronter un SECRET de famille terrifiant.
Que découvrira-t-elle dans ce vieux manoir perdu dans les bois ? Osera-t-elle se rendre jusqu’à l’île du Diable ?
Aude Bouquine 1er juillet 2024
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Attention : cette chronique peut contenir des spoils pour qui n’aurait pas lu « Le cri » et « Complot ». « L’île du diable » est la suite des deux opus mentionnés ci-dessus où le lecteur retrouve l’enquêtrice Sarah Geringën que nous avions quittée en très fâcheuse posture dans « Complot ». le roman s’ouvre par un résumé succinct, mais bien pensé des deux romans évoqués plus haut. Merci à Nicolas Beuglet et aux éditions XO pour cette initiative que je trouve très à propos lorsque le lecteur doit attendre presque 1 an pour découvrir une suite. Dans le chapitre 1, nous retrouvons donc Sarah en prison, enfermée depuis une année pour son implication dans l’affaire du Vatican. Sa libération va l’emmener dans la demeure de son père où le corps de ce dernier a été retrouvé sans vie couvert d’une mystérieuse poudre blanche. Lors de l’autopsie, une clé sera retrouvée dans son estomac. Commence alors une enquête qui va obliger Sarah à découvrir la face cachée de ce père qu’elle pensait si bien connaître. Traversant les forêts de Norvège, puis les territoires hostiles de Sibérie, Sarah devra affronter de terribles secrets de famille.
Ce que j’avais beaucoup aimé dans les deux romans précédents de Nicolas Beuglet c’est la mise en lumière de la force mentale de son héroïne Sarah. Cette femme, froide, forte, brillante, que rien ne semblait pouvoir arrêter, expérimentée et talentueuse dans son métier, faisait de ce portrait de femme un personnage qui suscitait l’admiration, dans les moments où, nous lectrices, traversions des instants de nos vies qui auraient nécessité qu’on en prenne un peu de la graine. Dans « L’île du diable », Sarah est considérablement affaiblie par son emprisonnement, mais c’est surtout psychologiquement qu’elle a morflé. Dans tout le roman, Sarah va rester l’ombre de Sarah. La femme déterminée et volontaire n’existe plus, le lecteur ne sait plus bien qui est cet être dont il suit la route. Je n’ai pas adhéré à ce considérable changement de personnalité. Je n’ai pas aimé ce que l’auteur a fait de son personnage phare (même si je peux entendre que c’est son droit le plus strict). Je n’ai pas supporté les faiblesses de cette femme qui a été un modèle (le lecteur est cruel), encore moins ses tendances aux jérémiades auxquelles elle ne nous avait pas habitués. Les descriptions de ses états de panique, qui sont toutefois compréhensibles (je ne suis pas sans coeur) ne correspondent pas à son portrait initial. J’ai eu l’impression que Nicolas Beuglet avait totalement perdu son pouvoir et qu’elle lui avait totalement échappé.
De cela découle une impression de lassitude qui a suinté dans toutes les pages, comme si l’auteur avait eu un couteau sous la gorge, obligé d’écrire un troisième volet qu’il n’avait pas vraiment souhaité. J’ai ressenti une terrible apathie et un manque considérable d’enthousiasme. J’ose aller plus loin, et cette remarque ne reflète que mon sentiment : Nicolas Beuglet a-t-il eu envie de rédiger ce troisième opus et surtout y a-t-il pris du plaisir ? Personnellement, je n’ai pas retrouvé sa plume ni sa flamme. J’ai même envie de dire qu’il manque une centaine de pages pour que les émotions passent et que la force de l’intrigue portée par de terrifiantes découvertes scientifiques prennent le pas sur une écriture que j’ai trouvée léthargique.
Nous sommes dans une intrigue policière et comme dans toute intrigue de ce type, le « méchant » revêt toujours une importance particulière, tant dans sa personnalité que dans son mobile à faire les choses. Cette personne que je ne nommerais pas a le charisme d’une moule, fadasse à souhait, et sans envergure. Si « La vengeance est euphorisante, source de puissance, de vie. le pardon, c’est l’enterrement de notre amour-propre, c’est la soumission. Et aucun humain sain ne veut vivre soumis. », ce méchant-là n’a pas assez de personnalité pour la laisser transparaître.
Si l’intrigue possède les twists nécessaires à ce genre d’exercice, chapitre 26 et chapitre 36, cela n’aura pas suffi pour faire de cette lecture un moment agréable qui vous transporte hors du temps. Les notions scientifiques abordées sont intéressantes, mais sont noyées dans cette sensation d’ennui, de flegme, et cette forme de détachement de l’auteur à conter une histoire à laquelle je n’ai pas cru, servie par des personnages étroits et sans éclat. Je ne suis pas parvenue à m’immerger dans cette histoire dont la genèse naît d’une histoire réelle et j’en suis la première affligée.
Je pose ici la question des héros récurrents et les suites données lorsque l’on souhaite maintenir un terreau connu pour les lecteurs. Est-ce nécessaire ? En a-t-on forcément envie ? le faut-il à tout prix ? Nicolas Beuglet est un auteur de talent qui avait su m’emporter à deux reprises, mais sur ce roman précisément, force est de constater que nous sommes très loin de ce qu’il m’avait l’habitué à me proposer. Cela n’engage en rien mon désir de continuer à le suivre et l’espérance que le suivant sera à la hauteur de mes attentes.
Aude Bouquine 1er juillet 2024
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Attention : cette chronique peut contenir des spoils pour qui n’aurait pas lu « Le cri » et « Complot ». « L’île du diable » est la suite des deux opus mentionnés ci-dessus où le lecteur retrouve l’enquêtrice Sarah Geringën que nous avions quittée en très fâcheuse posture dans « Complot ». le roman s’ouvre par un résumé succinct, mais bien pensé des deux romans évoqués plus haut. Merci à Nicolas Beuglet et aux éditions XO pour cette initiative que je trouve très à propos lorsque le lecteur doit attendre presque 1 an pour découvrir une suite. Dans le chapitre 1, nous retrouvons donc Sarah en prison, enfermée depuis une année pour son implication dans l’affaire du Vatican. Sa libération va l’emmener dans la demeure de son père où le corps de ce dernier a été retrouvé sans vie couvert d’une mystérieuse poudre blanche. Lors de l’autopsie, une clé sera retrouvée dans son estomac. Commence alors une enquête qui va obliger Sarah à découvrir la face cachée de ce père qu’elle pensait si bien connaître. Traversant les forêts de Norvège, puis les territoires hostiles de Sibérie, Sarah devra affronter de terribles secrets de famille.
Ce que j’avais beaucoup aimé dans les deux romans précédents de Nicolas Beuglet c’est la mise en lumière de la force mentale de son héroïne Sarah. Cette femme, froide, forte, brillante, que rien ne semblait pouvoir arrêter, expérimentée et talentueuse dans son métier, faisait de ce portrait de femme un personnage qui suscitait l’admiration, dans les moments où, nous lectrices, traversions des instants de nos vies qui auraient nécessité qu’on en prenne un peu de la graine. Dans « L’île du diable », Sarah est considérablement affaiblie par son emprisonnement, mais c’est surtout psychologiquement qu’elle a morflé. Dans tout le roman, Sarah va rester l’ombre de Sarah. La femme déterminée et volontaire n’existe plus, le lecteur ne sait plus bien qui est cet être dont il suit la route. Je n’ai pas adhéré à ce considérable changement de personnalité. Je n’ai pas aimé ce que l’auteur a fait de son personnage phare (même si je peux entendre que c’est son droit le plus strict). Je n’ai pas supporté les faiblesses de cette femme qui a été un modèle (le lecteur est cruel), encore moins ses tendances aux jérémiades auxquelles elle ne nous avait pas habitués. Les descriptions de ses états de panique, qui sont toutefois compréhensibles (je ne suis pas sans coeur) ne correspondent pas à son portrait initial. J’ai eu l’impression que Nicolas Beuglet avait totalement perdu son pouvoir et qu’elle lui avait totalement échappé.
De cela découle une impression de lassitude qui a suinté dans toutes les pages, comme si l’auteur avait eu un couteau sous la gorge, obligé d’écrire un troisième volet qu’il n’avait pas vraiment souhaité. J’ai ressenti une terrible apathie et un manque considérable d’enthousiasme. J’ose aller plus loin, et cette remarque ne reflète que mon sentiment : Nicolas Beuglet a-t-il eu envie de rédiger ce troisième opus et surtout y a-t-il pris du plaisir ? Personnellement, je n’ai pas retrouvé sa plume ni sa flamme. J’ai même envie de dire qu’il manque une centaine de pages pour que les émotions passent et que la force de l’intrigue portée par de terrifiantes découvertes scientifiques prennent le pas sur une écriture que j’ai trouvée léthargique.
Nous sommes dans une intrigue policière et comme dans toute intrigue de ce type, le « méchant » revêt toujours une importance particulière, tant dans sa personnalité que dans son mobile à faire les choses. Cette personne que je ne nommerais pas a le charisme d’une moule, fadasse à souhait, et sans envergure. Si « La vengeance est euphorisante, source de puissance, de vie. le pardon, c’est l’enterrement de notre amour-propre, c’est la soumission. Et aucun humain sain ne veut vivre soumis. », ce méchant-là n’a pas assez de personnalité pour la laisser transparaître.
Si l’intrigue possède les twists nécessaires à ce genre d’exercice, chapitre 26 et chapitre 36, cela n’aura pas suffi pour faire de cette lecture un moment agréable qui vous transporte hors du temps. Les notions scientifiques abordées sont intéressantes, mais sont noyées dans cette sensation d’ennui, de flegme, et cette forme de détachement de l’auteur à conter une histoire à laquelle je n’ai pas cru, servie par des personnages étroits et sans éclat. Je ne suis pas parvenue à m’immerger dans cette histoire dont la genèse naît d’une histoire réelle et j’en suis la première affligée.
Je pose ici la question des héros récurrents et les suites données lorsque l’on souhaite maintenir un terreau connu pour les lecteurs. Est-ce nécessaire ? En a-t-on forcément envie ? le faut-il à tout prix ? Nicolas Beuglet est un auteur de talent qui avait su m’emporter à deux reprises, mais sur ce roman précisément, force est de constater que nous sommes très loin de ce qu’il m’avait l’habitué à me proposer. Cela n’engage en rien mon désir de continuer à le suivre et l’espérance que le suivant sera à la hauteur de mes attentes.
Nouchkette.lit.en.chaussettes 6 juin 2024
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Ce troisième tome que je découvre enfin (après avoir découvert que j’avais commencé par la mauvaise trilogie 😅) est très addictif. Bien qu’il s’agisse encore d’une enquête extraordinaire (il fait avouer que l’enquêtrice est lumite surhumaine à se débrouiller toute seule dans des enquêtes de si gra de ampleur), j’ai réussi à me plonger facilement dans cette nouvelle enquête qui mêle la science au thriller.
J’aime beaucoup le fait que l’auteur sache nous intéresser à des faits scientifiques par ses enquêtes. C’est très imprévisible et très addictif. Ce troisième tome réserve de nombreuses surprises. Même si la science est un élément important de l’histoire c’est amené de manière très simple pour ne pas nous noyer sous trop de technique.
Cette fin me donne envie de lire encore plus rapidement l’archipel des oubliés qui va faire se rencontrer les deux enquêtrices des deux trilogies.
C’est fluide, agréable, bien qu’un peu capillotracté mais ce que je retiendrai c’est que c’est très divertissant. J’ai passé un très bon moment m.
En bref, un troisième tome très addictif.« »
lemurmuredesameslivres 28 décembre 2023
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Dans ce dernier volet de la saga Geringën, Sarah apprend que son père a été assassiné et met tout en œuvre pour en découvrir la raison. Accompagnée par Adrian Koll, un jeune officier prometteur, elle va remonter la piste de ses origines paternelles, persuadée que la cause du mal-être de son père est enfouie dans ce passé tourmenté. Mais, ce qu’elle va apprendre va bousculer toutes ses convictions.
Comme les précédents, ce roman est dynamique, incroyablement bien mené et addictif. La pauvre Sarah en prend décidément pour son grade. Personnage tourmenté, elle a souvent la malchance de se retrouver dans des enquêtes ou des situations toutes plus surprenantes les unes que les autres. Mais, ce qui est plus inquiétant, c’est que derrière la couche fictive des romans de Nicolas Beuglet se cache souvent un fait réel, qui sert de source d’inspiration. Et celui-ci est glaçant.
Dans cette enquête, rien n’est laissé au hasard, et chaque indice semé par l’auteur a son importance. Ce qui est passionnant dans ses romans, c’est le mobile, l’origine de tout cet acharnement. Et là, rien ne sert de se torturer l’esprit, il faut se laisser prendre par l’histoire, et savourer chaque chapitre pour apprécier toute la splendeur du final.
Nicolas Beuglet est pour moi une valeur sûre dans la littérature policière française. Avec "L’île du diable", n’espérez pas un thriller reposant, mais attendez-vous plutôt à de l’action, du suspense et des rebondissements !
Alaubeellelit 29 octobre 2023
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Sarah Geringen sort de prison à la suite de son acquittement mais doit enquêter sur le meurtre de son père.
’ai beaucoup aimé le début. C’est rythmé, c’est recherché.
Il y a le début de l’enquête qui me plait. Une fois que la piste semble la bonne, je trouve que l’histoire perd son attrait. Ça devient trop gros, peu vraisemblable.
Je ressens la même chose que quand j’ai lu "Le cri". Ça part trop dans l’excès.
Ça se lit bien mais ce n’est pas fou.
spirale_livresque 23 octobre 2023
L’île du diable - Nicolas Beuglet
J’ai bien aimé ce roman bien que je l’ai trouvé trop court à mon goût, mais il fait tout de même 305 pages. J’ai beaucoup aimé retrouver Sara pour ce troisième tome de saga, cette fois-ci elle doit enquêter hors des radars car la victime n’est autre que son père, cela va donner de nombreuses situations compliquées pour notre héroïne. On continue de la suivre également sur le côté perso et notamment sur sa relation avec Christopher. L’intrigue inspirée de faits réels rend également la lecture intéressante, j’ai appris pas mal de choses. Si je devais donner un bémol, j’aurais aimé un peu plus de pages pour développer, j’ai parfois trouvé certaines actions un peu rapides.
Cyvan Lblc 24 août 2023
Marathon du polar 2023, équipe LESLOUVESDUSANCY
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Nicolas Beuglet, le roi du "thriller" français, nous propose ici un thriller haletant, servi par une écriture sans concessions, rebondissements, et dénouement imprévisible… l’auteur nous épate avec ce nouvel opus terriblement addictif. Il y a eu Le Cri, puis Complot, voici L’Île du Diable, troisième opus bouleversant mais inoubliable de la saga de Nicolas Beuglet qui manie à merveille l’art de mêler fiction et réalité historique. Il clôt ici de façon magistrale sa trilogie autour de Sarah Geringën. Un thriller parfaitement cousu, oppressant, une plongée bouleversante dans le réel.
Il faut lire tout de suite cette histoire de vengeance. Un régal frissonnant. Secret de famille, histoire et épigénétique, ce thriller est à glacer les sangs
Nicolas Beuglet fait partie de ces auteurs qui nous prend par la main, on ne le lâche plus, comme hypnotisé par l’action continue.
Après Le cri et Complot, Nicolas Beuglet nous livre un thriller glaçant, exhumant des profondeurs de l’histoire un événement aussi effrayant que méconnu. Il nous confronte à une question vertigineuse : quelle part de nos ancêtres vit en nous, pour le meilleur et pour le pire ?
L’Île du Diable, commence là où nous avions laissé notre héroïne, l’inspectrice Sarah Geringën, dans Complot : en très mauvaise posture, au fond d’une prison… Que faisait-elle derrière les barreaux ?
Derrière les barreaux, Sarah paie pour cette audace et ce jusqu’auboutisme qui la caractérisent. Dans le métier, elle est reconnue pour être une inspectrice froide, taiseuse, mais d’une efficacité redoutable qui la place parmi les meilleurs de son pays. C’est pour cette raison que le gouvernement avait fait appel à elle pour retrouver l’assassin de la Première ministre dans Complot. Mais au moment le plus intense de son enquête, Sarah a causé la mort d’un innocent qu’elle voulait sauver. Les circonstances de l’événement étant floues, elle est incarcérée le temps de l’enquête, rongée par les remords et sa rupture avec l’amour de sa vie.
Basé sur des faits historiques réels, ce livre est aussi captivant qu’effrayant. J’ai ponctué ma lecture de "What ?!?", ”Non mais what ?!?’”
A la croisée des livres 13 avril 2023
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Troisième enquête de l’inspectrice Sarah Geringën que l’on retrouve dans une situation assez compliquée, suite aux évènements du tome précédant.
Elle se retrouve à enquêter officieusement, accompagnée d’une équipe plus ou moins performante, qui va la mener jusqu’en Russie.
Elle va y découvrir de sombres secrets historiques ainsi qu’une étonnante histoire personnelle.
Et c’est justement cet aspect personnel qui m’a beaucoup plu dans cette histoire, surtout que sans le faire exprès, je m’étais beaucoup documentée sur l’un des sujets du roman il y a quelques mois (via des podcasts et des comptes instagram).
Comme d’habitude avec l’auteur, la partie historique est basée sur des faits réels ce qui la rend extrêmement intéressante. Cela me fait toujours m’interroger sur ce que j’aurai fait à leur place.
Pour reprendre les paroles d’une célèbre chanson : "Aurais-je été meilleure ou pire que ces gens ?"
Bref, ça fait réfléchir et c’est ce que j’apprécie avec l’auteur !
spitfire89 2 avril 2023
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Sarah ex inspectrice des forces spéciale observe le corps inanimé de son père qui présente sur le corps une poudre blanche et des traces de gangrène aux extrémité, une expression en rictus de douleur. Le légiste va faire une étrange découverte la présence d’une clef dans l’estomac de la victime.
Est l’homme qu’elle croyait connaitre sur cette table d’autopsie ? Quelle secret familiale se cache dans cette mort ? Qu’est ce que Sarah va trouver sur l’île du Diable et en particulier dans le manoir au milieu de la forêt.
Sarah va être bouleversée par ses découvertes, par la personnalité complexe de ce père inaccessible. On part dans une enquête qui nous mènera jusqu’à Moscou. Alors que Sarah ne peut enquêter de manière officielle depuis son arrestation, elle va mener l’enquête de manière officieuse.
Extrait :
Sarah commençait à comprendre qu’elle allait devoir accepter une hypothèse qu’elle avait refusé d’envisager depuis le début. Car elle ne voyait qu’une explication à ce meurtre. Une explication tout aussi effrayante que le visage déformé du cadavre : son père n’était pas celui qu’il prétendait être.
Isabelle MAURETTE 2 février 2023
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Le résumé des livres précédents est une bonne chose, ça permet de débuter la lecture en n’essayant pas de se rappeler les faits antérieurs.
Impression plus que mitigée sur ce 3ème volet avec l’enquêtrice Sarah Geringën. J’ai lu ce livre d’une traite, il a été difficile à poser et en même temps il se lit très vite ! Tout est très rapide en fait !
Ce que j’appellerais la première partie a permis de découvrir les failles et les faiblesses de Sarah ainsi que ses rapports avec sa famille, l’intrigue étant l’assassinat de son père. J’ai bien aimé la découvrir autrement que toujours forte et efficace, après tout les faiblesses sont humaines et une héroïne de polar ne déroge pas à la règle.
J’ai trouvé la seconde partie tirée par les cheveux et la vérité absurde ; le reste totalement décousu et invraisemblable ! Mon intérêt et mon engouement sont tombés d’un coup dès leur arrivée sur l’île du diable. J’ai fini de le lire juste pour savoir s’il y aurait une fin qui permettrait d’avoir d’autres livres avec cette enquêtrice.
Ce livre est loin d’être d’aussi bonne qualité que les précédents, il donne l’impression d’avoir été écrit pour faire une suite et c’est décevant !
Tiffany ST 31 janvier 2023
L’île du diable - Nicolas Beuglet
À peine le temps de respirer entre les scènes, les actions mamamia !
Le roman démarre au quart de tour et est tourné autour de la mort du père de l’inspectrice, assassiné sauvagement et dont l’auteur semble avoir laissé quelques indices aussi intéressants que surprenants. C’est alors qu’une enquête est menée avec des indices beaucoup trop faciles mais toutefois, le suspens nous attend au tournant. À couper le souffle !
moons 9 avril 2022
L’île du diable - Nicolas Beuglet
J’avais adoré « Le cri », j’avais bien aimé « Complot », me voilà moins convaincue par ce troisième volet.
Pour la troisième fois on retrouve Sarah Geringën, on l’avait laissée à la fin de « Complot » emprisonnée pour un crime.
Nous sommes donc un an plus tard, la justice décide enfin de la libérer.
La voilà sortie plus tôt que prévu par son ancien chef, le père de Sarah a été retrouvé assassiné chez lui, une mort bien étrange qui plus est, son corps est retrouvé entouré d’une poudre blanche et ses doigts ont subi la torture.
Ne pouvant enquêter elle-même, c’est assisté de jeunes officiers qu’elle va mener l’affaire.
Quels secrets cache ce père distant, froid et réservé ?
Elle va donc remonter dans le passé de son père et notamment ses origines.
En parallèle, une enquête concernant la mort d’un enfant, dont elle est accusée, refait surface, une enquête sur laquelle va travailler Christopher.
Nicolas Beuglet s’inspire d’un fait réel, la déportation massive en 1933 en URSS de 6000 personnes (vagabonds, sans papiers, délinquants,…) sur la petite île de Nazino, plus de 4000 déportés y trouveront la mort. Abandonnés avec seulement de la farine pour nourriture et leurs seuls vêtements qu’ils portaient lors de leur arrestation.
Les déportés les plus faibles furent victimes d’actes de cannibalismes.
Mon avis est un peu mitigé.
Le suspens est relativement présent, et je ne m’attendais pas à ce dénouement, qui est en soit inimaginable.
Ce qui me « gêne » un peu c’est que le personnage de Sarah perd de sa vivacité et de son mordant, bon avec les épreuves qu’elle a traversé, ça peut s’expliquer, mais c’est justement ce qui faisait tout le charme de cette inspectrice.
Les chapitres sont courts et donnent un rythme soutenu au livre. J’ai trouvé ce thriller de moins bonne qualité que les deux précédents, et la fin est un peu rapide, on a l’impression qu’il été un peu bâclé.
jelistulis.nousaimons 5 avril 2022
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Nous retrouvons ici Sarah Geringen pour une troisième enquête de loin la plus pénible et la plus douloureuse de sa vie : le meurtre de son père.
Entre secret et trahison, Sarah se verra une fois encore malmenée par cette enquête qui la mènera à découvrir un passé familial lourd et inconcevable au coeur de la Sibérie.
En parallèle, nous retrouverons Christopher qui de son côté, tentera de disculper celle qu’il aime d’un terrible crime qu’elle n’a pas commis.
Bref, une fois encore, nous retenons notre souffle tout au long du récit, je ne m’attendais pas du tout à cette dimension. J’ai découvert une histoire terrible que je ne connaissais pas du tout, et l’auteur a su retranscrire avec brio l’horreur de ce qui s’est déroulé sur Nazino, l’île aux cannibales, l’Ile du Diable. Les amis, il faut parfois avoir le coeur accroché, personnellement je ne chercherais pas plus d’informations sur cette histoire car je ne suis pas assez forte pour ça, mais cela reste quelque chose qui doit être connu malgré tout.
Pour finir, j’ai adoré découvrir cette saga et les enquêtes de Sarah qui est un personnage fort et attachant, sa perspicacité et son flegme me manqueront. Une chose est sure, je lirais d’autres ouvrages de cet auteur avec plaisir.
Les Vies Denses 14 mars 2022
L’île du diable - Nicolas Beuglet
. Ce livre clôt la trilogie Sarah Geringën. Et de quelle manière ! Encore un coup de maitre de cet auteur.
Quand l’Histoire est plus terrifiante que la fiction, encore une fois l’auteur nous plonge dans les noirceurs de l’humanité pour servir son thriller.
Chaque fois, je referme ses livres pleine de curiosité, de souffle coupé par ces découvertes et terrifiée, mais toujours avec le désir d’en savoir plus !
Cette trilogie a été autant éprouvante que passionnante. Et je conseille vivement ces bouquins que je n’ai pas pu lâcher.
Alexandra Thiry 27 février 2022
L’île du diable - Nicolas Beuglet
𝐷𝑖𝑒𝑢 𝑛𝑒 𝑠𝑎𝑢𝑣𝑒 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑒𝑡 𝑛𝑒 𝑣𝑒𝑛𝑔𝑒 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑒. 𝐿’ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑠𝑒 𝑑é𝑏𝑟𝑜𝑢𝑖𝑙𝑙𝑒𝑟 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑎𝑐𝑐𝑜𝑚𝑝𝑙𝑖𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥. 𝐽𝑒 𝑐𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑒𝑛 𝑙𝑎 𝑣𝑜𝑙𝑜𝑛𝑡é 𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑗𝑢𝑠𝑡𝑖𝑐𝑒 ℎ𝑢𝑚𝑎𝑖𝑛𝑒. 𝑅𝑖𝑒𝑛 𝑑’𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒.
Troisième et dernier opus de cette saga. Dans ce roman, nous suivons une nouvelle fois Sarah Geringen. Sauf que cette fois, l’enquête la touche particulièrement. C’est le corps de son père qui à été retrouvé sans vie. En route pour le froid Sibérien et sur fond de souvenir d’enfance et de mystère familial.
Après le fin de Complot, je n’ai eu qu’une seule envie : enchaîner avec celui ci !
Dès le debut, j’ai senti le ton du roman different. Plus intimiste dans la vie de notre héroïne, moins a l’aise dans ce nouvel exercice la confrontant aux fantomes de son propre passé.
Le style de Nicolas Beuglet reste intact avec son mélange de suspense et de reflexion sur la genèse de l’être humain. Qui sommes nous ? Quels sont les éléments qui nous définissent de manière généalogique ? Un fois de plus, le sujet est documenté et maîtrisé.
J’ai aimé cette fin de saga mais je mettrais un petit bemol sur le fond de l’intrigue. Peut etre un peu trop tirée par les cheveux a mon goût. Des questions qui restent trop ouvertes également.
Dans l’ensemble je garde tout de même un bon ressenti de cette lecture et je pense me lancer dans une autre trilogie prochainement 📖
SIGPRO2022 26 décembre 2021
L’île du diable - Nicolas Beuglet
L’île du diable de Nicolas Beuglet
Après Le Cri que j’avais beaucoup aimé,nous entraînant dans un hôpital psychiatrique ou la victime portant sur le front une cicatrice énigmatique « 488 » est mort de peur, puis le Complot qui m’avait entraîné sur un archipel isolé au nord de la Norvège, battu par les vents ou au pied d’une falaise est découvert le corps nu et martyrisé d’une femme, je ne voulais pas manquer ce rendez-vous avec cet auteur dans ce nouveau livre intitulé l’île du diable.
C’est un livre que l’on lit vite en raison de la fluidité de l’écriture de Nicolas Beuglet. Mais revenons à l’histoire qui nous est narrée par Nicolas Beuglet. Nous retrouvons avec plaisir Sarah Geringën, ancienne membre des services spéciaux, qui grâce à son entraînement est capable de résister aux tourments qui lui sont infligés, inspectrice de police norvégienne qui la veille de sa sortie de prison ( Lire le complot ) est libérée. La raison de cette libération quelques heures avant la date prescrite par les autorités et celle comme elle va l’apprendre par Stefen Karlstrom, directeur de la police d’Oslo, de la mort dans sa maison de son père manifestement assassiné. Son cadavre présente différentes traces laissant penser à des actes de tortures et son corps est recouvert d’une poudre blanche et ses doigts violacés. Immédiatement Sarah se lance sur la piste des assassins de son père qui tout au long de sa vie n’était pas proche d’elle et marquait une certaine réserve à bien des égards. « Officiellement, tu ne seras pas en charge de l’affaire, j’ai nommé une jeune diplômé prometteur, mais qui te laissera toute latitude pour conduire l’enquête en coulisse » dit Stefen Karlstrom ajoutant, « J’ai mis sur pied une toute petite équipe pour limiter les risques de dénonciation . Le légiste tu le connais c’est Thobias Lovsturd ». C’est ainsi que Sarah Gering prend en compte cette affaire accompagnée par l’officier Koll, qui se présente avec un bras dans le plâtre. Dans le même temps, Christopher, Clarence ancien petit ami de Sarah , journaliste d’investigation poursuit son enquête sur la mort d’un petit enfant, Tomas Holm, dans laquelle revient le nom de Sarah Geringën.
Nous allons donc suivre deux enquêtes pleines de rebondissement qui se dérouleront en Norvège mais aussi en Russie ( le père de Sarah est d’origine Russe ) et plus précisément sur une île au milieu de l’Ob.
Ce voyage débuté en Russie sur la rivière ne va pas être une promenade sur un long fleuve tranquille. En effet nous allons apprendre un fait historique l’affaire de Nazino en 1933. Je vous laisse découvrir celui-ci .
A partir de cet instant l’intrigue se resserre, mais les invraisemblances aussi. Je comprends que l’entraînement dans les forces spéciales de Sarah Geringën lui permettent de répondre à toutes sortes de situation, mais par contre d’un point de vue strictement médical lorsqu’elle subi entre autres l’ablation d’un sein et que dix jours après elle est prête à repartir à l’attaque. Cela m’a fait penser à une phrase Nicolas ( l’on dit plus souvent Maurice ) tu pousses le bouchon un peu loin. Je ne rentrerai pas non plus épigénétique et l’aspect scientifique de ce domaine ( dont vous retrouverez dans le chapitre remerciements toutes les références à ce sujet ) et les travaux conduit dans un centre expérimental.
Sarah Geringën arrivera-t-elle à s’extirper de cette enquête, je vous laisse le soin de le découvrir. « Malgré tes doutes, tes angoisses, tes peurs, tu as été grande et tu as toujours choisi le bien. Je voudrais que, quoi qu’il t’arrive, tu n’oublies jamais que tu as eu cette force. Si un jour tu perds confiance en toi, si tu ne t’estimes plus, souviens toi de ce mot : Timshel, tu peux » telle est la teneur d’un courrier laissé par son père à Sarah Geringën
Arrivé à la fin de ce livre que dire : Contrairement au deux livres que j’ai cité au début, j’ai le sentiment que
ce livre n’est pas totalement abouti, les personnages décrits manquent de profondeur, certaines situations survolées et d’autres bâclées, comme s’il avait fallu terminer ce roman dans l’urgence. Dommage ! Bien à vous.
SIGPRO2022 18 septembre 2021
L’île du diable - Nicolas Beuglet
L’île du diable de Nicolas Beuglet
Après le Cri que j’avais beaucoup aimé nous entrainant dans un hôpital psychiatrique ou la victime portant sur le front une cicatrice énigmatique « 488 » est mort de peur, puis le Complot qui m’avait entraîné sur un archipel isolé au nord de la Norvège, battu par les vents ou au pied d’une falaise est découvert le corps nu et martyrisé d’une femme, je ne voulais pas manquer ce rendez-vous avec cet auteur dans ce nouveau livre intitulé l’île du diable.
C’est un livre que l’on lit vite en raison de la fluidité de l’écriture de Nicolas Beuglet. Mais revenons à l’histoire qui nous est narrée par Nicolas Beuglet. Nous retrouvons avec plaisir Sarah Geringën, ancienne membre des services spéciaux, qui grâce à son entraînement est capable de résister aux tourments qui lui sont infligés, inspectrice de police norvégienne qui la veille de sa sortie de prison ( Lire le complot ) est libérée. La raison de cette libération quelques heures avant la date prescrite par les autorités et celle comme elle va l’apprendre par Stefen Karlstrom, directeur de la police d’Oslo, de la mort dans sa maison de son père manifestement assassiné. Son cadavre présente différentes traces laissant penser à des actes de tortures et son corps est recouvert d’une poudre blanche et ses doigts violacés. Immédiatement Sarah se lance sur la piste des assassins de son père qui tout au long de sa vie n’était pas proche d’elle et marquait une certaine réserve à bien des égards. « Officiellement, tu ne seras pas en charge de l’affaire, j’ai nommé une jeune diplômé prometteur, mais qui te laissera toute latitude pour conduire l’enquête en coulisse » dit Stefen Karlstrom ajoutant, « J’ai mis sur pied une toute petite équipe pour limiter les risques de dénonciation . le légiste tu le connais c’est Thobias Lovsturd ». C’est ainsi que Sarah Gering prend en compte cette affaire accompagnée par l’officier Koll, qui se présente avec un bras dans le plâtre. Dans le même temps, Christopher, Clarence ancien petit ami de Sarah , journaliste d’investigation poursuit son enquête sur la mort d’un petit enfant, Tomas Holm, dans laquelle revient le nom de Sarah Geringën.
Nous allons donc suivre deux enquêtes pleines de rebondissement qui se dérouleront en Norvège mais aussi en Russie ( le père de Sarah est d’origine Russe ) et plus précisément sur une île au milieu de l’Ob.
Ce voyage débuté en Russie sur la rivière ne va pas être une promenade sur un long fleuve tranquille. En effet nous allons apprendre un fait historique l’affaire de Nazino en 1933. Je vous laisse découvrir celui-ci .
A partir de cet instant l’intrigue se resserre, mais les invraisemblances aussi. Je comprends que l’entraînement dans les forces spéciales de Sarah Geringën lui permettent de répondre à toutes sortes de situation, mais par contre d’un point de vue strictement médical lorsqu’elle subi entre autres l’ablation d’un sein et que dix jours après elle est prête à repartir à l’attaque. Cela m’a fait penser à une phrase Nicolas ( l’on dit plus souvent Maurice ) tu pousses le bouchon un peu loin. Je ne rentrerai pas non plus épigénétique et l’aspect scientifique de ce domaine ( dont vous retrouverez dans le chapitre remerciements toutes les références à ce sujet ) et les travaux conduit dans un centre expérimental.
Sarah Geringën arrivera-t-elle à s’extirper de cette enquête, je vous laisse le soin de le découvrir. « Malgré tes doutes, tes angoisses, tes peurs, tu as été grande et tu as toujours choisi le bien. Je voudrais que, quoi qu’il t’arrive, tu n’oublies jamais que tu as eu cette force. Si un jour tu perds confiance en toi, si tu ne t’estimes plus, souviens toi de ce mot : Timshel, tu peux » telle est la teneur d’un courrier laissé par son père à Sarah Geringën
Arrivé à la fin de ce livre que dire : Contrairement au deux livres que j’ai cités au début, j’ai le sentiment que ce livre n’est pas totalement abouti, les personnages décrits manquent de profondeur, certaines situations survolées et d’autres bâclées, comme s’il avait fallu terminer ce roman dans l’urgence. Dommage ! Bien à vous.
Noem 20 juillet 2021
L’île du diable - Nicolas Beuglet
C’est le premier livre de cet auteur que j’ai lu, et j’ai adoré.
Il nous plonge dans une histoire glaçante dans laquelle une enquetrice doit résoudre le meurtre de son propre père et déterrer le passé trouble de ce dernier. Ce qu’elle va découvrir est au delà de l’imaginable.
J’ai aimé ce livre car l’écriture est fluide, le suspens est prenant et on ne s’attend pas du tout a l’identité du meurtrier, ni à ces motivations machiavéliques.
Mon seul problème est que je n’ai pas tout compris au début du livre, n’ayant pas les références des autres tomes précédents, mais cela ne gêne en rien la compréhension de l’histoire principale.
Je recommande sans hésiter
lireencore93420 28 mars 2021
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Sarah retrouve sa vie et très rapidement est plongée dans l’enquête de la mort de son père, un peu officieusement, son ex-chef lui impose un jeune officier de police, un bleu comme on dit dans leur jargon, et lui précise il est juste là pour qu’on ne se doute de rien, mais jusqu’où cette investigation va l’emmener ? Des secrets de familles inavouables.
Sarah va vivre dans ce tome, probablement la pire de ces aventures, d’abord, parce que ça touche une victime proche d’elle, son papa, elle va comprendre certaines choses, pourquoi il avait une certaine retenue avec ses enfants et sa femme ? Et surtout ce qu’il a cacher durant toute sa vie.
Dans cet opus, avec cet auteur, on garde les bonnes habitudes, un rythme a cent à l’heure et surtout une fiction basée sur fait réel. J’adhère à 10000 % c’est tellement agréable d’être complétement emporter dans l’histoire qui nous raconte, et puis Sarah après trois livres, c’est comme une copine qu’on aime retrouver, mais là j’ai eu vraiment très peur pour elle, j’ai eu mal avec elle, et me suis laisser bercer par la trame pour l’accompagner et lui dire au revoir avec une fin que j’ai beaucoup aimée.
Le thème de cet ouvrage, et les traumatismes qu’on portent en nous et que nous transmettront à nos enfants, donc cela parle de ses failles et comment elle va les vaincre mais aussi ce qu’as vécu son père.
Comme les deux autres tomes, j’ai adorer cette conclusion à cette belle trilogie, j’oublierais pas facilement Sarah Geringën, cette inspectrice a qui n’as peur de rien, qui peut paraître froide au premier abord, mais qui est un puits de sensibilité et qui se bats pour ses convictions, comme j’ai pu le voir dans Complot et surtout va au bout de ses enquêtes, sans penser à sa vie personnelle, ou à sa propre personne, ses émotions ou sa santé morale et psychique, elle as qu’un seul but : la vérité et mettre à l’abri en prison, les coupables.
J’aime les sagas, je ressens un attachement particulier aux personnages et on les voit évoluer, et se perdre et se retrouver selon l’histoire.
Je savais que c’était le dernier tome, donc j’ai envie de dire à ce personnage si particulier, merci pour toutes les émotions que tu nous as fait vivre, et après que ton créateur tu as fait vivre dans cette dernière aventure, tu mérites d’être heureuse et de t’accomplir autant que dans ta vie privée et professionnelle.
Cette trilogie m’as permis de découvrir un auteur que j’apprécie beaucoup, et je vais le suivre, la preuve, j’ai déjà acheté son dernier opus, ou je vais découvrir un nouveau personnage, est ce que je m’attacherais autant qu’a Sarah ? Le temps le dira, une chose est sure, je vais suivre Nicolas BEUGLET de très prés.
meslivresetmoi33 24 mars 2021
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Un très bon polar qui encore une fois nous fais voyager à travers le monde à travers une enquête passionnante !
J’adore retrouver des personnes forts, c’est le cas ici et encore une fois rien ne sera épargné à Sarah.
Toutefois je trouve que l’auteur aurait encore pu aller plus loin, et oui j’ai trouvé le livre trop court !!!
Je conseille fortement d’avoir lu les 2 premiers avant, ce serait dommage de ne pas les lire dans l’ordre même si ils se lisent indépendamment les uns des autres !
meslivresetmoi33 24 mars 2021
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Un très bon polar qui encore une fois nous fais voyager à travers le monde à travers une enquête passionnante !
J’adore retrouver des personnes forts, c’est le cas ici et encore une fois rien ne leur sera épargné.
Toutefois je trouve que l’auteur aurait encore pu aller plus loin, et oui j’ai trouvé le livre trop court !!!
Marielle69 23 mars 2021
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Encore un thriller de Nicolas Beuglet qui font remonter à la surface des comportements humains horribles basés sur des faits réels.
Les frissons ressentis n’en sont que plus intenses.
Dur de fermer le livre avant de l’avoir terminé. Peut-être qu’un ou deux passages manquent de crédibilité mais le roman est néanmoins super.
A lire avec un accès internet à proximité pour s’instruire sur les faits historiques dont il est question dans le roman.
Bea 21 février 2021
L’île du diable - Nicolas Beuglet
J’ai beaucoup aimé ce thriller, malgré quelques intolérances qui m’ont laissé un petit goût amer et qui ont contrarié ma lecture. Le fait que le père de Sarah, si l’on en juge son histoire, serait né en 1929, et dans ce cas là,il aurait eu sa première fille Sarah sur le tard, sans compter Jessica sa seconde fille ??? Sans parler d’Adrian qui est censé avoir 32 ans et dont le père est également né en 1933 ?? Et on sait que cette intrigue se déroule après 2013 !! C’est un peu bizarre
Les lectures du lac 15 février 2021
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Troisième tome des enquêtes de Sarah Geringën de Nicolas Beuglet fini ✔
Merci a l’auteur d’avoir fait un rappel des tomes précédents au début car je me souvenais du cri mais moins de complot.
J’ai adoré retrouver l’ambiance glaciale de la Norvège et Sarah qui vit encore des moments très difficiles. A sa sortie de prison, Sarah enquete sur l’assassinat de son père qu’elle croyait connaître.... elle va devoir affronter un secret de familial terrifiant
Ce tome est addictif, les chapitres sont courts et apportent du rythme. Les faits relatés dans l’intrigue sont réels et ça jadore . Dévorer un thriller et apprendre de vrais faits historiques que demande le peuple.
Le dénouement est imprévisible je n’ai rien vu venir 😱
Bref coup de cœur pour cette lecture 🤩
Ex Moineau 31 janvier 2021
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Après une année d’emprisonnement, l’inspectrice Sarah Geringën est libérée quelques heures plus tôt que prévu, car son père a été assassiné. Son visage est témoin des souffrances subies, son corps est recouvert d’une poudre blanche et ses extrémités sont gangrenées. Même si le règlement l’interdit, son chef Stefen lui confie de manière officieuse cette enquête. Il lui adjoint juste un bleu, un bras dans le plâtre de surcroît, Adrian Koll, dont c’est la première affaire et qui servira d’intermédiaire afin de sauver les apparences.
La découverte d’une clé dans l’estomac de la victime accroit le mystère autour de sa mort. Qui pouvait lui en vouloir à ce point ? Et pour quelle raison ? Et finalement Sarah connaissait-elle vraiment son père ?
Trois romans « Le cri », « Le complot » et « L’île du Diable » ont élevé Nicolas Beuglet au rang des auteurs français de thriller à suivre.
Fort judicieusement, un bref résumé des livres précédents « Le Cri » et « Le complot » montre que Sarah Geringën est un personnage loin d’être ordinaire. Alors qu’elle enquêtait sur la mort de la première ministre, elle est accusée d’avoir tué le pape. Rien de moins ! Voilà pourquoi ce roman débute alors qu’elle se trouve en prison. Heureusement son innocence a été reconnue, ce qui lui vaut cette libération tardive. Mais dans l’affaire, elle a rejeté son compagnon Christopher pour le protéger.
Nicolas Beuglet ne semble pas faire dans la dentelle, plus c’est gros, mieux cela marche semble-t-il...
Que cette affaire qui la touche personnellement lui soit confiée par son supérieur défie la raison. Elle sort de prison, pas de passage devant le psy, d’évaluation de son état... Rien de ces passages obligés, elle est direct jetée dans le bain, même si le tout se fait de manière cachée. Il faut dire que Nicolas Beuglet ne s’embarrasse pas, il va à l’essentiel. Un ancien meurtre d’enfant fait aussi l’actualité et c’est bien sûr Sarah qui est accusée. Pourtant elle n’est pas assignée à résidence, prend l’avion pour l’étranger sans être inquiétée. Le lecteur tique à maintes reprises.
De même, le récit se déroule en grande partie en Norvège, mais à aucun moment, le lecteur n’est transporté ailleurs. À part quelques mentions d’Oslo, le récit pourrait se dérouler en France sans différence. Pourquoi cette bizarrerie, d’autant qu’elle n’est pas du tout exploitée ? Bien des choses interpellent ainsi le lecteur, le poussant à se questionner sur certains points de l’histoire.
Et pourtant il faut reconnaître que « L’île du Diable » se lit très bien, car Nicolas Beuglet se montre efficace. Avec lui, pas de longs atermoiements, de pages de remplissages pour justifier telle ou telle action. Sarah ne comprend pas qui pouvait en vouloir à ce point au père qu’elle a connu, alors elle en déduit rapidement qu’il n’était peut-être pas celui qu’elle croyait. Résultat : l’enquête avance à grand pas, il y a du rythme et le lecteur se prend à l’histoire, sans forcément chipoter sur les incohérences et autres facilités.
Contre toute attente, Sarah apprécie Adrian qui l’aide bien. Il ne la freine pas dans son élan, ne cherchant pas à canaliser sa fougue et n’hésitant pas à quitter le pays avec elle.
Et coup de maître, Nicolas Beuglet réussit d’un coup à rendre tout ce qui précédait plausible ! De courts chapitres sans lien apparent avec la quête de Sarah débouchent sur une explication bien vue. Le regard du lecteur change, car l’auteur se montre pour l’occasion redoutable. Il exploite un fait avéré du passé pour justifier l’assassinat du père de Sarah. Il apporte aussi une caution scientifique à l’ensemble, pour mieux illustrer l’enchaînement des actions amenant Sarah sur l’île du Diable, théâtre d’un effroyable drame dans les années 1930.
Hélas, des questions s’élèvent à nouveau. Un acte de cruauté sur Sarah s’avère apparemment gratuit, surtout quand la finalité de tout est présentée en fin de récit. La conclusion laisse pensif, l’ensemble apparait bien tarabiscoté pour parvenir à ce point.
Nicolas Beuglet se montre efficace en allant à l’essentiel (d’autres auteurs auraient facilement étiré ce roman sur cent pages de plus). Cette qualité peut toutefois se retourner contre lui, car la Norvège est aux abonnés absents, les personnages n’ont guère d’épaisseur et certaines conclusions immédiates ressemblent à des facilités. « L’île du Diable » ne s’en lit pas moins avec facilité, car l’auteur sait mener son récit avec force rebondissements. La fin laisse peut-être sur un sentiment mitigé, mais Nicolas Beuglet a su insuffler suffisamment d’éléments prenants pour faire pencher la balance dans le positif. De plus, un ancrage du présent dans le passé n’est jamais une mauvaise idée.
Est-ce que ça suffira pour les lecteurs le découvrant à l’occasion de ce roman ? Pas sûr...
Avis initialement publié sur le site Yozone à cette adresse : http://www.yozone.fr/spip.php?article25058
ju_se_livre 11 janvier 2021
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Cette saga et moi, c’est vraiment vraiment les montagnes russes. J’avais été déçue par Le cri à cause de la quatrième de couverture qui promettait une tout autre histoire. Complot m’avait passionné, j’avais vraiment trouvé l’histoire addictive.
Et on en arrive au petit dernier de la trilogie, et là c’est le drame...
J’ai trouvé ce livre vraiment linéaire. Ça manquait vraiment de rythme. Et que dire des personnages ? Mais où est Sarah, la super héroïne de Complot ? Une impression de fait à la va-vite, où beaucoup de choses sont survolés avec un manque de profondeur.
Bah oui, 300 pages avec une police d’écriture assez costaud, forcément faut que ça aille vite. Et c’est là le problème, ça va trop vite. C’est le sentiment qui me reste en refermant ce livre, une impression de bâclé.
En bref, bah non quoi... bon on peut dire que la boucle est bouclée. Ça conclut bien la saga. Mais voilà quoi...
KAREN BOURET 24 décembre 2020
L’île du diable - Nicolas Beuglet
J avais adoré et dévoré les deux premiers tomes. Celui ci m a laissé sur ma fin.
L intrigue était peu passionnante et j ai trouvé que tout était trop facile.
J ai été déçue par ce 3e tome
lolocarpediem 17 décembre 2020
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Un auteur dont j’ai découvert ces romans il n’y a pas longtemps et que j’ai dévoré et adoré.
un bon rythme une bonne intrigue du frisson dans la trempe des F Thilliez et B Minier
Catherine DEBEAUX 17 décembre 2020
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Personnellement, je n’aime pas trop cet auteur ... je trouve que certains passages dans plusieurs de ses livres, y compris celui-ci sont inutilement violents ... le polar et le frisson ce n’est pas forcément l’insoutenable !
Et dans ce romans-ci, on frise la science fiction, ce qu’il fait subir à son héroïne est quand même très spécial.
Cependant, ce roman a le mérite d’attirer l’attention sur des événements réels qui, même abrupts, gagnent à être connus.
Jessica de BePolar 17 décembre 2020
L’île du diable - Nicolas Beuglet
[DÉCEMBRE NOIR 2020]
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Savy 22 novembre 2020
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Ce 3ème opus se lit vite, les chapitres sont très courts mais pas assez développé pour ma part. Tout commence par la libération de notre inspectrice Sarah (fin du 2ème livre Complot) et tout s’enchaîne très très vite, malgré tout Nicolas Beuglet sait nous tenir en haleine et il est difficile de lever le nez du livre !! Après Le Cri, Complot et l’île du diable, pouvons nous espérer une 4ème enquête pour Sarah ?
eva94 4 novembre 2020
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Un livre lu en 2 jours, tellement il est prenant ....
Tout commence par la sortie de prison de Sarah, inspectrice. Elle est amenée directement sur le lieux de la mort de son propre père, recouvert d’une poudre blanche. Mais que s’est-il passé ? qui lui en veut ? sa famille ? son passé ? Sarah va mener l’enquête officieusement, accompagnée d’un jeune policier qui débute.
Son enquête va la mener en Sibérie, dans un lieu maudit qu’aucun habitant ne veut plus entendre parler. Mais pour quelles raisons ? En cherchant elle va découvrir le passé de son propre père. Ce passé qui est peut être responsable de son mal être à elle ...
Elle va comprendre ce qui s’est déroulé il y a très longtemps. Comment des pauvres gens se transforment en cannibales malgré eux pour leur propre survie. Pourquoi son propre père s’est enfermé dans son monde pour essayer de ne plus souffrir.
Un livre qui pousse la folie du genre humain, face à des choix que personne ne veut faire.
Morganea 17 octobre 2020
L’île du diable - Nicolas Beuglet
J’avais tellement hâte de lire ce livre que je fus presque déçue de voir qu’il ne faisait que 300p... Certes ce n’est pas le nombre de page qui fait une œuvre mais ayant dévoré les deux premiers tomes je fus surprise.
J’aime ce côté authentique des recherches historiques et scientifiques réalisées par l’auteur tout au long de ses écrits, et même si je les retrouvés dans ce dernier tome, il manque ce petit plus approfondi ...
Sujet pas évident mais j’aurais tellement souhaité en apprendre d’avantage...
« L’île du diable » nous entraîne dans le côté sombre de l’être humain aussi bien historique que psychologique. Un thriller un peu trop court à mon goût mais qui nous fait vivre à 100 à l’heure.
Une livre qui clôt une belle trilogie avec des personnages attachants que j’ai appréciée malgré ce dernier livre qui me laisse un léger goût de trop peu.
Hâte de voir ce que l’auteur nous proposera dans de nouveaux paysages
Marion Souch 9 octobre 2020
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Je viens de finir la saga de @nicolasbeuglet avec le dernier tome : L’île du Diable
Et bien comme dans les autres romans, pas le temps de s’ennuyer. L’enquête s’enchaîne rapidement.
Cet opus est axé sur Sarah Geringen, l’enquêtrice qu’on a suivi depuis le premier tome. Mais cette fois, ça prends une tournure plus personnelle puisqu’elle doit enquêter sur la mort de son père.
La révélation se fera sur l’île du Diable, autour d’un élément historique qui fait froid dans le dos.
Un excellent thriller, à la hauteur des deux autres. Cependant, celui-ci est un peu plus "rude" dans son histoire avec des passages plutôt gore. Attention aux âmes sensibles pour le coup.
J’apprécie toujours les romans axés sur des faits historiques, aussi difficiles à croire soient-ils.
Impossible de choisir lequel des romans de cette trilogie j’ai préféré car ils sont tous très bons et appréciables à leur manière.
IsaVP 31 juillet 2020
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Avec une plongée dans l’histoire de la Russie du XXème siècle, l’auteur nous fait remonter dans les années 30 où tant de victimes de la révolution communiste ont été déportées et ont péri dans la vague de purification qui a eut lieu au nom d’une idéologie déshumanisante.
Sarah Geringen, inspectrice de la police criminelle d’Oslo, enquête sur le meurtre sanglant de son père dont le passé trouble soulève bien des interrogations. Tout juste sortie de prison pour une fausse accusation d’assassinat, elle mène son investigation en sous-main et remonte jusqu’à de lourds secrets enfouis au sein de sa famille d’origine russe.
Les éléments scientifiques et historiques de l’enquête sont intéressants et le sujet de la psychogénéalogie méritait d’être traité plus en profondeur. Il nous tombe dessus de façon très professorale en fin d’histoire et c’est un peu indigeste. On a le sentiment de ne plus être dans une enquête policière mais de lire un cours de sciences.
Bien que d’une écriture simple, avec de courtes phrases et de courts chapitres, ce roman démarre lentement et met longtemps à accrocher l’intérêt. L’action s’accélère en milieu d’histoire et va crescendo jusqu’aux révélations finales qui sont surprenantes.
La question de la transmission génétique des traumatismes de nos ancêtres est passionnante et Nicolas BEUGLET nous fait découvrir, comme dans ses romans précédents, de nouvelles théories scientifiques originales.
Un polar distrayant qui à mon goût rate sa vocation à exploiter ce grand sujet universel des « clés de l’humanité 2.0 » mais se lit néanmoins avec plaisir.
Mes Carnets Litteraires 25 mai 2020
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Ça faisait un moment qu’un thriller ne m’avait pas embarquée à ce point ! Je l’ai d’ailleurs lu en une journée (vive le confinement !!).
Dès les premières pages, j’ai su que l’intrigue et le style allaient me plaire alors que j’avais été plutôt déçue par le tome précédent.
Ici, l’histoire, sombre et émouvante, était terriblement addictive et captivante, sans chercher à partir dans tous les sens !
L’ambiance était stressante à souhait et j’ai vibré avec Sarah tout du long.
Les rebondissements étaient tous aussi dingues les uns que les autres ! Je n’ai absolument rien vu venir !
Et cette fin 😱😱 Jusqu’à la dernière ligne, l’auteur a su me surprendre avec cet épilogue incroyable qui laisse clairement présager une suite ! Vivement le tome suivant !!!!
➡️ L’auteur signe ici son meilleur roman ! C’est un coup de coeur
Mes Carnets Litteraires 25 mai 2020
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Ça faisait un moment qu’un thriller ne m’avait pas embarquée à ce point ! Je l’ai d’ailleurs lu en une journée (vive le confinement !!).
Dès les premières pages, j’ai su que l’intrigue et le style allaient me plaire alors que j’avais été plutôt déçue par le tome précédent.
Ici, l’histoire, sombre et émouvante, était terriblement addictive et captivante, sans chercher à partir dans tous les sens !
L’ambiance était stressante à souhait et j’ai vibré avec Sarah tout du long.
Les rebondissements étaient tous aussi dingues les uns que les autres ! Je n’ai absolument rien vu venir !
Et cette fin 😱😱 Jusqu’à la dernière ligne, l’auteur a su me surprendre avec cet épilogue incroyable qui laisse clairement présager une suite ! Vivement le tome suivant !!!!
➡️ L’auteur signe ici son meilleur roman ! C’est un coup de coeur ❤️
A vos livres 30 avril 2020
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Alors pour une fois je reste assez sceptique sur cette lecture, avec un très grand étonnement… Nicolas Beuglet nous offre la suite des enquêtes de Sarah Geringën avec un nouveau thriller aussi glaçant que les précédents mais aussi assez… succinct. Mon avis est peut-être un peu perturbé par mes lectures précédentes, qui ont aiguisées mon appétit livresque en dévorant des romans imposants et très complets. Cela dit, on ne peut juger un roman par son nombre de page, c’est évident. Cependant, j’ai la sensation d’être restée sur ma faim, contrairement aux sensations que j’ai eu sur les précédents opus.
« L’île du diable » porte bien son nom car c’est une histoire diaboliquement effrayante. Suite à l’incarcération de Sarah Geringën dans « Complot », ce nouveau tome nous entraîne dans le sombre passé de son père, retrouvé assassiné chez lui, et ce, de la plus étrange des manières. Comme à son habitude, Nicolas Beuglet tisse un nouveau thriller liant des faits historiques effrayants et un rythme effréné. Cependant, j’ai eu la sensation que pour une fois, tout est allé trop vite… trop « facilement ».
Une lecture que j’ai bien entendu appréciée malgré ce léger goût de déception. Peut-être en attendais-je trop… Il s’agit-là de mon avis personnel et en aucun cas cette légère sensation d’insatisfaction n’arrêtera ma fièvre livresque des romans de ce charmant auteur (oui, oui, pour l’avoir rencontré, il est sacrément sympathique !).
Dans tous les cas, je vous souhaite de très belles lectures !
https://avoslivreschroniques.com/lile-du-diable-nicolas-beuglet/
Alex-Mot-à-Mots 11 février 2020
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Après Le cri et Complot, nous retrouvons Sarah Geringën tout juste sortie de prison, et qui apprend que son père vient d’être assassiné.
De son côté, Christopher enquête sur le décès de Matts, le jeune garçon enlevé par Sarah et décédé quelques semaines plus tard.
J’ai aimé découvrir l’enfance du père de Sarah : russe ayant été déporté lors de la grande famine de 1933. Une histoire bien sombre, mais malheureusement vraie.
L’auteur nous parle également d’épigénétique et des dernières avancées de cette science encore débutante mais prometteuse.
De plus, une intrigue se greffe dans l’histoire principale avec l’enlèvement d’une femme : qui est-ce ? Et pourquoi la police la recherche si activement ?
Une lecture qui m’a passionnée à plus d’un titre.
Mais maintenant que tous les mystères ont été résolu, reverons-nous Sarah et Christopher ?
L’image que je retiendrai :
Celle du mot hébreu que le père de Sarah lui envoie : Timshell (tu peux)
clothildePL 20 janvier 2020
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Je retrouve avec plaisir, l’une de mes héroïne préférée... Sarah Geringën. J’attendais avec impatience la suite de ses aventures, sachant que dans le précédent tome, elle se retrouvait bien malmené et en fâcheuse posture.Il est d’ailleurs préférable de lire les livres de Nicolas Beuglet dans l’ordre chronologique.
Et Monsieur Beuglet n’y va pas par quatre chemins. Tout de suite, nous sommes plongés dans une nouvelle intrigue, qui touche notre héroïne personnellement. Une petite déception pour ma part, si à la fin du Complot Sarah semblait coincée dans sa situation, nous démarrons direct à sa sortie de prison sans comprendre comment elle a pu s’en sortir.
Outre ce petit détail, j’apprécie toujours chez cette auteur, cette part de véridique historique où il nous emmène dans chacun de ses bouquins, et j’en sors à chaque fois plus cultivée !!
Nous allons donc suivre notre pauvre Sarah, peu remise de ses précédentes péripéties... Et cette fois, elle enquête sur le meurtre de son père (j’ai trouvé ça aussi un peu louche... Elle vient d’être disculpée sur une énorme affaire, et elle peut ensuite enquête sur le meurtre de son propre père ?!) Passons... Si on ne lui avait pas confié l’enquête et bien... fin du bouquin ! Aucun intérêt.
Donc je retrouve ma petite Sarah malmenée, qui part à la recherche de réponses et remue son passé afin de comprendre qui a pu tuer son père. Et pour cela, elle va tomber sur de terribles secrets.
Un thriller haletant que j’ai dévoré en deux jours... J’aurai bien aimé lire encore quelques chapitres tellement j’aime l’écriture de cet auteur. J’attends donc le prochain !!
Cathy81 14 janvier 2020
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Le lecteur retrouve Sarah Geringen dans cette nouvelle enquête. Son père a été assassiné, son corps recouvert de poudre blanche et une clé caché au fond de son estomac. Au cours de l’enquête, Sarah découvre un terrible secret de famille : qui était vraiment son père ?qu’ouvre cette clé ? que s’est-il passé en Sibérie en 1933 sur cette île ? Quel rapport avec la culpabilité et le mal être de Sarah ? Au lecteur de le découvrir
J’avoue ce roman de Nicolas Beuglet me laisse sur ma faim. Certes, le scénario, toujours inspiré d’un fait réel est bien construit mais j’ai trouvé qu’il manquait de l’épaisseur aux aux personnages dans leurs cheminements psychologiques comme si l’auteur s’était contenté de les survoler au lieu de les analyser en profondeur, comme si l’écriture avait été trop rapide...
Des plumes et des livres 14 janvier 2020
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Après avoir écouté Complot en fin d’année dernière, je n’avais qu’une hâte : découvrir la suite avec L’île du Diable. Heureusement, il est très vite sorti en livre audio, car pour les enquêtes de Sarah Geringën j’associe désormais la voix d’Olivier Prémel et impossible de les découvrir autrement !
La première surprise fut sur la longueur. Moins de six heures d’écoute contre plus du double pour Le Cri et Complot ! Bon, la longueur d’un livre n’en fait pas la qualité me direz-vous et vous n’auriez pas tort.
Néanmoins, je suis sortie sceptique de cette lecture. Si l’intrigue est toujours aussi glaçante et angoissante, j’ai trouvé que l’on survolait un peu toutes les situations et que l’histoire était trop succincte. J’ai eu l’impression que tout allait trop vite, que tout trouvait une solution rapidement, c’était trop simple.
Cependant, L’île du Diable porte merveilleusement bien son nom car l’histoire que relate Nicolas Beuglet est diabolique et effrayante. L’histoire commence là où Complot s’est achevé. Sarah Geringën sort de prison un an après son incarcération. La veille, son père est retrouvé mort à son domicile mais dans une étrange manière. Comme pour les deux premières enquêtes, Nicolas Beuglet tisse une enquête liant faits historiques effrayants et découvertes scientifiques étonnantes.
D’une manière générale, j’ai beaucoup apprécié de retrouver Sarah pour cette nouvelle enquête qui la touche personnellement. En découvrant le passé de son père, Sarah va découvrir des choses primordiales sur elle-même. La voix d’Olivier Prémel m’a emporté sans souci dans le froid de la Russie. Mais je reste sur cette note d’inachevé, je reste sur ma faim.
booksandmartini 5 janvier 2020
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Je n’ai jamais autant aimer le froid qu’aujourd’hui pour suivre Sarah Geringën, de la Norvège à la Sibérie ! Oui, m’sieur dame, ce livre n’a survécue à peine plus de 24 heure entre mes griffes.
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Si @nicolasbeuglet m’avais conquise avec « Le Cri », j’avais été malheureusement refroidie par « Complot » mais là... La, ça m’a plu ! La je n’avais pas envie de lacher ce livre ou si j’y étais contrainte croyez moi que j’avais hâte de vite retrouver Sarah et son enquête ! De vite retrouver la plume précise de l’auteur. Et pour finir la conquête, ce format principalement fait de chapitres court, c’est exactement tout ce que j’aime. L’auteur ne nous perd pas avec des descriptions inutiles et redondantes sans aucune réelle utilité.
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Alors je vous vois venir, oui l’auteur nous a habitué avec de longue recherche, détaillés et approfondie, expliqués... Et oui dans ce troisième opus, bah ces longs chapitres sont aux abonnés absent. Mais de mon point de vue, l’intrigue, n’en souffre pas. En fait j’ai presque envie de dire que l’absence de tout cet étalage de connaissance donne envie de faire des recherches sur ce fait historique et ce sujet scientifique nous même. Choix volontaire ou non, j’aime ce côté ou l’on est poussé par l’auteur à faire nos recherches pour enrichir notre connaissance, sans nous l’imposer.
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Je n’ai pas d’autre choix, que de vous recommandez d’avoir lu les 2 autres avant de vous attaquez à celui là.
La Caverne du Polar 22 décembre 2019
L’île du diable - Nicolas Beuglet
C’est en mai 2017 qu’a commencé toute cette histoire entre Nicolas Beuglet et moi. J’ai fait sa connaissance au salon du livre à Saint-Louis où nous avons longuement échangé sur son roman Le Cri, premier opus de la série Sarah Geringën. Presque trois ans après, Le Cri reste un des tous meilleurs livres que j’ai pu lire, je le conseil très souvent à des amis ou des proches. Un an après, je me suis plongé avec grand plaisir dans le second opus Complot. En cette fin d’année 2019 j’ai enfin lu le troisième tome L’île du Diable. C’est parti suivez-moi en direction de la Norvège et de la Sibérie pour suivre les nouvelles aventures de l’inspectrice Sarah Geringën.
Sarah sort tout juste de prison lorsqu’elle apprend que son père vient d’être assassiné sauvagement dans son bureau. Sarah ne peut s’occuper qu’officieusement de l’enquête étant donné sa proximité avec la victime, c’est donc le jeune inspecteur Adrian Koll qui va officiellement être chargé de l’enquête. Mais très vite elle va prendre les choses en main. On retrouve également Christopher qui de son côté espère reconquérir le cœur de sa belle. Il essaye d’ailleurs de trouver la vérité concernant le décès du jeune Matts, le jeune garçon soit disant enlevé par Sarah et décédé quelques semaines plus tard. L’île du Diable nous entraîne dans le sombre passé de son père. On va se retrouver plonger au cœur même de l’origine des troubles de Sarah.
J’ai pris un très grand plaisir à retrouver Sarah Geringën et Christopher Clarence, je me suis beaucoup attaché à eux au fil des livres. Comme dans les deux premiers opus j’ai apprécié d’apprendre certaines choses niveau historique et scientifique. Je n’avais jamais entendu parler de la déportation-abandon de Nazino en 1933. Et je ne connaissais pas grand-chose à l’épigénétique. J’ai un peu tendance à comparer Nicolas Beuglet à mon autre auteur favori Franck Thilliez. Une intrigue au top avec du rythme, un côté psychologique très travaillé et toujours des découvertes historiques et/ou scientifiques. Comme dans les précédents, on voyage encore beaucoup dans ce récit. De plus, avec des chapitres courts et dynamiques comme j’aime, le livre se dévore très vite. (Trop vite peut-être… ). Pour moi le seul petit bémol est sa longueur, j’aurai bien aimé lire une centaine de pages en plus…
L’île du Diable est un thriller glaçant à l’ambiance sombre et oppressante. C’est vrai qu’à mon goût il est un peu trop court mais très intense. Je n’ai jamais été déçu par Nicolas Beuglet et c’est toujours un grand plaisir pour moi de découvrir son nouveau livre. Je vous conseille vraiment de lire et découvrir toute cette trilogie formidable. Mais si possible commencez vraiment par le premier opus Le Cri, car cela change vraiment la perception et le jugement que l’on peut avoir et porter sur les personnages d’une série.
hener76 6 décembre 2019
L’île du diable - Nicolas Beuglet
L’Ile du Diable est le troisième opus des aventures de Sarah Geringen.
J’ai lu ce livre rapidement et avec envie, comme les précédents romans de Nicolas BEUGLET. On est impatient de savoir ce qu’il va se passer après avoir tourné la page. J’ai parfois eu l’impression d’être dans un bon film d’action/thriller.
L’histoire est palpitante, la personnalité de Sarah est de plus en plus attachante. J’avais envie de comprendre le pourquoi de cette relation particulière avec son père.
Malgré quelques rebondissements un peu prévisibles, en tout cas, pas totalement inattendus la lecture de ce roman ne supporte pas l’attente, et le dénouement est très intéressant.
Il manque encore un petit quelque chose que j’ai du mal à expirmer pour que les livres de Nicolas Beuglet jouent jeu égal avec ceux de Chattam ou Thilliez, mais il nous emmène tout de même vers de belles aventures policières et psychologiques. J’attends la suite de ces oeuvres qui nous promettent encore beaucoup de plaisir "Thrillerisant".
bookliseuse 17 octobre 2019
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Inspectrice Sarah Geringën 3
Un an, plus tôt (Lire Complot), l’inspectrice Sarah Geringën a été incarcérée dans un centre pénitencier à Oslo, après avoir été accusée du meurtre du pape. Nous sommes la veille de sa libération, après son acquittement, quand Stephen Karlstrom, Chef de la police d’Oslo vient lui annoncer, le meurtre de son père.
Stephen la laisse enquêter discrètement avec le jeune officier Koll Adrian, 32 ans arrivé 4 mois plus tôt au sein de l’unité, chargé officiellement de l’enquête.
En parallèle, Christopher, journaliste et compagnon de Sarah, décide d’enquêter sur la mystérieuse mort du petit Matts, dont toutes les preuves accusent Sarah, d’en être la responsable.
Plus Sarah creuse le passé de son père, plus elle découvre la face cachée de celui-ci, son côté si taciturne inexplicable, mais également les difficultés que rencontrait le couple qu’il formait avec la mère de celle-ci. Elle va entendre parler pour la première fois d’épigénétique*, pouvant peut être, expliquer son mal-être depuis l’enfance.
Son enquête va la mener jusqu’aux racines de son père, la Russie et le Sibérie. Au bout du chemin, elle va découvrir l’horreur que son père et ses compatriotes ont vécu, et de quoi est capable l’homme pour survivre.
L’auteur décrit avec aisance des faits historiques, me donnant encore une fois envie d’en savoir plus sur cette histoire et surtout sur cette fameuse île du Diable (qui porte officiellement un autre nom, que je ne dévoilerais pas afin de ne pas dévoiler une partie importante de l’histoire).
Comme pour ses deux précédents romans, j’ai enchaîné les chapitres, happée par cette histoire. Encore bravo à l’auteur !
Le Monde de Marie 9 octobre 2019
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Une année s’est écoulée depuis « Le complot » et on retrouve Sarah à sa sortie de prison. Dès les premières heures de sa liberté retrouvée, elle va devoir faire face à l’horreur : le meurtre de son père. Avec l’aide de Stephen elle va pouvoir mener les investigations et remuer le passé. Un passé qui va la confronter à l’horreur, mettre en lumière des faits atroces et l’aider à comprendre la personne qu’était son père en dehors de celui qu’il laissait paraître.
Toujours une plume fluide et entraînante. Chaque élément est bien amené et les révélations se font surprenantes. Je me suis laissée porter par l’histoire et par les faits historiques autour desquels l’auteur a choisi de construire son intrigue. Une partie de l’histoire du monde qui m’était inconnue et la description de faits qui m’ont choquée, chamboulée.
La partie plus scientifique autour des découvertes autour des génomes est également très intéressante. Des recherches qui sont ici conduites par un fou mais dont les éléments bien réels ne peuvent que résonner en nous poussant à nous interroger sur les maux dont souffre notre société actuelle.
Sarah est une jeune femme que j’admire. Une véritable héroïne que j’aime tout particulièrement suivre. Elle est forte et chaque fois arrive à me surprendre. L’auteur ne l’a jamais autant malmenée dans ses investigations mais pourtant, aussi, une enquête qui va l’aider.
Un livre captivant et surprenant dans son intrigue. Il est horrifiant dans les faits historiques qu’il relate. Encore une immense réussite avec ce troisième tome des aventures de Sarah Geringën.
L’atelier de Litote 6 octobre 2019
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Titre 1
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++++Titre 2
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++++Titre 3
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Après Le cri et Le complot, voici que nous retrouvons l’ex-inspectrice des forces spéciales Sarah Geringën dans une situation que je ne souhaiterai pas à mon pire ennemi. C’est son père que l’on retrouve torturé à mort. De nombreuses questions se posent sur cet homme qu’elle ne connaissait pas aussi bien qu’elle le pensait. L’intrigue nous nous entraîne de la Norvège à la Sibérie mais toujours dans l’univers froid et glaçant que sait si bien dépeindre l’auteur. Je n’ai pas boudé mon plaisir et ma lecture a été boulimique. J’ai beaucoup aimé l’alliance entre le passé historique et le présent, une histoire vraie qui ressort de derrière les fagots à la sauce Beuglet, c’est juste très attirant. Sans oublier la touche de biologie, d’ADN, de génomes, bref de science rendant le tout passionnant en grande partie parce que l’on part d’un postulat avéré aujourd’hui. Et puis on ne se refait pas, je suis une fidèle du personnage récurent, cette Sarah à qui il arrive toutes sortes de choses déplaisantes au minima et qui arrive malgré tout a resté opérationnelle et efficace force mon respect. On s’enfonce dans une vengeance qui ne dit pas son nom mais prend de plus en plus d’ampleur. Des secrets de famille bien enfouis et qui sont porteurs de tant de souffrance. Ce thème de la mémoire qui nous ramène à un fait historique terrifiant et occulté c’est incroyable. J’ai aimé suivre le parcours personnel de Sarah, sa culpabilité, sa quête de la vérité, on vit cela avec elle et on ne sait pas si on doit croire en l’espoir d’une rédemption. De nombreux rebondissements nous tiennent constamment en haleine mais je dois dire que jusqu’au bout l’auteur sait nous garder sous sa coupe. J’ai eu le sentiment de mieux comprendre la personnalité de Sarah dans toute sa complexité et si cette trilogie en était une, je ne me sentirai pas frustré. Bonne lecture.
Encore Un Livre 4 octobre 2019
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Nicolas Beuglet est devenu une référence avec le cri une histoire aux allures psychiatriques qui partait dans tous les sens et la surenchère dans l’action et dont je n’avais pas aimé ce parti-pris.
Mais parce qu’il y a toujours un « mais » avec certains auteurs de thriller, je lui ai redonné sa chance avec Complot un superbe thriller engagé qui m’avait impactée et remise en question. Comme toujours Nicolas Beuglet est pertinent, ambitieux même si cette fois-ci, j’ai quelques réserves alors qu’il a encore toutes mes faveurs… So What ?
L’île du diable est donc la troisième enquête mettant en scène Sarah Geringën ex-inspectrice des forces spéciales que je suis heureuse de retrouver, notre audacieuse héroïne gagnée par la culpabilité depuis quelque temps apparaît plus fragilisée qu’on ne pouvait le présager. Elle tient à elle seule toute l’intrigue dans les différents arcs narratifs amorcés précédemment ; comprenez qu’il faut impérativement avoir lu les précédents pour savourer un minimum et à leur juste valeur au moins une des deux intrigues dont le voile est levé.
Le point fort de ce nouveau roman est à la hauteur du talent de Nicolas Beuglet : sa thématique principale et universelle ; un fait scientifique qui risque de bouleverser l’histoire de l’humanité, sa révélation et son développement tardifs font qu’il devient le point culminant de l’intrigue.
Conjugué à cela un fait historique terrifiant, une vérité effroyable passée sous silence…
Ces deux thèmes qui s’entrelacent ont la particularité de n’avoir presque jamais été abordés, et pas seulement en fiction, on en est seulement aux prémices de la découverte de l’un et peut-être un acte volontairement tu de l’autre, ce qui explique peut-être le manque d’approfondissement que j’ai ressenti.
Parce que ce que j’aime en particulier chez Nicolas Beuglet, ce n’est pas son style d’écriture dynamique ni sa construction page-turner dont il excelle, ce sont les thématiques recherchées, son ambition à construire une fiction sous le prisme des faits réels, mais cette fois-ci cela méritait d’être creusé et étoffé, le défaut de ce thriller est d’être trop court et parfois trop « facile ». Comme je l’ai dit les faits arrivant bien trop tardivement, je ne prends pas le risque de vous en divulgacher une infime partie.
J’aurais aimé en dire plus, ils sont encore une fois instructifs, appuyés sur de réels recherches, et laissent une empreinte après la lecture, j’en suis ressortie encore une fois secouée par ce que j’ai lu et par le talent de l’auteur à toujours déterrer les secrets les plus enfouis.
J’ai frôlé le coup de coeur avec cet auteur pour la deuxième fois consécutive mais peut-être que Nicolas Beuglet, qui peut se targuer de savoir nous surprendre, nous assommera le coup final la prochaine fois
Piùma 1er octobre 2019
L’île du diable - Nicolas Beuglet
❤️💣 COUP DE CŒUR 💣❤️ : une bombe livresque diaboliquement bien ficelée et tordue, aussi efficace que cruelle, j’ai adoré !
« 𝐄𝐭 𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐥à, 𝐚𝐮 𝐬𝐞𝐮𝐢𝐥 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐦𝐨𝐫𝐭, 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐬𝐨𝐧 𝐮𝐥𝐭𝐢𝐦𝐞 𝐞𝐱𝐚𝐦𝐞𝐧 𝐝𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐜𝐢𝐞𝐧𝐜𝐞, 𝐪𝐮’𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐬𝐨𝐧𝐝𝐚 𝐬𝐨𝐧 𝐜œ𝐮𝐫. »
Un an ! Un an que j’attendais avec impatience de retrouver notre inspectrice des forces spéciales norvégiennes, Sarah Geringën.
Sarah Geringën est aussi intimidante autant qu’elle suscite l’admiration chez les jeunes recrues ! Pourtant loin d’avoir perdu son caractère inflexible à toutes épreuves, l’auteur dépeint le portrait d’une femme fragilisée par ses souffrances du passé. Il y a des blessures intérieures qui qui peinent à cicatriser... Tôt ou tard, il faut oser affronter la vérité. Et quelle vérité ! 😱 Sarah ne le sait pas encore mais elle est au cœur d’une machination sordide. Elle est dans le collimateur de l’œil du Diable ..
J’ai eu plaisir à retrouver la plume de Nicolas Beuglet, une écriture saisissante, mordante, une atmosphère pesante et oppressante, des scènes de l’horreur dérangeantes à faire trembler d’effroi.
J’ai beaucoup aimé les thèmes historiques et scientifiques abordés concernant un des secrets génétiques de l’humanité mais aussi une période de la seconde guerre mondiale dont on ne parle jamais.
J’ai aimé également l’amour sans faille que se portent les personnages malgré les circonstances tragiques et les doutes. On retrouve les valeurs de la famille et du couple.
Pour moi, tous les ingrédients étaient bien présents, rendant l’intrigue addictive, nous faisant tourner les pages avec frénésie pour enfin connaître le dénouement final et quelle claque !
C’est seulement en refermant ce livre que je me suis rendue compte que j’avais eu le souffle coupé tout au long de ces quelques 300 pages !
Un livre d’une cruauté à couper le souffle, une intrigue glaçante et tordue ! Foncez !!
QuoiLire 29 septembre 2019
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Une nouvelle fois Nicolas Beuglet nous entraîne dans une histoire inspirée de faits réels avec un pan de l’histoire stalinienne. Cet aspect inconnu sur lequel très peu de personnes ont publié, est à la fois effrayant et très intéressant de connaître un élément (de plus) des travers et dérives de cette dictature.
L’histoire est trépidante et se déroulante à 200 à l’heure sous amphétamine, de la première à l’avant dernière page. D’ailleurs il est fortement recommandé d’avoir lu les deux premiers tomes, pour pouvoir embarquer dans cette aventure, car le rappel succinct en prologue du roman ne suffira pas à prendre le train en marche lancé à vive allure.
Malheureusement, je n’ai pas retrouver les autres qualités des deux premiers romans (Le cri, Complot) de Nicolas Beuglet. L’enquête est (trop) rapidement conduite, les éléments s’enchaînant presque naturellement sans écueil, les caractères des principaux personnages n’évoluent pas, la conclusion de l’enquête et de l’histoire trop rapide, trop convenue et sans grande originalité. Mais ce sont les raccourcis de récit employés par l’auteur qui m’ont le plus dérangés comme les analyses ADN faites sur le lieu du crime en un rien de temps, alors que l’on sait que cela met plusieurs heures voire plusieurs jours.
Un roman palpitant mais sans grande originalité en dehors des faits réels dont il s’inspire.
https://quoilire.wordpress.com/2019/09/29/nicolas-beuglet-lile-du-diable/
Killing79 27 septembre 2019
L’île du diable - Nicolas Beuglet
Depuis quelques années, le monde du thriller français accueille de nouveaux membres. Comme je suis un fan de ce genre que j’aime intercaler dans mes lectures, j’essaye de me tenir à jour. Et comme les nouveaux arrivés se transforment assez souvent en de belles surprises, ma wish-list et ma bibliothèque ne cessent de croître. Nicolas Beuglet en est un parfait exemple.
« L’île du diable » est la troisième aventure de Sarah Geringën mais l’auteur parsème le texte d’allusions aux précédents épisodes afin de ne pas trop perdre le nouveau lecteur. Pour cette nouvelle affaire assez personnelle, l’héroïne est baladée de lieu en lieu au fil des indices qu’elle trouve. L’enquête qui paraît basique au départ, part très vite sur les sentiers de l’Histoire et de la science. On apprend aux détours des investigations, des vérités sur un passé assez sordide et sur des expériences scientifiques assez troublantes.
Sur la forme, les chapitres très courts se succèdent à un rythme élevé. La narration ne souffre d’aucun temps mort et le roman est un vrai page-turner. Une fois commencé, on ne s’arrête plus. Nicolas Beuglet semble vouloir créer des polars aussi palpitants qu’instructifs.
Je peux dire que j’ai aimé ce premier contact avec l’auteur. Je regrette juste la brièveté du livre qui entraîne un manque de profondeur sur les théories abordées. En effet, les sujets sont intéressants et auraient mérités un traitement plus poussé. J’ai aussi souffert d’un manque de connaissances, donc d’empathie envers Sarah. Mais pour cela, je ne peux m’en prendre qu’à moi-même. J’aurais dû lire les deux premiers tomes (plus denses) pour étoffer le personnage. Par conséquent, je vais tenter de corriger ces lacunes en inscrivant ces lectures dans mon planning de lecture.
Avec cette aventure efficace et surprenante, Nicolas Beuglet fait son entrée sur mon étagère Thriller !
http://leslivresdek79.com/2019/09/27/492-nicolas-beuglet-lile-du-diable/
Angie - Blog Culturez-moi 26 septembre 2019
L’île du diable - Nicolas Beuglet
⭐️ Chronique ⭐️ L’île du Diable de Nicolas Beuglet
L’éditeur a eu la très bonne initiative de mettre un résumé au début du livre nous permettant de resituer les personnages et les intrigues des précédents romans. Parfait pour moi qui découvre cette série.
J’ai rencontré de Sarah, une ancienne combattante des forces spéciales qui visiblement a joué aux héroïnes dans les tomes précédents. Au début du roman, son père est assassiné. Elle va donc bien évidemment prendre officieusement les rênes de l’enquête pour faire la lumière sur ce meurtre.
Commençons par les points positifs. Clairement, c’est hyper addictif, les chapitres sont courts, bourrés d’action et de dialogues et tout s’enchaîne très (trop ?) vite. Pour être honnête, j’ai lu les 300 pages en seulement deux sessions de lecture. Donc si je n’avais vraiment pas aimé je ne l’aurais pas bouffé aussi vite.
Mais malheureusement l’aspect addictif ne fait pas tout. Premièrement, je n’ai absolument pas pu m’attacher à l’héroïne. Sur ce point je ne me formalise pas trop car peut-être qu’en ayant lu les précédents romans je me serais sentie plus proche de l’héroïne. Pour tout vous dire, j’ai trouvé Sarah assez fade, parfois caricaturale.
D’autre part, j’ai ressenti un manque criant de profondeur dans ce récit. Tout va trop vite en besogne. Les déductions sont faites en un battement de cils, les conclusions sont hâtives et parfois stéréotypées. Un certain nombre d’éléments auraient vraiment mérité d’être creusés d’autant plus qu’il y a des faits réels passionnants dans cette histoire.
⭐️ En bref ⭐️
La plume est belle et efficace, le style est addictif, l’ambiance est réussie mais il m’a néanmoins manqué une profondeur au niveau de l’enquête. L’impression qu’il fallait aller vite à l’essentiel pour je ne sais quelle raison.
Comme toujours, mon avis est purement personnel, si vous aimez Nicolas Beuglet alors foncez sur ce nouvel opus pour vous faire votre avis. Si comme moi, c’est une découverte alors commencez par Le cri et Le complot. Vous trouverez ainsi peut-être cette profondeur globale de l’œuvre que je n’ai pas ressenti avec ce dernier roman.
https://culturez-moi.com/lile-du-diable/
1001histoires 24 septembre 2019
L’île du diable - Nicolas Beuglet
L’île du diable : Sarah Geringën a été acquittée dans l’affaire du Vatican ( voir "Complot" ici ). Elle peut donc quitter le centre pénitentiaire d’Oslo après presque un an de détention. Mais elle est menacée d’une nouvelle inculpation suite à des activités suspectes après son retour d’Afghanistan où elle servait dans les forces spéciales. Elle doit faire vite car une nouvelle enquête l’attend, une affaire qui la touche personnellement, son père a été assassiné. Sarah était-elle visée à travers ce meurtre ?
La première partie du roman est une folle enquête avec des analyses de la police scientifique bluffantes, un jeu de piste angoissant qui la mène d’un manoir abandonné à une crypte secrète dans les immenses forêts norvégiennes. Nicolas Beuglet n’a pas perdu la main et propose au lecteur un nouveau page-turner tout aussi efficace que les deux premières aventures de Sarah. Bravo à l’auteur pour ce qui sera incontestablement trois réussites successives incontestables.
Mais Nicolas Beuglet sait aussi se renouveler en puisant son inspiration dans l’Histoire tragique de l’URSS et dans des découvertes scientifiques récentes. Le lecteur est autant surpris que Sarah qui découvre des facettes insoupçonnées de la personnalité de son père. Va-t-elle pouvoir expliquer sa propre culpabilité et l’angoisse qui l’habitent depuis toujours ?
Dans cette aventure, le lecteur retrouve Christopher qui enquête sur le comportement de Sarah à son retour d’Afghanistan. C’est la pièce manquante du puzzle. Stefen Karlstrom le directeur de la police d’Oslo effectue des recherches déconcertantes. C’est la pièce du puzzle qui ne s’assemble avec aucune autre. Et puis il y a Adrian Koll, jeune et timide policier débutant qui ne quitte pas Sarah et lui apporte une aide aussi efficace que surprenante.
Après la Norvège, l’action se déplace au coeur de la Sibérie où des surprises en cascade et de nouveaux dangers attendent Sarah. Elle est la cible d’une vengeance physique et psychologique implacable de la part d’un ennemi redoutable. Le lecteur n’en finit pas d’éprouver de l’empathie pour cette héroïne à la fois si forte et si sensible.
Merci aux Editions XO et à Nicolas Beuglet pour sa sympathique dédicace.
Découverte du polar nordique
calyenol 24 septembre 2019
L’île du diable - Nicolas Beuglet
" Contrairement aux animaux qui fonctionnent à l’instinct,l’homme est libre de choisir ses actions.Il est libre de faire le bien ou le mal.Il peut contrôler ses instincts,il peut influencer sa nature."
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ᒧ’ÎᒧƎ ᗡU ᗡIAᗺᒧƎ de Nicolas Beuglet .
Un corps recouvert d’une poudre blanche,les extrémités gangrenées,un visage figé dans un rictus d’horreur...et dans l’estomac,une clé...
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On retrouve dans ce 3eme opus Sarah Geringën qui va dans cette enquête,se confronter à ses angoisses,au passé de ses ancêtres dans les plaines de Sibérie où l’horreur de la déportation leur a fait vivre l’enfer et prendre des décisions que peut-être nous aurions prise aussi.
Car que sommes nous capables de faire pour survivre ?
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L’auteur affirme avec "ᒧ’ÎᒧƎ ᗡU ᗡIAᗺᒧƎ " son talent,avec une plume parfaite et une histoire captivante dont l’intrigue m’a poussé à aller toujours plus loin dans ma lecture.Je posais le livre...je voulais de suite le reprendre.
Au delà de l’enquête,on ressent l’humanité,mais aussi la peur de mourir et surtout l’horreur des choix des déportés de Naziro.
Un secret terrifiant pour Sarah qui l’a fait douter en ce qui concerne l’épigénétique,ce fameux code génétique qui nous relit de génération en génération.
Après "Le Cri" et "Complot",l’auteur m’a facilement embarqué,encore une fois,dans son univers.
"ᒧ’ÎᒧƎ ᗡU ᗡIAᗺᒧƎ " est un thriller qui hâpe,qui bouleverse de par sa plongé dans l’histoire que je ne connaissais pas,qui angoisse.
Un sans fautes....ah si,peut-être,j’aurais voulu encore et encore plus de pages 😉
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"Si un jour tu perds confiance en toi,si tu ne t’estimes plus,souviens-toi de ce mot : Timshel, "Tu peux".