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Blade Runner 2049 - Denis Villeneuve

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Résumé :

Suite de Blade Runner se déroulant plusieurs années après le film de 1982. Harrison Ford y reprend le rôle de Rick Deckard.
Blade Runner (1982) : Dans les dernières années du 20ème siècle, des milliers d’hommes et de femmes partent à la conquête de l’espace, fuyant les mégalopoles devenues insalubres. Sur les colonies, une nouvelle race d’esclaves voit le jour : les répliquants, des androïdes que rien ne peut distinguer de l’être humain. Los Angeles, 2019. Après avoir massacré un équipage et pris le contrôle d’un vaisseau, les répliquants de type Nexus 6, le modèle le plus perfectionné, sont désormais déclarés "hors la loi". Quatre d’entre eux parviennent cependant à s’échapper et à s’introduire dans Los Angeles. Un agent d’une unité spéciale, un blade-runner, est chargé de les éliminer. Selon la terminologie officielle, on ne parle pas d’exécution, mais de retrait...

https://www.youtube.com/watch?v=O4C5cwSbXZ8

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Vos #AvisPolar

  • spitfire89 15 octobre 2023
    Blade Runner 2049 - Denis Villeneuve

    Une suite aussi prenante que le premier volet, des réponses vont être apportés de nouvelle questions se poseront, un gros casting, une intrigue sombre, beaucoup de réflexion, des effets visuelles impressionnant. Un bon jeu d’acteur avec Gosling et Ford.

  • Nahjka 20 janvier 2019
    Blade Runner 2049 - Denis Villeneuve

    Très librement adapté d’un roman court de Philip K. Dick, Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ?, le premier film de 1982 suivait la traque d’androïdes rebelles (nommés « Réplicants ») par un superflic désabusé, dans un Los Angeles de l’an 2019 écrasé par la pollution. Au fil du récit, Rick Deckard (joué par Harrison Ford) finissait par prendre conscience de l’inhumanité de sa mission, tomber amoureux de la réplicante Rachel et prendre la fuite avec elle.

    Dans Blade Runner 2049, le monde est encore plus abîmé et surpeuplé. Les écosystèmes ont implosé, Los Angeles et ses environs agonisent et de nouvelles générations d’androïdes, plus performants et plus obéissants, sont au service des autorités. L’agent K (interprété par Ryan Gosling) en fait partie et le film nous le présente comme un « contremaître » tout autant blasé que son prédécesseur, chargé de pister et d’éliminer de vieux Réplicants toujours dans la nature. Lors d’une de ses missions, il découvre un cercueil au pied d’un arbre. Une étude révèle que la femme qui occupait la sainte boîte – une réplicante – a donné naissance à un enfant. Véritable séisme au sein des élites ! Si les robots se mettent à faire des petits comme les humains, où va le monde ? Mandaté par sa supérieure (Robin Wright), il doit retrouver la trace de cet être dont l’existence même risque de plonger le monde dans un irrémédiable chaos. Enfin tout du moins un chaos bien plus dévastateur qu’il ne l’est déjà…

    Roger Deakins, directeur de la photographie tant pour les frères Coen, Sam Mendes que M. Night Shyamalan, met à nouveau son talent incontestable en jeu pour offrir un film visuellement superbe. Chaque plan est un véritable travail d’orfèvre. Que l’on soit face à un paysage, lors d’un dialogue intimiste ou au fil d’une scène banale, aucun angle de caméra, lumière ou couleur n’est laissé au hasard. La photo est fabuleuse, offrant une foule de visions hallucinées. Tout n’est que détails, conférant aux décors, costumes et coiffures une dimension fascinante.

    Les puissants moyens technologiques hollywoodiens sont mis au service de visions inspirantes. A ce titre Los Angeles reste toujours une mégalopole grouillante, plongée dans une nuit éternelle, constamment balayée par la pluie ou la neige, traversée par des engins volants, quadrillée de publicités luminescentes, d’hologrammes géants, d’images sexy en 3D et autres stimuli du consumérisme flottant dans les airs. On est totalement happé par la densité de cet univers urbain, tant dans les plans extérieurs qu’au sein des décors intérieurs.

    Mais cela peut-il suffire à faire de Blade Runner 2049 un chef d’œuvre de la science-fiction ?
    Malheureusement pas… On ressent lors du visionnage un sentiment permanent de film qui peine à se réaliser complètement et qui reste prisonnier de sa mythologie malgré les efforts pour élargir le périmètre de l’histoire.

    Le scénario fait reposer entièrement sa narration et ses morceaux de bravoure émotionnels sur le souvenir de son prédécesseur, convoqué régulièrement (pour ne pas dire « très » régulièrement) via l’intrigue mais aussi des motifs sonores, des figures du passé, voire des extraits complets de l’incontournable classique de Ridley Scott.

    La durée de presque 3h du film, qui lui permet incontestablement de prendre correctement son temps, amène à quelques longueurs et à de nombreux passages bien trop contemplatifs quand un peu plus de matière scénaristique aurait été bienvenue. Surtout pour offrir comme résultat une fin quelque peu précipitée et de nombreuses sous-intrigues bien trop stagnantes…

    Il manque donc clairement quelque chose à Blade Runner 2049 pour devenir un film incroyable. La raison en est certainement toute simple : une histoire assez classique et un manque clair de rebondissements.

    Le film aborde bien entendu des sujets de réflexion chers à K. Dick : la condition humaine, la génétique ou encore les dérives technologiques…
    L’appareil culturel et théorique est plutôt impressionnant, un condensé syncrétique de multiples mythes, figures et motifs littéraires, philosophiques et picturaux.
    Peut-être est-ce là que se situe l’ambivalence du long-métrage : Blade Runner 2049 n’est pas un film d’action trépidant bien que tous les ingrédients soient présents pour qu’il le devienne. Sa beauté vient d’une douce mélancolie et d’une contemplation de la solitude et du mal-être rongeant une part toujours plus conséquente de l’humanité, mais qui laisse à ce titre un sentiment d’inachevé.

    L’œuvre est donc loin d’égaler la féérie, la poésie et la magnificence du film de Ridley Scott.
    L’ombre de 1982 écrase clairement chaque plan de ce nouvel opus.

    Il n’en reste pas moins que 2049 est une belle réussite, qui ne marquera pas autant les esprits que son prédécesseur mais qui mérite tout de même une certaine attention.
    Car après tout, comme le dit le proverbe, « la beauté est aussi dans l’œil de celui qui regarde »…

  • MythoManiac 29 octobre 2018
    Blade Runner 2049 - Denis Villeneuve

    Le film que l’on attend depuis bien longtemps, le film dont on entend parler depuis bien longtemps, des rumeurs disent peut être dans deux ans, mais un jour peut être, ce jour est arrivé alléluia !
    Le cris religieux n’est pas loin tant le mythe blade runner a donné naissance à une partie du cinéma, tant cette suite hérite de son père, tant le sujet du film est biblique.
    Enfin, il est arrivé, Dennis Villeneuve aux commandes et Ridley Scott au contrôle et Hampton Fancher co-scénariste du premier volet.
    Il va être difficile de donner un avis rapide.
    Le film engendre un double sentiment au sujet du fond comme de la forme, des imperfections gênent et réduisent l’ampleur du retour du mythe.
    Le film commence et ne laisse planer aucun doute sur la condition des blade runner. On entre directement par un œil (comme dans le film de 1982) puis le gigantisme organique, cette terre et ces villes surpeuplées rappelant l’épiderme de la peau.
    Le film est sublime, les plans sont travaillés et l’ambiance est pesante.
    L’univers est tellement travaillé que l’aspect poisseux et gluant du premier film est remplacé par de une sorte de saleté propre. L’univers pesant n’est jamais réellement hostile ou oppressant, le spectateur est tenue à distance de cet univers, observateur froid derrière une vitre (symbolique de ce que l’on va découvrir ? Vivre le rêve d’un autre !)
    Une autre gène vient de la vision contemplative qui marque le film de nombreux ralentissement, quand ce ne sont pas les envolés de certains dialogues ou des effets qui appuient lourdement sur des points de l’intrigue (les flashbacks réguliers pour spectateurs en sommeil).
    La musique vient nous rappeler à l’ordre violemment sans tendresse contrairement à celle de Vangelis autrefois.
    Le scénario fait écho au premier film mais il n’est pas un simple copier coller, il y a du respect, une continuité et des ponts avec l’univers construit par le film de 1982.
    Le malaise vient par le traitement des thèmes abordés tantôt sans finesse de façon très scolaire tantôt avec intelligence.
    Les comédiens ont leur part dans cette ambiance Ryan Gosling campe un personnage qui se fait voler la vedette par plusieurs personnages tout au long du film ce qui n’aide pas à créer de l’empathie pour lui (pauvre Pinocchio).
    Harrison Ford fait simplement du Harrison Ford gommant les traits du personnage qu’il était.
    Les personnages secondaires ont aussi le syndrome "tantôt", peu de profondeur ou déployant de la force pour accompagner l’un des thèmes.
    Est-ce là une ouverture pour des suites ou un univers étendu, avec 3 courts métrages donnant des informations sur des événements ayant lieu entre les deux films... Rien n’est moins sûr.
    Il ne faut pas se tromper, il faut absolument voir ce film, qui offre une suite de très grande qualité loin des infâmes suites de films cultes des dix dernières années, SOS Fantômes 3 par exemple, après les grands fans de la première heure n’y trouveront pas exactement leur compte.

  • Kzar 1er octobre 2018
    Blade Runner 2049 - Denis Villeneuve

    Denis Villeneuve a su en faire un film à l’esthétique magnifique et à l’ambiance enveloppante. J’ai aimé la créativité visuelle et le mélange du réel et du virtuel (j’ai notamment adoré la très belle scène d’amour de l’androïde -K- et de son hologramme-assistante).
    On sent également beaucoup d’humanité (K se questionne sur son identité) et d’émotions dans le film.
    A voir sur un bel écran si possible !

  • Kzar 1er octobre 2018
    Blade Runner 2049 - Denis Villeneuve

    Denis Villeneuve a su en faire un film à l’esthétique magnifique et à l’ambiance enveloppante. J’ai aimé la créativité visuelle et le mélange du réel et du virtuel (j’ai notamment adoré la très belle scène d’amour de l’androÏde -K- et de son hologramme-assistante).
    On sent également beaucoup d’humanité (K se questionne sur son identité) et d’émotions dans le film.
    A voir sur un bel écran si possible !

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