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L’Affaire Bramard-Davide Longo

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Résumé :

Corso Bramard est le plus jeune commissaire d’Italie. Un homme aussi insondable que les montagnes piémontaises, et dont les intuitions s’approchent de la clairvoyance. Sa vie se dissout lorsque Automnal, un tueur en série qui entaille le dos de ses victimes avec d’étranges dessins, s’en prend à sa femme et à sa fille.
Vingt ans plus tard, Corso, désormais enseignant, vit dans la campagne turinoise et passe son temps à grimper en montagne, souvent de nuit, dans l’espoir à peine dissimulé de tomber. Pourtant, il reste quelque chose de bien vivant en lui : l’obsession de mettre la main sur son ennemi. Car l’assassin continue à le narguer en lui envoyant par la poste des extraits d’une chanson de Leonard Cohen. Dix-sept lettres en deux décennies.
Mais cette fois, dans la dernière, Automnal commet une petite erreur. Juste de quoi ouvrir la brèche, dans laquelle Bramard va s’engouffrer avec toute la force du désespoir. Dans cette quête épique et absolue, Bramard aura plus que jamais besoin du commissaire Vincenzo Arcadipane, son élève et ami, pour peut-être enfin atteindre sa cible, et trouver la paix.
Il le traque depuis une vie, mais Automnal a toujours eu une longueur d’avance. Jusqu’à aujourd’hui.

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Vos #AvisPolar

  • lecturesdudimanche 11 septembre 2024
    L’Affaire Bramard-Davide Longo

    Les éditions du Masque (que je remercie au passage !) se sont dit que j’apprécierais certainement cette petite balade dans la campagne Turinoise. Ils m’ont donc invitée à partir à la rencontre de Corso Bramard. Corso est prof, adepte de la randonnée, désespérément solitaire, limite ermite aux tendances suicidaires. Non qu’il cherche volontairement la mort, mais il ne serait probablement pas contre l’idée que tout s’arrête. Mais Corso n’a pas toujours été ce prof taciturne. Autrefois, il était flic. Et même l’un des meilleurs. Sa carrière s’est brisée en plein vol quand un tueur en série sur lequel il enquêtait s’en est pris à sa famille. L’absence de son épouse et de sa fille l’a condamné à une morne vie de tristesse dont il semble simplement attendre qu’elle passe. Pourtant, à intervalles réguliers, l’assassin s’amuse à rouvrir les vieilles blessures en envoyant à Corso des extraits d’une vieille chanson de Léonard Cohen. Cela fait vingt ans que Corso n’arrive pas à cicatriser, vingt ans et dix-sept lettres. Sauf que cette fois, Automnal a commis une toute petite erreur… Suffisante pour que le chien de chasse au fond de Corso se réveille, bien décidé, cette fois, à traquer sa proie jusqu’au bout. Pour l’y aider, Corso pourra compter sur son ancien collègue et ami, le commissaire Arcadipane, dont il fut le mentor à une autre époque. Arcadipane n’a pas les coudées franches pour aider son vieil acolyte, alors il lui met dans les pattes une fliquette qui exaspère tout le monde, Corso le premier, mais dont les compétences se révéleront plutôt utiles…

    Ne vous y trompez pas. Cette histoire a tout du thriller, excepté le rythme. Car le tempo de l’histoire sied à merveille aux décors, et c’est presque comme si l’on était dans un vieux film en noir et blanc à l’accent mélancolique. Tristesse, lenteur… Pas forcément, vous le savez, mes ingrédients préférés. Cependant, Corso est indéniablement un personnage touchant. Sa quête l’a usé, mais la vérité est toute proche, et il mettra sa ténacité à son service.

    La fin apporte un petit regain de peps, les éléments se décident enfin à s’emboîter d’un coup. Peut-être même d’un coup trop rapide, eu égard à la langueur qui a accompagné tout le livre… Ce ne fut donc pas forcément ma lecture de l’année, mais je garderai quand même un bon souvenir de Corso Bramard !

  • Chineuse Delecture 28 juin 2024
    L’Affaire Bramard-Davide Longo

    Davide Longo, marionnettiste littéraire talentueux, campe des personnages haut en couleur et en gouaille. Le verbe ciselé s’acoquine avec des phrases drôle à souhait. Un thriller haletant mais parfois un peu pantouflard, la temporalité et les coïncidences se multiplient un peu trop. Voir sa suite.

  • spitfire89 28 juin 2024
    L’Affaire Bramard-Davide Longo

    Premier tome de se roman noir mettant en scène Corso Bramard, un ancien commissaire taciturne au cœur brisé après que deux décennies plus tôt sa fille et sa femme furent les victimes du tueur en série d’Automnal toujours libre.
    Corso Bramard devenu enseignant replonge dans l’enquête lorsqu’un ami l’informe qu’une nouvelle lettre d’Automnal vient d’arriver. Arrivera t’il a rendre justice a sa femme et a sa fille ainsi qu’au autres victimes ?

    Davide Longo nous plonge dans un polar noir avec des personnages construits subtilement, comme souvent dans ce type de saga nous naviguons dans les sombres tréfond de l’âme humaine. La plume de l’auteur est détonante, elle mêle obscurité et humanité. On découvre les multiples facettes de Corso personnage complexe. Corso a gravi les échelons et devient le plus jeune commissaire d’Italie. Avant une chute avec l’affaire d’Automnal causant la mort de ses proches.

    Une atmosphère oppressante, un rythme soutenu mais aussi lent, de la tension, une narration chorale, des personnages bien construits, on découvre les passions de Corso et les références japonaises.

    "Quand tu fais un boulot comme celui-là, tu n’as besoin de rien d’autre que d’une femme qui s’endort avant toi. Si tu as eu la chance d’en trouver une et la malchance de la perdre, autant te fracasser la tête contre un mur, car plus jamais tu ne dormiras comme avant."

    "Corso aperçut le village au loin. Il n’avait même pas tourné la tête vers sa maison ou celle de son oncle. Aucune pensée parasite ni de regard en arrière, seulement le présent et la trajectoire qui le mènerait quelques mètres plus loin. Il n’avait pas fonctionné de cette façon depuis bien longtemps. Il n’aurait pas cru en être encore capable."

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