- Auteur : Jean Dardi
- Editeur : Inceptio éditions
- Date de sortie : 12 novembre 2021
- EAN : 9782490630714
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Résumé :
Depuis plus d’une décennie, des fillettes disparaissent dans la Côte de Beaune. La Gendarmerie s’y casse les dents, ne recueillant que de faibles indices. Pas de corps, pas de mode opératoire, des scènes de crime inexploitables… Immanquablement, les autorités s’impatientent, les médias s’affolent, la psychose gagne les habitants du cru. Dans ce creuset de violence, on se regarde désormais en chien de faïence, on se soupçonne, on se dénonce. Et comme pour conjurer le sort, les pires exactions se produisent… Le jour où un braconnier découvre incidemment le corps de la douzième petite victime, les gendarmes demeurent pétrifiés d’effroi à la lecture du rapport d’autopsie. En désespoir de cause, on dépêche sur place le commandant de police Stéphanie Derochelle, alias La Louve. Le fleuron de l’OSRMD - une nouvelle unité de police spécialement créée pour ce type d’affaires insolubles -, réputé pour ses méthodes musclées, parviendra-t-il à dénouer enfin les fils de l’énigme ? D’autant plus que, malgré ses efforts, les disparitions se poursuivent…
Lou Mael 28 novembre 2022
Le voleur d’âmes - Jean Dardi
Voici une histoire très éprouvante car les crimes sont perpétrés sur des enfants. D’autant plus que l’auteur ne nous préserve ni de la douleur de perdre un enfant, ni de la souffrance que ces innocents subissent de la part de leur bourreau. Les scènes sont tellement criantes de réalisme que j’en avais des frissons, j’y assistais, impuissante.
Jean Dardi s’est fait un malin plaisir à me balader concernant l’identité de cet assassin sans scrupules. Un coup il donne une indication tendant à nous orienter sur une piste, pour ensuite nous mettre dans le doute. Nous avons le sentiment de repartir à zéro tout comme ce sera le cas pour Stéphanie Derochelle dite « La louve ».
Cette dernière est le personnage central de l’intrigue. Elle est à la fois faible et forte. Affaiblie dans sa vie personnelle par le drame qu’elle a subi. Paradoxalement, cette souffrance sera mue en une force et une rage tenaces qui l’aident à traquer les pervers les plus dangereux. Bien évidemment, elle y laissera quelques plumes au passage. Sa fille reste ce fil ténu qui lui permet de tenir la tête hors de l’eau face à toutes ces abominations qu’elle côtoie au quotidien de par son travail et dans lequel elle excelle.
Le style de l’auteur est fluide et les mots sont sciemment choisis, faisant passer une fillette du statut d’enfant à celui de cadavre, la dépersonnalisant ainsi de tout ce qu’elle a pu être auparavant.
Après avoir vécu une histoire difficile, Jean Dardi vous achève avec son épilogue d’une noirceur plus que révoltante qui risque fort de faire couler les larmes aux plus sensibles d’entre vous, si ça n’a pas déjà été fait !
Lou Mael 28 novembre 2022
Le voleur d’âmes - Jean Dardi
Voici une histoire très éprouvante car les crimes sont perpétrés sur des enfants. D’autant plus que l’auteur ne nous préserve ni de la douleur de perdre un enfant, ni de la souffrance que ces innocents subissent de la part de leur bourreau. Les scènes sont tellement criantes de réalisme que j’en avais des frissons, j’y assistais, impuissante.
Jean Dardi s’est fait un malin plaisir à me balader concernant l’identité de cet assassin sans scrupules. Un coup il donne une indication tendant à nous orienter sur une piste, pour ensuite nous mettre dans le doute. Nous avons le sentiment de repartir à zéro tout comme ce sera le cas pour Stéphanie Derochelle dite « La louve ».
Cette dernière est le personnage central de l’intrigue. Elle est à la fois faible et forte. Affaiblie dans sa vie personnelle par le drame qu’elle a subi. Paradoxalement, cette souffrance sera mue en une force et une rage tenaces qui l’aident à traquer les pervers les plus dangereux. Bien évidemment, elle y laissera quelques plumes au passage. Sa fille reste ce fil ténu qui lui permet de tenir la tête hors de l’eau face à toutes ces abominations qu’elle côtoie au quotidien de par son travail et dans lequel elle excelle.
Le style de l’auteur est fluide et les mots sont sciemment choisis, faisant passer une fillette du statut d’enfant à celui de cadavre, la dépersonnalisant ainsi de tout ce qu’elle a pu être auparavant.
Après avoir vécu une histoire difficile, Jean Dardi vous achève avec son épilogue d’une noirceur plus que révoltante qui risque fort de faire couler les larmes aux plus sensibles d’entre vous, si ça n’a pas déjà été fait !