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Le gamin des ordures - Julie Ewa

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Résumé :

Recroquevillés au fond d’une impasse où sont entreposées des bennes à ordures, deux enfants et un adulte tentent de s’abriter de la pluie. Lorsqu’elle les aperçoit, la jeune Lina leur apporte aussitôt de l’aide en leur procurant une tente.

Les Stanescu viennent de Roumanie. Le père a atterri ici, dans le nord de la France, avec ses enfants, Darius, neuf ans, et Cybèle, seize ans, espérant récupérer un peu d’argent pour rembourser sa dette au passeur.

Un destin tristement banal pour une famille Rom, à la merci des trafiquants en tout genre, qui bascule lorsque Darius et son père sont portés disparus. Alertée par Cybèle, Lina part à leur recherche avec l’aide de Thomas, un ami, remontant la piste périlleuse d’un réseau criminel aux ramifications puissantes.

Un suspense implacable et remarquablement documenté qui retrace le dangereux périple d’une famille Rom à travers l’Europe. Après Les Petites filles, Julie Ewa confirme sa singularité et se place parmi les jeunes voix du thriller français.

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Vos #AvisPolar

  • Émile84 2 mars 2023
    Le gamin des ordures - Julie Ewa

    Un roman très bien documenté qui nous permet de découvrir ce peuple de voyageurs que sont les Roms. Une intrigue réaliste, qui se tient.

  • Émile84 2 mars 2023
    Le gamin des ordures - Julie Ewa

    Un roman très bien documenté qui nous permet de découvrir ce peuple de voyageurs que sont les Roms. Une intrigue réaliste, qui se tient

  • Mélodie reno 31 décembre 2020
    Le gamin des ordures - Julie Ewa

    Quel livre, quelle claque, je me rappelerais longtemps de Darius, Cybele et Lina ❤ ravie d’avoir gagné ce livre à la tombola du noir 2019 et d’avoir découvert cette auteure de talent

  • Aude Lagandré 5 octobre 2019
    Le gamin des ordures - Julie Ewa

    La famille Stanescu arrive de Roumanie. Le père atterrit dans le Nord de la France avec ses deux enfants, Cybèle 16 ans et Darius 9 ans. Pour cette famille de Rom, la France représente un nouvel Eldorado. Fuyant la misère suffocante de leur pays de naissance, ils espèrent pouvoir enfin construire un avenir meilleur, par le travail et dans la dignité. Ce qui les attend est pire que ce qu’ils vivaient au pays, l’inconnu en sus, les rêves en moins. Chassés de la « platz » qui devait devenir leur refuge, ils errent dans la ville en faisant les poubelles. C’est à cette occasion qu’ils rencontrent Lina, une jeune femme qui a le coeur sur la main et ne peut accepter de les laisser à leur sort. Quand Darius et son père disparaissent, c’est chez Lina que Cybèle se rend naturellement pour obtenir de l’aide. Avec l’aide de Thomas, elles vont tenter de réunir la famille. Une aventure qui les mènera jusqu’à Paris.

    D’abord, je voudrais dire que j’avais beaucoup aimé le premier livre de Julie Ewa, « Les petites filles ». On y découvrait Lina poursuivant ses études en Chine, confrontée à la politique de l’enfant unique et à tous les trafics inhérents à cette mesure. Elle y rencontrait Thomas travaillant pour une ONG qui enquêtait alors sur les disparitions d’enfants, principalement des petites filles. Si vous ne l’avez pas lu, je vous le conseille pour découvrir le parcours des deux personnages principaux et découvrir leurs tempéraments.

    L’auteur utilise ses personnages principaux Lina et Thomas comme des bêta témoins de notre temps, mais elle leur rajoute la bonne dose d’humanité qui nous manque souvent. Quand nos regards se détournent de la misère, elle oblige ses personnages à l’affronter. Comme pour son premier opus, Julie Ewa a effectué un travail préparatoire à l’écriture : elle est partie sac au dos en Roumanie et a enquêté sur la situation des Roms. En ce sens, son livre soulève de véritables problématiques dont je n’avais même pas idée. Ce qui prouve que mes yeux à moi se sont aussi détournés.

    « À côté de ceux qui ne la remarquaient même pas se trouvait un afflux de passants qui fuyaient toute interaction. Il y avait les marcheurs impassibles : ceux qui gardaient les yeux fixés à l’horizon en ignorant délibérément sa présence. Plus ils s’approchaient de l’adolescente, plus leur cou semblait souffrir d’un vilain torticolis les empêchant de baisser la tête sur la mendiante qui gisait à leurs pieds. À côté de ces êtres imperturbables circulaient aussi une panoplie de « comédiens » qui, passés experts dans l’art de la simulation, s’apparentaient davantage à de mauvais clowns. Cet étudiant qui collait soudainement le nez à son portable. Cette femme qui paraissait émerveillée par la vitrine d’un toiletteur canin. Et tous les autres qui feignaient la rêverie ou l’inattention, une parade plutôt délicate en comparaison des gadjé qui changeait tout bonnement de trottoir, de peur d’être harponnés par un invisible hameçon. »

    Vous vous reconnaissez un peu, ça vous met mal à l’aise ? C’est normal, c’est le but ! Julie Ewa fait table rase des idées reçues et met à plat la véritable problématique de ce peuple. En mettant l’accent sur la libre circulation des hommes à l’intérieur de la Communauté européenne, elle explique très justement comment les Roms, qui ne sont pas forcément Roumains, et par opposition aux migrants, ne peuvent être « renvoyés chez eux » (que je hais cette expression). Alors, comment aider cette population estimée à dix millions en Europe, dont on ne sait que faire, bringuebalée de campement en campement, chassée en permanence, déplacée comme un colis devenu trop encombrant.

    « Le gamin des ordures » évoque donc un phénomène de société très actuel, incite le lecteur à ouvrir les yeux face à une misère qui fait partie du notre paysage urbain quotidien et dont nous avons finalement l’habitude.

    Et pourtant… Si ce n’est par la honte, je n’ai pas été touchée par ce roman. Mon cerveau n’a cessé d’analyser, de comprendre les différentes problématiques : j’ai appris énormément de choses dont j’ignorais jusqu’à l’existence. Je vous parle ici d’émotion pure. De larmes aux yeux, de sourires quand la situation s’améliore, de battements de coeur plus rapides qui encouragent à passer très vite à la page suivante. Je n’ai rien ressenti de tout cela. Ce qui me fait énormément m’interroger sur moi-même. Moi qui suis une écorchée vive, qui fonctionne principalement à l’émotion, pourquoi ce récit ne m’a-t-il pas touché, alors que je me sens tellement concernée par la situation des migrants ? En soit, c’est préoccupant, navrant et terriblement égoïste. J’avais l’impression de me regarder lire ce livre d’en haut, sans réussir à rentrer vraiment dedans, comme si quelqu’un d’autre que moi le lisait. J’étais indifférente et détachée, l’esprit uniquement focalisé sur le raisonnement. Impossible de m’attacher à cette famille, difficile également de m’attacher à Lina, Robin des Bois des temps modernes qui est pourtant pleine de bonnes intentions, d’humanité et d’une volonté farouche de venir en aide à cette famille, en dépit des difficultés, des kilomètres et de son propre confort. J’ai trouvé les personnages impliqués (je parle ici de Lina et Thomas) quand moi je les regardais avec froideur. En y réfléchissant, je suis le reflet parfait de la longue citation du début de cette chronique, celle qui passe et regarde son portable ou feint d’être très absorbée par une vitrine sans intérêt. Je suis celle qui ne veut pas voir. Je suis celle que ça encombre. Alors, même si je ne suis pas entrée dans cette lecture avec passion, si j’en suis sortie avec frustration, Julie Ewa m’a forcée à garder les yeux ouverts.

    C’est pour cette raison que je vous encourage vraiment à lire ce livre : c’est nécessaire parfois de se regarder en face et de faire un point avec soi-même.

  • Sangpages 2 mai 2019
    Le gamin des ordures - Julie Ewa

    Premier livre que je découvre de cette auteure et j’avoue avoir été transportée par son récit. Pas vraiment suspense, ni vraiment polar mais un récit de vie qui nous pousse à voir les choses tels quels sont. J’irai même jusqu’à dire qu’elle nous met le nez sur un vrai problème de société avec cette grande nouvelle Europe… Sordide, émouvant, c’est perturbant.
    Une très belle plume, un très bon rythme. Un excellent moment de lecture pour moi.

  • warlop 24 mars 2019
    Le gamin des ordures - Julie Ewa

    Julie Ewa avec le gamin des ordures nous entraîne dans un roman noir et contemporain, Une famille Rom Djino le père et les deux enfants Cybèle et Darius fuyant la misère et la persécution de leur pays, voient la France comme une terre d’Accueil, une Terre des Droits de l’Homme, une terre ou la différence n’est pas un obstacle.

    Mais une vie difficile s’offre à eux ou qu’ils aillent l’espoir se meut en désespoir , pour survivre il ne reste qu’à faire les poubelles, mendier mais essayer de garder sa dignité.

    Le rêve devient cauchemar quand ils doivent constamment changer de place pour éviter les policiers, eux les sans papiers, refoulés de leur pays , des « platz » de Paris, camps mis à leur disposition mais surpeuplés. Ils rencontrent Lina , jeune femme emplie d’humanité, idéaliste révoltée qui ne peut accepter leur sort. Quand Darius et son père disparaissent c’est accompagné de Thomas que la jeune femme mène son enquête, une enquête qui les emmènent en Hongrie.

    Un peuple livré à lui même, des enfants sous le joug de mafieux , de France en Hongrie la violence est reine pour asseoir son pouvoir, peu importe la façon , l’argent est un moteur vivace , même s’il faut vivre de réseaux de prostitution ou mettre en place « des enfants voleurs ».

    Pour ceux qui veulent s’ériger ou résister la mort est souvent au rendez vous.

    Une population dont on se méfie, parce que les préjugés ont la vie dure.

    Un livre émotionnel et sensible , un livre qui fait réfléchir et qui questionne, un roman noir ou le suspens est oppressant , la tension palpable, l’urgence incommensurable. Des personnages attachants, vifs, prompt à sauver l’humanité et d’un profond réalisme. Une histoire qui prend aux tripes qui fracasse le cœur mais surtout pas une histoire moralisatrice, des images fortes et immersives. Une lecture bouleversante Bref j’ai adoré.

  • nathf 12 mars 2019
    Le gamin des ordures - Julie Ewa

    Djino, Darius, 9ans et Cybèle, 16 ans, Roms venant de Roumanie, débarquent dans le nord de la France pour un avenir qu’ils espèrent meilleur.
    Errant dans les rues, ils rencontrent Lina qui les prend sous son aile. Jusqu’au jour où Darius et son père disparaissent......

    Dans ce roman noir, Julie Ewa reprend les personnages de "Les petites filles" et nous donne une autre perception du peuple tsigane.
    Il faut avouer que les clichés ont la dent dure ! On associe le mot roms à voleurs, mendiants ou assistés.
    Mais se pose-t-on la question de comment ils en sont arrivés là et comment ils peuvent garder une once de dignité quand leurs enfants vivent dans la misère ?
    Comme dans toutes les sociétés, il y a des gens bienveillants ou malfaisants, c’est ce que Lina va constater en se rendant en Hongrie (je ne vous en dis pas plus).
    Avec une écriture pleine d’humanité mais sans larmoiement, l’auteur nous ouvre les yeux sur ce qui nous entoure et que nous ne remarquons plus.
    " Le gamin des ordures" est un récit teinté de suspens, bouleversant et bourré d’émotions qui ne peut laisser indifférent.

  • karine gagnon 22 février 2019
    Le gamin des ordures - Julie Ewa

    Un grand merci aux Editions Albin Michel pour cette très belle lecture.

    On se retrouve plongé au coeur du quotidien des roms en France.

    Par l’intermédiaire de Djino et ses deux enfants, on part à la rencontre des difficultés rencontrées par ces familles, sans titre de séjour, et illégalement en France, qui essaient de s’en sortir comme ils peuvent.

    Et l’auteur nous livre avec brio les manigances de certaines personnes qui vont profiter de la misère des roms et notamment des enfants qui se retrouvent livrés à eux-mêmes.

    Nous assistons à la mise au jour d’un vaste réseau criminel, entraînant les enfants roms dans une "carrière" de voleurs à "la tire". De Paris en France en Hongrie, le trafic est extraordinairement menée par le "roi" qui sait user de la violence pour poser son pouvoir.

    Le courage de Lina est à la hauteur du récit. Cette dernière arrive à entraîner, non pas son colocataire Marc, mais un ancien petit ami Thomas, dont la relation amoureuse avec Sophie va pâtir de tout ça.

    Quand j’ai vu la date de naissance de l’auteur je n’en suis pas revenue....comme quoi le talent n’attend pas le nombre des années. Une jeune femme avec un professionnalisme époustouflant et une imagination débordante !!!!!

    Sur la forme du livre :

    Une centaine de chapitres composent ce livre et permettent une lecture plus qu’agréable. Le texte est aéré et la plume fluide.

    Dès le départ on est pris par l’histoire et les personnages qui sont plus qu’attachants. Que ce soit Cybèle et son entêtement, Lina par son courage et son empathie, ou Darius par sa débrouillardise, on est happé par cette histoire qui pourrait être vrai au vue de l’actualité.

    Conclusion :

    Un deuxième roman superbe....Chère Julie Ewa vous avez tout pour devenir un grand auteur !!! Et vous pouvez me compter parmi vos prochaines lectrices.

    Je vous laisse me donner votre avis sur cette nouveauté de chez Albin Michel.

  • Axelle de Lecturesetgourmandises 6 février 2019
    Le gamin des ordures - Julie Ewa

    L’écriture de Julie Ewa est subtile, abordant avec justesse le quotidien douloureux des gens du voyage.

    Je me suis rapidement prise d’affection pour Darius, sa soeur Cybèle et leur père qui arrivent en France à la recherche d’une vie meilleure. Mais le bonheur est de courte durée et le rêve bascule immédiatement en cauchemar à peine le pied posé en France.

    L’acharnement dont la famille fait l’objet est un véritable crève-coeur, ils n’ont aucun répit et ne peuvent pas rester plus de quelques nuits au même endroit. Ils sont poursuivis par les autorités qui usent de leur pouvoir pour faire pression sur eux.

    Ils feront pourtant la connaissance de Lina, une jeune femme qui leur tendra la main pour tenter de les aider.

    Malheureusement, la famille sera séparée, Cybèle faisant le choix de retourner en Roumanie et le reste de la famille prenant la direction de Paris.

    C’est à partir de ce moment là que les inquiétudes de Cybèle prendront naissance, cette dernière n’ayant aucune nouvelle de son père et de son frère.

    Le récit alterne les points de vue de Cybèle, de Darius, de Lina et d’autres personnages. Les sauts dans le temps sont fréquents, il faut donc bien suivre la lecture.

    Cybèle et Lina vont tisser de forts liens au cours de leur recherche. Lina est sensible et a le coeur sur la main. Elle se fait un devoir de retrouver Darius et son père, coûte que coûte.

    Le quotidien de la famille est difficile et la lecture est parfois douloureuse. À travers ce roman, l’auteur lève le voile sur la violence, les trafics et l’extrême pauvreté. On découvrira également que la misère n’est que la face cachée de l’iceberg, et l’enquête de Lina et Cybèle exposera au grand jour des réseaux organisés qui profitent de la vulnérabilité des Roms.

    L’écriture est fluide, l’auteur aborde des sujets compliqués sans tomber dans des clichés. Elle garde un oeil critique et traite avec justesse et sensibilité du quotidien de cette famille roumaine.

  • Ophé Lit 1er février 2019
    Le gamin des ordures - Julie Ewa

    Avec Le gamin des ordures , Julie Ewa nous emmène à la rencontre des Roms devant lesquels nous fermons si souvent les yeux… Qui sont-ils ? Pourquoi viennent-ils en France ? Que vivent-ils réellement ? Au delà des clichés, des idées pré-conçues et au travers d’une intrigue criante de réalisme, la jeune auteur nous entraîne dans un roman écrit avec le cœur et l’âme.
    Dans ce second roman de Julie Ewa, je retrouve sa plume caractéristique : des images chocs, des pointes d’humour, de la nervosité enrobée de douceur. Les chapitres sont courts et les 416 pages se lisent sans même que l’on s’en rende compte.
    Les lieux et les références temporelles s’imbriquent les uns dans les autres sans pour autant nous faire perdre la chronologie des événements, contribuant à maintenir la tension narrative tout au long du roman.
    Une fois encore, elle nous livre des personnages attachants qui nous font sourire, pleurer, qui nous touchent…
    Mais ce qui marque le plus dans ce second roman, ce n’est pas l’intrigue, aussi bien menée soit-elle, ce n’est pas la forme, mais bien le travail de fond qu’a fait l’auteur et la passion qu’elle a mit dans l’écriture pour nous livrer cette histoire. Comme pour son précédent, Les petites filles, Julie se sert d’un roman pour nous faire entendre son cri.
    Comme beaucoup, je détourne les yeux quand je vois des Roms. J’en ai une image négative, les a priori liés à mon métier, l’agressivité de certains, mais aussi et surtout cette capacité que nous avons tous à nous méfier de ce que nous ne connaissons pas.
    Grâce à la plume de Julie, à l’histoire de Darius et de sa famille, mon regard a changé, je n’ai plus peur…
    Bien que s’agissant d’un roman à suspens, Julie raconte les Roms, leur histoire, leurs us et coutumes, leur attachement à la famille, leur vision d’une France que les passeurs leur présentent comme un Eldorado pour s’engraisser sur le dos de leurs congénères. Elle revient sur leur arrivée plus massive en France depuis 2007 avec l’intégration de la Roumanie et de la Bulgarie à l’Union Européenne.
    Roms, Tziganes, Manouches ou Gitans, plusieurs mots qui définissent une minorité ethnique sans pays, qui partage une origine commune et qui a évolué différemment selon les pays dans lesquels ils se sont installés.
    Elle nous raconte la vie des Roms de Roumanie avant et après Ceausescu, le rejet des populations des pays dans lesquels ils vivent. Mal aimés, mis au banc des sociétés, l’Europe entière leur fait comprendre qu’ils sont des parias à nos yeux d’ « Hommes civilisés ».
    Julie nous parle aussi de la mafia Roms, de ces individus qui par goût de l’argent et de la richesse, n’hésitent pas à exploiter les leurs, les enfants : réseau d’enfants voleurs ou encore de prostitution, partout l’argent corrompt l’humanité.
    Enfin, l’intrigue se déroule en partie dans une ville du Nord, ne cherchez pas cette ville sur une carte, elle n’existe pas. Bugrassot pourrait être n’importe quelle ville de France…
    Le gamin des ordures, une lecture qui marque et qui fait évoluer notre regard sur le monde…

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