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La Terre des morts - Jean-Christophe Grangé

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18 #AvisPolar
10 enquêteurs
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8 enquêteurs
Veulent le voir/lire

Résumé :

Le commandant Corso est saisi de l’enquête sur les meurtres de stripteaseuses à Paris et pense hériter d’une nouvelle affaire criminelle, mais il se trompe. Alors qu’un affrontement sans merci s’amorce avec son principal suspect, un peintre débauché et assassin, un nouvel adversaire change la donne : Claudia Muller, une avocate manipulatrice qui va projeter une lumière nouvelle sur cette affaire.

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Vos #AvisPolar

  • chantal64 14 décembre 2023
    La Terre des morts - Jean-Christophe Grangé

    Une plongée dans le monde sado maso aux côtés de l’enquêteur Corso , je ne m’attendais pas à ça en commençant le livre. Mais tout compte fait, je ne regrette rien et bien au contraire, reconnais avoir été tenue en haleine par les multiples rebondissements de cette enquête.
    Corso mène ici un double combat : le premier contre le principal suspect des meurtres de deux strip-teaseuses, un peintre, ancien détenu et grand admirateur de Goya. Le deuxième, contre son ex femme Emiliya avec qui il se se dispute la garde de leur fils.
    Rien n’est acquis tout au long de l’enquête. Jean-Christophe Grangé nous sert un cocktail bien corsé et nous emmène avec ses personnages aux confins de la perversité et du sexe violent.
    Une lecture à la fois dérangeante, pas reposante mais addictive !

  • Bagus35 18 octobre 2023
    La Terre des morts - Jean-Christophe Grangé

    Le commandant Stéphane Corso enquête suite à la découverte macabre des corps de deux strip-teaseuses que le meurtrier a mis en scène , qui pourrait rappeler des œuvres de Francisco Goya .Pas facile pour Corso de se concentrer sur l’enquête car son ex est bien décidée à lui retirer la garde de leur enfant .Mais un témoignage d’un ancien flic va accélérer les choses et un suspect va bientôt être entendu .Seulement l’intrigue ne va pas s’arrêter là ,on peut faire confiance à l’imagination de Grangé pour nous perdre .

  • ChrysLit 19 juin 2021
    La Terre des morts - Jean-Christophe Grangé

    Enième volume de JC Grangé que je lis, dans le désordre. Il ne doit pas me manquer beaucoup à sa collection.
    Ici, le titre et le sujet m’ont intriguée avant même le début. J’ai eu peur d’être dérangée par le sujet a priori trop sexuel pour moi et attirée à la fois par l’idée spirituelle de la notion que j’attachais à la terre des morts. Bref. Grangé, lance toi Chrys, tu ne risques vraiment rien.
    Je ne l’ai pas littéralement dévoré non plus, 12 coups, c’est moyen pour moi. J’aime bien mesurer le temps que je mets à lire un livre quand je m’y colle vraiment, le temps de me sentir tenue.
    L’ambiance m’a attrapée, parce qu’habituelle sans doute. Un vieux briscard de flic c’est du tout Grangé j’ai trouvé mais il était assez fouillé, ramifié pour rester accrochée. Pas dépaysée pour un poil. Le sujet, fameuse crainte, ne m’a pas rebutée non plus finalement parce que la violence pure reste intacte et prédominante.
    Et comme à chaque fois j’ai tergiversé sur mes hypothèses, sur les petits indices que j’ai cru trouver, où j’étais convaincue d’avoir pigé le truc, à regarder le numéro de la page et de l’oublier le coup d’après, parce que totalement menée ailleurs. Ca tourne, ça switche, un peu trop à un moment, j’ai failli avoir un peu le mal des transports avec l’histoire des Goya copiés. Mais j’ai tenu pour finalement tomber toute entière sur la fin improbable et inimaginable.
    Ce livre, comme les autres avant lui, a rempli 12 jours de ma vie de sombre couleur, âcres odeurs, lancinantes douleurs, et pas mal de jubilatoire bonheur. Merci ! voici mon tout premier #avispolar...

  • celine85 18 octobre 2020
    La Terre des morts - Jean-Christophe Grangé

    Le commandant Corso, flic borderline doit enquêter sur une série de meurtres de strip-teaseuses. Très vite il pense connaitre le coupable et veut tout faire pour le faire tomber. Il s’agit de Phillippe Sobieski . Son obsession va l’aveugler. Un assassin peut en cacher un autre et l’affaire qu’il pensait si facile à résoudre, ne va pas l’être. Elle va bouleverser sa vie.
    Un livre qui ne sera pas un de mes préférés de l’auteur. J’ai trouvé quelques longueurs, un manque de rythme à certains moments. Du coup, c’était un peu les montagnes russes sur l’intérêt porté à l’histoire. J’ai cependant eu envie de connaitre le dénouement, on est tenue en haleine jusqu’à la fin. Celle-ci va être surprenante avec de nombreuses révélations.

  • HUBRIS LIBRIS 29 juillet 2020
    La Terre des morts - Jean-Christophe Grangé

    Des femmes défigurées. Retrouvées ligotées de noeuds complexes.
    Des putains figées dans une expression double : plaisir ou douleur ?

    A la lecture d’un policier, je réclame une atmosphère, une ambiance qui se teinte d’opacité perverse, de noirs déboires. Je réclame l’odieux, l’infâme, ces détails à en soulever tripes et coeur. Ici, pas d’ornements, pas de descriptions ou juste sont-ils trop sommaires pour moi, l’équivalent d’un dialecte froid de légiste. C’est le minimum qui est proposé, à croire que l’auteur s’effraie lui-même des meurtres qu’il peine à esquisser. Plus encore que les meurtres, c’est tout un milieu underground qu’on observe en lisière, à l’orée de l’imagination. Il n’y en a que pour l’enquête, la traque. Ce n’est qu’une chasse à laquelle je ne prends pas part, observe de loin.

    On se faufile à l’ombre de l’inspecteur et de son équipe.

    Corso. C’est le batard qui oscille entre les mondes. Entre la volonté d’une vie rangée, et le besoin de castagner les pouilleux des venelles parisiennes. Corso. C’est surtout l’image placardée du cliché attendu à propos d’un flic sur les rotules. Dommage. Il ne porte pas de différence avec les autres enquêteurs croisés au détour d’autres pages. Ce n’est que le mauvais flic, au mauvais parcours, à la mauvaise finalité.

    Un suspect entre en ligne de mire dès les premières pages.

    Goya. le nom s’égrène, ravive soudainement l’intérêt. Voila que l’assassin s’est inspiré du maître espagnol. Toiles et couleurs. Visages déformés, gangrénés d’une folie noire. Je me surprends à y retrouver un intérêt. Or, celui-ci s’essouffle aussitôt, s’estompe quand sonne l’heure du procès. Révélations et impossible possibilité. Un peintre aurait crée des faux Goya, aurait su duper les experts qui ne se seraient pas empressés d’analyser chaque couche de peinture avant la mise en vente ?

    Les péripéties s’accumulent. Un assassin condamné. Un procès. Un autre prend sa place. Finalement non, ce n’est pas lui, ni eux, ni tous ces autres accusés. La lassitude gagne un peu plus chaque page tournée. Si pour certains lecteurs l’accumulation de révélations et suppositions d’assassins les satisfaits, je n’en suis que blasée, peinant de plus en plus à croire à cette histoire qui possède déjà trop de craquelures internes.

    Rebondissements ? Nécessité de maintenir le lecteur au dernier degré de l’appréhension ? Ennui. La vérité éclate dans un improbable charabia.

    Lecture amère.

  • Robert Segui de Carreras 7 février 2020
    La Terre des morts - Jean-Christophe Grangé

    Bien aimé la moitié du livre , l’autre moitié j’ai accroché un peu moins. Par contre le final est surprenant, pas mal quand même !

  • Kirzy 5 novembre 2019
    La Terre des morts - Jean-Christophe Grangé

    D’habitude, je me rue sur les Grangé en mode mort de faim dès qu’un nouveau paraît. Mais pas pour celui-là, pas eu envie à cause du thème SM / bondage a priori trop racoleur et devenu trop systématique dans l’univers du polar / thriller à la recherche de provocations faciles pour aguicher le lecteur. Mais voilà, à 1 euro chez Emmaüs, j’ai forcément craqué … et j’ai bien fait !

    La première partie a été accompagnée de « pffff » et autres soupirs, les yeux au ciel. Ben oui, il faut bien présenter les meurtres atroces de deux strip-teaseuses, puis tout le monde interlope et glauque du porno très très hardcore dans lequel elles gravitaient ( on a droit à une petite encyclopédie des perversions sexuelles les plus trash, de la nécrophilie à d’autres qui m’ont fait écarquiller les yeux ). Et enfin, l’inévitable flic borderline qui va être chargé d’y mettre un nez dedans, malgré ses névroses. Bref, je me suis tout de même un peu ennuyée malgré toutes ces joyeusetés à découvrir, c’était lassant et assez artificiel.

    Le deuxième partie est, elle , brillante ! le rythme s’emballe pour devenir irrespirable lorsque l’enquête se resserre autour d’un duel entre le flic Corso et le principal suspect, un peintre génial, excentrique, qui a purgé 20 ans de prison pour un horrible meurtre avant d’exploser comme artiste incontournable. Leurs psychologies respectives de deux duellistes sont parfaitement fouillées. Surtout, j’ai adoré l’idée d’utiliser l’art comme ressort important de l’action. le tueur mutile ses victimes en reproduisant des toiles du peintre espagnol Goya. Grangé s’est amusé à inventer une trilogie, les pinturas rojas, à partir de la fameuse série des pinturas negras, et cela apporte beaucoup de profondeur à l’enquête.

    La troisième partie est tout aussi haletante, cette fois construite autour d’un procès … même si Jean-Christophe Grangé tombe dans son petit travers ... laisser son imagination délirer jusqu’à imaginer des rebondissements plus que capillo-tractés qui culminent dans un dénouement aussi ébouriffant que pas du tout crédible. Soit. J’ai marché malgré tout, et j’ai dévoré les dernières pages à donf.

    Malgré des défauts très « grangesques », c’est un très bon divertissement. Ce n’est pas le Grangé que je préfère, loin derrière le Serment des limbes, les Rivières pourpres, La Ligne noire ou Lontano ) mais très au-dessus de Kaiken ou du Passager que je n’ai définitivement pas appréciés.

  • Aude Lagandré 5 octobre 2019
    La Terre des morts - Jean-Christophe Grangé

    Avant d’écrire cette chronique, je regarde les photos de Jean-Christophe Grangé et je me demande comment ce gars aux grands yeux bleus et aux cheveux gris a pu nous écrire un thriller pareil, dans lequel la première partie te scotche littéralement contre un mur ?

    Puis j’ai écouté une interview dans laquelle il explique comment l’idée de ce roman lui est venue et ce qu’il avait cherché à développer.

    D’abord, un héros borderline qui navigue entre le bien et le mal, la légalité et l’illégalité, un véritable électron libre au sein de la brigade criminelle. Jeunesse compliquée, mariage compliqué, vie intérieure compliquée, boulot compliqué, je sais, ça fait beaucoup de compliqué… Violence profondément ancrée dans ses tripes, en lutte perpétuelle contre lui-même, on est très très loin de Pinot simple flic !
    Corso est un flic très attachant, justement parce qu’il a d’énormes failles et qu’il ne cherche pas à les dissimuler. Il a une grande honnêteté intellectuelle vis à vis de lui-même et cela le rend « aimable » dans le sens digne d’être aimé.
    Mission accomplie donc pour l’attachement du lecteur au personnage central.

    Corso est confronté aux meurtres de plusieurs strip teaseuses. Son principal suspect, Philippe Sobieski, dégénéré sur bien des plans est aussi un peintre devenu célèbre. L’essentiel du thriller est axé sur le duel qui oppose Corso à Sobieski, l’étendue de la perversité sous toutes ses formes et la volonté de débarrasser le peintre de la surface de la société.

    Le thriller est construit en 3 parties :
    – La plongée dans les milieux underground
    – L’enquête
    – Le procès

    Je disais que la première partie scotche le lecteur au mur et c’est pas peu dire.
    On entre de plein fouet dans le milieu du porno hard (vraiment hard), du sadomasochisme, du bondage et de l’art du Shibari. Cette partie fourmille de scènes ultra violentes, surtout sexuellement violentes et il faut avoir le coeur bien accroché car la plongée dans le milieu de ces déviances sexuelles en tout genre est sacrément crue. On en ressort à bout de souffle, un peu terrassé par l’abondance d’images qui arrivent dans la tête, plus cruelles et plus sadiques les unes que les autres. Je ne suis pourtant pas née de la dernière pluie mais franchement j’ai appris des trucs !
    Cependant, il serait injuste de cantonner ce livre à une surexposition de pratiques sexuelles déviantes, ce serait lui accorder peu de crédit.
    Par ce biais, on plonge directement dans l’enquête qui occupe Corso : les meurtres des strip teaseuses.
    L’enquête se déroule donc dans la seconde partie. L’originalité du scénario c’est que le nom du coupable est très vite révélé. L’essentiel sera axé sur les preuves à trouver et sur l’anticipation de la manière dont les choses se sont déroulées pour la préparation du procès. La mise ne lumière des relations entre Corso et Sobieski est vraiment intéressante psychologiquement parlant car naviguant en eaux troubles, entre le bien et le mal, le flic se retrouve sans cesse confronté à ses propres démons.
    Pour finir, la troisième partie évoque le procès. Jean-Christophe Grangé avait très envie de décrire toutes les étapes d’un vrai procès et de plonger le lecteur au coeur d’un tribunal. C’est chose faite puisqu’il vous ballade, en fonction des preuves annoncées, à coup de revirements de situation, d’un côté du ring, puis de l’autre, coupable, non coupable, coupable, non coupable, dans la position d’un juré.

    En bref, j’ai tout simplement adoré ce bouquin. J’ai trouvé un Grangé qui a pris du galon, une confiance en lui dans la description des scènes pas faciles à brosser, des aspects psychologiques hyper intéressants pour un personnage principal très loin du héros « prince charmant ».
    Sa façon de mener sa barque est retorse, la mécanique singulière et ça fonctionne à mort ! Les certitudes sont souvent chamboulées et on reste littéralement cramponné à son bouquin.
    Je rajouterai simplement que son écriture est très visuelle, c’est sans doute pour ça que ses livres sont très vite adaptés au cinéma.
    Bref, foncez, c’est du lourd !

  • Mat Rebus 12 août 2019
    La Terre des morts - Jean-Christophe Grangé

    Mon premier Grangé pour mon premier avis polar. Vu le sujet traité, je m’attendais à un polar à la française, sordide et poisseux. Au final, ce n’est pas cet aspect qui m’a dérangé, mais c’est le personnage de Corso qui m’a posé problème. J’ai besoin d’un minimum d’empathie pour accrocher avec le protagoniste principal. Or Corso est un voyou qui pourrait sans difficulté postuler au titre de pire flic de tous les temps. Il se fait balader du début à la fin, est toujours borderline et n’a pas grand chose pour lui. Bref, une belle déception.

  • Sylvie Geoffrion 6 juillet 2019
    La Terre des morts - Jean-Christophe Grangé

    Je ne vais pas me faire aimer mais qu’est-ce que j’ai rigolé. Oui car je viens de lire une farce. Une farce grotesque, perverse mais une grosse farce.
    Nous sommes loin des Rivières pourpres ou encore du Vol des cigognes. Cette caricature de flic, super héros, qui sait tout faire avec cette attitude inutile c’est juste non. Bon alors vous voyez que je n’ai pas embarquée du tout dans ce récit précipité, cliché, où l’on dirait que l’action doit cadrer avec les phrases choc de l’auteur. Et ces surnoms donnés à chacun , c’est obligé ? Pour moi, il n’y a absolument rien de crédible dans ce roman. Tout est faux, tout est risible, tout est insensé. Pourtant, il y avait matière. Mais ce genre de traitement, juste une grosse farce ou comme il est dit en page 539 : "Il opta pour un scénario de film." Mais ajoutons que c’est un film de série Z...

  • ninie5131 4 juillet 2019
    La Terre des morts - Jean-Christophe Grangé

    Du pur et du grand Grangé, trash, parfois reboutant, mais toujours efficace et une histoire à couper le souffle.
    Un vrai coup de cœur malgré des passage très très durs.
    A lire

  • VALERIE FREDERICK 8 mai 2019
    La Terre des morts - Jean-Christophe Grangé

    J’avoue ne pas avoir lu de Grangé depuis quelques années. Pourquoi ? Je n’en sais rien. Toujours est-il que quelques excellentes critiques sur "La Terre des Morts" m’ont donné envie d’y revenir.
    Au début de la lecture, j’ai clairement été étonnée par le tableau exposé par l’auteur sur le monde du SM, bondage et autres perversités dont je ne soupçonnais même pas que ce soit possible !!! Le corps humain a semble-t-il des capacités inimaginables- à moins que ce ne soit sorti de l’esprit, pour le coup, tordu, de Grange ? Ma pruderie m’empêche d’aller me renseigner sur ce point !
    Bref, un monde vicieux, d’une violence inouïe ouvre ce thriller, avec la découverte des corps de deux prostituées atrocement mutilés. Le capitaine Stéphane Corso va être chargé de l’enquête. Celui-ci est loin d’être un enfant de cœur. Trimballé d’orphelinats en famille d’accueil alors qu’il était enfant, junkie violé et violeur à l’adolescence, il se bat pour garder la garde de son fils auprès d’une ex-compagne adepte elle-même de jeux sadomasochistes.
    Vous voyez le tableau.
    N’empêche, notre Corso a un bon fond et aspire à une vie équilibrée pour lui-même et son fils.
    Mais l’enquête qu’il va avoir à mener va faire resurgir des attitudes qu’il pensait avoir oubliées. Sa violence et son impulsivité vont lui mettre des bâtons dans les roues lorsqu’il traquera celui qui porte tous les atours du coupable : Sobieski, ex-taulard devenu le peintre à la mode dans l’intelligentsia parisienne.
    Ce passage durant lequel il va traquer le malfrat m’a semblé un peu long.
    Par contre, la dernière partie du livre, consacrée à la résolution de l’enquête m’a littéralement scotchée !
    Lecteurs, accrochez-vous !

  • claire chronique 7 mars 2019
    La Terre des morts - Jean-Christophe Grangé

    "Je n’avais jamais lu de Grangé avant ... Et qu’elle erreur, car si tous ses livres sont aussi géniaux, ma pile de livres n’ai pas prête de diminuer ! J’ai choisi ce livre pour plusieurs choses. D’abord la couverture que j’aime beaucoup, le résumer et ce qui a fini de me décider, c’est l’avis d’une autre blogueuse ... Et comment vous dire, je la remercie beaucoup, car j’ai bien aimé ce livre, mais j’ai était époustoufle par son final vraiment ! Par compte, je vous préviens l’univers et glauque et violent avec du sexe, en veux-tu en voilà. Des strip-teaseuses du Squonk sont retrouvées assassinées à Paris.

    Les corps sont mis en scène (bondage et de rites sadomasochismes). de ce fait, nous faisons la connaissance de l’enquêteur corso. Et là l’auteur nous balade pour son plus grand plaisir, car le final est vraiment incroyable alors ne passez pas devant une lecture aussi top !"

  • QuoiLire 5 décembre 2018
    La Terre des morts - Jean-Christophe Grangé

    Après une virée en Afrique, Jean-Christophe Grangé revient en France, en région parisienne (proche de chez moi), pour nous entraîner dans les bas fonds de la société, du sexe violent et de l’art contemporain incompréhensible(s). Pour ce plongeon, nous suivons des personnages hétéroclytes, complexes, un poil caricaturales (le flic téméraire, beau gosse mais avec un brin d’inconscience) qui vont se révéler et évoluer au fur et à mesure de l’aventure.

    Toutefois, l’auteur sombre dans la facilité car non content de nous donner un descriptif précis, et donc peu ragoûtant, de l’état des cadavres ; l’auteur cherche volontairement à choquer son lecteur avec de nombreuses énumérations de pratiques sexuelles extrêmes et carrément déviantes (démentes).

    Encore une fois, pour notre plus grande déception, le final est bâclé : sur un dernier rebondissement, l’auteur nous dévoile la vérité et tous les aspects de l’affaire, sans aucune possibilité pour le lecteur de deviner le dénouement. Pourquoi me diriez-vous, parce que comme le dit le personnage dans le livre, la police n’a pas mené correctement son enquête pour découvrir les éléments unissant tous les protagonistes.

    Si la taille de ce roman se situe au dessus de la moyenne, le lecteur restera captivé par l’histoire tout au long des 560 pages. L’enquête progresse pas à pas, des découvertes relancent régulièrement l’investigation, voire la réoriente totalement. L’écriture toujours aussi fluide et impeccable de Jean-Christophe Grangé fait que les pages défilen, et la taille de ce livre ne constitue pas un handicap.

    Bref, chez Jean-Christophe Grangé, je suis toujours à la recherche du successeur Du vol des cigognes, de ce roman intelligent et à suspense ; mais ce n’est pas La terre des morts qui va assurer la relève.
    (https://quoilire.wordpress.com/2018/12/05/jean-christophe-grange-la-terre-des-morts/)

  • kate25 11 octobre 2018
    La Terre des morts - Jean-Christophe Grangé

    Je suis un peu gênée. J’etais soufflée a l’époque des rivières pourpres et livres suivants, par la volence des situations et des caractères, par l’originalité des histoires et la noirceur des âmes décrites. Depuis quelques livres, et celui ci ne déroge pas à la règle, l’écriture ne me parle plus. Les thèmes trop souvent « a la mode » la vulgarité systématique du langage et des personnages moins alambiqués. L’obession quasi hypnotique du sexe sado maso bien en vogue.
    La terre des morts démarre plutôt pas mal mais s’enlise vite et la fin ne tient pas debout comme un coup Litteraire qui aurait mal tourné. Bref une déception même si parfois on retrouve le Grangé des grands jours.

  • Ophé Lit 3 octobre 2018
    La Terre des morts - Jean-Christophe Grangé

    J’étais un peu fâchée avec Mister Grangé. « Kaiken » et surtout « Le passager » (que je n’ai même pas terminé) m’avaient entraîné à demander le divorce d’avec cet auteur que pourtant j’adorais. Puis sont venus « Lontano » et « Congo Requiem » qui m’ont fait réviser mon jugement… Je retrouvais le Grangé que j’aimais.
    Avec « La Terre des Morts », j’abandonne toute idée de divorce ! Jean-Christophe Grangé est bien de retour, au sommet de son art.
    « La Terre des Morts » est noir, dérangeant, déstabilisant, violent…
    Quand Corso, flic torturé, est chargé de reprendre une enquête en cours sur la mort d’une strip-teaseuse, il ne s’attend pas à engager le duel de sa vie…
    Jean-Christophe Grangé nous emmène avec lui dans le monde de la pornographie, du bondage, du SM, de la perversité, de nos désirs et des déviances sexuelles, mais aussi celui de l’art, avec de nombreuses références à des peintres torturés tel que Goya, personnage omniprésent dans l’intrigue. Toutefois attention, si « La Terre des Morts » reprend un sujet qui a fait palpiter les petites culottes d’un certain nombre de ménagères (vous voyez de quelle trilogie je parle), ici pas d’édulcorant, pas de fantasmes convenus. Du sexe brut, violent… La découverte d’un monde connu des seuls initiés.
    Pour autant, je ne réduirais pas ce thriller à une visite guidée des dessous du sexe.
    Corso passera par de multiples phases durant son enquête, phases qui permettent à l’auteur de développer des sujets tels que l’obsession, la haine, le divorce, la confiance, les rapports hommes-femmes :
    « Catherine Bompart, quand elle parlait d’amour – ce qui bizarrement lui arrivait très souvent – disait : »Les hommes n’aiment que l’extérieur, les femmes ne sont intéressées que par l’intérieur. Nous aimons le fruit et sa saveur. Ils se contentent des épluchures. »
    Il traite également d’autres sujets que je ne peux malheureusement pas évoquer sans risquer de spoiler et de gâcher votre plaisir.
    Côté intrigue, l’auteur joue avec nous tout au long des 553 pages… Si un suspect nous est assez rapidement donné en pâture, le doute persiste. Il s’immisce dans nos têtes tel un serpent, il est le coupable parfait. Pourtant… Mais ce ne peut qu’être lui… Les montagnes russes des soupçons, certitudes… Pour un final inattendu. Aucun ennui, aucune rupture dans le rythme de ce thriller brûlant.
    Un bémol toutefois, lié à mon côté professionnel je pense, le côté flic qui s’affranchit de toutes les règles en 2017… Si c’était possible dans les années 70, aujourd’hui…
    Pour autant ça n’a pas gâché mon plaisir à la lecture, et Corso ne serait pas Corso sans ce côté excessif.
    « La Terre des Morts » est un excellent thriller, qui pour moi, marque le retour de Grangé dans son style originel. Un thriller noir, violent, surprenant. Un roman qui nous tient tant en haleine qu’il est difficile de le lâcher avant le point final.

  • Sangpages 26 juin 2018
    La Terre des morts - Jean-Christophe Grangé

    Je pourrai te dire que depuis 24 ans, Grangé et moi c’est une histoire d’amour et que même si parfois on n’était pas toujours d’accord, ce 13ème est une vraie apothéose de son talent...
    Je pourrai te dire que "La terre des morts" est une plongée en apnée dans le monde du SM, bondage, Shibari, perversions et autres réjouissances...
    Je pourrai d’ailleurs te dire que c’est cru et qu’il pourrait tout de même te déranger si tu as une âme sensible...
    Je pourrai te dire que c’est aussi un plongeon dans l’art contemporain et que ce mélange du porno hard et de l’art à quelque chose de vraiment troublant...
    Je pourrai te dire que comme toujours les personnages sont travaillés à la perfection...
    Je pourrai te faire, d’ailleurs, un descriptif complet des personnages avec toute la psychologie qui va avec...
    Je pourrai te parler de son style nerveux, direct et intense, de son génie mais aussi de sa capacité à fixer les images sur ta rétine en version indélébile...
    Je pourrai te dire que je me suis fait mener en bateau et que ce sera pareil pour toi...
    Je pourrai te dire que la trame est excellente et le final juste parfait...
    Je pourrai te dire que je l’ai lu en 2 jours et ce, juste parce que je ne voulais pas laisser mes enfants crever de faim...
    Mais je peux te dire quand même que j’ai inventé un prétexte pour ne pas aller voir l’intégralité du match de foot de mon fils pour pouvoir le finir...
    Je pourrai te dire que c’est un one-shot et que j’adore ce fait-là...
    Je pourrai te dire que comme à son habitude, il fait un petit passage en Suisse...
    je pourrai te dire beaucoup de choses...
    Mais à quoi bon ?
    Pas moyen de te faire comprendre l’essence même du truc...
    Rien qui ne paraisse pas insipide...
    Alors j’arrête mon blabla et te dis qu’une chose :
    LIS-LE ! C’est juste MAGISTRAL !!!

  • nadfab 54 17 mai 2018
    La Terre des morts - Jean-Christophe Grangé

    Je me le suis commander pour mon anniversaire.Hate de le lire,car,avec Grangé,nous ne sommes jamais déçu.

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