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L’Île des absents - Caroline Eriksson

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Résumé :

Rester à la surface des souvenirs, ou tomber dans l’abîme
On l’appelle le Cauchemar. C’est un lac à l’eau noire et stagnante, quelque part en Suède, dont la légende raconte qu’il est maudit. Au milieu du Cauchemar, il y a un îlot. Sur cet îlot, Alex et la petite Smilla vont faire une promenade, tandis que Greta les attend dans la barque amarrée au rivage, puis s’endort. À son réveil, la nuit tombe et seuls retentissent au loin les cris lugubres des oiseaux aquatiques. L’homme et la fillette ont disparu. De retour dans le cottage que la petite famille occupe au village, Greta fouille chaque pièce et tente en vain de joindre Alex. En proie à la panique, elle décide de se rendre au commissariat. Seulement, sur place, un policier lui annonce qu’elle n’est pas mariée et n’a jamais eu d’enfants. Qui sont Alex et Smilla ?

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Vos #AvisPolar

  • Selene Raconte 11 avril 2021
    L’Île des absents - Caroline Eriksson

    Dès le départ, on sent que quelque chose ne va pas chez Greta.
    L’histoire s’ouvre sur la disparition de son mari, Alex, et de sa fille, Smilla.
    Pour autant, malgré la disparition qui implique une petite fille, Greta ne se précipite pas chez la police.
    Elle cherche un peu par elle-même, tourne beaucoup en rond et ne fini par se rendre à la police qu’après plusieurs dizaines d’heures (plus de 24h).
    Mais là-bas, on lui répond qu’elle n’est pas mariée et n’a jamais eu d’enfants.
    L’histoire étant racontée du point de vue de Greta, on a comme un accès direct aux pensées de Greta et, le moins qu’on puisse dire, c’est que c’est le fouillis là-dedans.
    Pendant un moment, je me suis demandée si elle n’était pas schizophrène, mais au fil de ma lecture, je me suis dit qu’elle n’était pas si délirante que ça, que c’était son cheminement de pensée qui l’était.
    Elle semble avoir un passé difficile qui tourne autour de la disparition de son père, ce qui fait échec à la disparition d’Alex.
    On comprend très vite que le père de Greta est mort dans des circonstances suspectes et dès lors, on se demande si Alex, dont le portrait se révèle peu flatteur, a réellement disparu.

    Là où réside la difficulté pour le lecteur, c’est que Greta a parfaitement conscience de ses mensonges et de son déni et que du coup, elle mélange élucubration et vérité sans que le lecteur ne puisse facilement faire la distinction entre les deux.
    J’ai trouvé la police bien peu présente. Une femme vient déclarer une disparition, impliquant un enfant, et, comme la personne n’a pas d’enfants, ça s’arrête là ? Ils ne la recherchent pas activement, ils n’enquêtent pas… ça m’a semblé très étrange.
    Mis à part la présence d’un groupe d’ados violents et arrogants, qui ne sont guère exploités et qui ne semblent être là que pour apporter un élément de danger, le thriller est essentiellement psychologique.
    La vérité qui fini par apparaître par bribes est encore plus inconcevable que les délires de Greta.
    Comme quoi, la perversité humaine ne connaît aucune limite et l’auteur ne nous ménage pas, nous laissant lessivés, nous demandant comment une simple disparition a pu nous entraîner jusque là.
    Un thriller déroutant, mais il faut s’accrocher car il vaut vraiment le coup.

  • Valérie Roumanoffbe 14 novembre 2020
    L’Île des absents - Caroline Eriksson

    Je n’ai pas du tout accroché à ce livre et j’ai même parfois eu l’impression que j’étais presque dans un livre fantastique tellement les événements sont peu précis voire trompeurs. C’est comme si l’auteur vous racontait en 200 pages le rêve voire le cauchemar qu’elle a fait une nuit, rêve qui par définition n’a rien de structuré.

    Il ne s’agit pas d’un récit suivi, chronologiquement organisé avec des personnages clairs et précis non, que du contraire, tout reste vague, superficiel et plein de non-dits qui vous mènent sur la mauvaise voie, je déteste ça mais je peux comprendre que certains adorent.

    Pour ma part, il ne s’agit pas du tout d’un thriller, je n’ai ressenti aucun suspense, juste un besoin de comprendre, ce qui m’a été possible qu’aux dernières pages du livre.

  • VALERIE FREDERICK 8 mai 2019
    L’Île des absents - Caroline Eriksson

    Attention ! Thriller trompeur !
    La quatrième de couverture et le résumé de l’éditeur nous mettent sur la piste d’une étrange disparition : Greta, Alex et Smilla, quatre ans sont en vacances dans un cottage bordé par un mystérieux lac ; le "Cauchemar" et alors qu’ils ont traversé celui-ci pour se rendre sur l’île située juste en face, Alex et Smilla disparaissent de manière inexpliquée.
    Greta, affolée, va parcourir l’île de long en large, sonder l’eau trouble et noirâtre du lac… en vain. Alors qu’elle se rend au poste de Police déclarer la disparition des deux êtres qu’elle chérit, l’agent qui la reçoit lui annonce qu’elle n’a ni mari ni enfant…
    Le lecteur accompagne alors la pauvre Greta dans ses divagations : qui est-elle alors ? Qui sont Alex et Smilla s’ils ne sont pas membres de sa famille ? Les souvenirs de sa propre enfance, du drame familial qui a entaché son regard envers ses parents et dans ses relations avec autrui lui éclatent au visage et la troublent avec intensité.
    Comment démêler alors le vrai du faux et comprendre ce qui est arrivé à Alex et Smilla.
    Les portes s’ouvrent au fur et à mesure de l’avancée de l’intrigue et permettent d’accéder à une réflexion sur le couple, notamment celui composé d’un homme forçant sa compagne à une totale soumission.
    Un roman qui se lit d’une traite et une auteure à suivre.

  • mimi85600 12 mars 2019
    L’Île des absents - Caroline Eriksson

    La quatrième de couverture en disant déjà presque trop, je ne vais pas en rajouter en faisant mon propre résumé. En effet, le twist majeur y est malheureusement révélé, ce qui gâche un peu la lecture du livre.

    Dans un style un peu à la David Vann (à mon sens hein, chacun son opinion) donc un style que je n’aime pas, ce thriller psychologique m’a laissée un peu dubitative lorsque je l’ai refermé. Incapable de mettre des mots dessus, de dire ce que j’en pensais, j’ai donc décidé de laisser passer un ou deux jours histoire de le digérer et de prendre le recule nécessaire.

    Je peux maintenant dire avec certitude que non, je n’ai pas aimé du tout cette lecture où l’on est en permanence en tête à tête avec Greta, le personnage principal, un personnage auquel je ne suis jamais parvenue à m’attacher. Un personnage travaillé certes, mais ô combien agaçante sur certains points et certaines décisions tardant trop à venir à mon humble avis. Je n’entrerai pas dans les détails pour éviter de spoiler le peu qu’il puisse y avoir à découvrir.

    L’histoire, elle, n’a pas grand intérêt puisque, comme je l’ai déjà mentionné au début, le gros twist qui normalement aurait du faire décoller ma lecture et me faire plonger avidement dedans est tout bonnement révélé dans la quatrième elle-même. Quel dommage ! Cette révélation passée, il n’y a rien de bien surprenant ou en tout cas rien de bien original à se mettre sous la dent. C’est longuet et ennuyeux.

    Le seul petit point positif, c’est que l’auteur est parvenu malgré tout à me balader jusqu’au bout sur un détail que je n’ai pas vu venir. Mais ça ne suffit pas à faire de ce livre une bonne lecture.

    Je suis navrée pour les éditions Presses de la Cité qui m’ont gentiment envoyé le livre et pour son auteur mais je me dois de rester honnête lorsque je rédige une chronique sinon ma crédibilité serait à remettre en question.

    Mais faîtes-vous donc votre propre avis sur ce roman en le lisant vous-même.

  • Escale en bord de page 9 février 2019
    L’Île des absents - Caroline Eriksson

    Un thriller haletant sous haute tension psychologique !

  • Maks 9 février 2019
    L’Île des absents - Caroline Eriksson

    L’île des absents est un thriller pour lequel je m’attendais à une toute autre histoire, en vérité je suis même assez déçu de ma lecture pour le simple fait que le quatrième de couverture et la couverture en elle même induit le lecteur en erreur dès le départ en nous promettant une intrigue de disparition, peut-être fantastique alors qu’au final on se retrouve dans une histoire compliquée à laquelle je n’ai pas compris grand chose après seulement quelques chapitres.
    Comme si l’auteur avait changer son scénario en cours de route, et ce, sans compter sur les divers points flous dans les explications en pleine intrigue, comme si lors de l’écriture l’auteur se perdait lui même dans ses explications.

    Sincèrement, le livre n’est pas mauvais en soit mais nous avons de quoi être surpris par cette approche bizarre des faits et pourquoi le roman a t’il cette couverture en rapport avec le début du livre ? Ce changement soudain ?

    Bref, je ne tiens pas à enfoncer le clou plus que cela, le seul sentiment qui ressort pour ma part est "déception", mais je pense que c’est une question de feeling et que d’autres lecteurs apprécieront.

  • lecturesdudimanche 30 janvier 2019
    L’Île des absents - Caroline Eriksson

    Une balade au lac un dimanche ? Merveilleux programme ! Même si le lac est surnommé « Le Cauchemar » ? Aucun problème pour moi, puisque je n’y suis qu’en tant qu’observatrice ! Ce qui n’est pas le cas de Greta, qui a suivi Alex et la petite Smilla dans cette expédition qui les conduit vers un petit îlot. Tandis qu’Alex et Smilla partent en exploration, Greta les attend dans la barque où elle finit par s’endormir. Mais à son réveil, la nuit est tombée et les deux promeneurs demeurent introuvables !

    Je ne savais pas vraiment dans quoi je me plongeais en démarrant ce bouquin, n’ayant pas relu le résumé… Du coup, j’ai vraiment été surprise par la tournure que prenaient les événements ! Totalement décalée dans ses réactions, Greta semble naviguer entre présent et passé, pas plus certaine que nous de ce qui a bien pu arriver à Alex et Smilla, redoutant même autant que nous qu’elle ait une part de responsabilité dans un drame dont on ne sait même pas s’il a eu lieu !

    L’auteur a barbouillé tant son héroïne que ses lecteurs en les baladant sur le fil de la conscience, toujours à deux doigts de l’abîme, se débattant pour ne pas perdre pied et pour comprendre qui est qui, qui a fait quoi, qui manipule qui… Entre visions et métaphores, il est vraiment difficile de s’y retrouver et d’avancer entre ces limites floues, rendues tout à coup éclatantes à la lumière d’un final explosif !

    Dévorée en seulement quelques petites heures, j’ai vraiment beaucoup apprécié cette histoire dans laquelle on plonge en apnée en espérant ne pas y couler ! Que vous sachiez nager ou non, je vous conseille de vous laisser entraîner dans le Cauchemar !

  • Ju lit les Mots 14 janvier 2019
    L’Île des absents - Caroline Eriksson

    Le résumé de l’éditeur et cette couverture, laissaient présager une disparition quelque peu étrange, un genre que j’affectionne s’il est bien construit… J’ai même pensé que l’intrigue se transformerait en fantastique…

    Des fois tu embarque dans un livre pensant aller dans une direction précise, pour en fin de compte te retrouver à l’opposer de ce que tu imaginais…

    Au départ, je me suis sentie perdue dans les méandres de cette lecture… J’oscillais, entre déception et soupirs… L’intrigue ne correspondant pas du tout au résumé… Mais l’auteur, dès la résumé, brouille les pistes… Et j’ai finalement été happée par cette lecture, qui m’a bouleversée.

    Véritable ascenseur émotionnel, pour peu que l’on soit sensible à la construction narrative de l’auteur, ce thriller psychologique nous fait passer par plusieurs sentiments. Une véritable descente aux enfers, qui va autant remuer Greta, qu’on apprend peu à peu à connaitre, que nous, pourtant simples lecteurs…

    Après quelques pages, je pensais qu’elle était schizophrène et je dois dire, que même si j’aime les histoires tordues, j’étais un peu déçue de plonger dans une énième intrigue de ce genre. Mais l’auteur va peu à peu retourner la situation qui prend une ampleur complètement différente et là j’ai plongé dans les méandres de la perversité humaine…

    Les relations perverses, la perversion, les relations familiales tordues…. L’impact des choix des parents sur les enfants… En si peu de page, l’auteur aborde des thèmes d’une gravité palpable et qui peuvent faire écho en chacun de nous. Ici la perversion est disséquée pour le plus grand bonheur du lecteur, mais surtout elle est abordée de plusieurs manières.

    La perversion dans le couple, mais également la perversion dans le couple parent enfant et pour finir par aborder les non dits et leur impact sur la personnalité en construction d’un enfant…

    Greta est malmenée, mais même si elle touche le fond de l’horreur et de la bassesse humaine, elle va peu à peu éclore et l’introspection au fil des lignes… Des pages, va lui permettre de se retrouver… Mais l’image fantasmée n’est jamais bien loin et je dois dire que l’auteur nous perd dans ses pages, puisque le lecteur se demande si c’est la réalité ou si la cerveau de Greta est complètement dérangé…. Ou si elle ne fantasme pas sa vie…

    Peu à peu, la trame de l’auteur délivre ses réponses et les vérités apparaissent… Horribles… Inconcevable… Irréelle… Et pourtant… L’auteur soulève de vraies questions humaines et sociétales, avec la place de la femme et les violences…

    La violence physique et psychologique est terriblement destructrice dans un couple et le dominant trouve tes failles…. on met des années à s’en remettre avant de s’apercevoir que C’est l’autre le problème…

    Oui j’ai aimé même si au départ j’ai été déstabilisée car je ne voyais pas où ça menait ! Et j’imaginais lire une énième intrigue de folie meurtrière et maladie mentale. Mais l’auteur a vraiment fait un beau travail sur l’intrigue.

    Pour une premier livre, Caroline Eriksson commence fort ! On est bousculé dans nos convictions… La narration est telle qu’une introspection s’opère et devient nécessaire… On termine cette lecture, qui nous prend dans ses filets pour nous recracher complètement sonné… Bouleversé… Car tout prend sens…

    Peu à peu la déception a fait place à une frénésie. Je voulais comprendre… Savoir… Pourquoi ? … Comment ?… Et j’ai terminé par avoir un vrai coup de cœur pour l’histoire, la plume tordue de l’auteur et les révélations finales.

    Un thriller scandinave qui change et qui déroute, car différent de ce que l’on a déjà pu découvrir.

  • jeanmid 13 décembre 2018
    L’Île des absents - Caroline Eriksson

    En cet fin d’été , Greta , Alex et leur fille Smilla sont dans un bateau sur ce lac surnommé "Cauchemar " en direction d’une petite île . Débarqués sur l’îlot le père et la fille disparaissent. Qui reste t il ? Greta , complètement désemparée , dont ces disparitions vont faire vaciller un peu plus un esprit déjà touché psychologiquement. Incapable de les retrouver elle va progressivement plonger dans un brouillard duquel une conscience précise d’actes sensés a du mal à émerger .
    Qui va vraiment pouvoir l’aider à se sortir de cette situation inextricable ? Sa mère ? La police locale ? Une psychologue ? le voisin du cottage d’à coté ? Bien difficile d’y voir clair et de prendre la meilleure décision quand de douloureux souvenirs se mélangent à un présent chaotique.

    L’auteur suédoise nous propose un huit clos psychologique où le le lecteur tente de suivre le parcours sinueux des actes et de la pensée du personnage principal , Greta . le huit clos est également géographique : le récit se déroule dans ce petit village , Marhem , constitué de nombreuses maisons secondaires au bord d’un lac . Cet endroit quasi désert en cette fin de saison ajoute une dose d’angoisse supplémentaire à l’histoire et accentue encore la détresse de Greta dont on découvre peu à peu les lourds secrets familiaux . Et comme souvent le passé a tendance à se répéter....
    Si vous êtes amateur d’actions et d’hémoglobine passez votre chemin . Par contre si vous aimez les romans noirs psychologiques, "L’île des absents " est fait pour vous .

  • Sonia Boulimique des Livres 19 octobre 2018
    L’Île des absents - Caroline Eriksson

    Voilà une lecture qui a bien failli me faire perdre la boule ! L’idée de départ est géniale, le début peut s’avérer bucolique avec cette promenade en bateau et cette escale sur une île, histoire qu’un père et sa fille jouent aux Robinson Crusoé pendant que la mère se repose. Et puis, tout vire au cauchemar, et nous, pauvres lecteurs, on ne sait plus à quel Saint se vouer. Que croire ? Greta serait-elle folle ? Schizophrène ? Manipulée ?

    On cogite, on scénarise, on réfléchit, et pour ma part, je n’ai rien vu venir. Je ne vais pas vous dévoiler la tournure que prend le récit, car, à la lecture du résumé, je pense que l’on s’imagine embarquer dans tout autre chose, et la surprise, bien réelle, fait partie intégrante de la magie de la lecture. Je ne veux absolument pas vous gâcher ce plaisir. Mais du coup, il est extrêmement difficile pour moi de chroniquer ce titre !!

    Sachez que c’est très psychologique. Les personnages sont tordus au possible. C’est un roman qui se lit cramponné aux pages, l’auteur joue avec la psychologie des personnages mais aussi avec celle du lecteur, en le faisant douter de la véracité de chaque indice. Un voyage vers l’horreur. On navigue à vue dans une brume épaisse. Pas de scènes gores, rassurez-vous. Les âmes sensibles peuvent s’y plonger.

    L’auteur suédoise, que je ne connaissais pas, me réconcilie avec la littérature nordique. Pas de noms bizarres imprononçables, pas de mollesse d’écriture, c’est court, bourré de twists et de rebondissements, l’atmosphère angoissante, j’ai trouvé la construction psychologique très pointue. L’auteur étant psychologue à la base, ceci explique cela.

    Je le conseille aux amateurs du genre, je me suis régalée !

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