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La vertue du mensonge - Ellen G. Simensen

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Résumé :

À Hønefoss en Norvège, le policier Lars Lukassen enquête sur le meurtre présumé d’un ancien camarade de classe. Peu à peu l’ambiance de la petite ville se tend : une silhouette sinistre rôde autour des cours d’écoles et tourmente des enfants en leur chuchotant des histoires effrayantes. C’est là qu’une nouvelle enseignante, Johanna, rejoint la classe de la petite Annie, la fille de Lars. Ce dernier tombe rapidement sous le charme de la jeune femme qui semble pourtant exceller dans l’art du mensonge.
Pourquoi ment-elle ? Quels secrets a-t-elle amenés dans les profondes forêts de Hønefoss en fuyant ses terres natales près fjord de Nordgulen ? Perturbé dans ses investigations, Lars doit agir sur tous les fronts.
Ellen Simensen signe un roman policier atmosphérique mystérieux et envoûtant sur l’inexorable emprise du passé.

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Vos #AvisPolar

  • Matildany 25 janvier 2024
    La vertue du mensonge - Ellen G. Simensen

    Lars Lukassen est un policier norvégien confronté à de multiples difficultés : domestiques, car il se bat pour la garde partagée de sa fille Annie, et professionnelles, puisqu’il doit remplacer son chef, ce qui cause certaines tensions dans l’équipe, surtout quand provient un meurtre dans cette petite ville tranquille. L’arrivée d’une nouvelle enseignante, Johanna, va encore compliquer les choses. Elle l’attire, mais semble fuir son passé, et dissimuler des secrets. Quand un homme rôde autour des écoles pour raconter des contes sombres aux enfants, et qu’une camarade d’Annie disparaît lors d’une sortie scolaire, après une remontrance de Johanna, les choses s’emballent.
    Voilà un polar que j’ai laborieusement traîné. Je l’ai trouvé assez confus, les parties où le narrateur prend la parole sont trop sybillines, et m’ont complètement égarée par moment. Des personnages sont mis en avant, et puis totalement annexes ensuite, et les actes de certains sont peu cohérents, au vu des thématiques traitées ( harcèlement scolaire, emprise du passé, ..)

    Le style lui-même ne m’a pas emballée, il y a trop de phrases courtes, qui relatent juste les faits. Je me suis sentie tenue à distance, trop de constatations, pas assez d’émotions. Je n’ai eu ni la fébrilité de suivre l’enquête, ni la surprise de découvrir sa résolution, une vraie déception pour moi !

  • Matildany 25 janvier 2024
    La vertue du mensonge - Ellen G. Simensen

    Lars Lukassen est un policier norvégien confronté à de multiples difficultés : domestiques, car il se bat pour la garde partagée de sa fille Annie, et professionnelles, puisqu’il doit remplacer son chef, ce qui cause certaines tensions dans l’équipe, surtout quand provient un meurtre dans cette petite ville tranquille. L’arrivée d’une nouvelle enseignante, Johanna, va encore compliquer les choses. Elle l’attire, mais semble fuir son passé, et dissimuler des secrets. Quand un homme rôde autour des écoles pour raconter des contes sombres aux enfants, et qu’une camarade d’Annie disparaît lors d’une sortie scolaire, après une remontrance de Johanna, les choses s’emballent.
    Voilà un polar que j’ai laborieusement traîné. Je l’ai trouvé assez confus, les parties où le narrateur prend la parole sont trop sybillines, et m’ont complètement égarée par moment. Des personnages sont mis en avant, et puis totalement annexes ensuite, et les actes de certains sont peu cohérents, au vu des thématiques traitées ( harcèlement scolaire, emprise du passé, ..)

    Le style lui-même ne m’a pas emballée, il y a trop de phrases courtes, qui relatent juste les faits. Je me suis sentie tenue à distance, trop de constatations, pas assez d’émotions. Je n’ai eu ni la fébrilité de suivre l’enquête, ni la surprise de découvrir sa résolution, une vraie déception pour moi !

  • Aude Lagandré 26 septembre 2022
    La vertue du mensonge - Ellen G. Simensen

    À Hønefoss, petit village de Norvège, tout le monde se connaît. Malgré la neige qui étouffe chaque son, les âmes bruissent de secrets. Chaque changement à l’inaltérable mélodie du village est un évènement, alors un meurtre, pensez donc ! Cela va alimenter bien des conversations. Lars Lukassen est chargé de l’enquête. Il n’est pas très ému par ce crime, la victime est l’un des anciens tortionnaires de ses jeunes années. Il a bien assez à faire depuis son divorce, prendre plus de temps avec Annie, sa fille qui pleure à chaque fois qu’il la dépose à l’école. L’arrivée d’une nouvelle enseignante, Johanna contribue à cette nouvelle fébrilité qui agite les esprits. Qui est-elle ? D’où vient-elle ? Pourquoi prend-elle immédiatement Annie sous son aile et la défend à tout prix ? Lorsqu’un terrible accident survient lors d’une sortie scolaire, les esprits s’échauffent. de plus, à l’école, certains élèves mentionnent la présence d’une silhouette qui chuchotent des histoires terrifiantes aux oreilles des enfants… Personne ne la voit, mais tout le monde parle d’elle… Peu à peu, l’atmosphère du village change. le récit se teinte alors de mystères, oscillant entre féerie et sorcelleries, faisant ressurgir peurs et angoisses.
    « La vertu du mensonge » est avant tout un roman d’atmosphère. À l’instar de la neige écrasante qui empêche toute précipitation, l’action prend son temps. Comme si, elle se calquait sur un pouls similaire à celui des habitants qui ne vivent pas dans cette effervescence propre aux grandes villes. En sus, une ambiance de contes traditionnels flotte dans l’air… de contes cruels aussi, ceux que l’on raconte aux enfants pas sages pour leur faire peur. L’influence des contes d’Andersen est clairement assumée par des citations avant chaque grande partie. Ainsi, « Quand nous serons à la fin de cette histoire, nous en saurons plus que maintenant » est tiré de « La Reine des neiges ». Selon le conte original, des morceaux d’un miroir ensorcelé se nichent dans le coeur d’un garçon le rendant hermétique à toute forme d’émotions. C’est un peu le ressenti du lecteur vis-à-vis de Johanna dès son apparition dans le roman. La seconde partie me fait clairement penser à « La petite fille aux allumettes » (chaque enfant devrait vivre avec quelqu’un qui prend soin de lui, même si ce quelqu’un n’est pas son « vrai » parent). Cela correspond assez bien à la relation qui se développe entre Johanne et Annie, une relation instinctive, presque viscérale. le lecteur est plongé au coeur d’une région, s’immisce dans les familles, écoute les conversations derrière les portes, pourrait presque prendre part aux discussions. de belles descriptions poétiques de la nature offrent une vision si cinématographique que le lecteur a l’impression de faire partie corps et âme de ce village, de le voir, de le sentir respirer. C’est la grande force de ce roman.
    « La vertu du mensonge » déroule bien une histoire policière en trame de fond, mais celle-ci n’est qu’un prétexte : la profondeur est apportée par ce qui lie les hommes, comment ils interagissent entre eux. Ce qui nous intéresse c’est de savoir réellement ce qui se passe dans leurs esprits. le focus est mis sur trois personnages : Lars, Johanna et Annie. Johanna est la clé de voûte du roman. le lecteur sent que son histoire personnelle passée est très présente dans son existence, qu’elle y joue un rôle capital sur ses réactions, ses angoisses, ses fuites… Elle est auréolée de mystères comme ceux que l’on trouve dans les contes. C’est un personnage d’une réelle complexité psychologique qui dispose d’une insondable intériorité, palpable jusque dans ses silences. Il est question ici des drames de l’enfance et de la possibilité de se libérer ou non de son passé.
    Habituellement, je suis assez mal à l’aise avec les polars nordiques. Je m’ennuie rapidement, j’ai du mal à me souvenir des noms des protagonistes, je ne parviens pas à m’y immerger totalement. Cela n’a pas été le cas ici. Cette atmosphère peuplée de contes, dont je suis friande, a contribué à me laisser plonger dans cet univers de rêveries, de fantasmagorie avec une grande facilité. Après tout, nous sommes dans une période de l’année où nous pouvons nous autoriser à prendre le temps. Ce premier roman de l’auteur fort réussi laisse présager de très bons moments de lecture à venir.

  • Chineuse Deculture 24 septembre 2022
    La vertue du mensonge - Ellen G. Simensen

    Ne la saisit-on pas rapidement la grosse corde du personnage qui arrive dans le village reculé, et par lequel vous allez découvrir les secrets de chacun. Mais quand ce même personnage porte en lui toutes les connexions des faits divers alentours, ses épaules vous semblent bien lourdes. Un premier roman pourvu de maladresses.

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