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La mort nomade - Ian Manook

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Résumé :

Usé par des années de lutte stérile contre le crime, l incorruptible commissaire Yeruldelgger a quitté la police d Oulan-Bator. Plantant sa yourte dans les immensités du désert de Gobi, il a décidé de renouer avec les traditions de ses ancêtres. Mais sa retraite sera de courte durée. Deux étranges cavalières vont le plonger bien malgré lui dans une aventure sanglante qui les dépasse tous. Eventrée par les pelleteuses des multinationales, spoliée par les affairistes, ruinée par la corruption, la Mongolie des nomades et des chamanes semble avoir vendu son âme au diable !

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Vos #AvisPolar

  • myd014 25 février 2023
    La mort nomade - Ian Manook

    Je mets 5 étoiles à ce livre qui nous embarque dans des contrées particulières où il fait très très froid. Tout est très original. Cer auteur écrit sous différents pseudonymes et tout est excellent.

    C’est du très top polar.

  • Fandol 16 janvier 2021
    La mort nomade - Ian Manook

    Yeruldelgger ! Retrouver ce flic mongol sympathique et attachant, sous la plume délicieuse de Ian Manook, a été un vrai plaisir !
    Autant j’avais été emballé par le premier opus de la trilogie, intitulé sobrement Yeruldelgger , autant le second, Les temps sauvages, m’avait un peu déçu car trop embrouillé.
    Ici, avec La mort nomade, Patrick Manoukian qui signe ses polars Ian Manook, a retrouvé la grande forme, j’ai envie d’écrire la plénitude pour mettre un terme à sa trilogie.
    L’âge aidant et assez désabusé par toutes les vicissitudes de la vie, par le nombre de morts jalonnant son parcours aussi, Yeruldelgger s’est retiré seul, dans les steppes mongoles, sous sa yourte.
    Pas très loin de lui, quatre artistes dont un Français, Erwan, croquent les paysages quand ils tombent sur le premier cadavre, nu, attaché sur une pierre ronde, le corps désarticulé.
    Insensiblement, la pression monte mais l’ami Yeruldelgger s’offre une belle nuit avec Tsetseg, une cavalière qui cherche sa fille, Yuna, disparue. Arrive une autre femme, plus jeune, Odval, elle aussi à cheval, et je comprends bien que c’en est fini de la tranquillité pour notre héros !
    On monte vite d’un cran avec quatre cadavres écrabouillés sous une bâche, sur une piste, un peu comme le faisait le fameux Gengis Khan avec les traitres. À partir de là, tout s’enchaîne à un rythme soutenu avec la présence des ninjas, ces chercheurs d’or solitaires qui creusent des puits un peu partout. Mais le plus grave et le plus instructif arrive avec ces multinationales australienne et canadienne qui exploitent le sous-sol des steppes, creusent d’immenses mines à ciel ouvert, font travailler des centaines de mineurs, mettent en place des bordels rapportant gros et faisant le malheur de nombreuses filles chinoises et mongoles.

    Avec les luttes politiques, les compromissions, les pots-de-vin, la corruption qui règne au plus haut niveau de l’État, j’ai beaucoup appris sur le saccage organisé d’un pays pour le profit maximum de quelques-uns. Tous ces minéraux, ces terres rares dont nous sommes friands, sont exploités au maximum sans tenir compte des dégâts humains et écologiques irréversibles.
    À Oulan-Bator, Solongo, la légiste chère à Yeruldelgger, est toujours là. Elle œuvre avec Bekter et Fifty (Meredith), deux flics, anciens collègues de Yeruldelgger quand, soudain, l’auteur m’emmène à Manhattan, puis à Perth (Australie) et même au Canada. Au Québec, je retrouve un compatriote découvert dans Les temps sauvages : Zarzadjian, qui œuvre pour les services secrets.

    La mort nomade est un polar riche en enseignements, captivant par son réalisme et ses descriptions précises non dénuées de poésie, émoustillant avec des scènes de sexe bien troussées. Mais l’auteur va bien plus loin en dénonçant toutes les compromissions, tous les arrangements politiques et commerciaux faits sur le dos des populations avec des conséquences irréversibles pour l’humanité toute entière.
    Sans vouloir en dire davantage, je peux ajouter que La mort nomade rôde toujours, que Ian Manook excelle à faire saliver son lecteur en détaillant à plaisir les repas de ses principaux personnages.

    Enfin, se terminent ces aventures palpitantes en Mongolie où j’ai découvert tellement de belles traditions à l’époque où les humains savaient vivre en harmonie avec la nature. Maintenant, les cours d’eau sont détournés, les sables du désert de Gobi avancent inexorablement et, je dois abandonner Yeruldelgger à regret…
    http://notre-jardin-des-livres.over...

  • IsaVP 2 septembre 2020
    La mort nomade - Ian Manook

    CHOC DE CULTURES
    Une enquête dans les rouages politico-économiques de la Mongolie, bercée de traditions ancestrales, dans des paysages durs et superbes.
    Les personnages sont profonds et attachants et nous font découvrir la richesse de ce peuple venu du désert.
    Dernier roman d’une trilogie, il nous manque sans doute des éléments qui auraient éclairé une trame bien complexe.
    Malgré certains détours un peu lourds qui soulignent néanmoins le choc des cultures, l’auteur nous ramène toujours dans les steppes infinies de cette magnifique Mongolie qui ne cesse de nous envoûter.
    Une découverte à ne pas manquer.

  • l’oeil de sauron 14 février 2020
    La mort nomade - Ian Manook

    ce n est pas mon préféré des trois. Je n ai pas ressenti cette violence, cette noirceur qui transparaît dans les deux tomes précédents. Ici pas de migraine à l horizon, les chapitres tjs très courts se suivent et nous font voyager à travers la Mongolie mais peut être trop de politique pour moi et d enjeu politique et pas assez de meurtres bien glauques.
    Cela reste un très bon thriller que je recommande mais il faut impérativement avoir lu les autres avant !!

  • universpolars 24 novembre 2018
    La mort nomade - Ian Manook

    Voici donc le 3ème tome de la trilogie « Yeruldelgger », ce flic mongol au caractère bien trempé, épris de justice, respectueux, mais évoluant au final selon ses propres méthodes ! Un flic aussi droit et juste que haineux et envahi par la vengeance, lorsqu’il s’agit de défendre les plus faibles, respectivement de faire tomber les plus forts et les plus « intouchables ». Pour le qualifier en un seul mot : intègre.

    Les deux premiers tomes m’ont vraiment charmé - totalement ! - par leur environnement, la Mongolie. Je vous parle de ce pays dans mes précédentes chroniques : « Yeruldelgger » et « Les temps sauvages ».

    L’environnement et l’atmosphère de ce pays me charment toujours autant dans ce 3ème volet. Mais ce qui a vraiment retenu toute mon attention - ma tension ! - cette fois-ci, c’est le rythme qui règne en maître dans ce bouquin. La trame est prenante, l’allure accélère sans cesse et l’auteur nous serre la nuque sans ménagement pour nous pousser en avant. Paradoxalement, nous vivons la Mongolie à son propre rythme, avec sérénité.

    Ici, quelques paramètres non négligeables vont un peu changer par rapport aux autres tomes : Yeruldelgger n’est plus flic et s’est permis une petite retraite - dans les deux sens du terme - dans le désert.

    Mais celle-ci sera de courte durée, car une femme viendra le solliciter pour retrouver sa fille disparue ou enlevée. Comme une affaire n’arrive jamais seule, une autre femme arrivera également au galop vers sa yourte pour un autre genre de sollicitation : son homme s’est fait descendre et sa yourte a été brûlée. Visiblement, les auteurs recherchaient quelque chose de bien précis.

    Ah oui, et il y a encore ce petit gamin de 10 ans, assez insolent, qui viendra frapper à sa yourte. Lui, il a trouvé un charnier rempli de cadavres d’une nature assez particulière.

    C’est vers des croyances, des légendes ou même vers certains rituels propres à la Mongolie qu’il faudra se pencher pour pouvoir obtenir quelques réponses liées à cette intrigue. Mais aussi sur l’exploitation de la nature, ses entrailles, ce qu’elles regorgent et ce qu’elles peuvent rapporter. Un conflit d’intérêt est assuré !

    Nous allons découvrir ici la face pourrie de l’Homme, son côté merdique qui émerge lorsque son museau détecte un fumet qui peut le conduire vers le pouvoir et l’argent. Des hommes pourris, influents, au pouvoir quasi illimité que nous croiserons dans cette histoire. Le problème, c’est qu’ils vont également croiser Yeruldelgger qui, lui, ne recule devant rien, surtout pas devant un amas de pourriture.

    Des exécutions punitives à travers le monde, dirigées contre une cible bien précise, vont alerter et faire bouger pas mal de monde, surtout en « haut lieu ». Ma foi, quand on est pourri jusqu’à la moelle, il faut en assumer les conséquences.

    Corruption, élimination des problèmes, léchages de culs, grosses transactions ou encore de troubles alliances (politiques, financières et industrielles) : nous sommes face à une organisation de puissante envergure qui a décidé de pomper la Mongolie jusqu’à la dernière goutte de sang. La vie de ce pays, déjà bien menacée, est désormais en sursis.

    Niveau corruption, nous allons atteindre des sommets, jusqu’à nous faire vomir tout notre dégoût face à cette saloperie d’injustice. L’auteur nous plonge dans cet état à tel point que nous oublierons presque qu’il s’agit d’une fiction. Résultat : la haine nous gagne et nous bouffe jusqu’au bout, morceaux par morceaux.

    Pas mal d’éléments recueillis à travers le monde vont converger vers une seule et même femme : une mante religieuse puissante, vicieuse, dangereuse et sans état d’âme.

    La planète entière va avoir le regard dirigé vers ce pays de l’Asie, vers une Mongolie qui tente de se défendre, qui essaye de rester en vie et qui cherche désespérément à garder ses traditions ancestrales. Un beau combat qui demandera beaucoup d’énergie et qui fera couler beaucoup de sang.

    Le dénouement, pour moi, reste une triste réalité, à savoir que je quitte définitivement tous ces personnages. Quant à eux, leur périple n’est de loin pas terminé. Dans leur vie, tout continue, comme pour nous...

    Bonne lecture.

  • 1001histoires 12 avril 2017
    La mort nomade - Ian Manook

    La mort nomade
    Je m’en doutais. Plus rien ne sera comme avant. Je l’avais écrit suite à la lecture des "Temps sauvages" ( voir ici http://romans-policiers-des-cinq-continents.over-blog.com/2016/10/les-temps-sauvages-auteur-ian-manook.html ). Quatre mois ont passé. Yeruldellger a quitté la police pour se retirer dans la steppe, non loin du désert de Gobi, près des contreforts de l’Altaï. Il souhaite "y méditer à l’abri du chaos d’Oulan-Bator, y apaiser ses colères, et y trouver le pardon de tous ses crimes". Ce troisième opus de ce qui est désormais une trilogie incontournable est paru début octobre 2016 chez Albin Michel. Quatre mois ont passé ... avant que je puisse obtenir une dédicace.

    Dans sa solitude notre ex-flic est très vite rattrapé par la violence. Il y a tout d’abord la découverte de quatre cadavres, alignés et piétinés par des chevaux au grand galop. C’est un supplice réservé aux traîtres. Les traditions nomades n’ont pas complètement disparues en Mongolie ! Puis des rencontres improbables vont entraîner Yeruldelgger vers des aventures incroyables : il croise des ninjas chercheurs d’or, un scientifique qui depuis la Mongolie observe l’Inde bouger, une lieutenant de police un peu hystérique, un sympathique gamin effronté, une bourgeoise nomade à la recherche de sa fille disparue.

    Ce récit est un puzzle où se mêlent aventures et chevauchées des plus distrayantes, des enquêtes dépaysantes à Perth en Australie, à New York et au Québec, des leçons de géologie instructives et inquiétantes et des témoignages révoltants sur le pillage d’un pays. Ce pays, la Mongolie bien sûr, a été pour moi le personnage central de ce roman ( dans le tome 2 de la série, c’était Oyun et bien sûr dans le tome 1, il s’agissait de Yeruldelgger ).

    La plupart des personnages sont nouveaux. Mais le lecteur retrouve avec nostalgie, Solongo très esseulée à Oulan-Bator et un enquêteur bien impuissant, Bekter de la Police des Polices mongole. J’ai également croisé avec plaisir Zarzavadjian lors d’une visite hilarante des jardins de l’Hôtel Matignon. L’humour est très présent dans ce roman sans pour autant occulter le tragique. Est-ce qu’une petite troupe hétéroclite mêlant quelques cavaliers, des artistes et leur vieux van et un snipper réussiront à sauver la Mongolie des ambitions destructrices des multinationales qui se disputent jusqu’à l’eau ?

    Un éco-warrior peut-il devenir un nouveau Gengis Khan ? Une grève sera-t-elle suffisante pour sauver la Mongolie ? "Le but de la mort nomade, c’est d’oublier le mort et jusqu’à l’endroit même où on l’a laissé. Pour ne vivre qu’avec son esprit, toujours, partout, où qu’on soit". Désormais l’esprit protecteur de Delgger Khan veille sur la Mongolie, partout dans la steppe, dans chaque grain de sable.

    http://romans-policiers-des-cinq-continents.over-blog.com/2017/03/la-mort-nomade-auteur-ian-manook.html

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