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Ceci n’est pas un fait divers - Philippe Besson

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Résumé :

​Ils sont frère et sœur. Quand l’histoire commence, ils ont dix-neuf et treize ans.
Cette histoire tient en quelques mots, ceux que la cadette, témoin malgré elle, prononce en tremblant : " Papa vient de tuer maman. "
Passé la sidération, ces enfants brisés vont devoir se débrouiller avec le chagrin, la colère, la culpabilité. Et remonter le cours du temps pour tenter de comprendre la redoutable mécanique qui a conduit à cet acte.
Avec pudeur et sobriété, ce roman, inspiré de faits réels, raconte, au-delà d’un sujet de société, le long combat de deux victimes invisibles pour réapprendre à vivre.

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Vos #AvisPolar

  • spitfire89 13 mai 2024
    Ceci n’est pas un fait divers - Philippe Besson

    Il y a quelques semaines j’ai eu l’immense chance de recevoir un exemplaire dédicacé par l’auteur.
    Je découvre ici une oeuvre difficile par sa thématique. Un drame familiale relatant un féminicide par la voix narratif du fils qui doit faire face avec sa soeur de la mort de leur mère.

    Philippe Besson à une plume intime, pudique, délicate et sensible, il ne fait aucun effet de style, les mots sont justes et humain. Un travail psychologique autant sur le père violent, pervers, jaloux et narcissique que pour les victimes visible et invisible.

    Comment se reconstruire après de telle événements ? Comment ce drame aurez pu être éviter ? Sommes nous responsable ? Peut on retrouver un sens à notre existence ?

    Un roman sociétale à ne pas manquer, vibrant, percutant, bouleversant dont on ne ressort pas indemne qui parfois hante.

    "On croit toujours que la mort de ses parents surviendra tardivement, calmement, et quand on aura eu le temps de s’y préparer. On redoute la maladie. On écarte l’hypothèse de l’accident par manque d’imagination, ou par superstition. On n’envisage jamais le meurtre. Jamais l’exécution. "

    "Nous ne devions pas juger seulement un fait divers, mais un fait social. Nous ne devions pas parler d’une dispute conjugale qui aurait mal tourné, mais bien de l’aboutissement d’un continuum de violence et de terreur. Nous ne devions pas parler d’un meurtre, mais de la volonté d’un homme d’affirmer son pouvoir, d’asseoir sa domination. Et de l’aveuglement de la société. "

  • angelita 15 février 2024
    Ceci n’est pas un fait divers - Philippe Besson

    Ceci n’est pas un fait divers de Philippe Besson, présentation
    Léa, 13 ans, appelle son grand frère, 19 ans. Ils se parlent peu sauf lorsqu’il rentre chez lui. Plusieurs secondes passent avant qu’elle annonce le drame. Leur père a tué leur mère.

    Passé le choc de l’annonce, il va se mettre en pilotage automatique pour rentrer chez lui, le plus rapidement possible et rejoindre sa soeur qui est toute seule. Il n’a pas encore tous les tenants et aboutissants de cette histoire mais le plus important est de protéger Léa.

    Avis Ceci n’est pas un fait divers de Philippe Besson
    Il suffit d’un coup de fil d’une soeur à son frère pour les anéantir. A 13 ans, Léa appelle son frère, 19 ans, et lui annonce que leur père a tué leur mère. Il quitte Paris pour rejoindre sa soeur au plus tôt. Elle a été prise en charge par une voisine.

    Sitôt arrivé, il se rend à la gendarmerie pour en savoir plus. Tout tient de l’horreur. Léa est interrogée car elle était sur les lieux et a assisté au meurtre.

    La descente aux enfers commence pour les deux enfants. Ils n’ont pas le temps de faire leur deuil car ils doivent répondre aux différents sollicitations et enterrer leur mère.

    En quelques pages, Philippe Besson raconte ce qui peut se passer pour deux enfants, comment ils vont réagir face à ce drame. Ils vont se rappeler leur vie en famille et tenter de chercher les signes avant-coureurs de ce drame. Surtout ce jeune homme qui est parti très tôt à Paris pour apprendre la danse. Comme le dit Léa, il n’était jamais là. Mais il va se rappeler les différents changements chez sa mère. Changements qu’il n’a pas approfondis. Mais sa soeur a pratiquement tout vécu. Et c’est la douche froide quand il apprend que sa mère avait déjà déposé plainte pour violence, qu’elle voulait déjà partir.

    Les mois qui suivent sont intenses, durs, ils vont devoir affronter le procès, la vente de la maison. Il va tout quitter pour sa soeur, pour être auprès d’elle, car elle ne s’en sort pas. Elle fait des cauchemars, elle plonge tant et plus et vite un stress post-traumatique trop intense pour elle apparait. Cela obligera son frère à prendre une grave décision pour la sauver et surtout ne pas plonger. Lui, de son côté, malgré la culpabilité, le remord, il va plonger mais va très vite relever la tête. Il interrogera, va tenter de savoir. Il va essayer de tout savoir sur la vie de ses parents.

    Leur vie a été anéantie de fond en comble. Jamais, on ne parle de ceux qui restent, qui vivent un drame, qui y assistent également, surtout que le meurtrier conserve ses droits parentaux sur ses enfants, notamment les mineurs. Après la perte d’une mère, c’est également la perte d’un père, qu’ils ont aimés. Comment abolir autant d’années ? Car, malgré tout, il reste leur père et les sentiments peuvent être ambivalents. Cela peut être le rejet pur et simple, mais aussi un reste d’amour.

    Je pensais ce livre beaucoup plus fourni en pages, mais après sa lecture, le nombre est suffisant. Tout en pudeur, sobriété, on assiste aux différents témoignages et ceux qui n’ont pas pris position pour protéger cette femme d’un homme qui se considérait comme étant le seul, jaloux, qui avait une emprise physique et psychologique. Il a toujours joué de son charme et cela lui a bien servi. On assiste au calvaire de ces enfants qui doivent survivre sans celle qui les aimait plus que tout et qui a tenté de les protéger. C’est prenant, bouleversant. Tiré d’une histoire vraie, il reste tout de même des non dits car avec ce drame vécu, il ne faut pas tomber dans le voyeurisme. Le féminicide est un fait de société. Les pouvoirs publics tentent d’aider ces femmes. Mais les manques de moyens font que la police, la gendarmerie, ne prend pas toujours les mesures adéquates. Et quand le drame arrive, elles sont mises sur la sellette car avertis, ils n’ont pas réagi suffisamment tôt.

  • angelita 15 février 2024
    Ceci n’est pas un fait divers - Philippe Besson

    Ceci n’est pas un fait divers de Philippe Besson, présentation
    Léa, 13 ans, appelle son grand frère, 19 ans. Ils se parlent peu sauf lorsqu’il rentre chez lui. Plusieurs secondes passent avant qu’elle annonce le drame. Leur père a tué leur mère.

    Passé le choc de l’annonce, il va se mettre en pilotage automatique pour rentrer chez lui, le plus rapidement possible et rejoindre sa soeur qui est toute seule. Il n’a pas encore tous les tenants et aboutissants de cette histoire mais le plus important est de protéger Léa.

    Avis Ceci n’est pas un fait divers de Philippe Besson
    Il suffit d’un coup de fil d’une soeur à son frère pour les anéantir. A 13 ans, Léa appelle son frère, 19 ans, et lui annonce que leur père a tué leur mère. Il quitte Paris pour rejoindre sa soeur au plus tôt. Elle a été prise en charge par une voisine.

    Sitôt arrivé, il se rend à la gendarmerie pour en savoir plus. Tout tient de l’horreur. Léa est interrogée car elle était sur les lieux et a assisté au meurtre.

    La descente aux enfers commence pour les deux enfants. Ils n’ont pas le temps de faire leur deuil car ils doivent répondre aux différents sollicitations et enterrer leur mère.

    En quelques pages, Philippe Besson raconte ce qui peut se passer pour deux enfants, comment ils vont réagir face à ce drame. Ils vont se rappeler leur vie en famille et tenter de chercher les signes avant-coureurs de ce drame. Surtout ce jeune homme qui est parti très tôt à Paris pour apprendre la danse. Comme le dit Léa, il n’était jamais là. Mais il va se rappeler les différents changements chez sa mère. Changements qu’il n’a pas approfondis. Mais sa soeur a pratiquement tout vécu. Et c’est la douche froide quand il apprend que sa mère avait déjà déposé plainte pour violence, qu’elle voulait déjà partir.

    Les mois qui suivent sont intenses, durs, ils vont devoir affronter le procès, la vente de la maison. Il va tout quitter pour sa soeur, pour être auprès d’elle, car elle ne s’en sort pas. Elle fait des cauchemars, elle plonge tant et plus et vite un stress post-traumatique trop intense pour elle apparait. Cela obligera son frère à prendre une grave décision pour la sauver et surtout ne pas plonger. Lui, de son côté, malgré la culpabilité, le remord, il va plonger mais va très vite relever la tête. Il interrogera, va tenter de savoir. Il va essayer de tout savoir sur la vie de ses parents.

    Leur vie a été anéantie de fond en comble. Jamais, on ne parle de ceux qui restent, qui vivent un drame, qui y assistent également, surtout que le meurtrier conserve ses droits parentaux sur ses enfants, notamment les mineurs. Après la perte d’une mère, c’est également la perte d’un père, qu’ils ont aimés. Comment abolir autant d’années ? Car, malgré tout, il reste leur père et les sentiments peuvent être ambivalents. Cela peut être le rejet pur et simple, mais aussi un reste d’amour.

    Je pensais ce livre beaucoup plus fourni en pages, mais après sa lecture, le nombre est suffisant. Tout en pudeur, sobriété, on assiste aux différents témoignages et ceux qui n’ont pas pris position pour protéger cette femme d’un homme qui se considérait comme étant le seul, jaloux, qui avait une emprise physique et psychologique. Il a toujours joué de son charme et cela lui a bien servi. On assiste au calvaire de ces enfants qui doivent survivre sans celle qui les aimait plus que tout et qui a tenté de les protéger. C’est prenant, bouleversant. Tiré d’une histoire vraie, il reste tout de même des non dits car avec ce drame vécu, il ne faut pas tomber dans le voyeurisme. Le féminicide est un fait de société. Les pouvoirs publics tentent d’aider ces femmes. Mais les manques de moyens font que la police, la gendarmerie, ne prend pas toujours les mesures adéquates. Et quand le drame arrive, elles sont mises sur la sellette car avertis, ils n’ont pas réagi suffisamment tôt.

  • titine_bouquine 26 juillet 2023
    Marathon du polar 2023, équipe LESTONTONSFLINGUEURS
    Ceci n’est pas un fait divers - Philippe Besson

    Elle s’appelle Léa. Elle a treize ans quand débute le roman.
    Lui a dix-neuf ans. Il est le frère ainé, celui qui rêvait d’un destin différent. Depuis Billy Eliott, il voulait être danseur.
    Leur père, censé les protéger, est devenu le meurtrier de leur mère.

    Dans ce roman, l’auteur se met à la place de ces enfants victimes de ce féminicide et décrit les terribles conséquences de ce crime.
    On touche là au sujet d’une odieuse vérité, celle des enfants du féminicide. Censés être des victimes, ces enfants sont le plus souvent invisibles.

    Un roman sobre et très juste qui décrit le chemin de croix de ces enfant. Touchant !

  • Peluche0706 13 mai 2023
    Ceci n’est pas un fait divers - Philippe Besson

    La couverture ne reflète en rien le contenu de ce roman :des fleurs, laissant entendre qu’on va lire un roman léger, tout en romantisme, … Ne cherchez pas tout cela dans ce roman. En même temps, le titre du roman n’est pas sans rappeler le titre du tableau de René Magritte « ceci n’est pas une pipe ».

    « Papa vient de tuer maman ». Ce sont les seuls mots qu’a pu dire Léa, 13 ans à son frère de 19 ans, le narrateur de l’histoire. On a le point de vue de l’aîné, parti à Paris, loin de ses parents restés dans la région bordelaise et qui a donc pris du recul sur l’histoire de sa famille. Ce point de vue là est intéressant car on ressent la sidération du frère qui pourtant va trouver la force de prendre en charge sa petite sœur. Le père, lui est parti après avoir commis l’impensable : tué sa femme de plusieurs coups de couteaux.

    Les émotions sont bien retranscrites, il n’y a pas de faux sentiments, on est dans le brut, dans le réel. Parfois, quand on entend des faits divers à la télévision, on a surtout le point de vue des policiers qui enquêtent pour retrouver le meurtrier, mais il est très rare qu’on ait une vision de ce que vivent les rescapés. Tout cela, on l’imagine sans le percevoir vraiment.

    Philippe Besson a trouvé les mots sur ce que peuvent ressentir et endurer les enfants d’une mère tué sous les coups de son mari.

    C’est d’ailleurs intéressant de voir sur certains aspects, des attitudes que l’on attendrait de victimes : ici, ce ne sont pas toujours des comportements attendus, mais c’est amené de sorte à ce que l’on conçoive ces réactions, pas forcément claires de prime abord. Je m’explique : quand le policier qui les interroge sur le comportement du père envers leur mère avant le meurtre, le sœur et le frère se regardent, sans vraiment oser mettre les mots sur ce leur vie de l’intérieur, et en même temps, ils n’arrivent pas à reconnaître que leur père pouvait être dur envers leur mère. Pour eux, c’est comme si ces comportements étaient normaux. Leur mère les a protégés de leur père, en tout cas de la violence verbale qu’elle subissait pour que ça ne les atteigne pas et pour pas qu’ils subissent eux-mêmes ces agressions verbales. Le frère dira même qu’en réalité, lorsqu’ils étaient enfants, leur quotidien était terriblement normal, entre dessins, jeux, école. La vie d’enfant fait qu’on ne se rend pas vraiment compte de ce qui se passe au quotidien. La colère du père est d’ailleurs décrite comme sournoise : d’un instant à l’autre, l’humeur du père peut changer du tout au tout.

    Ils vont donc devoir affronter d’un seul coup la vie d’adulte, la pression médiatique, la pression des proches, l’abandon parfois de certaines personnes, la pression judiciaire aussi, … Tout cela est extrêmement violent et expliqué de manière à ce que l’on prenne conscience que même en tant que victime, il faut affronter de nombreuses difficultés. Rien n’est simple.

    Enfin, ce qui est terrible aussi, c’est que la famille, l’entourage proche, ne semblent pas réellement avoir pris conscience de ce qu’il se passait réellement au sein de cette famille. Certaines personnes s’en doutaient mais n’ont jamais réellement osé en parler, de peur de se tromper. Le fils a d’ailleurs hésité aussi mais s’en voudra pour ne pas être intervenu pour éviter que le pire, inenvisageable en soi, ne puisse arriver.

    Les chapitres assez courts s’enchaînent dans ce roman. Le lecteur est pris lui aussi dans la tornade des démarches des victimes à effectuer malgré le fait qu’ils soient assommés après ce drame. C’est bien fait, c’est factuel et en même temps beaucoup dans l’émotion. Je pense qu’il ne s’agit pourtant que d’un bref aperçu de ce que peuvent réellement vivre les victimes car leurs émotions ne s’expliquent pas dans leur globalité, mais se vivent.

    En bref, une bonne lecture, lourde certes, mais nécessaire pour nous donner un rapide aperçu de l’après féminicide, du côté des enfants qui restent et qui sont souvent oubliés dans les médias, lors de l’évocation d’un fait divers.

  • Martypopy 16 février 2023
    Ceci n’est pas un fait divers - Philippe Besson

    Le narrateur de ce livre a 19 ans, il habite à Paris et prend des cours de danse à l’opéra, depuis l’âge de 8 ans il rêve de devenir 1er danseur et il est à deux doigts d’atteindre son but.

    Ses parents et sa soeur Léa, 13 ans, habitent près de Bordeaux, dans une petite ville où lui-même a grandit.

    Un matin sa soeur lui téléphone et va lui dire 5 mots qui vont bouleverser leurs vies à tout jamais : "Papa vient de tuer Maman".

    C’est le début d’une lente descente aux enfers. Il va falloir accepter les faits, refaire le tracé des années précédentes, se culpabiliser, savoir à côté de quoi on est passé, qu’est-ce que l’onn’a pas vu ? Pourquoi cette fin tragique ?

    L’auteur aborde dans ce livre un domaine ô combien d’actualité : les violences conjuguales qui s’installent petit à petit dans le couple. La violence psychologique le mari qui par ses réflexions fait perdre à sa femme toute confiance en elle, puis la violence physique avec la première gifle puis des coups de plus en plus violents.

    Et puis il y a l’entourage qui avait bien vu quelques changements une certaine tristesse chez cette femme, un laisser aller, mais on trouve des excuses, la fatigue, le temps qui passe et surtout on ne veut pas se mêler de la vie des autres, alors on se voile la face et après les remords arrivent.

    Et le plus dramatique ce sont les dommages collatéraux subis par la famille et surtout les enfants. Deux vies brisées des traumatismes irréversibles, comment survivre à ce choc et comment faire face à ce père dominateur pour qui sa femme était une "chose" lui appartenant et à lui seul.

    Un livre bouleversant et très bien écrit qui nous décrit les faits sans tabou ainsi que du manque de réaction des services de Police lorsqu’une femme vient de signaler que son conjoint exerce des violences ce n’est qu’une plainte de plus qui viendra grossir une pile de dossiers classés sans suite, jusqu’au jour où......

    Un gros coup de cœur pour ce livre qu’il faut absolument lire

  • Angelic Sword 5 février 2023
    Ceci n’est pas un fait divers - Philippe Besson

    💔 Puissant
    En trois mots : traumatisme - enfants - féminicide

    « On n’était pas taillés pour une calamité de cette nature, de cette ampleur. Personne ne l’est. Évidemment. »

    ➡ Le titre est parfaitement choisi, il pousse à la réflexion, tout comme l’ensemble du roman. Ceci n’est pas un fait divers et ne doit jamais l’être.

    « Papa vient de tuer maman. »

    ➡ Le sujet est abordé avec le point de vue des enfants, victimes collatérales de ce crime. Dévastés par la mort de leur mère, traumatisés même, ils doivent aussi faire face à la perte de leur père d’une certaine façon.

    « Les monstres aussi ont le droit d’avoir un beau sourire. »

    ➡ Chagrin, colère, incompréhension, l’auteur aborde tous ces sentiments avec justesse. Sans oublier le chemin vers la reconstruction qui semble si complexe.

    « Dans une cuisine non plus, on n’est pas censé se faire tuer. »

    ➡ C’est rude, émouvant mais certainement pas larmoyant, de plus, l’écriture reste élégante et travaillée, en parfaite opposition avec la dureté de la réalité.

    Une lecture difficile mais que je suis contente d’avoir faite.

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