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Le glas de l’innocence - Cyril Carrere

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Résumé :

Okinawa, 1993 – Un jeune garçon subit au quotidien les accès de violence de son père. Au plus fort d’une enfance chaotique et solitaire, il noue une amitié solide avec une camarade de classe.

Mais l’horreur l’attend au tournant…

Tokyo, 2017 – Une série de meurtres dans le quartier cossu de Meguro place l’inspecteur Alex Nakayama dans une situation désespérée. Son excentrique mais talentueux assistant Hayato Ishida le supplée et va apprendre à ses dépens que les masques de la société japonaise renferment parfois de lourds secrets… Entre déni et suspicion, le cauchemar ne fait que commencer.

Le Glas de l’Innocence a été finaliste du concours "Derrière les Portes" sur la plateforme Fyctia (sous le titre "The Evil Society". Il s’est classé deuxième au terme du vote de la communauté de lecteurs.

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Vos #AvisPolar

  • aurore 11 février 2019
    Le glas de l’innocence - Cyril Carrere

    Bonjour à tous et à toutes,
    Aujourd’hui je vais vous parler du premier roman de Cyril Carrere, Le Glas de l’Innocence.

    Publié le 14 août 2018
    Editeur Le Lys Bleu
    356 pages

    Ici, l’auteur nous emmène à la découverte du pays dans lequel il vit : le Japon.

    L’histoire débute sur l’île japonaise d’Okinawa en 1993. Ken, un jeune garçon solitaire, est maltraité par son père quotidiennement. A l’école il se lie néanmoins d’amitié avec une petite fille de sa classe issue d’une famille riche. Lors d’une sortie scolaire, la vie des deux amis bascule dans l’horreur...

    En parallèle nous suivons une enquête menée à Tokyo en 2017 sur une série de meurtres perpétrés au sein d’un quartier riche de la ville. L’inspecteur Alex Nakayama est en charge pour résoudre cette affaire délicate. Mais son passé et ses secrets le rattrapent et il se retrouve en bien mauvaise posture. Son jeune mais talentueux assistant pourra-t-il le sauver ?

    Mon avis :

    J’ai passé un excellent moment avec ce roman qui m’a fait découvrir le Japon. L’histoire est très prenante une fois la lecture commencée il est difficile de s’arrêter ! Les chapitres sont courts et truffés de surprises. Je me suis attachée aux personnages d’Alex et de son atypique assistant qui ne ménageront pas leurs efforts pour découvrir la vérité... Une vérité déconcertante ! Cyril Carrere nous tient en haleine toute au long de l’histoire. Ayant déjà lu et adoré son second roman Grand Froid je vous conseille la découverte de cet auteur talentueux , il vous surprendra à coup sûr !

    Résumé :

    Okinawa, 1993 – Un jeune garçon subit au quotidien les accès de violence de son père. Au plus fort d’une enfance chaotique et solitaire, il noue une amitié solide avec une camarade de classe. Mais l’horreur l’attend au tournant …
    Tokyo, 2017 – Une série de meurtres dans le quartier cossu de Meguro place l’inspecteur Alex Nakayama dans une situation désespérée. Son excentrique mais talentueux assistant Hayato Ishida le supplée et va apprendre à ses dépens que les masques de la société japonaise renferment parfois de lourds secrets… Entre déni et suspicion, le cauchemar ne fait que commencer.

  • Musemania 5 février 2019
    Le glas de l’innocence - Cyril Carrere

    Comme vous avez déjà pu le constater sur mon blog, je lis des auteurs confirmés mais pas seulement. Il m’arrive aussi de découvrir des primo-écrivains. Pour ces derniers, ça peut être les maisons d’éditions qui me les proposent mais parfois, cela peut être les auteurs eux-mêmes qui me proposent leurs livres (comme a été le cas pour Sébastien Didier, "Je ne t’oublie pas", ma chronique déjà sur le blog : http://musemaniasbooks.blogspot.com/2018/05/je-ne-toublie-pas-de-sebastien-didier.html), ou comme ici avec "Le glas de l’innocence".

    Très souvent, je suis dans l’obligation de (hélas) refuser, car le temps me manque, mes journées ne comptant seulement que 24h (ça m’arrangerait beaucoup si elles pouvaient en compter le double ;). Mais dans le cas présent, j’ai directement été séduite par la quatrième de couverture et je me suis dit : "Pourquoi ne pas laisser une chance à ce livre ?" Bien m’en fasse car j’ai vraiment apprécié sa lecture. Ce thriller m’a transportée dans une culture assez méconnue pour ma part et c’est déjà un très bon point.

    On y suit l’enquête menée par l’inspecteur Alex Nakayama dans les beaux quartiers de la vile de Tokyo, Meguro, à la suite de l’assassinat de deux étudiants. Aidé par Hayato, son tout jeune assistant très sûr de lui, Alex était loin d’imaginer que son histoire personnelle allait se trouver autant mêlée à son enquête. Quand son propre passé va ressurgir, les complots et secrets s’accumuleront au risque de briser les certitudes.

    Le Japon n’est pas un pays que je connais, hormis les quelques films et séries télés que j’ai pu regarder et qui s’y sont déroulaient. L’Asie n’est pas un continent forcément très représenté dans mes lectures puisque celles-ci se déroulent principalement en France, en Angleterre ou aux États-Unis. Cyril Carrere a réussi à me faire voyager vers ce pays lointain et à découvrir la ville de Tokyo. La culture japonaise prend une place toute particulière au travers de l’histoire.

    Comme j’ai déjà pu l’évoquer dans d’autres articles, j’ai parfois des difficultés à retenir les noms asiatiques des personnages. Pour éviter de m’y perdre au fil des pages, je me suis construit un petit aide-mémoire. Et ça a bien fonctionné car il m’a beaucoup aidée et j’ai pu ainsi savourer toute l’histoire, sans devoir revenir constamment en arrière.

    Comme tout bon thriller qui se respecte, le suspens monte crescendo à chaque page qui se tourne. La mise en place de la trame prend parfois un peu de temps mais arrivée à près de la moitié, j’avais vraiment envie de connaître l’identité du tueur. Le final se tient et tout du long, j’ai trouvé le récit assez bien cohérent.

    Pour un premier thriller, je l’ai trouvé assez bon et abouti. Certes, il n’est peut-être pas parfait mais c’est très prometteur pour les prochains livres de Cyril Carrere. J’ai été contente de m’être laissée tentée et je souhaite tout le meilleur à cet auteur, que je tiens à remercier pour toute sa gentillesse.

    Chronique sur mon blog : https://musemaniasbooks.blogspot.com/2018/10/le-glas-de-linnocence-de-cyril-carrere.html

  • Mag Livresque 4 janvier 2019
    Le glas de l’innocence - Cyril Carrere

    Ce roman de Cyril Carrère m’attendait depuis un bon moment, il était temps que je lui fasse honneur. D’autant qu’il est d’une très grande qualité, impossible en lisant cette histoire plutôt noire, de deviner que nous découvrons là un tout jeune auteur. Cyril Carrère fait preuve d’une maturité dans la narration qui ne peut que surprendre la lectrice que je suis. Je dois avouer que je savais que je ne serais pas déçue car les précédents avis que j’ai pu lire sont élogieux.
    , une sincérité qui se ressent immédiatement, une touche d’humour, juste ce qu’il faut, une émotion palpable et digne. Il en est de même ici, une histoire à deux niveaux dans le temps, Ken un jeune garçon dont le quotidien angoissant vous prend aux tripes, ce genre d’enfant que vous avez envie de protéger, qui déclenche chez vous cette envie de rentrer dans l’histoire afin de lui apporter votre aide. Puis 20 ans plus tard, on se retrouve au cœur d’une enquête sur une série de meurtres qui va embarquer Alex et son équipe dans une enquête digne des meilleurs thrillers, tout cela agrémenté du charme de l’Asie, de l’originalité de ces personnages qui ont des façons d’être soit attachantes soit intrigantes. Un véritable puzzle que l’auteur prend un malin plaisir à démonter dès que vous relâchez votre attention, hors de question de vous laisser deviner trop vite l’issue de ce roman ! Rien n’est laissé au hasard, tous les ingrédients sont posés de telle façon qu’il vous est impossible de ne pas vous sentir happé par cette histoire. Une qualité d’écriture, je vous le disais, qui amène des sentiments et émotions fortes, des moments de totale frénésie où il vous est difficile de lâcher votre lecture.

  • Jean-Paul dos Santos Guerreiro 27 novembre 2018
    Le glas de l’innocence - Cyril Carrere

    Bonjour à toutes et à tous…

    Cyril m’a envoyé gentiment son premier roman il y a quelques semaines. J’ai du coup bousculé l’ordre de mes lectures prévues car il est assez rare que ce soit les auteurs qui aient cette démarche.

    J’entame donc ma lecture…
    Je ressens très vite un souffle nouveau dans le style d’écriture et une sorte de distance aussi qui me surprends un peu. Mais en avançant dans le récit, je comprends que ce style est forcément voulu.
    Nous sommes au Japon.
    Les personnages évoluent dans une sorte de respect “de surface”, de pudeur aussi que l’on ressent très bien dans cette intrigue que je pensais linéaire, mais qui finalement, grâce à l’intelligence de l’auteur va en surprendre plus d’un.

    Maltraitance d’enfants.
    Meurtres au cœur de Tokyo.
    Le lien semblait évident, mais Cyril a construit son récit comme un véritable puzzle qui ne vous sera dévoilé qu’à la dernière pièce !
    J’ai essayé de me livrer au jeu de l’enquête.
    À chaque fois que je pensais avoir une piste, elle était automatiquement annulée la page suivante. Je me suis fait avoir ainsi à plusieurs reprises. Force est de constater que ce thriller n’a rien de simple, Cyril a fait ce qu’il fallait pour embrouiller le lecteur. Les personnages sont tous très bien construits.

    Nous sommes entourés de personnes de caractères, intrigants, racés qui ne cèdent en rien sur leurs modes de fonctionnement. Mon préféré, “Hayato Ishida” qui aurait pu effacer tous les autres de part son charisme, et bien non !
    Chacun a un vrai rôle à tenir et Hayato va avoir beaucoup de mal à résoudre cette enquête à plusieurs niveaux.

    Malgré la violence du l’histoire, peu de sang, Cyril écrit tout en finesse jusqu’à nous offrir “sa” révélation finale.

    Le Glas de l’Innocence est un très bon premier roman, il me tarde de lire le prochain, pour voir s’il confirme mon idée première : “Je pense que nous risquons très vite d’entendre parler de Cyril Carrere, comme d’un auteur prometteur sur la forme et sur le fond”.

    ÷÷÷÷÷÷÷

    Extrait :
    “Le garçon utilisa la manche de la veste de son costume d’écolier pour sécher ses yeux globuleux, rongé par le chagrin. D’un geste énergique de la main droite, il se frotta le cuir chevelu, gras, irrité.
    Il faut que je m’arrête tout de suite, ou je vais encore me gratter jusqu’au sang.
    Hagard, il s’assit et ramena les jambes vers son torse en serrant les dents. Ses rotules s’enfoncèrent dans ses avant-bras lorsqu’il les enroula autour de ses genoux. Il lutta un instant mais finit par fermer les yeux, épuisé.
    …/…
    La chaleur le réveilla et la douleur, sournoise, se rappela à son bon souvenir. Il suffoquait dans ce fichu cagibi. Combien de temps avait-il dormi ? À part tourner en rond, que pouvait-il faire ? Maintenant qu’il y pensait, il n’avait jamais cherché à savoir ce qu’il y avait dans cet endroit. Sans doute la peur qu’il ne le surprenne. Qu’il le roue de coup, ou pire encore.”

  • Emilie Resse 27 novembre 2018
    Le glas de l’innocence - Cyril Carrere

    Du voyage…

    Embarquement immédiat pour le Japon avec au programme : des meurtres, une enquête, du thé et des boîtes de karaage (poulet frit). Dans ce livre, vous allez vivre un dépaysement total puisque l’histoire se déroule à Tokyo en 2017. Alors, on laisse ses chaussures au genkan (entrée où l’on se déchausse), on s’installe confortablement pour lire cette chronique, on n’est pas là pour faire une partie de Janken (pierre feuille ciseaux).

    Vous l’aurez compris, on baigne dans la culture nippone. Entre tradition et modernité, c’est avec un grand succès que Cyril nous fait voyager. Aucune difficulté à comprendre, puisque si un mot japonnais est employé, la traduction se trouvera en bas de page.

    …à l’enquête…

    « Le glas de l’innocence » débute sur les chapeaux de roues avec un double homicide dès les premières pages ! Wahou, avec de surcroît une mise en scène spectaculaire !

    Alex Nakayama, inspecteur au TMPD (Tokyo Metro Police Department, QG de la police japonaise) est appelé par son ancien élève Yu Fujita sur cette scène de crime. Et c’est avec son collègue et inspecteur Okura, et son assistant Hayato, 21 ans qu’il découvre l’impensable dans un froid glaciale (humm, en écrivant cela, je me dis que l’auteur à l’air d’apprécier le froid, n’est-ce pas ?)

    Une série de meurtres qui va placer notre Alex dans une situation bien compliquée ! Nous avons tous nos petits secrets avait enseigné Okura quelques temps auparavant à Hayato.

    Puis le calme revient pendant quelques pages, le temps à l’auteur d’installer ses personnages, et de nous parler en parallèle d’un jeune garçon prénommé Ken qui vit sous les excès de violence de son père à Okinawa.

    Une fois, les personnages bien campés, le cours de l’enquête va prendre un tournant décisif grâce à Hayato (Mais chut…il ne faut pas trop en dévoiler…).

    …en passant par les personnages…

    J’ai eu beaucoup de mal au début à me faire aux prénoms japonnais…puis, à force de les lire, de les croiser, de les suivre, j’ai fini par m’y faire et m’en accommoder.

    Le personnage qui m’a le plus marqué est celui de Hayato. Il est très spécial ce jeune homme, secret presque. Il passe son temps à manger : entre karaage (poulet frit), mochi (gâteau de riz gluant) ou encore Pocky (équivalent de nos Mikado), il a sans cesse quelque chose en bouche. Comme si manger l’aidait à réfléchir. Dans ce thriller, je pense que c’est le personnage qui connait une des plus grande et belle évolution. Il aime vérifier les choses avant de les dévoiler. Il n’agit jamais par hasard. Il a son monde, peuplé d’origamis, une manière d’évacuer son stress ?

    J’ai beaucoup aimé Eiko aussi : la profileuse qui apporte un regard nouveau sur les personnages. Elle semble d’une beauté et d’une bonté divine !

    Lorsque j’ai refermé ce livre hier, j’ai eu l’impression que mon enquête se terminait aussi, car tout au long du livre, j’ai accompagné Alex, Hayato, Fuji, Eiko ou encore Okura. J’étais également aux côté de Ken et Miyabi en 1993. Des personnages soigneusement travaillés, qui m’ont permit de découvrir la culture japonaise.

    Pour conclure, je peux vous garantir que Cyril Carrere signe là un très bon premier thriller ! Il nous glisse des cliffhangers en fin de chapitre pour nous tenir en haleine et nous pousser à lire toujours quelques pages de plus ! Malgré le coup de mou que j’ai pu ressentir au milieu du livre, l’auteur m’a transporté dans son enquête et le suspens est maintenu jusqu’au bout.

    Il me tarde de découvrir « Grand froid » maintenant !!

    « Un jour, lui avait-il dit, tu rencontreras un mur sur le chemin de la vérité. Qu’est-ce que tu feras ?

    Est-ce que tu tourneras les talons et chercheras un autre moyen pour le contourner ? Est-ce que tu te jetteras dessus avec toute ton insouciance pour essayer de le surmonter ? Ou alors, est-ce que tu prendras le temps de l’analyser pour trouver la meilleure façon de le franchir ?

    Ce que tu feras dépendra de toi et déterminera le type d’enquêteur que tu es. » (page 292)

  • lesmotsdelau 27 octobre 2018
    Le glas de l’innocence - Cyril Carrere

    Dans un quartier résidentiel vit un jeune garçon de 8 ans, maltraité physiquement et psychologiquement par un père cruel et sans pitié qui ne connaît que la brutalité en guise de sentiment. Nous allons suivre le calvaire de cet enfant et être les témoins malheureux, de ses rêves et de ses désillusions. Il va apprendre à vivre dans ce chaos familial et tenter de se construire une existence bien à lui. Une rencontre va changer sa vie et adoucir quelque peu son quotidien difficile.
    Suite à un double meurtre dans une résidence, l’inspecteur Alex Nakayama de la session criminelle de Tokyo et son assistant Hayato sont envoyés sur place, afin de mener l’enquête. Là-bas, ils y retrouvent Fujita, ancien colocataire et ami de promotion d’Hayato qui leur expose les premières constatations de ce drame. Ils découvrent avec effroi, une mise en scène macabre qui va faire ressurgir de douloureux souvenirs à notre inspecteur. Entre complot, piège, trahison et manipulation, un cauchemar va alors s’abattre sur cet homme, pour qui la vérité n’aura jamais été aussi dangereuse, et autant aux antipodes de ce qu’il pensait savoir.

    Un récit en immersion totale en plein cœur de la société japonaise, un beau voyage qui m’a propulsée dès les premières pages à presque à 10 000 kilomètres de mon salon. Sans avion ni décalage horaire, j’ai traversé les différents lieux cités dans le livre sans encombre. Me prenant au jeu de ces endroits et de ces noms atypiques que je n’ai eu aucun mal à retenir. De ce côté, il n’y a pas de blocage à craindre concernant la mémorisation des noms, tout se passe naturellement.
    Nous allons donc suivre plusieurs époques différentes dans ce récit, d’une part l’histoire d’un petit garçon martyrisé et d’autre part la descente aux enfers d’un policier.
    J’ai aimé ces deux parties bien distinctes aussi bien dans la forme que dans le temps, l’une complétant habilement l’autre. Jouant même lors de certains chapitres, d’un changement de style, de décor et de ton pour désarçonner le lecteur, le faisant basculer sur des sentiments inverses.
    Les personnages sont intéressants, certains sont plus intrigants que d’autres par leurs caractères forts, hors normes, cassant les codes d’un pays où l’on ressent le poids d’une société pour le moins écrasante.
    Un bon thriller qui sort vraiment des genres habituels que l’on peut lire. Une enquête policière avec des rebondissements qui nous tiennent en haleine jusque dans les derniers chapitres, nous livrant par parcimonie des éléments semant le trouble jusqu’aux dernières pages.
    Le tout accompagné il faut le dire d’une belle couverture, qui reflète bien l’histoire contenue dans ce livre.

    « Le rideau de ses paupières se ferma sur le sourire démoniaque figé dans le faciès de bois de son bourreau. »

    « Un mauvais pressentiment le prit aux tripes. Les prémisses d’un voyage qui tournerait au cauchemar s’invitèrent jusque dans les recoins les plus sombres de sa pensée. »

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