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Fille A - Abigail Dean

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Résumé :

Aux yeux du monde, Lex Gracie est la Fille A. Celle qui s’est échappée à quinze ans de la « maison des horreurs » où ses parents la séquestraient avec ses frères et sœurs. Depuis, elle n’a jamais cessé de fuir, mettant un océan entre elle et ses souvenirs. Mais lorsque sa mère meurt en prison et la nomme exécutrice testamentaire, Lex ne peut plus esquiver. Il lui faut décider du sort de la maison et obtenir l’accord des siens – ce qui signifie les retrouver et replonger dans la souffrance qu’ils ont partagée. Phénomène outre-Atlantique traduit dans trente-six pays et salué par une presse unanime, ce premier roman incendiaire, inspiré d’une histoire vraie, sonde les liens familiaux et la mémoire traumatique.

Habilement construit, tenu par un mystère qui ne se dévoile qu’à la fin, Fille A est une fiction puissante sur l’enfance et ses séquelles. Clémentine Goldszal, Elle.

Traduit de l’anglais (États-Unis) par Jean Esch

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Vos #AvisPolar

  • Musemania 25 avril 2024
    Fille A - Abigail Dean

    Ce livre m’a vraiment donné un sentiment bizarre : autant je peinais dans ma lecture que je trouvais assez fastidieuse par le manque de rythme, autant j’étais pressée d’y retourner pour le poursuivre.

    Inspirée de faits réels, l’histoire avait tout pour me plaire sur papier. Alors certes oui, certains passages m’ont, à la fois, plu et horrifié par la cruauté humaine, mais j’ai trouvé cela beaucoup trop long. Le livre en format poche compte plus de 440 pages mais pour moi, il aurait très bien pu n’en compter que la moitié.

    L’utilisation d’un certain twist qui se révèle quasiment à la fin aurait dû me surprendre et me plaire mais les longueurs m’ont fait perdre ce plaisir. Je pense qu’il m’aurait plus interpellée à l’écran via une série ou un film.

    Bref, c’est bien dommage mais ceci n’est que mon humble avis personnel. Alors n’hésitez pas à vous procurer ce livre et à vous forger le vôtre.

  • Musemania 25 avril 2024
    Fille A - Abigail Dean

    Ce livre m’a vraiment donné un sentiment bizarre : autant je peinais dans ma lecture que je trouvais assez fastidieuse par le manque de rythme, autant j’étais pressée d’y retourner pour le poursuivre.

    Inspirée de faits réels, l’histoire avait tout pour me plaire sur papier. Alors certes oui, certains passages m’ont, à la fois, plu et horrifié par la cruauté humaine, mais j’ai trouvé cela beaucoup trop long. Le livre en format poche compte plus de 440 pages mais pour moi, il aurait très bien pu n’en compter que la moitié.

    L’utilisation d’un certain twist qui se révèle quasiment à la fin aurait dû me surprendre et me plaire mais les longueurs m’ont fait perdre ce plaisir. Je pense qu’il m’aurait plus interpellée à l’écran via une série ou un film.

    Bref, c’est bien dommage mais ceci n’est que mon humble avis personnel. Alors n’hésitez pas à vous procurer ce livre et à vous forger le vôtre.

  • Marie Nel 15 mars 2024
    Fille A - Abigail Dean

    La Fille A, c’est Alexandra, ou Lex Gracie. Elle est l’aînée d’une fratrie de plusieurs enfants. Lorsqu’on la rencontre au début du livre, elle est adulte, avocate et vit à New-York. Elle est rappelée chez elle en Écosse suite au décès de sa mère. Celle-ci l’a faite exécutrice testamentaire. Jusque là, rien de bien particulier. Là où tout se corse, c’est lorsqu’on apprend que cette mère est morte en prison après avoir été condamnée pour 25 ans, car elle et son mari ont maltraité leurs enfants, allant jusqu’à les attacher et les séquestrer. Il y a la Fille A, le Garçon A, la Fille B, le Garçon B... Tout a été découvert par les autorités lorsque Lex a réussi à s’échapper alors qu’elle avait 15 ans. Le père s’est suicidé avant l’arrivée des autorités. Donc, lorsque la mère meurt, Lex se voit donc obligée de replonger dans ce passé, et doit reprendre contact avec ses frères et sœurs. Il reste aussi la question de la maison, surnommée "La maison des Horreurs". Lex a l’idée d’en faire un centre à vocation sociale, mais il lui faut l’accord de ses frères et soeurs. 

    Le retour dans le passé est douloureux pour Lex. Moi, en tant que lectrice, je n’ai pas su tout de suite ce qui lui était arrivé petite. Les infos sont données avec parcimonie et à petite dose. Je devinais certains faits mais j’étais loin de m’imaginer tout. J’ai découvert petit à petit ce qu’étaient devenus les autres membres de la fratrie, comment ils ont évolué. L’autrice a pris le parti de construire l’histoire à l’envers. On suit les personnages dans leur présent et on apprend au fur et à mesure leur passé. Et ainsi les conséquences de celui-ci sur leur vie actuelle. Les traumatismes sont parfois difficiles à cicatriser. 

    Je ne me suis pas tant que ça attachée aux personnages, et à Lex en particulier. Et je ne saurais pas dire pourquoi. La narration est pourtant à la première personne, ce qui, d’habitude, me permet de me mettre à la place du personnage. Là, j’ai gardé une certaine distance avec elle, ce qui n’est pas plus mal non plus, car elle n’est pas épargnée. Je pense que j’ai ressenti la distance que Lex mettait par rapport aux faits et aux autres personnages. Elle est parfois froide, ou tout du moins, ne veut pas se laisser aller. Il y a juste à la fin que j’ai ressenti de la compassion pour elle, où enfin, elle a pu lâcher prise.

    Le roman est construit de telle façon qu’il y a, à certains moments, quelques longueurs. Il y a 7 chapitres en tout pour un livre de plus de 400 pages, cela fait de gros chapitres, et a tendance à ralentir le rythme du récit. Chaque chapitre est consacré à un des frères et soeurs que Lex rencontre. Bien sûr, dans chaque chapitre, il y a des coupures, mais j’ai tout de même trouvé cela un peu long de temps en temps. 

    C’est plus un roman noir psychologique qu’un polar. Pas d’enquête policière, mais plus une quête de vérité. L’autrice traité de ce sujet avec brio, et avec beaucoup de franchise. Elle décrit tel quel sans faire non plus dans le sordide. Quand on sait ce qu’a fait le père, empêchant ses enfants d’aller à l’école, leur donnant peu à manger, et en plus les sévices corporels, on est révolté. Et on se demande comment personne a pu laisser faire, sans jamais aller voir ce qu’il se passait. Et dans toute cette noirceur que l’autrice décrit, il y a tout de même une lueur d’espoir, un peu de beauté et de bonté dans toute cette cruauté. J’ai beaucoup aimé que l’autrice soit franche et en même temps adoucisse le ton et laisse entrer un peu de lumière.

    C’est un roman à l’histoire marquante. Je pense que je n’oublierai pas de sitôt Lex et son histoire de vie. Il a été assez long à lire, car le sujet est éprouvant, l’écriture est dense, et en même temps parfois un peu de longueurs. J’ai eu parfois un peu de mal à me repérer à l’intérieur des chapitres entre le passé et le présent. Mais par contre, c’est très bien écrit. C’est un premier roman, et il est vraiment très réussi. On sent son métier d’avocate dans son écriture, sa précision des faits, sa maturité, sa façon de détailler les lieux, les personnages, et de faire passer les émotions. Et quand on sait en plus que c’est une histoire inspirée de faits réels, cela donne des frissons. 

    Je lirai à nouveau Abigail Dean avec plaisir. Je vais guetter son actualité. Je ne peux que vous inviter à rencontrer la Fille A et la suivre dans son histoire. 

  • spitfire89 8 février 2024
    Fille A - Abigail Dean

    Une intrigue oppressante, malaisante, glaciale, l’autrice a réalisé une intrigue forte psychologiquement, plusieurs temporalité, la descriptions du ressenti des enfants devenu adultes une terrible affaire qui me fait plus ou moins écho a une autre entendu dans nos média en 2022 ou 2023. Traumatisme, Reconstruction, Séparation, une tension, une lecture en apnée. Un récit ou vous refermez les dernières pages en ne ressortant pas indemne. On est dans une ambiance d’un True Crime. Cruel et doux à la fois.

    "Papa voulait que je vienne dormir à la maison, quelques nuits au moins. " Tous ces contacts avec ta famille, je ne sais pas si c’est bon pour toi. " C’était un vieux débat, qui resurgissait lors des occasions spéciales. Papa avait passé toute l’année précédente à protester contre ma présence au mariage d’Ethan. Quand ils m’avaient adoptée, mes parents s’étaient éloignés le plus possible de Hollowfield, et même si Maman affirmait qu’elle avait toujours voulu vivre plus près de la mer, je les soupçonnais d’avoir cherché à m’éloigner de cette région. A leurs yeux, le passé était une maladie que mes frères et sœurs portaient encore en eux. Une simple conversation suffisait à être contaminé."

    "Il me semblait inconcevable que Cara et Annie continuent à se retrouver sous le gymnase pour déjeuner. Que dans les couloirs de l’école, derrière les portes des salles de classe, le savoir continue à être dispensé. Que la cloche continue à sonner.
    Au-delà de Moor Woods Road, j’imaginais des élèves qui découvraient le sexe, la conduite automobile, les examens. L’amour même.
    Leur monde s’accélérait alors que nous étions retenus autour de cette table de cuisine, enfants éternels."

  • Tiffany ST 8 février 2024
    Fille A - Abigail Dean

    "Fille A" est le premier roman d’Abigail Dean, inspiré d’un fait divers qui a réellement eu lieu aux États-Unis dans les années 60. Intriguée par ce point et la quatrième de couverture, je me décide à lire le roman.

    À travers ce thriller psychologique LÉGER, chacun des enfants sorti de l’enfer de la Maison des Horreurs doit lutter contre ses propres démons, du moins, pour ceux qui ont survécu…
    Pensant avoir fui pour de bon le cauchemar d’Hollowfield en devenant avocate Outre-Atlantique, Lex, aka la Fille A se voit désignée exécutrice testamentaire par sa mère. Pour elle, c’est la douche froide et un rebond dans le passé imposé dont Lex Gracie se serait bien passé. Elle va ressentir le besoin de souffrir physiquement, un écho à ses blessures d’enfance. Malgré des traces psychiques et physiques, elle doit retrouver ses frères et soeurs pour décider du sort de l’horrible maison où tout avait pourtant bien commencé pour tomber bien bas jusqu’aux sévices de maltraitance et de séquestrations. Des projets vont naître dans leurs esprits, mais vont-ils pouvoir se concrétiser ?
    Bien évidemment, pour paraître le plus normal possible, les enfants allaient à l’école mais certains n’étaient pas dupes sauf qu’ils n’intervenaient pas. C’est la fuite d’Alexandra Gracie qui a sauvé tout le monde de cet enfer mais chacun de la fratrie devait être séparé. Une nouvelle vie pour chacun ?

    En plus d’évoquer son passé, Lex relate dans de très longs chapitres celui de ses frères et soeurs et leur devenir. Mais parfois, je me perdais entre les alternances des faits passés et du présent. Il aurait fallu mettre des astérisques entre chaque paragraphe... de plus, dans chacun des chapitres, je n’ai pas vu de précisions détaillées sur leur passé. J’ai plus constaté des bribes de souvenirs qu’une plongée dans l’horreur passée ainsi qu’un éloignement du sujet. Ça parlait plus de Lex que de ses frères et soeurs.

    Enfin, là où est ma plus grande déception, c’est à propos de la construction du récit. Abigail Dean aurait dû commencer par nous faire vivre dès le départ la descente au enfers progressive de la famille Gracie et la dérive des parents, surtout du Père jusqu’à l’exécution testamentaire actuelle de la Mère plutôt que ce qu’elle a fait.

    Ce n’est donc pas le meilleur thriller que j’ai lu. C’était plutôt un genre de thriller léger et biographique d’une famille sur les traces psychologiques actuelles et leur devenir, rien de plus…

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