- Auteur : Arno Strobel
- Editeur : Archipoche
- Date de sortie : 2 mai 2018
- ISBN : 2377351530
- EAN : 9782377351534
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Carolina 28 octobre 2022
Enterrées vivantes
Enterrées vivantes, est un thriller psychologique avec un bon rythme et un bon suspense. Je pense que la révélation finale peut plaire et pourrait en étonner beaucoup mais à la condition, peut-être, que vous n’ayez pas encore lu ce genre d’histoire. Sinon, je pense que la déception sera là. Pour ce qui est de l’enquête en elle-même, il n’y a rien d’original, c’est une enquête assez banale que nous propose l’auteur, avec des rebondissements par ci par là mais qui ne sont pas extraordinaires. J’ai également eu quelques difficultés avec les noms des personnages, ce qui m’a un peu embrouillée l’esprit par moment. Je regrette également certains choix de l’auteur (Cf : le personnage de Dagger sorti de je ne sais où), que j’ai trouvé un peu trop facile. Mais malgré les petits défauts du roman (défauts qui n’engage que moi bien entendu), c’est un thriller psychologique qui se lit plutôt bien. Il est assez prenant dans l’ensemble et la plume de l’auteur est plutôt agréable. On passe un bon moment mais si l’on a déjà lu ce genre de thriller on peut vite en sortir déçue car la thématique n’est pas si bien exploitée que ça.
ju_se_livre 13 décembre 2020
Enterrées vivantes
Si vous aimez les thrillers à suspense sans temps morts ni blabla inutiles, celui là est fait pour vous.
Eva se réveille enfermée dans un cercueil sans savoir comment elle a pu atterrir là. Et évidemment elle essaye d’en sortir. Mais lorsqu’elle se réveille dans son lit, elle comprends avoir fait un cauchemar. Pourtant elle découvre sur son corps toutes les marques de sa tentative d’évasion comme si elle avait vraiment vécu son calvaire. Alors rêve ou réalité ?
Les suspects s’enchaînent. On est autant perdu qu’Eva. Plus on avance, plus on a envie de savoir le dénouement de l’histoire. Ce fut une lecture addictive comme j’aime. L’auteur a su instaurer un climat de confusion aussi bien dans la tête de l’héroïne que dans celle du lecteur. La tension monte crescendo au fil de la lecture. Un véritable page turner vraiment captivant.
Ce fut une belle découverte et *Souvenirs effacés* s’ajoute tout de suite à ma whislist.
Clémence Bernard Delpy 31 mai 2020
Enterrées vivantes
Cette histoire est carrément démente ! Mon premier Arno Strobel et j’avoue ne pas avoir été déçue ; je remercie Mylène et les éditions de l’Archipel pour cette lecture d’halloween tout de même un peu flippante.
Tout d’abord, j’ai été un peu gênée dans ma lecture par les noms des personnages (des policiers surtout, qui sont plutôt nombreux), à consonance germanique puisque le récit se déroule à Cologne. On finit par s’y faire je vous rassure ! Ce livre n’est à priori pas le premier ayant pour principal enquêteur Menkhoff puisqu’il est fait mention d’une précédente affaire ainsi que de sa séparation avec sa femme ; un petit peu frustrant ce passage puisqu’on nous parle de chose que l’on ne connait pas (sans avoir lue l’enquête en question) et qu’on a envie de savoir !
Bref, ces légers détails mis à part, nous sommes embarqués dans cette enquête, entourés de personnages pas vraiment sympathiques, qui ont tous plus ou moins quelque chose à cacher. Les chapitres sont courts et s’enchainent bien ; nous sommes principalement du point de vue de l’enquêteur et d’Eva, la jeune-femme qui fait des cauchemars, mais nous avons également droit à quelques chapitres dans la tête du tueur et d’une certaine Britta qui semble connaitre ce dernier ainsi qu’Eva. Si l’enquête côté police pédale d’abord dans la semoule, nous découvrons certains éléments du passé de Britta et d’Eva qui pourrait être liés aux meurtres sauvages.
Eva est un personnage très particulier, elle souffre de nombreuses peurs et a parfois des absences non expliquées, et cela depuis son enfance. Elle refuse par-dessus tout de consulter un psychiatre et cela semble très étrange compte tenue de ses phobies ; l’auteur aborde la peur du jugement, la sauvegarde des apparences, inculquées dès le plus jeune âge dans cette famille puissante de Cologne bien sous tous rapports. J’ai beaucoup aimé la mise en parallèle passé/futur entre les choses qui se faisaient ou s’acceptaient à l’époque et ce qui n’est plus toléré aujourd’hui ; on se rend compte, malgré tout, de l’évolution des moeurs et de l’amélioration des prises en compte de violence par exemple.
Enterrées vivantes est prenant, addictif car on cherche à comprendre (même si parfois on a envie de secouer Eva dont le comportement nous semble contre nature) et j’ai été tout bonnement soufflée par la fin que nous a concoctée Arno Strabel. Je n’aurai absolument pas pensé à cela, c’est magistral, très bien expliqué, machiavélique.
Entre secrets de famille enfoui et vengeance, Enterrées vivantes tient ses promesses !
Auryn 3 avril 2020
Enterrées vivantes
Eva Rossbach se réveille d’un affreux cauchemar : elle a rêvé qu’elle était enfermée dans un cercueil. Mais fait étrange, son corps porte des marques qu’elle aurait pu se faire en se débattant dans le cercueil.
Le lendemain de ce cauchemar, la police retrouve le corps d’une femme qui a été enterrée vivante dans un cercueil... Et cette femme n’est autre que Inge, la demi-sœur d’Eva.
Tandis que la police enquête sur le meurtre d’Inge, Eva essaye de comprendre ce qui lui arrive et pourquoi elle fait des cauchemars aussi réalistes...
Les chapitres courts nous offrent un polar sans temps morts. On suit tour à tour Eva dans sa quête de vérité et les inspecteurs Menkhoff et Reithöfer qui essaient de démêler le vrai du faux dans ce que leur racontent les principaux suspects. Et très vite, ils réalisent que la famille Rossbach cache de sombres secrets.
Entre fausses pistes et révélations au compte-goutte, l’auteur nous offre un polar époustouflant où il est tout simplement impossible de trouver le dénouement final.
J’ai hâte de lire le second roman d’Arno Strobel.
hellobooks 12 mars 2020
Enterrées vivantes
Alerte coup de cœur !
Nous sommes pris dans l’histoire dès les premiers mots, les premières lignes. Incroyable. L’ambiance est oppressante, lourde, étrange et surtout… étouffante !
L’histoire est très originale, ce ne sont pas des meurtres que l’on a l’habitude de lire (enfin, surtout pour ma part). J’ai eu des doutes au fur et à mesure du récit, certains se sont dissipés au fur et à mesure des pages. D’autres sont restés jusqu’à la fin. Vers les 3/4 du roman, je commençais à être « déçu » (c’est un bien grand mot) parce que je pensais savoir le dénouement. OR, ce n’est pas du tout le cas, certes, je n’y étais pas loin, mais ce n’était pas ce à quoi je pensais. Par conséquent, la fin m’a légèrement surprise et je dois dire que c’est une belle fin. Je ne parle pas ici de si la fin se termine bien ou mal, ça, c’est à vous de le découvrir. Je parle, donc, d’une fin où l’action et le dénouement ne vont pas trop vite ; une fin où il y a aussi de beaux messages/valeurs qui sont dévoilés (je ne les citerais pas au risque de spoiler).
Les chapitres sont très courts, ce qui rend notre lecture addictive. De plus, il y a une alternance de point de vue par chapitre. Un chapitre où nous allons suivre le tueur, puis un autre chapitre sera dédié à Eva, un autre encore, à l’enquête policière. Cela donne un rythme soutenu à notre lecture. De plus, nous-même, nous ne savons rien de ce tueur ni de ce qu’il veut (cela existe dans certains thrillers où le but sera de savoir si le personnage principal va vivre).
J’ai beaucoup aimé le fait d’avoir des avis d’un psychiatre sur la situation, il dit des choses très pertinentes et cela donne un petit plus au récit. On voit donc, qu’il y a un certain travail derrière ce roman.
J’ai beaucoup aimé la plume de l’auteur. Fluide, addictive et angoissante. Il donne des descriptions brèves, mais utiles, nous transmet beaucoup d’émotions, notamment la peur, l’angoisse, à travers son récit.
valmyvoyou lit 2 février 2019
Enterrées vivantes
Je n’ai pas beaucoup dormi cette nuit. J’ai arrêté de lire Enterrées vivantes, peu de temps avant le dénouement, et j’ai entendu des bruits dans ma maison. Il était très tard. De là à penser que je ressentais la tension du livre, il n’y a qu’un pas.
Bien entendu, aujourd’hui, je me suis empressée de découvrir la fin.
J’ai adoré ce thriller. Il est angoissant au possible. Il m’a complètement retourné le cerveau.
Le duo d’enquêteurs fonctionne très bien. Les suspects sont nombreux. Il n’y a pas un moment d’ennui. Les chapitres sont une alternance de voix et donc de points de vue. Il y a celle d’Eva qui se débat avec ses cauchemars, celle de Menkhof, le commissaire, celle de Britta, une jeune femme paumée, qui semble soupçonner quelqu’un, mais qui ne donne aucun indice, et celle du tueur. Les chapitres sont courts, le rythme est rapide par moments, mais très lent lorsque Eva relate ses rêves affreux, dans lesquels elle est enfermée dans un cercueil. J’ai ressenti l’oppression, le manque d’air ainsi que son angoisse et sa panique. Et quelle horreur de découvrir ses blessures au réveil. Lorsque le tueur racontait sa recherche de nouvelles proies, je tremblais.
Arno Strobel joue avec nos nerfs, presque tout le monde est soupçonnable. J’ai trituré mes méninges, en pensant qu’il fallait que je réfléchisse au scénario le plus affreux, si je voulais deviner la fin. J’ai pensé que je lisais beaucoup de thrillers et que je devrais trouver. Mon idée était très tordue, mais Arno Strobel a quand même été plus fort que moi. J’ai fermé Enterrées vivantes en disant « Quelle claque ! » ( j’ai même prononcé un mot vulgaire devant ☺️😀, tant j’ai été impressionnée.😀)
Pourtant, une fois que j’ai connu la fin, tout était logique, imparable. La construction de ce thriller est sensationnelle. Toutes les pièces étaient sous mes yeux et je ne les ai pas assemblées. Plusieurs fois, j’ai cru savoir, puis, l’auteur abattait une carte qui faisait s’effondrer mon hypothèse. Arno Strobel joue avec son lecteur. C’est à couper le souffle !
Conclusion
Un thriller psychologique, implacable, qui m’a retourné le cerveau et coupé le souffle. J’ai ressenti la panique des victimes, j’ai analysé, trituré mes méninges et je me suis fait avoir. J’ai pris une claque monumentale. Si vous ne craignez pas la peur, foncez !