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Cari Mora - Thomas Harris

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Résumé :

Des lingots d’or sommeillent depuis des années sous l’ancienne villa de Pablo Escobar à Miami Beach. Gangs et malfrats se battent pour mettre la main dessus.

Aujourd’hui, c’est au tour du maléfique Hans-Peter Schneider de tenter sa chance. Mais c’était sans prévoir la présence de la sublime Cari Mora, qui veille sur les lieux. En matière de violence et d’armes à feu, personne n’a rien à lui apprendre.

Entre désirs et instinct de survie, avidité et obsessions macabres, le mal se faufile à chaque page. Aucun auteur de ces dernières décennies n’aura autant exploré les démons. Thomas Harris, au talent terrifiant, revient ici avec un sixième roman événement.

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Vos #AvisPolar

  • Lilo0606160616 6 avril 2023
    Cari Mora - Thomas Harris

    Lecture terminée pour ce roman de Thomas Harris. J’avais beaucoup apprécié Hannibal et Le silence des agneaux, mais malheureusement c’est une déception pour Cari MoraJ’ai trouvé l’histoire sans queue ni tête, les personnages manquent cruellement de profondeur, ils apparaissent aussi rapidement qu’ils disparaissent et les acteurs clés de l’histoire sont tout simplement survolés. A mes yeux Cari Mora n’est pas un thriller, le suspens n’est pas présent, l’angoisse encore moins, bref je n’ai pas du tout été emballée malgré une quatrième de couverture prometteuse. L’auteur nous aura habitué à beaucoup mieux, quel dommage !

  • Benoît Ver-Elst 23 mars 2022
    Cari Mora - Thomas Harris

    Je pense que j’ai battu mon record, deux soirées de 4 heures pour dévorer littéralement ce livre. Récit d’une jeune colombienne enlevée par les FARC, qui arrive à se sauver, perd son fiancé le jour de leur mariage et rêve de devenir vétérinaire. Pour survivre dans ce pays si pauvre et corrompu, elle vit dans l’une des maisons de Pablo Escobar où des lingots sont soi-disant cachés. Plusieurs mafieux décident de les subtiliser, commence une guerre de gangs. Une belle intrigue qui manque un peu de punch quand même.

  • Mes petits plaisirs à moi 14 novembre 2020
    Cari Mora - Thomas Harris

    Oubliez Le Silence des agneaux ou vous le regretterez !

    Je crois qu’effectivement c’est le conseil à donner à tout lecteur qui s’engagerait dans cette lecture. En effet, si vous vous attendez à un roman dans le même genre, ben vous allez être déçu même si le personnage d’Hans-Peter Schneider possède un petit côté Hannibal. On en reparlera plus loin !

    Au cœur de l’intrigue, Pablo Escobar et les caches au trésor qu’il a établies un peu partout dans le monde. Thomas Harris s’appuie ici sur une affaire dévoilée en 2016 lorsqu’un homme d’affaires français ayant racheté la maison du baron de la drogue à Miami finit par découvrir enterré sous celle-ci un coffre d’une centaine de kilos. Ce coffre, eh bien !, c’est sans doute l’un des « héros » principaux du roman puisqu’il se révèle la source de tous les fantasmes et de toutes les rivalités. Mais point ici d’homme d’affaire français, facette sans doute trop lisse de cette anecdote. Thomas Harris lui préfère une sombre histoire de rivalités entre malfrats prêts à tout pour s’emparer du pactole. Ce choix narratif se justifie d’autant plus qu’il va donner lieu à des confrontations assez musclées mais également à la découverte d’un « gardien » de trésor qui va en faire cauchemarder plus d’un. Une chose est sûre, l’histoire n’est pas de tout repos et on assiste à quelques péripéties plutôt sympathiques.

    Mais c’est surtout le personnage de Cari Mora qui se révèle intéressant. Femme forte et pas décidée à se laisser impressionner, même par le glacial Hans-Peter Schneider (oui, oui on va bientôt aborder son cas !), elle se révèle être le symbole de ces immigrés arrivés aux Etats-Unis après avoir vécu une enfance et une adolescence tellement flippante qu’elle impose le respect à tous les hommes de son entourage. Une fois pris connaissance du récit de sa vie, croyez-moi, vous y réfléchirez à deux fois avant de vous plaindre du confinement, parce que ça, c’est de la gnognote à côté de ce qu’a dû faire Cari Mora pour survivre jusqu’ici. Thomas Harris n’a, cependant, pas réussi à passer sous silence le pouvoir de séduction de l’héroïne mais, heureusement, ce n’est pas pour cela qu’elle réussit à s’imposer dans cette histoire. Du moins ce n’est pas cela dont je me souviendrai en priorité la concernant. J’ai également beaucoup apprécié la relation qui l’unit au vieux Benito, personnage particulièrement attendrissant. C’est très touchant même si tout repose entre eux sur des non-dits. Comme quoi, les mots, parfois…

    Bon voilà, on y arrive ! Alors je dois dire que Thomas Harris doit quand même avoir un petit pet au casque pour imaginer certains de ses personnes. Prenons le cas du fameux Hans-Peter Schneider. Non mais j’habiterais Miami, je n’attendrais pas qu’on me demande de me confiner. C’est tout le quartier que je confinerais tout seul, quitte à devoir construire une forteresse à coup de parpaings et de ciment. Moi qui ne sais même pas planter un clou dans un mur, croyez-moi sur ce coup je vous ferais des miracles et je manierais la truelle comme personne ! Non mais le type quand même il kiffe le compost style technologie ultra-moderne !!! Oui oui, il fait dans l’écologie mais le truc bien radical, style que trépasse si j’en laisse une miette ! Alors, oui, vous allez me dire que le mec fantasme sur les femmes, à quoi je vous répondrais : « Faute de grives, on mange des merles »… Donc non, non, Miami, trop peu pour moi. D’autant qu’Hans-Peter, il a aussi un pote : je vous laisse ainsi découvrir M. Gnis (tout aussi timbré que lui) et son « Pré-salé » qui rendrait jaloux Hannibal Lecter.

    Quant à la scène de l’épilogue, elle n’a pas un petit côté Predator avec cette scène de « jungle » ? Un peu quand même, non ? Rien d’étonnant cependant, plusieurs scènes du roman semblent relever du cinématographique (notamment les différentes scènes de plongées). A mon avis, Thomas Harris connaît bien Steve Miner ou Steven Spielberg à ses débuts.

    Bon c’est l’heure de passer à table (je me contenterai d’un plat de pâtes, M. Gnis m’est un peu resté sur l’estomac !). Mais avant cela, je vous recommande ce roman si vous ne connaissez pas Le Silence des agneaux . Dans le cas contraire, évitez-le car vous risqueriez d’être vraiment déçu de ne pas y retrouver le côté psychologique du serial killer.

  • Kirzy 5 septembre 2020
    Cari Mora - Thomas Harris

    L’idée de départ est séduisante : combiner une chasse au trésor ( une montagne de lingots d’or laissée par Pablo Escobar dans une de ses villas de Miami ) pour laquelle plusieurs clans s’affrontent, aux agissements d’un serial killer terrifiant, sous le regard d’une super héroïne, la badass Cari Mora chargée de superviser ladite villa.
    Mais rien ne prend. L’intrigue type thriller est tout bonnement illisible, noyée sous une multitude de personnages mal caractérisés, mal introduits, au point que se pose régulièrement la question de savoir à quel camp appartient chacun, même sur la fin. le personnage du « méchant » aurait dû être terrifiant à la Hannibal Lecter, il est juste caricatural et grotesque. Les épisodes « gore » qui s’y rattachent sont gratuits et n’apportent rien à l’avancée du roman. A se demander pourquoi cette pâle imitation du fameux Hannibal … même s’il ne déguste pas de foie accompagné de fèves au beurre et de chianti, celui-là.
    En fait, le seul point fort de ce roman médiocre, c’est le personnage de Cari Mora, la gardienne guerrière de la villa aux cicatrices plein les bras , ou plutôt les quelques passages flashback qui raconte son passé chez les FARC comme enfant-soldat puis son évasion. C’était peut-être ça le roman à écrire plutôt que ces pages qui sentent le réchauffé et le bâclé.

    Bref, grosse déception, d’autant plus forte que Thomas Harris n’avait rien publié depuis treize ans. On est à des années-lumière du Silence des agneaux, malheureusement.

  • Musemania 25 août 2020
    Cari Mora - Thomas Harris

    Le nom de Thomas Harris est bien connu pour les amateurs de thrillers et dit même quelque chose au plus néophyte. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’il est le créateur d’un personnage qui a glacé le sang de nombreux lecteurs mais aussi amateurs de cinéma. Mais de qui ? De Hannibal Lecter voyons ! Et oui, Thomas Harris est à l’origine de la tétralogie consacrée à ce terrible serial-killer. Le second volume, « Le silence des agneaux » a connu un succès retentissant en librairies étant vendu à des millions d’exemplaires ainsi qu’au cinéma, dont le jeu d’acteur d’Anthony Hopkins est magistral.

    Après 12 ans d’absence, il revient à son métier d’écrivain avec ce thriller « Cari Mora ». Si vous aviez aimé l’atmosphère entourant Hannibal Lecter, oubliez tout car on en est à des millers d’années-lumières. Je pense que ce choix de revirement a décontenancé plus d’un lecteur. Même si je ne lis pas les chroniques de mes amis blogueurs littéraires avant la lecture d’un livre pour ne pas en être influencée d’une quelconque façon, j’ai vu passer certains avis pas vraiment positifs à l’égard de cet ouvrage. Quoi qu’il en soit je m’y suis plongée et…. Et bien, pour ma part, je n’ai pas forcément été très déçue, seulement un petit chouia on va dire !

    Ce livre avalé en moins de deux jours durant mes congés, j’ai apprécié cette histoire de quête d’un trésor enfoui par Pablo Escobar dans sa villa de Miami et qui est recherché par des gens pas très respectables. C’est vrai qu’on est dans un milieu et une ambiance antagonistes à ceux du « Silence des agneaux » mais cela ne m’a pas déplu pour autant.

    J’ai trouvé ce livre peut-être un peu court par rapport aux talents d’écrivain de Thomas Harras et de ce qu’il m’avait habituée avec Hannibal Lecter mais j’ai trouvé son héroïne, la bien-nommée Cari Mora, assez efficace. Certains aspects auraient pu être plus fouillés et certains autres peut-être un peu moins caricaturaux. Ce livre manque d’un petit plus, d’un ce dont je-ne-sais-quoi, dont je pense que certains lecteurs tiennent rigueur à Thomas Harris par ce qu’il nous avait habitué. Mais ce livre se lit bien et est divertissant.

    Néanmoins, un point très positif est qu’il se déroule à Miami Beach. Pour m’y être déjà rendue, j’ai adoré cette ville. La retrouver donc dans une de mes lectures, qui plus est durant mes vacances, m’a distillée une certaine nostalgie positive.

    En lice pour le Prix des Lecteurs 2020 des éditions Le Livre de Poche, sélection du mois d’août.

  • Sylvie Belgrand 31 juillet 2020
    Cari Mora - Thomas Harris

    38 ans après, j’entends toujours le silence des agneaux, c’est vous dire si j’ai été agréablement surprise de découvrir un nouveau roman de Thomas Harris, qui a su se faire désirer. 12 ans au moins depuis son dernier livre si je ne me trompe pas.

    Si son méchant psychopathe ne vaut pas Hannibal Lecter, faute de développement de son personnage (D’où vient-il ? Pourquoi est-il ce qu’il est ?), Thomas Harris, fidèle à lui-même, nous offre un personnage féminin extraordinaire, forte, intelligente, humaine et belle. J’espère que ce personnage reviendra pour d’autres aventures, et que cette fois, ce sera un bon gros pavé 😉
    Heureuse de vous retrouver, Mr Harris.

    #CariMora #ThomasHarris #LeLivreDePoche #thriller #lecture #livres #chroniques #polar #SerialKiller #TueurEnSerie

    Le quatrième de couverture :

    Des lingots d’or sommeillent depuis des années sous l’ancienne villa de Pablo Escobar à Miami Beach. Gangs et malfrats se battent pour mettre la main dessus.
    Aujourd’hui, c’est au tour du maléfique Hans-Peter Schneider de tenter sa chance. Mais c’était sans prévoir la présence de la sublime Cari Mora, qui veille sur les lieux. En matière de violence et d’armes à feu, personne n’a rien à lui apprendre.
    Entre désirs et instinct de survie, avidité et obsessions macabres, le mal se faufile à chaque page. Aucun auteur de ces dernières décennies n’aura autant exploré les démons. Thomas Harris, au talent terrifiant, revient ici avec un sixième roman événement.

  • Sangpages 28 décembre 2019
    Cari Mora - Thomas Harris

    Thomas Harris a sans doute été séquestré quelque part ou alors il a pris quelques substances illicites... allez savoir mais quoi qu’il en soit ce livre est clairement une supercherie. Sans queue ni tête. je me suis même demandée si c’était lui qui l’avait écrit ou s’il avait juste prêter son nom...
    Quoi qu’il en soit on est très très loin du Silence des agneaux, d’Hannibal Lecter et avoir attendu 13 ans pour ça...c’est dur !

  • QuoiLire 27 décembre 2019
    Cari Mora - Thomas Harris

    Mais où est Thomas Harris qui m’avait fait flipper en lisant Le silence des agneaux.

    Avec Cari Mora Tomas Harris n’est plus que l’ombre de lui-même. Loin des tueurs en série, l’auteur nous offre le récit des aventures d’une femme forte, un peu casse-coup, immigrée aux Etats-Unis qui se trouve imbriquée dans une recherche du magot de Pablo Escobar bien malgré elle.

    Malheureusement, le rythme du roman super lent, les personnages du roman de purs clichés des romans noirs et les situations rocambolesques bâclées rendent difficile l’accroche de ce roman.

    D’ailleurs arrivé péniblement au tiers du roman, je ne voyais pas où voulait en venir l’auteur avec cette intrigue brumeuse, fumeuse, limite grotesque et digne d’une série B. J’ai alors donc décidé de tourner prématurément et définitivement la page de ce roman sachant qu’il y avait bien mieux en attente dans ma PAL.
    https://quoilire.wordpress.com/2019/12/27/thomas-harris-cari-mora/

  • Lecturesetgourmandises 11 septembre 2019
    Cari Mora - Thomas Harris

    Je n’ai eu l’occasion de découvrir le fameux Hannibal Lecter qu’au cinéma, ce qui ne m’avait pas empêché d’être fascinée par le personnage imaginé par Thomas Harris.

    Alors quand j’ai entendu parler du dernier roman de l’auteur, qui n’avait rien publié depuis 12 ans, je n’ai eu qu’une seule envie : le découvrir !

    Ce roman m’a totalement sorti de ma zone de lecture habituelle, m’emmenant hors des sentiers battus et j’ai malheureusement eu beaucoup de mal à trouver un intérêt à l’histoire.

    L’intrigue se déroule à Miami, dans un quartier prestigieux où défilent des villas de luxe. Parmi ces propriétés, une retient l’attention de nombreuses personnes : il s’agit de l’ancienne villa de Pablo Escobar. La légende dit qu’il aurait caché des lingots sous la maison, ce qui fait l’objet de toutes les convoitises.

    Et c’est Hans-Peter Schneider qui va tenter de mettre la main sur cet énorme butin. Arrivée au tiers du livre, on découvre qui se cache derrière cet homme très riche : un véritable monstre sanguinaire qui aime torturer les femmes. Ambiance.

    Si le roman aurait pu s’articuler autour de ce serial-killer, il n’en est rien, et j’ai trouvé que la personnalité de Hans-Peter n’est mise qu’au second plan, le coeur de l’histoire étant la recherche du trésor caché.

    Hans-Peter va néanmoins développer une obsession pour Cari Mora, la gardienne de la villa. Si toutes les précédentes gardiennes ont déserté rapidement la maison, Cari Mora, elle, ne ressent aucune crainte à vivre seule dans cette demeure. Et pour cause : c’est une femme d’une grande force qui a connu la violence durant son enfance.

    Si certains passages sont intéressants et même parfois haletants, le soufflé retombe très vite et les situations sans grand intérêt s’enchaînent.

    En résumé, je n’ai pas été séduite par cette histoire malgré certains passages bien maîtrisés.

    Je préfère ne pas m’étendre, les goûts étant différents, je ne déconseille pas de découvrir le dernier roman de Thomas Harris, chacun est libre de se faire son propre avis. Je n’ai simplement pas adhéré à l’histoire.

  • Killing79 30 juillet 2019
    Cari Mora - Thomas Harris

    Au vu de mes chroniques, vous savez que j’adore les thrillers. Mais ce que vous ne savez pas, c’est que je n’avais encore jamais lu de Thomas Harris ! Shame on me ! J’ai bien sûr vu tous les films, j’ai depuis longtemps un de ses livres dans ma PAL, mais je n’ai jamais pris le temps de me lancer dans les aventures d’un des plus célèbres tueurs psychopathes de la littérature et du cinéma : Hannibal Lecter. Après 12 ans d’absence, l’auteur très attendu est de retour et je suis présent !

    Pour cette nouvelle production, changement de genre. Cette fois, on n’a pas affaire à un thriller angoissant mais plutôt à un roman d’action. On attend un peu mais une fois lancée, l’aventure est très rythmée et les 300 pages sont vite dévorées. Cette chasse au trésor entre mafieux est le prétexte à de grandes scènes de fusillades et de combats. On imagine bien le potentiel cinématographique de l’histoire. Thomas Harris maitrise son sujet et avec un méchant vraiment méchant, il n’usurpe pas sa réputation d’auteur gore et violent.

    Malheureusement une accumulation de situations explosives et malsaines ne fait pas forcément un grand livre de gangsters. A l’opposé de ce que produit l’auteur habituellement, le scénario souffre de son manque d’inspiration et de ses personnages trop caricaturaux. Les différents protagonistes sont soit excessifs soit insipides. Les chapitres se succèdent sans originalité. Le lecteur n’est donc jamais surpris et tout est prévisible.

    Malgré ces grosses lacunes, la lecture est tout de même distrayante. La plume de l’auteur est efficace pour nous entraîner dans cette guerre de gangs. Avec ses qualités et ses défauts, « Cari Mora » tient plus du divertissement que du roman noir. Il sera donc parfait si vous cherchez quelques frissons sur le sable chaud, sans prise de tête. En revanche, il ne restera pas dans ma mémoire. Je donnerai une seconde chance à Thomas Harris avec une valeur un peu plus sûre : Hannibal.

    http://leslivresdek79.com/2019/07/30/thomas-harris-cari-mora/

  • calyenol 17 juillet 2019
    Cari Mora - Thomas Harris

    Cari Mora....une lecture avec un avis plus que mitigé.
    .
    Cari Mora,c’est une jeune femme,ancienne enfant enrôlée par les FARCS,qui est payer pour surveiller l’ancienne maison,à Miami Beach,de Pablo Escobar où sont cachés des lingots d’or.
    Des gangs sans états d’âme se battent pour mettre la main dessus...
    .
    12 ans d’attente....
    Mon retour sera court et simple.
    Cari Mora fut pour moi une lecture déception.
    Le début un chouilla flou n’a pas réussi à me faire rentrer vraiment dans l’histoire,l’auteur m’a parfois perdu,et la fin plutôt rapide ne m’a pas surprise même si ça a été,pour moi,la meilleure partie du livre.
    Pourtant certains personnages et leur histoire auraient pu être plus développé et avoir plus de place,de pages,dans le livre,je l’aurais sûrement plus apprécié.
    Dommage.
    294 pages...c’était peut-être trop peu !
    L’auteur m’a tellement donné de l’excellent que je reste sans voix avec ce livre.
    Vous l’aurez compri,cette lecture ne l’a pas fait avec moi.
    Pour ceux qui ne l’ont pas lu,peut-être vous plaira-t-il plus qu’à moi...car les goûts et les couleurs...

  • Booksnpics 5 juillet 2019
    Cari Mora - Thomas Harris

    Lorsque l’on parle de Thomas Harris, la tentation est grande de se référer uniquement à sa série de romans mettant en scène le personnage ô combien célèbre d’Hannibal Lecter. Mais savez-vous qu’il débuta sa carrière d’écrivain (en 1975) avec « Black Sunday » où une menace terroriste pesait sur l’événement sportif le plus médiatisé des États-Unis, le Super Bowl ?
    Douze ans après avoir publié le dernier volet de sa tétralogie concernant Hannibal Lecter, il nous revient avec un roman inspiré de faits réels.
    Pour nombre d’entre nous, Pablo Escobar n’est certes pas un inconnu, ni un enfant de chœur. Surnommé le « Roi de la cocaïne », il fut l’un des plus célèbres barons de la drogue, membre du cartel de Medellin. Abattu dans son fief en 1993, quelques mois après son évasion de la prison d’Envigado, personne ne doutait qu’il laissait derrière lui une immense fortune résultat des sombres activités du cartel. Le mystère du trésor de Pablo Escobar a été source de nombreuses spéculations.
    C’est sur base de ces faits que Thomas Harris nous fait plonger au cœur d’une véritable chasse au trésor ayant pour décor la villa ayant appartenu à Escobar et surplombant Biscayne Bay à Miami Beach.
    Avant de se lancer à la découverte de ce roman, une chose est claire, il faut repartir de zéro. Oubliez tout ce que vous avez pu lire de cet auteur précédemment. Repartez d’une page blanche car, même si l’ombre de Lecter ne semble pas être loin, « Cari Mora » ne ressemble en rien à ses précédents opus, ni dans la lettre ni dans l’esprit.
    Le roman se lit rapidement. Le style est maîtrisé. Nous apprenons à découvrir Cari Mora, la jeune gardienne de la villa, au caractère bien trempé et très attachante, et à en savoir plus sur son passé, sur les circonstances qui ont forgé sa personnalité.
    Il y a de l’action c’est indéniable. Entre trafic de drogue et traite d’êtres humains, les personnages rencontrés sont plus abjects les uns que les autres. La plume de l’auteur est sans conteste efficace même si j’ai parfois eu le sentiment de manquer de moments forts. Comme un sentiment de trop peu dans le développement de l’histoire et des personnages, hormis comme je le disais plus haut, celui de Cari Mora.
    Alors oui « Cari Mora » est un roman efficace, une lecture prenante, faisant s’affronter plusieurs camps dans une quête impossible. Le talent de l’auteur n’est certes pas à remettre en question.
    Je remercie les éditions Calmann-Lévy pour cette lecture et leur confiance renouvelée.

  • Mes évasions livresques 29 juin 2019
    Cari Mora - Thomas Harris

    CHRONIQUE D’UNE DÉCEPTION...

    On a tous en tête la tétralogie sur Hannibal Lecter, le personnage phare de Thomas Harris, que ce soit dans ses aventures littéraires, cinématographiques ou télévisuelles.

    Dans un tout autre registre, l’auteur nous revient avec une histoire de casse ultime dans l’ancienne villa de Pablo Escobar avec la mafia latino se disputant avec gangs, police et au milieu de tout ça, l’énigmatique Cari Mora.

    Un personnage de femme forte, qui a un passé où la violence a révélé tous ses secrets et qui baigne dans une ambiance où la misère et le système D frisent l’illégalité.

    Sur le papier, le nouveau roman de Thomas Harris me faisait très envie, notamment avec ce personnage de Cari Mora, très prometteur. Tous les ingrédients étaient là pour avoir un pur thriller d’action et au final, j’ai eu l’impression de lire une ébauche de roman, avec une intrigue floue et qui a du mal à décoller.

    Une déception, je disais, car le personnage de Cari Mora aurait pu facilement devenir une figure féminine emblématique du thriller d’action avec sa ténacité et ses multiples capacités issues de son passé, mais non, l’auteur les survole à peine, reléguant même ce personnage principal à une place secondaire, voire de figurant par moment.

    Tout n’est pas négatif non plus car il y a de belles scènes d’action avec de jolis moments bien sanglants mais souvent sans rapport avec l’héroïne.

    Triste constat d’avoir attendu si longtemps ce roman qui sera très vite oublié. La plume est toujours là, les idées aussi mais la connexion ne s’est pas faite entre les deux...

  • mavic 24 juin 2019
    Cari Mora - Thomas Harris

    Une des sorties les plus attendues de l’année car rare de la part de l’auteur.
    Une histoire totalement à l’opposé de ses dernières parutions mais qui est toujours aussi bien maîtrisé.
    Par contre, ça passe ou ça casse.
    Je vous parle aujourd’hui de Cari Mora de Thomas Harris aux éditions Calmann-Lévy.
    Pour ma part, je ne sais toujours pas si j’ai aimé ou non. Il y a du positif comme il y a du négatif. Le talent de l’auteur est indéniable, il arrive à nous embarquer dans la guerre des gangs et de la drogue en faisant planer l’aura du célèbre Pablo Escobar en mettant en scène sa villa.
    C’est sanglant mais pas le sanglant des serial killers. C’est sanglant comme si on regardait un Tarantino avec l’hémoglobine qui explose comme un feu d’artifice. C’est imagé, pas de difficulté à le visualiser et du coup ça donne un sacré rythme à l’histoire.
    Les pages défilent sans qu’on y prête vraiment attention notamment par la prestance de certains personnages dont Cari Mora mais aussi parce que j’avais envie de savoir qui allait mettre la main sur le magot. Entre alliance et désalliance il y a intérêt à être attentive à la lecture.
    Et c’est là que c’est devenu un peu compliqué. J’ai parfois dû relire plusieurs fois la même phrase, le même passage pour être sûre de comprendre le pourquoi du comment. J’ai eu l’impression de me perdre à certains moments parce qu’on passe un peu du coq à l’âne et surtout le temps défile sans qu’on le sache. C’est-à-dire que d’un coup on va passer au lendemain alors que je m’attendais à ce qu’il se passe autre chose. C’est comme si on coupait court à une action pour en passer à une autre qui n’a pas vraiment de rapport.
    Un peu perturbant mais on finit par s’y habituer... un peu. Pour le coup, c’est comme s’il manquait quelques pages pour poser un peu plus l’intrigue ou autre chose et qu’on avait le droit à des bouts de scènes. Alors ce n’est pas gênant dans l’ensemble, mais entre nous c’est vraiment troublant. Et je pense que c’est le gros point noir que je relèverais du livre.
    En effet, pour le reste j’ai vraiment eu l’impression de voir défiler un film. De l’action, de la castagne, on en apprend plus sur Cari Mora et son passé et ce qui l’a amené à travailler aux Etats-Unis. On a le bon parler des méchants, comme je dirais la subtilité c’est clairement pas pour eux. Mais ça va avec le personnage, le milieu où le seul respect qu’ils ont c’est pour eux-même. Alors autant vous dire que niveau langage fleuri on est servis... et j’ai adoré ! Parce que pour le coup ça aide à s’imprégner de l’environnement dans lequel ils évoluent et que sinon ça aurait fait un peu trop monde de bisounours. Et il ne faut p’tet pas abuser non plus.
    Jusqu’à la fin on ne sait pas comment cela va se terminer. Qui va survivre ? Qui va mourir ? Comment vont-ils mourir ? Cette question aussi vous traversera l’esprit quand on voit l’ingéniosité de l’auteur pour mettre en scènes certains meurtres. Vraiment, j’ai eu l’impression de voir un Django unchained ou un Inglorious Bastards tant ça peut paraître parfois grossier. Ca prêtait parfois à sourire alors que c’était assez horrible descriptivement parlant haha.
    Mais à côté, quand on plonge dans le passé de cette fameuse Cari Mora, on a un peu les "boules" de voir comment elle a pu être traitée et surtout de ce qu’elle a pu voir durant son adolescence. C’est vraiment à double tranchant et je pense que pour le coup ça passe ou ça casse.
    En bref,
    Il y a de bonnes choses dans Cari Mora mais ça va peut-être trop vite. Du coup, ça peut perturber, ça m’a perturbé et j’en ai moins apprécié la lecture. Ca tire dans tous les sens, l’hémoglobine est présente à chaque page et autant on en apprend plus sur les cartels, les gangs et sur Cari Mora. Sans être un livre inoubliable, c’est un bon divertissement et ça reste Thomas Harris, qui a un talent monstre pour écrire. Si vous êtes curieuse, je ne peux que vous inviter à le découvrir =).

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