- Auteur : Frédéric Dard
Focus sur le grand romancier lyonnais !
Il était temps plus que temps pour Bepolar d’écrire sur le sujet
Peut-on se prétendre être un média spécialisé dans le polar sans avoir encore évoqué Frédéric Dard ? Du roman noir à la littérature policière, en passant par les aventures de son commissaire, Frédéric Dard a marqué la culture française d’une empreinte indélébile, celle de San-Antonio.
Frédéric Dard dit San-Antonio
- San-Antonio, ça me dit quelque chose...
– San-Antonio, la ville ?
– San-Antonio ? Mon grand-père les avait tous !
– San-Antonio, j’ai du en lire 2 ou 3 ?
– Sana, j’adore !
– Quel génie ce Frédéric Dard !
Recordman des ventes dans les années 60, Frédéric Dard dit San-Antonio a écrit plus de 280 romans, sous son propre nom ou sous l’un de ses multiples pseudonymes. Véritable "phénomène" (l’homme comme l’engouement littéraire), de nombreux sites internet lui sont dédiés, ainsi qu’une association, deux revues, des colloques dans toute la France et à l’international.
Étudié, apprécié, critiqué, Frédéric Dard jouit d’une attention qui se transmet au fil des générations. Et parfois se perd. Pourtant, quelque soit votre bagage culturel actuel, il ne peut être qu’enrichit à sa lecture. Pourquoi ? C’est une question à laquelle nous avons laissé répondre les spécialistes de l’auteur dans notre dossier.
A l’occasion de son anniversaire - mort le 6 juin 2000, Frédéric Dard aurait eu 96 ans cette année - et de son actualité encore florissante (hommages, publications, rééditions), Bepolar a réalisé pour vous une série d’interviews éclairantes. Pastilles vidéos de 3 minutes, entretiens courts et fleuves, petite histoire du polar dédiée, les articles de notre dossier seront publiés du 31 mai au 8 juin.
LisaB 31 mai 2017
Un dossier sur Frédéric Dard dit San-Antonio
Mes meilleurs souvenirs de trajets de train et autres, je me suis précipitée à chaque nouvelle sortie, un vrai bonheur ! Berthe, Béru, Sana, sa maman, tendresse de bon fils sur fond de bonheur simple dans une maison de banlieue, Sana le magnifique exubérant ....j’en relirais bien, dommage qu’un déménagement m’ait obligée à m’en séparer