C’est l’une des meilleures séries de tous les temps.The Wire connait depuis quelques mois une sorte de renouveau grâce aux confinements. Diffusée sur 5 saisons et 60 épisodes entre 2002 et 2008, c’est une série de David Simon qui nous entraîne à Baltimore, chaque saison ayant une thématique précise : le trafic de stupéfiants, l’organisation du port maritime, le gouvernement municipal et sa bureaucratie, l’éducation et le système scolaire, et la presse écrite. Elle a un aspect documentaire passionnant.
Pour en parler, j’ai le plaisir d’accueillir Emmanuel Raspiengeas, membre du comité de rédaction de Positif, qui s’est signalé il y a quelques mois par une brillante analyse notamment de la saison 2.
C’est l’interlocuteur parfait pour parler de The Wire !
Ce 25ème numéro d’Un certain goût pour le noir est sponsorisé cette semaine par les éditions du Diable Vauvert pour la sortie de l’excellent Skeleton Coast de Laurent Whale. On vous met le résumé et le lien.
Sur la face atlantique Namibienne, Skeleton Coast, champ de récifs noyé de brouillard et d’ossements de cétacés, est le cimetière de milliers de navires. Mais pas seulement. Richard Grangier y a élu refuge. Il recherche sa fille, médecin humanitaire, disparue en Afrique. Morte, prisonnière ou pire ? Dans la touffeur équatoriale, il s’embarque de savanes en forêts vierges, au cœur d’un trafic mortel sous contrôle de soldats de fortune et de politiciens corrompus.
UN THRILLER NERVEUX SUR FOND DE SCANDALE ÉCOLOGIQUE
Né en Angleterre, Laurent Whale est l’auteur de neuf romans et de nombreuses nouvelles, entre SF et polar. Lauréat du Prix Rosny aîné en 2011 pour Les pilleurs d’âmes, du prix Masterton en 2016 pour Le manuscrit Robinson et du Prix Bob Morane en 2018 pour Crimes, aliens et châtiments, livre collectif avec Pierre Bordage et Laurent Genefort. Skeleton Coast est son premier roman au Diable Vauvert.
Plus d’infos : https://bit.ly/31SI3tF