Club Sang

Profitez de toutes nos fonctionnalités et bénéficiez de nos OFFRES EXCLUSIVES en vous inscrivant au CLUB.

JE REJOINS LE CLUB SANG

Pour seul refuge

Club Sang

Inscrivez-vous ou connectez-vous pour pouvoir participer au Club !

6 #AvisPolar
4 enquêteurs
l'ont vu/lu
1 enquêteur
Veut la voir/lire

Résumé :

La plus terrible des prisons est celle qui n’a pas de murs.

De la neige à perte de vue, une ourse affamée, pas une habitation à des kilomètres à la ronde.

Seuls, perdus dans les immensités sauvages du Montana, à plus de deux mille mètres d’altitude, deux hommes se font face : un jeune Indien accusé de viol avec tortures et le juge qui l’a condamné.

Chacun possède la moitié des informations qui pourraient les sauver, or : Ensemble, ils s’entretueront. Séparés, ils mourront.

L'œuvre vous intéresse ? Achetez-la chez nos partenaires !

En librairie

Et chez vos libraires indépendants

  • Acheter sur Jesoutiensmalibrairie.com
  • Acheter sur lalibrairie.com
  • Acheter sur Place des libraires

Pour aller plus loin

Vos #AvisPolar

  • DesLivresEtMoi7 15 septembre 2021
    Pour seul refuge

    L’auteur est français mais l’action de son premier roman se déroule dans l’Ouest américain… Et il a tout prévu : Une atmosphère sombre et oppressante à souhait au cœur des immensités sauvages et immaculées d’un territoire plus hostile qu’il n’y paraît, une intrigue aussi nerveuse que glaçante (dans tous les sens du terme) mais surtout bien pensée et remarquablement maîtrisée, une tension constante et un rythme soutenu pour une lecture difficile à lâcher, pour un puzzle bigrement retors que le lecteur tente de reconstituer.
    Mais si le décor sert remarquablement bien l’histoire, celle-ci est également soutenue par une poignée de personnages suffisamment croqués et étoffés pour qu’on se plaise à les suivre au gré des évènements, peu importe ce qui pourrait nous attendre sitôt la page tournée.
    La plume est fluide, efficace et soignée, le style est agréable, vif et attrayant… Pour un premier thriller tout à fait prenant et non dénué d’une certaine réflexion en prime !

    (Chronique complète : https://deslivresetmoi7.fr/2021/07/chroniques-2021-pour-seul-refuge-de-vincent-ortis.html)

  • labibliodeclo 22 août 2021
    Pour seul refuge

    Pour vous en dire un peu plus sur l’histoire, on rencontre Edward MacCarthy, un juge en route pour sauver son fils arrêté pour trafic de drogue. Malheureusement, ce dernier tombe en panne et est secouru par Ted, un flic un peu sorti de nulle part. Comme il neige beaucoup, les deux hommes se réfugient dans un cabanon isolé en montagne, appartenant à Ted. Le début d’un huis clos malsain.

    Je ne vais pas m’étaler sur ce roman, parce que je l’ai détesté, de A à Z. Vraiment détesté. Et c’est pourtant rare que déteste un roman à ce point ! Le résumé ne m’emballait pas, l’intrigue était plate, les personnages exaspérants. Aucun suspens, aucune angoisse. Du vide, du vide, du vide.

    La première partie de ce roman est incroyablement longue et ennuyeuse. Ce n’est qu’arrivé à la moitié du roman que les faits annoncés en résumé se produisent. Bref, c’est long... heureusement donc que le roman est assez court (336 pages).

    Je n’ai malheureusement pas grand chose de plus à vous dire sur ce roman, qui est un vrai flop.

  • Savy 11 août 2021
    Pour seul refuge

    Un flic , un juge, un violeur, trio planté dans un décor de montagnes enneigées, ce huit clos aurait pu bien fonctionner.

    Mais voilà
    Ecore une histoire de flic cassé, une impression de déjà "lu", petite différence tout de même, on comprend qu’il est schizophréne dans les derniers chapitres.

    Des personnages peu attachants, un dénouement prévisible.

    Pour seul refuge ne sera pas un polar dont je me souviendrai longtemps.

  • IsaVP 17 juillet 2021
    Pour seul refuge

    A la suite d’une série de viols et meurtres sur les bords de la Yellowstone River, la police de Missoula, dans le Montana, arrête un jeune amérindien, Alan Marocco, soupçonné d’être le tueur qu’elle a surnommé « le scalpeur ».
    Mais le suspect, jugé par le juge McCarthy et défendu par l’avocat Lawford, est innocenté et relâché.
    L’inspecteur Ted Cortino, dont la femme Thelma a été également violée et tuée, décide de rendre justice lui-même et enlève le juge qu’il enferme dans un chalet de montagne.
    Ted concocte une incroyable vengeance qui conduira le juge dans les montagnes enneigées du Montana où la survie va s’avérer être un combat de chaque instant.
    Les paysages sont à couper le souffle et les surprises ne manquent pas. Qu’ils soient gentils ou méchants, les personnages ont tous un petit quelque chose qui les rend attachants, même si parfois, les apparences sont trompeuses.
    Un polar glaçant, mené de main de maître par Vincent Ortis qui nous offre un premier roman de haut vol.
    Je me suis laissée transporter dans ces montagnes sauvages américaines avec beaucoup de plaisir et j’ai dégusté ce polar de la première à la dernière ligne.
    Pour seul refuge mérite bien le Grand prix des enquêteurs qui lui a été attribué et je suis sûre qu’il remportera d’autres récompenses.
    Passionnant et dépaysant, ce polar n’attend plus qu’une version cinématographique qui sera, sans aucun doute, grandiose.

  • Saveur Littéraire 24 février 2021
    Pour seul refuge

    Lauréat de la première édition du Grand Prix des Enquêteurs, Vincent Ortis signe son premier roman avec Pour seul refuge, un huit-clos trouvant ses repères dans le Montana enneigé des États-Unis. Une couverture exquise teintée de nuances bleues et blanches et un résumé qui donne encore plus envie avec son atmosphère pesante, que rêver de plus pour une lecture remplie de tension ?

    Pour seul refuge se construit sur la base de deux parties, et il me semble nécessaire de vous avertir dès le départ : le résumé si alléchant que nous trouvons en quatrième de couverture ne concerne que la deuxième partie, aussi le lecteur qui lit ces quelques lignes se demandera peut-être s’il n’y a pas un problème, tandis qu’il se lance sur les premières pages. La tension annoncée arrive certes vite, avec un premier chapitre aux dernières lignes glaçantes, de quoi annoncer une aventure macabre, mais très vite, le lecteur se retrouve pris dans autre chose.

    Aimez-vous le jeu du chat et de la souris ? Celui où l’autre joue avec vous, vous tente puis vous rejette, celui où pour avoir un peu d’informations, vous êtes obligés d’endurer la personne qui vous fait face alors qu’elle vous manipule à sa guise ? C’est exactement ce que fait Ted, ce flic bourru et irritant à chacune de ses apparitions, avec Edward, le juge pressé et complètement effacé, qui montre si peu de caractère. Un jeu qui, ici, est plus infernal qu’autre chose, tant le personnage de Ted souffre d’un défaut qui s’étend sur toutes les pages : son complexe de supériorité. Il devient alors un cliché ambulant, celui du flic qui cogne tout ce qui passe parce qu’il ne veut pas se contrôler.

    Ainsi, nous arpentons la neige et la sécurité relative du chalet où sont réfugiés Ted et Edward, et l’intrigue qui promettait un excellent moment met du temps à se mettre en place, peut-être même trop. En voulant installer progressivement de la tension, Vincent Ortis nous enferme au contraire dans une attente pas très agréable, et le caractère des deux hommes n’aidant pas à les rendre plus empathiques, Pour seul refuge se retrouve sans attache au niveau des personnages. Même ceux qui gravitent autour de Ted et Edward et que l’on est amenés à croiser au détour de nombreuses ellipses ; la famille d’Edward ou la bande de flics, restent malheureusement trop éloignés pour qu’on se souvienne d’eux.

    Et c’est alors que la deuxième partie arrive, celle où l’on change complètement d’atmosphère : la neige reste un élément primordial de ce huit-clos, mais cette fois, un nouveau personnage entre en scène, et celui-ci, il ne laissera pas indifférent. Tout en poursuivant sur la route de Ted et ses véritables motivations, Vincent Ortis place un nouveau pion sur le chemin, et c’est ainsi que le résumé que nous offrait la quatrième de couverture se réalise sous nos yeux. Quand la première partie n’offrait pas de véritable tension, la deuxième partie relève bien vite le niveau, pour notre plaisir !

    Une petite pensée émerge tandis que la partie d’échecs se dévoile progressivement au fil des pages : qu’est-ce qui se serait passé si le roman avait réellement débuté sur la base de la deuxième partie ? Quel chemin aurait pris l’intrigue ? Cette question restera sans réponse, puisque l’auteur en a décidé ainsi, mais plus on s’avance dans les pages, et plus on se surprend à rêver à la déviation d’un scénario. Peut-être que les personnages auraient pris des airs moins calculateurs et qu’ils auraient laissé une marque plus vive dans l’esprit du lecteur ? Car arrivé à la fin du roman, seul Alan reste en tête, malheureusement. Edward est relativement effacé malgré quelques prises de caractère temporaires, quant à Ted, il est trop invraisemblable et trop caricatural dans son comportement pour paraître réellement dangereux. Un personnage inaccessible tout au long du récit, à force de garder ses secrets pour lui.

    Pour seul refuge est un huit-clos avec un très fort potentiel, et l’on comprend pourquoi il a été récompensé d’un prix de la littérature policière, mais on ne peut s’empêcher de voir les petites choses qui font que la lecture n’a pas été au niveau de ce qu’on attendait. Ceci dit, et cet élément se doit d’être souligné, j’ai grandement apprécié la prise de risques de Vincent Ortis sur le traitement du sujet de base, et le doute qu’il instille tout au long du roman, y compris sur la fin. Amère et bien pensée, amenant des réflexions pour le lecteur qui souhaite s’y attarder, ce sont ces fins-là qui restent en mémoire, celles où l’on ne peut s’empêcher de se demander : et si on s’était trompés ?

    Pas un coup de cœur, mais une lecture satisfaisante en dépit de quelques couacs liés aux personnages.

    (https://saveurlitteraire.wordpress.com/2021/02/24/125-pour-seul-refuge-vincent-ortis/)

  • Lettres et caractères 9 décembre 2019
    Pour seul refuge

    Une jolie couverture de saison, de la neige à foison, pas de doute Pour seul refuge est bien le thriller à découvrir en ce moment au coin du feu. J’ai donc sorti le plaid, les grosses chaussettes, le café fumant et le chien à défaut de chat, puis je me suis confortablement installée pour dévorer ce roman qui s’annonçait prometteur.

    Chose tout à fait originale : la 4e de couverture résume la seconde partie de l’histoire mais ne dit pas un mot sur la première. Voilà de quoi m’interdire de vous résumer ce roman sous peine de vous spoiler. Vous saurez juste que j’ai adoré cette première partie dont personne ne parle mais que je suis totalement passée à côté de la seconde.

    Le démarrage conduit à un huis-clos angoissant à souhait dans lequel le lecteur dispose de tout le temps nécessaire pour cerner les réactions et les motivations des personnages avant de comprendre réellement ce qui se trame et va mener à la suite. Cette plongée psychologique m’a passionnée et je serais bien restée plus longtemps en apnée, dans cet univers confiné. J’ai donc vécu la seconde partie comme une remontée à la surface des choses. Beaucoup plus descriptive et de fait, moins immersive. Et c’est là que je me suis égarée en chemin. J’ai petit à petit perdu tout intérêt pour les personnages, leur histoire et les révélations tant attendues. Je me suis sentie comme émotionnellement anesthésiée et engourdie, ce qui a forcément rendu la fin de ma lecture assez laborieuse.

    Pour un premier roman, Pour seul refuge est plutôt de bonne facture même si, comme je l’ai dit précédemment je n’ai pas su rester sous le charme de cette intrigue. Je regrette également quelques maladresses dans l’écriture comme ces chapitres en italique qui sonnent assez faux, ces descriptions de personnage sans originalité ou encore l’usage de l’expression la plus horripilante qui soit : au jour d’aujourd’hui. Je sais bien que le style n’est pas ce que l’on juge en premier dans un thriller mais c’est dommage car quand la langue est belle, elle vous prend dans ses filets comme la plus diabolique des intrigues...

    Mon avis complet sur le blog lettres-et-caracteres.com

Votre #AvisPolar

Votre note :
Forum sur abonnement

Pour participer à ce forum, vous devez vous enregistrer au préalable. Merci d’indiquer ci-dessous l’identifiant personnel qui vous a été fourni. Si vous n’êtes pas enregistré, vous devez vous inscrire.

ConnexionS’inscriremot de passe oublié ?

Bepolar.fr respecte les droits d’auteur et s’est toujours engagé à être rigoureux sur ce point, dans le respect du travail des artistes que nous cherchons à valoriser. Les photos sont utilisées à des fins illustratives et non dans un but d’exploitation commerciale. et nous veillons à n’illustrer nos articles qu’avec des photos fournis dans les dossiers de presse prévues pour cette utilisation. Cependant, si vous, lecteur - anonyme, distributeur, attaché de presse, artiste, photographe constatez qu’une photo est diffusée sur Bepolar.fr alors que les droits ne sont pas respectés, ayez la gentillesse de contacter la rédaction. Nous nous engageons à retirer toutes photos litigieuses. Merci pour votre compréhension.