- Auteur : Benoît Sokal
- Editeur : Casterman
- Date de sortie : 4 mai 1993
- ISBN : 2203335149
- EAN : 9782203335141
Inscrivez-vous ou connectez-vous pour pouvoir participer au Club !
/B_dfpGigaCustomSerie> /B_dfpGigaCustomBD> /B_dfpGigaCustomLivre> /B_dfpGigaCustomCine>
Profitez de toutes nos fonctionnalités et bénéficiez de nos OFFRES EXCLUSIVES en vous inscrivant au CLUB.
JE REJOINS LE CLUB SANGInscrivez-vous ou connectez-vous pour pouvoir participer au Club !
Bepolar.fr respecte les droits d’auteur et s’est toujours engagé à être rigoureux sur ce point, dans le respect du travail des artistes que nous cherchons à valoriser. Les photos sont utilisées à des fins illustratives et non dans un but d’exploitation commerciale. et nous veillons à n’illustrer nos articles qu’avec des photos fournis dans les dossiers de presse prévues pour cette utilisation. Cependant, si vous, lecteur - anonyme, distributeur, attaché de presse, artiste, photographe constatez qu’une photo est diffusée sur Bepolar.fr alors que les droits ne sont pas respectés, ayez la gentillesse de contacter la rédaction. Nous nous engageons à retirer toutes photos litigieuses. Merci pour votre compréhension.
Polars urbains 12 juin 2019
L’Inspecteur Canardo, tome 3 : La mort douce
Rappel nécessaire : Canardo est un canard désabusé et dépressif qui exerce - avec plus ou moins de succès - le métier de détective privé, du genre de ceux qui sévissent dans les polars américains, un mélange de Marlowe pour les clopes et l’alcool et de Colombo pour l’imperméable. Autres signes particuliers : se déplace dans une Cadillac Eldorado Biarritz 1956 blanche décapotable, aime les bars glauques et se retrouve généralement face à des situations professionnelles et personnelles compliquées.
Tout commence « Chez Frédo », le rendez-vous des pochtrons locaux et des fidèles du comptoir, dont Canardo qui y descend quelques canons pour oublier ses ennuis et sa mélancolie chronique. Tout ne va donc pas trop mal jusqu’à ce que se produise Lili, la nouvelle chanteuse, belle et forte voix dans un corps fragile que secouent de violentes quintes de toux. Car son interprétation de Lili Marlène semble produire des réactions étranges chez Bronx, le simplet du village, d’habitude doux comme un agneau.
La mort douce est une histoire d’une tristesse immense. Il y est question d’enfant abandonné, de vengeance, de maladie et de mort. De souvenirs aussi pour Canardo qui ne semble aimer que des femmes qui meurent dans ses bras. Une histoire ans laquelle la musique n’adoucit pas les mœurs mais provoque des dégâts irréparables et rend les canards inconsolables : « C’est ton alcool qui est mauvais, Fredo : il ne me fait rien oublier. ».