Club Sang

Profitez de toutes nos fonctionnalités et bénéficiez de nos OFFRES EXCLUSIVES en vous inscrivant au CLUB.

JE REJOINS LE CLUB SANG

Les yeux des ténèbres - Dean Koontz

Club Sang

Inscrivez-vous ou connectez-vous pour pouvoir participer au Club !

9 #AvisPolar
5 enquêteurs
l'ont vu/lu
0 enquêteur
Veut la voir/lire

Résumé :

Danny, 10 ans, est mort dans un effroyable accident. Et Tina, sa mère, n’a jamais pu identifier son corps.
Un an plus tard, des signes prouvent pourtant à Tina que son fils est toujours en vie. Dès lors, elle n’a qu’une obsession : le retrouver et découvrir la vérité.
Mais elle dérange et les services secrets tentent de l’assassiner. Qu’ont-ils à cacher ? Et si Danny était celui par qui la fin de l’humanité pouvait arriver ?
Relire aujourd’hui ce thriller écrit dans les années 1980 donne des frissons...

L'œuvre vous intéresse ? Achetez-la chez nos partenaires !

En librairie

Et chez vos libraires indépendants

  • Acheter sur Jesoutiensmalibrairie.com
  • Acheter sur lalibrairie.com
  • Acheter sur Place des libraires

Vos #AvisPolar

  • Musemania 23 août 2021
    Les yeux des ténèbres - Dean Koontz

    Vous avez peut-être déjà vu passer ce livre depuis le début de la crise sanitaire que nous connaissons encore aujourd’hui car il a fait le buzz sur les réseaux sociaux. Pourquoi, me direz-vous ? Peut-être pour le regard visionnaire que l’auteur, Dean Koontz, a eu sur la pandémie mondiale de coronavirus, sans le savoir et ce, il y a plus de quatre décennies !

    En effet, la première édition de ce livre date déjà de 1981 ! Elle était alors parue sous le pseudonyme de Leigh Nichols. Dean Koontz l’a sortie révisée sous son vrai nom en 1996. La première traduction française date – elle – de 1990. Quarante ans avant ce que nous connaissons maintenant depuis presque deux ans, Dean Koontz avait imaginé un virus dangereux et mortel créé dans des laboratoires chinois situés près de la ville de …. Wuhan ! Cela ne vous dit-il pas quelque chose ???

    Petite remarque, cette présence de la Chine et en particulier de Wuhan est apparue dans la version révisée. En effet, dans la première version, le pays concerné était la Russie. Vu la fin de la Guerre Froide entre cette dernière et les États-Unis, il ne fallait peut-être plus trop froissé les anciens ennemis. Donc, ici, c’est bien la version revisitée que j’ai pu découvrir grâce à la traduction française offerte par les Editions de L’Archipel.

    Toutefois, je veux attirer votre attention qu’il ne faut pas cantonner ce livre et cette histoire à ce seul virus car vous vous en trouveriez alors déçu car ce n’est qu’un détail sur la totalité du récit.

    Malgré que ce livre date donc du début des années 1980, je n’ai pas trouvé qu’il avait mal vieilli dans sa substance. Parfois, c’est vrai certains dialogues peuvent sembler un brin « niais » mais l’écriture reste très actuelle même si, bien entendu, les technologies actuelles ne sont forcément pas présentes dans l’histoire. Se déroulant sur seulement 4 jours entre le 30 décembre et 2 janvier, le livre est découpé sur ces quatre journées.

    Le seul grief que je pourrais trouver est que la fin arrive de façon un peu trop brusque et abrupte par rapport au reste du récit. Alors que, durant près de 300 pages, se déroule tranquillement l’intrigue, tout vient à se clore en très peu de temps et en un nombre limité de pages. Je trouve que l’équilibre entre l’intrigue et le final n’est pas très respecté pour que le lecteur n’en perde pas de la saveur. Dès lors que le début se déroule assez lentement, la fin est donc passée plus vite que ce que je n’aurais aimé.

    Malgré ce petit anicroche, cela a été une assez bonne lecture qui m’a donné envie de redécouvrir les livres de Dean Koontz et notamment, ses parutions les plus récentes pour son regard un tantinet visionnaire de notre monde contemporain !

  • LesRêveriesd’Isis 8 octobre 2020
    Les yeux des ténèbres - Dean Koontz

    Les Yeux des ténèbres met en scène une mère, Christina Evans, qui a perdu son petit garçon de dix ans, Danny, dans un terrible accident. Alors qu’elle parvient à peine à faire son deuil et à envisager d’aller de l’avant, des signes la ramènent à cette perte et lui laissent penser que son enfant n’est pas mort. Dès lors, elle tente tout pour savoir, coûte que coûte, ce qu’il en est.

    La quatrième de couverture évoque des lectures récentes mettant en avant le lien avec le coronavirus, des coïncidences frappantes avec un virus venu de Chine envisagé il y a quarante ans dans ce roman… C’est à mon sens une erreur de mettre cela en avant car cela fait naître des attentes qui seront déçues. Si vous attendez un roman traitant d’une pandémie, d’un virus infectant la population, vous ne goûterez pas le livre car ce n’est pas là le cœur du l’histoire, loin s’en faut. Ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit, ce n’est pas mensonger, certains éléments du livre présentent bien des similitudes avec un virus venu de Chine, mais le nœud de l’intrigue est ailleurs, et pour ma part, j’en ai été ravie !

    Dans Les yeux des ténèbres, j’ai retrouvé avec bonheur la saveur des romans de Dean Koontz que je lisais adolescente alliée à des thèmes récurrents dans ses derniers livres. En tant que lectrice, j’ai adoré cette double strate : le plaisir régressif d’une atmosphère qui a bercé mes quatorze ans, et le décodage d’un topos chez l’auteur que je n’aurais jamais pu percevoir à l’époque. D’une part, nous avons, une fois de plus, des êtres aux prises avec une organisation obscure aux intentions discutables et à la morale encore plus contestable (Cela devrait rappeler des petites choses à celles et ceux qui ont lu Dark Web – hop avis de Clem ici-, La Chambre des murmures – mon avis ici, celui de Clem aussi– et l’Escalier du Diable –là). D’autre part, nous retrouvons aussi une part de surnaturel qui ne verse pas dans le récit d’horreur mais qui exploite juste ce qu’il faut d’irrationnel pour nous faire frémir… et pour faire frémir les personnages. C’est cet équilibre entre complot, enquête et surnaturel qui m’a le plus séduite. Cela crée un livre agréable, sans excès, la tension est bien présente et, même si nous comprenons plus vite que les personnages où l’auteur veut en venir, notre plaisir n’est pas entaché par un topos vain.

    Le personnage de Christina Evans est vraiment attachant dans ce roman. Nous avons là une mère en souffrance, qui essaie de digérer un impossible deuil. C’est une femme forte et courageuse, une femme de talent, qui ne se laisse pas abattre et qui prend son envol après des années auprès d’un homme qui, finalement, ne la méritait pas. Désormais, elle est prête pour un nouveau départ, mais ce renouveau exige aussi des réponses et des certitudes. Christina sait écouter son intime conviction, et elle est le moteur du livre. Sans elle, l’édifice s’écroulerait, ce qui n’est pas sans rappeler la série Dark Web et Jane Hawk. Dans sa quête de vérité, elle trouve un allié en or, Elliot. Leur duo fonctionne à merveille. Je ne m’attarderai pas à savoir si le duo est crédible ou non, si des passages de romance sont excessifs (spoiler : oui), toujours est-il que ces questions restent à la marge et ne constituent pas le vrai enjeu de la lecture.

    Le roman est porté par une dynamique parfaite : les rebondissements sont bien là, les pièges et les faux-semblants aussi. C’est finalement ce qu’on attend de lui. Nos protagonistes passent de proies traquées à chasseurs de main de maître et les rapports de force s’inversent à plusieurs reprises pour notre plus grand plaisir. Il n’y a aucun temps creux, et aucun passage n’est inutile. Bien entendu, les quelques pages de romance ne sont peut être pas essentiels, mais ils permettent d’étoffer un peu les personnages. Je n’y trouve rien à redire.

    Ainsi, j’ai adoré et dévoré Les yeux des ténèbres. A partir du moment où nous le lisons indépendamment de la question d’un virus, nous pouvons savourer une intrigue délicatement ouvragée, avec une tension narrative constante et des thèmes annonciateurs du reste de l’œuvre de l’auteur. Voici un très bon thriller, parfait pour se détendre et passer un très bon moment.

  • Clem_YCR 9 septembre 2020
    Les yeux des ténèbres - Dean Koontz

    " Comment Dean Koontz a-t-il pu, dès les années 1980, anticiper la pandémie actuelle du Coronavirus ? "

    The Daily Mail.

    Comme beaucoup, c’est la mention du COVID-19, et le parallèle qu’ont fait les médias entre le virus et le livre qui a attisé ma curiosité. Mais pas seulement. En effet, j’ai déjà lu et adoré les deux premiers tomes de la saga Jane Hawk de l’auteur. Heureusement pour moi car, même si j’avais été prévenue à l’avance (par Armelle dont je vous mets l’avis ici), j’ai pu constater que le prétendu virus n’est quasiment pas évoqué, et j’avoue ne pas bien comprendre quelles sont les similitudes avec le COVID. Si cet élément est votre seule motivation de lecture, passez votre chemin.

    Si j’ai trouvé l’intrigue beaucoup moins prenante que les Jane Hawk, je me suis tout de même laissée convaincre par Les yeux des ténèbres. Le roman date des années 80, alors que les autres sont beaucoup plus récent, il est donc normal de noter une différence d’écriture.

    Dean Koontz réussit à nous faire frissonner, et surtout à nous faire creuser les méninges ; en effet, on détecte un côté surnaturel, science-fiction. De mystérieux phénomènes surviennent : ce "PAS MORT" et ces chutes brutales de température qui semblent poursuivre Jane, et auxquels mon cerveau cartésien cherchait par tous les moyens à trouver une explication rationnelle. De le même manière qu’Eliott, l’un des héros du roman. Quant une organisation gouvernementale secrète s’en mêle, je dois avouer que la tension monte et l’étau se resserre.

    Le début est à la fois lent, voire long, et instructif. Instructif car il nous dépeint la vie à Las Vegas, les dessous des spectacles de Revue, pour lesquels Tina, la maman de Danny, est chorégraphe ; et il fait également lumière sur les casinos. A travers le papa de Danny, croupier de profession, mais également à travers la femme-de ménage et sa passion du jeu. Ces éléments ne font pas forcément avancer l’intrigue, il y a, par moment des lourdeurs, mais ils permettent d’apprendre à connaitre Tina et sa force de caractère. De plus, c’est lors de la première de son spectacle qu’elle va rencontrer Eliott, son seul soutien.

    Passé cette longue introduction, alors qu’une menace pèse sur Tina et Eliott, une course poursuite s’engage. La partie d’échec qui se met en place est plutôt intéressante, alors que chacun tente de prévoir les coups de l’adversaire. Le fait qu’Eliott soit un ancien des services secrets permet de mieux appréhender l’étonnante facilité avec laquelle le couple échappe à ses poursuivants. Ca, et le fameux côté "surnaturel". Ces manifestations venues d’ailleurs qui donnent un petit côté flippant au récit.

    J’ai adoré l’aspect complot ; le gouvernement américain qui, indirectement, est prêt à tout pour garder ses secrets. Ces hommes sans conscience aucune, qui acceptent de commettre des meurtres, ou pire, au nom de quoi ? Leur engagement ? La suprématie américaine ? Leur propre égo ? Sur cet aspect là en particulier, j’ai retrouvé ce qui m’avait tellement plu et révoltée dans les Jane Hawk.

    Le duo Tina / Eliott fonctionne très bien. Leur connexion, leurs réparties au tac au tac, le jeu de séduction qui se met en place. Mais tout arrive quand même très rapidement, et Eliott apparait comme un héros qui vole à la rescousse de la belle en détresse alors qu’il la connait finalement à peine.

    Je ne vous cacherai pas que malgré les moments un peu lents, ceux qui, au contraire, paraissent un peu survolés, j’ai tourné les pages frénétiquement, jusqu’à avoir le fin mot de l’histoire. Et je vous rassure, tout s’explique finalement. Sauf le COVID peut-être.

    Les yeux des ténèbres remplit bien le contrat de nous tenir en haleine et de nous surprendre. En plus, même si on se dit que ça arrive rarement dans la vraie vie, j’ai apprécié le côté happy end.

  • Maks 2 août 2020
    Les yeux des ténèbres - Dean Koontz

    Nous sommes sur un thriller avec une pointe de fantastique (don télékinésique d’un des personnages) qui bouge pas mal, disons de plus en plus en avançant dans l’histoire.

    Le scénario est très intéressant, mort accidentelle, deuil, folie puis expériences scientifiques, expédition de sauvetage, virologie etc..

    Les personnages eux m’ont plus, mais avec quelques défauts tout de même, surtout pour les deux principaux, amoureux au bout de 2 jours, un peu "nian nian" dans le comportement de l’un envers l’autre, en fait comme une petite romance qui s’impose dans l’histoire alors que cela n’a pas vraiment d’incidence.
    Les passages où on parle de télékinésie m’ont vraiment accrochés et c’est ce qui m’a le plus marqué dans cette histoire d’action/thriller/aventure.

    Attention tout de même, à ne pas trop vous fier au 4ème de couverture qui ne décrit en rien le sujet du livre mais une infime partie.

    https://unbouquinsinonrien.blogspot.com/2020/08/les-yeux-des-tenebres-dean-koontz.html

  • celine85 8 juillet 2020
    Les yeux des ténèbres - Dean Koontz

    Je n’ai pas été conquise par ce livre et n’ai pas trop apprécié la "pub" qui le présente.
    Je n’ai pas accroché à l’histoire. Au début ça pouvait aller, mon attention était capté, j’ai aimé la partie sur le questionnement sur la mort ou non de son fils et l’apparition des phénomènes étranges mais l’histoire a pris un virage à 90 ° et j’ai fait une sortie de route...

  • mouffette_masquee 1er juillet 2020
    Les yeux des ténèbres - Dean Koontz

    Résumé : Depuis un peu plus d’un an, la vie de Tina Evans s’est effondrée. Son fils de 10 ans, Danny, est mort dans un accident de bus et son mariage a lamentablement échoué. Afin de ne pas se morfondre, elle se donne à fond dans son travail, la production d’un spectacle à Las Vegas. De temps en temps, elle pense voir son fils dans la rue. Le jour où elle se décide à trier les affaires de Danny pour tourner la page, elle est confrontée à d’étranges phénomènes, un froid intense dans la chambre de l’enfant, des mots écrits sur son tableau noir scandant « PAS MORT » à la craie.

    Mon avis : Je ne vais pas y aller par quatre chemins, malgré une idée de départ très intrigante, je n’ai pas accroché. Dès les premières pages il y a une incohérence dans l’âge de la protagoniste, alors que je suis une maniaque de la chronologie ! Les dialogues sonnent faux et sont trop alambiqués : « Quel est ce sinistre individu qui ne cesse de vous harceler de mille façons ? » ; d’accord le livre date de 1981, mais là on se croirait au XIXème siècle. Tina et Elliott sont improbables, ils se connaissent depuis deux jours mais se parlent comme s’ils se connaissaient depuis des siècles ; ils recherchent le fils de Tina potentiellement séquestré et sont en situation de danger, mais se chauffent comme des ados et se balancent des allusions grivoises...
    Il y a beaucoup, BEAUCOUP trop de descriptions inutiles qui ne font que plomber le récit (deux pages de description physique, psychologique ET l’histoire familiale sur 3 générations pour un personnage secondaire, sérieusement ?) comme si l’auteur avait cherché à allonger son récit à tout prix. Sans compter la quatrième de couverture qui révèle un élément qu’on n’apprend qu’aux deux tiers du livre... Bref, pour moi c’est un grand non, dommage.

  • angelita 26 juin 2020
    Les yeux des ténèbres - Dean Koontz

    Les yeux des ténèbres de Dean Koontz, présentation
    Tina croit voir son fils dans une voiture. Mais à chaque fois, elle se trompe. Danny est mort dans un accident, il y a un an. Elle n’a pas pu voir son corps car on lui a annoncé qu’il était trop mutilé. Elle croit qu’il est toujours vivant.

    Depuis quelque temps, elle fait de nombreux cauchemars. Dans la chambre de son fils, des mots s’inscrivent et s’effacent sur le chevalet. Pas mort, pas mort, pas mort.

    Avis Les yeux des ténèbres de Dean Koontz
    Tina est divorcée. Elle a perdu son fils de 10 ans dans un horrible accident. Le deuil est difficilement acceptable, mais son travail lui permet de ne pas trop y réfléchir. Des éléments bizarres se mettent en place. Elle fait des cauchemars, des inscriptions sur un tableau, des changements brutaux de température commencent à lui faire peur. Malgré cette peur, elle arrive à faire face. Son premier spectacle est un immense succès. Elle rencontre un homme, Elliot, pour qui elle va très vite éprouver des sentiments. En discutant avec lui, elle lui fait part de certains éléments, notamment le fait qu’elle n’a pas pu voir son fils dans son cercueil. Avocat, il lui propose de demander l’ouverture du cercueil à un juge. Elle accepte. C’est le Nouvel An, ils doivent passer la soirée et les quelques jours qui suivent ensemble. Mais, chez lui, il est agressé par deux hommes qui révèlent travailler pour une organisation secrète gouvernementale. Il arrive à s’en sortir et roule très vite vers la maison de Tina. Les évènements s’enchaînent. Ils se rendent compte que leur vie ne tient plus qu’à un fil. Est-ce dû au fait de la demande d’ouverture du cercueil ? Est-ce que le fils de Tina est vraiment mort ? Que vont-ils trouver ?

    Qu’est-ce que j’ai en ce moment avec les polars ? Ils sont peu à trouver grâce à mes yeux. C’est le cas de celui-ci. Dialogues creux, rebondissements qui ne me tiennent pas en haleine, je ne trouve absolument pas matière. Ce roman, écrit dans les années 80, est annoncé comme étant une anticipation à ce que nous connaissons cette année avec l’épidémie de Covid-19. Sauf que à part quelques lignes, en milieu du roman, et à la fin, concernant des études faites en Chine, en Russie ou ailleurs et les Etats-Unis qui font des tests en ce sens, il faut attendre la fin du roman pour que le mot soit réellement prononcé.

    Le début de ce roman était sympathique avec une jeune femme qui a, pendant un an, mis au point un spectacle, présenté à Las Vegas. Elle tient à ce spectacle qui peut lui ouvrir de nombreuses portes. Tina aime la danse, Tina aime le beau, Tina aime faire rêver et trouver des idées à mettre en pratique. Malgré son divorce et la perte de son fils, elle essaie de tenir bon. Ces messages de l’au-delà, ces manifestations étranges auraient pu la faire plonger dans la folie. Mais non, au fur et à mesure, elle sait que son fils n’est pas mort, elle le sent et surtout elle estime que ces messages viennent de lui. De ce côté-là, les enchaînements, les explications sont bien menées, je ne trouve rien à redire, mais ce n’est pas assez dense pour que cela fasse réellement peur. Mais la rencontre avec ce séduisant avocat, leur quête pour la vérité, leurs échanges, les courses contre la montre n’ont aucun caractère d’urgence, à mon goût, même à la fin sur les 50 dernières pages.

    Les manifestations psychiques développées par l’enfant, les appels à l’aide, ce qu’il apporte à sa mère et à Elliot sont les plus intéressantes à mon goût, mais pas assez développées, ce qui est bien dommage.

  • ludi33 25 juin 2020
    Les yeux des ténèbres - Dean Koontz

    Encore une fois, j’ai passé un excellent moment en compagnie d’un livre de Dean Koontz. Mais attention, on ne parle pas vraiment d’épidémie dans ce roman et la mention d’un virus venant de Wuhan, non seulement se fait attendre, mais en plus n’occupe que quelques lignes.
    Mais qu’importe ! Je n’ai pas lu le roman pour çà, même si j’avoue que çà a quand même un peu piqué ma curiosité ! Non, j’ai voulu lire une production plus ancienne de l’auteur, après avoir dévoré les 2 premiers tomes de la série consacrée à Jane Hawk.
    Pas de déception donc de mon côté. On suit donc Tina, une femme qui a perdu son fils dans un accident, mais qui va se mettre à douter de la thèse officielle. L’intrigue, menée sur un rythme de plus en plus soutenu ne nous laisse pas vraiment de répit. Et si l’on peut reprocher au roman un certain manque d’originalité, le talent de Dean Koontz pour nous raconter une histoire permet de nous tenir en haleine jusqu’au dénouement.

  • Matildany 10 juin 2020
    Les yeux des ténèbres - Dean Koontz

    Las Vegas, un an après le décès tragique de son fils Danny, survenu lors d’un camp de vacances, Christina Evans, "Tina", surmonte peu à peu le drame. Elle s’est lancée à corps perdu dans le travail et a orchestré le montage d’un show à grand échelle, "Magyck", qui récolte un succès mérité lors de sa première au Desert Mirage, où elle rencontre par ailleurs un séduisant avocat, Elliott Stryker....
    Lorsqu’elle trouve chez elle le message "Pas mort" et croit qu’on s’est introduit chez elle, Tina pense dans un premier temps qu’on l’invite à enquêter sur les circonstances de la mort de son fils. Avec l’aide d’Elliott, elle réalise rapidement que les messages lui sont peut-être directement envoyé par Danny quand des événements surnaturels surviennent. Tout se précipite quand une mystérieuse organisation s’en mêle et veut arrêter leurs recherches à tout prix.

    J’ai cédé à ce livre suite au battage médiatique concernant la " prescience" de Dean Koontz quant au Covid-19. Je me suis retrouvée face à un récit d’aventures correct, mais équivalent à une série B où comme d’habitude, même si on est en danger de mort, on reste sexy, on tombe amoureux et dès qu’on fait une petite pause, on file au lit, mais pas que pour le sexe, non, c’est toujours le grand amour...alors la dragouille entre les balles, c’est pas crédible mais si on le prend comme un film pop-corn (non, pas Youporn, ça reste très sage puisqu’ils sont amoureux), c’est délassant, mais ne vole pas haut, jusqu’à une fin pliée et expéditive.
    Quant au lien avec Covid-19, il est vraiment ténu et peu présent.
    Mention spéciale par contre pour l’action à Las Vegas, je m’y suis retrouvée, et en ces temps de confinement, l’évasion m’a rappelé de chouettes souvenirs de Sin City.

    https://instagram.com/danygillet

Votre #AvisPolar

Votre note :
Forum sur abonnement

Pour participer à ce forum, vous devez vous enregistrer au préalable. Merci d’indiquer ci-dessous l’identifiant personnel qui vous a été fourni. Si vous n’êtes pas enregistré, vous devez vous inscrire.

ConnexionS’inscriremot de passe oublié ?

Bepolar.fr respecte les droits d’auteur et s’est toujours engagé à être rigoureux sur ce point, dans le respect du travail des artistes que nous cherchons à valoriser. Les photos sont utilisées à des fins illustratives et non dans un but d’exploitation commerciale. et nous veillons à n’illustrer nos articles qu’avec des photos fournis dans les dossiers de presse prévues pour cette utilisation. Cependant, si vous, lecteur - anonyme, distributeur, attaché de presse, artiste, photographe constatez qu’une photo est diffusée sur Bepolar.fr alors que les droits ne sont pas respectés, ayez la gentillesse de contacter la rédaction. Nous nous engageons à retirer toutes photos litigieuses. Merci pour votre compréhension.