- Auteur : Luca Veste
- Traducteur : Pierre Brévignon
- Genre : Policier / Thriller
- Editeur : L’Archipel
- Date de sortie : 18 novembre 2021
- ISBN : 2809841497
- EAN : 9782809841497
Inscrivez-vous ou connectez-vous pour pouvoir participer au Club !
Résumé :
Tous les enfants de Liverpool connaissent la comptine du Désosseur, monstre qui vivrait dans les bois depuis des décennies, enlèverait et tuerait ceux qui s’y hasardent – même si l’on n’a jamais pu prouver son existence...
Un jour, Louise Henderson et son collègue Shipley sont appelés au chevet d’une jeune femme blessée à l’arme blanche, qui affirme avoir été agressée par le Désosseur.
Les deux policiers attribuent d’abord ses allégations au choc subi, mais, peu après, le corps d’un homme est retrouvé là où elle aurait été attaquée, une clairière où l’on identifie des traces du tueur. Ne serait-ce donc pas qu’une légende ?
Il apparaît bientôt que Louise aurait un lien très personnel avec le Désosseur. Que cache donc son passé, qui la hante depuis si longtemps ?
Source : Lisez !
stokely 13 août 2023
Marathon du polar 2023, équipe THRITHON
Le désosseur de Liverpool - Luca Veste
Tout débute tambour battant dans ce récit avec une jeune femme mutilée qui est retrouvée dans la rue errante et ayant de multiples blessures dues à des coups de couteaux.
Les enquêteurs Louise Henderson et Shipley sont appelés sur cette affaire et rapidement un parallèle va être fait avec la chanson du Désosseur de Liverpool, une comptine que les jeunes chantonnent lors de certaines actions comme par exemple dans le récit lorsqu’ils se rendent dans un tunnel pour ce donner du courage.
Après enquête sur la piste de l’agresseur de la jeune femme des corps sont retrouvés dans la forêt, d’abord un puis rapidement les autres corps vont suivre, j’ai aimé suivre cette enquête cependant j’avoue avoir trouvé le milieu et la fin plus lente.
Le début est vraiment addictif cependant au milieu du récit j’ai trouvé le récit moins haletant et prenant, j’ai trouvé le reste du récit moins crédible à mes yeux ce qui m’a également fait lâcher prise à ma lecture.
Une lecture en demi-teinte mais il s’agit aussi ici du premier livre de cet auteur.
Musemania 21 janvier 2022
Le désosseur de Liverpool - Luca Veste
Si vous vous ennuyez en ce moment, à cause des résolutions prises (qui sont en fait inatteignables) ou à la vue de la météo morose de ce début de janvier, je vous ai trouvé un livre qui vous déridera à coup sûr. « Le désosseur de Liverpool », voilà un page-turner qui vous scotchera dès la lecture des toutes premières pages.
Luca Veste offre aux lecteurs pour sa première oeuvre traduite en français, un thriller angoissant qui vous glacera le sang et vous fera hérisser les poils de votre nuque. Misant tout sur une légende urbaine de Liverpool, ce thriller très visuel est vraiment réussi.
J’ai trouvé que ce livre était écrit comme une toile d’araignée, on tire sur un fil et c’est toute une cascade d’intrigues intimement tissées qui en découle. Il pourrait aussi être vu comme un puzzle, dont chacune des pièces réveille une petite portion d’un plus grand projet.
La traduction francophone offre une lecture très agréable. Cette fluidité permet aux lecteurs de s’immerger à fond dans le récit et de vivre cette enquête policière aux côtés des Louise Henderson et Paul Shipley. La construction de ces personnages est parfaitement maîtrisée, venant certainement du fait que l’auteur était étudiant en psychologie et criminologie.
C’est indubitable que les auteurs anglais parviennent à distiller une atmosphère tout à fait particulière à leurs livres qu’il s’agisse de littérature contemporaine ou de littérature noire. Malgré un nom dont la consonance ne laisse pas présumer l’origine anglo-saxonne, Luca Veste est dans cette lignée et offre un thriller, doté de fausses pistes et de rebondissements.
Bon c’est clair que, dorénavant, vous réfléchirez sûrement à deux fois avant d’aller vous promener dans les bois après cette lecture. Quant à moi, j’attends de pieds fermes la prochaine traduction d’un des romans de cet auteur, qui en est déjà à une douzaine d’écrits.