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La femme en vert - Arnaldur Indridason

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8 #AvisPolar
5 enquêteurs
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Résumé :

Dans un jardin sur les hauteurs de Reykjavik, un bébé mâchouille un objet étrange... Un os humain ! Enterré sur cette colline depuis un demi-siècle, le squelette mystérieux livre peu d’indices au commissaire Erlendur. L’enquête remonte jusqu’à la famille qui vivait là pendant la Seconde Guerre mondiale, mettant au jour les traces effacées par la neige, les cris étouffés sous la glace d’une Islande sombre et fantomatique...

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Vos #AvisPolar

  • PAULAZ56 21 août 2023
    Marathon du polar 2023, équipe MARATHONIENNES
    La femme en vert - Arnaldur Indridason

    Le commissaire Erlendur face à un mystérieux squelette. Un cold case à élucider.
    L’histoire aborde dans l’intrigue principale les violences conjugales au sein d’un foyer islandais mais également en second lieu l’histoire personnelle de l’inspecteur Erlendur assailli par son passé et les relations conflictuelles avec sa fille.
    La trame est classique, sans temps mort. Le drame se joue de la première à la dernière page. La plume vive et acérée d’Indridason, l’étude fine de la psychologie des personnages nous emmènent dans un roman captivant et dur qui nous tient en haleine jusqu à la fin.

  • mimi85600 28 mars 2022
    La femme en vert - Arnaldur Indridason

    Vous voulez une histoire dense, bien écrite et bien ficelée ? Lisez de l’Arnaldur Indridason. Avec "La femme en vert ", il vous emmène à Reykjavik en Islande. Alors qu’il attend son petit frère qui est a un anniversaire, un jeune étudiant en médecine remarque que le bébé de la maison mâchouille un petit objet étrange. Rapidement il l’identifie comme étant un os humain et prévient la maman qui à son tour questionne son ainé pour savoir d’où vient cet os.

    L’enfant explique qu’ils l’ont trouvé dans les fondations du chantier d’en face sur la colline. La police est immédiatement prévenue et découvre qu’un squelette est enterré sur la colline depuis au moins 70 ans, depuis l’époque de la seconde guerre mondiale. C’est l’inspecteur Erlendur, qui aidé de sa fine équipe, va mener l’enquête pendant qu’une équipe d’archéologues aguerris se charge de déterrer les os avec la plus grande précaution pour le préserver au mieux. En parallèle, vous suivez les flash-back d’une famille dont la femme subit les violences de son mari et tente tant bien que mal de protéger ses enfants de ce monstre.

    Comme dans tout bon polar nordique, le rythme est plutôt lent, mais l’histoire et les thématiques dures et bouleversantes, traitées de manière magistrales, vous attrapent et vous prennent aux tripes assez vite. Quant à la fin, elle est juste comme il faut, tout en subtilité, sans fioritures et sans excès. Alors oui, je peux dire que ce roman est un coup de cœur.

  • lireencore93420 12 septembre 2021
    La femme en vert - Arnaldur Indridason

    Dans un jardin sur les hauteurs de Reykjavik, un bébé mâchouille un objet étrange... Un os humain ! Enterré sur cette colline depuis un demi-siècle, le squelette mystérieux livre peu d’indices au commissaire Erlendur.

    Comme le premier tome, ce volet a eu beaucoup de distinctions, et quand un livre as autant de prix, ce n’est jamais par hasard, et je voulais le signaler quand même.

    Le début vous met directement dans le vif du sujet, on ne tourne pas autour du pot, Toti fête ses huit ans et sa petite sœur s’amuse avec un jouet, qui n’est d’autre un os humain, le décor est planté.

    Le squelette datant de plus de 70 ans, il faudra que des archéologues prennent beaucoup de temps pour déterrer complétement les os, déjà le côté historique m’as beaucoup plu.

    Erlendur dans ce tome, est auprès de sa fille qui est dans le coma, avec tout ce qui implique, et évidemment il participe à cette enquête très particulière. Mais ce côté intrusif dans la vie personnelle de cet enquêteur donne un côté encore plus humain à la trame.

    Comme le premier tome la trame traite des violence conjugales sur une famille des années 1940, on ne peut être que sensible à cette histoire, mais surtout que j’ai adorer c’est la façon que l’intrique as été construite, c’était vraiment excellent.

    Ce deuxième volet sans concessions fut un énorme coup de cœur, qu’ensuite j’ai acquis tous les tomes de la saga pour vraiment les lire dans l’ordre et vraiment découvrir l’histoire d’Erlendur et ses collègues.

    Il y a également cette alternance entre le passé (ce qui est véritablement arrivée) et le présent (ce que Oli, Sigurdur et Erlendur vont découvrir au fur au mesure) et vont les amener à cette fameuse femme en vert.

    J’ai toujours aimé les livres qui amènent plusieurs temporalités mais là faut avouer que c’est réellement vraiment bien exploiter et surtout cela sert la trame.

    Ce livre m’as fait beaucoup penser à toutes ces femmes qui vivent ces violences conjugales, j’ai beaucoup frissonné, car bien sûr, souvent c’est très dur à lire, on a envie d’hurler, pourquoi cela arrive ?

    Donc en conclusion, ce livre a tout pour me plaire, la suite de l’histoire familiale d’Erlendur, on découvre également la vie privée de Sigurdur, il n’y a pas de raison, que ça soit que Erlendur, une enquête addictive sur une histoire bien amenée ou des archéologues qui vont aussi avoir leur part et un contexte historique et aussi un thème sur la violence conjugale qui m’as pris aux tripes.

    La fin est aussi rondement bien faite et nous amène sur un bel espoir, c’est assez rare, j’ai juste envie de continuer de suivre ces trois enquêteurs.

    Mais j’ai envie de continuer cette saga par le début, pour bien comprendre comment Erlendur s’est construit et as constitué son équipe. Sachant que cet auteur as écris plusieurs sagas, je veux lire tout d’abord celle-là.

  • jenjen10 27 mars 2021
    La femme en vert - Arnaldur Indridason

    J’ai adoré ce livre et tous ceux que j’ai lu de cet auteur. C’est bien écrit, les enquêtes sont prenantes et le personnage d’Erlendur est attachant. Et l’impression de voyager en Islande en prime !

  • l’oeil de sauron 29 février 2020
    La femme en vert - Arnaldur Indridason

    Une nuit s’est écoulée, je peux vous faire mon retour sans pleurer. Ça a été une lecture plus que compliquée pour moi, addictive mais j’ai angoissé tout du long et j’avais besoin de me rassurer.

    Commençons par le commencement, je n’ai pas grand chose à dire à propos de l’écriture qui est tout à fait correct, agréable. Les personnages sont plus problématiques pour moi, aucun ne m’ayant attiré un peu de sympathie mais parlons surtout de l’histoire et tout va venir ensemble et s’harmoniser.

    On suit deux histoires sur deux époques. La découverte des ossements et l’enquête, au présent et la vie de Grimur et de sa famille dans le passé. La vie avec Grimur m’a énormément angoissée. Ça a été très anxiogène à cause de la présence d’enfants, de bébés, de grossesses. Je fuis normalement ce genre de livres qui, au-delà de me mettre mal à l’aise, me cause un profond sentiment de désarroi et de désespoir car je transfère, SYSTÉMATIQUEMENT ET INVOLONTAIREMENT sur mes propres enfants. Du coup, ici, ça a été terrible car j’y ai été confrontée tout le temps. Pourquoi je n’ai pas arrêté ? Besoin de savoir que ça allait bien se finir (ou pas ?). Malgré tout, garder bien en tête que cette histoire dans le passé est certainement celle qui m’a le plus plu dans le livre car les personnages y sont … vivants.

    L’histoire à l’époque actuelle comporte trop de défauts à mes yeux pour être agréable. Les flics ressemblent à des ersatz de flics seulement c’est presque incroyable d’ailleurs. Les archéologues mis en scène devraient selon moi, changer de métier ou ne jamais venir exercer en France… certaines choses sont trop abracadabrantes. Le rythme est aussi très étrange. Tantôt long et lent à l’image des écrits nordiques, tantôt rapide, trop même. A un moment , je me suis crue dans Taken avec Liam Neeson entrain de chercher sa fille !! J’ai pas compris. Bon très vite, ça retombe bien sûr et on entre dans une sorte d’écrit léthargique, voire on tombe dans le coma à l’image d’Eva Lind. On subit dans ces moments-là , l’introspection d’Erlendur, plongé dans son passé… Comme je n’ai pas lu les trois précédents, c’est peut être pour ça que ça a pêché mais ça ne m’a pas plu.

    La façon de mener l’enquête est très étrange, flics bizarres, enquête à leur image… On part sur plusieurs possibilités, jusque là OK, pas de problème mais finalement on s’enlise, je n’attendais aucun démarrage, on est dans du nordique donc là dessus pas de surprise mais cette tentative d’embrouiller le lecture avec un twist à un moment bah tombe comme du hareng dans sa saumure… Je suis restée passive mais ne pas avoir toutes les réponses à ces possibilités par contre, ça m’a gonflée. L’histoire semble virevolter au gré des envies de l’auteur, sans jamais vraiment se fier sur une ligne directrice ce qui explique sans doute cela.

    J’ai fini en pleurs à cause de cette thématique infantile mais je ne suis pas sure de me replonger dans une enquête d’Erlendur. Peut être à vois si le style s’affermit au fil du temps.

  • Sharon 30 mars 2019
    La femme en vert - Arnaldur Indridason

    La femme en vert est un des plus beaux romans policiers que j’ai lu. D’abord, grâce à son enquêteur, Erlendur. Sous ses dehors frustes se cache un homme d’une profonde sensibilité, un humaniste en somme. Eilenborg, son adjointe, n’est pas en reste, et ne ménage pas sa peine. J’aime nettement moins Sigurdur Oli, hautement désagréable, incapable de s’engager, et incapable de montrer un peu de compassion lors de l’enquête. Sa tête est farcie de clichés et il est incapable de passer outre.

    Le lecteur vit le temps de l’enquête en même temps que les trois enquêteurs. Aucune étape de la lente exhumation. du corps n’est passé sous silence. Les enquêteurs ne restent pas inactifs, et nous suivons pas à pas leur minutieuse recherche pour découvrir, avant même de pouvoir poser un nom sur le cadavre, qui pouvait bien vivre à cet endroit, nous racontant ainsi comment la seconde guerre mondiale a été vécue en Islande. Si la lenteur exagétrée peut agacer au point qu’Erlendur s’en plaint parfois, (autant dire que le lecteur se sent moins seul), il est le premier à reconnaître que la précipitation est mauvaise conseillère.

    Parallèlement à ce récit principal, nous découvrons la vie de Margareth et de ses trois enfants, Mikkelina, handicapée, Simon et Tomas. Margareth est mariée à Grimur, un monstre. La femme en vert explore les souffrances psychologiques qu’un être humain est capable d’infliger à un autre être humain. le mécanisme d’assujetissement est finement observé, les scènes sont à la limite de l’insoutenable tant je me suis sentie en empathie avec Margareth et ses enfants. Ces scènes sont d’autant plus angoissantes que le lecteur, en avance sur les enquêteurs, craint que le corps retrouvé n’appartienne à un membre de leur famille.
    Et le passé rejoint le présent quand apparaît la femme en vert. Des drames qu’Erlendur met à jour de cette époque troublée de la seconde guerre mondiale, restent trois survivantes, trois femmes qui ne se connaissent pas mais qui chacune a vécu avec un secret, différent. Si, pour l’une d’entre elles, le secret l’a rongé et lui a fait bâtir sa vie sur un mensonge, pour l’autre, qui porte la couleur de l’espoir, je suis heureuse qu’elle est vécue avec ce secret (et non contre), et qu’elle ait réussi à reconstruire sa vie.

    Comme si le roman n’était pas déjà assez émouvant, nous en apprenons un peu plus sur la vie personnel d’Erlendur . Au chevet de sa fille, plongée dans le comas, il lui parle, de son mariage, de sa relation avec leur mère, de ce que, peut-être, il aurait dû faire pour ne pas être séparé d’eux. Surtout, au détour d’un couloir, une rencontre nous révèle, avec infiniment de tact, un fait poignant qui éclaire en partie la personnalité d’Erlendur. Je ne crois pas me tromper en pensant qu’il en sera à nouveau question dans le prochain tome, que j’ai hâte de lire.

  • La Caverne du Polar 26 novembre 2018
    La femme en vert - Arnaldur Indridason

    La Femme en vert est le 4ème opus de la série mettant en scène le commissaire Erlendur Sveinsson. Je l’ai depuis longtemps dans ma PAL, il était temps de découvrir enfin le personnage créé par Arnaldur Indridason. C’est parti en direction de Reykjavik, la capitale de l’Islande.

    L’intrigue nous tient en haleine jusqu’à la dernière page concernant l’identité du corps. L’écriture est d’une sacrée fluidité, très noire mais d’une grande réalité. Cette façon de narrer et de mêler le passé au présent sans que cela ne gêne en rien la compréhension de l’histoire est parfaite. Il aborde très précisément la maltraitance dans le couple et cette peur au quotidien que vivent la femme et les enfants.

    L’auteur allie à la fois la haine, l’amour, la peur, le handicap, les relations entre les humains. Quant aux personnages, ils sont tous très attachant. En même temps on découvre un peu l’histoire de la seconde guerre mondiale en Islande et comment la capitale Reyjavik s’est transformé et agrandi durant toute ces années. Du grand Indridason, pour ce roman chargé en émotion.

    Ce roman je l’ai trouvé passionnant, ce n’est pas mon premier livre de cet auteur et ce ne sera pas le dernier.

  • 1001histoires 5 mars 2018
    La femme en vert - Arnaldur Indridason

    A la fin du mois d’avril qui suit "La cité des jarres" , voir ici http://cercle-du-polar-polaire.over-blog.com/2014/08/arnaldur-indridason.html . Un squelette enfoui est découvert sur le chantier de construction d’une maison d’habitation dans une banlieue éloignée de Reykjavik. L’exhumation est confiée à des archéologues . Le cadavre semble avoir été enseveli il y a entre cinquante et soixante dix ans. A l’époque les troupes anglaises et américaines avaient installées des baraquements non loin de là. Sur la colline il y avait seulement quelques maisons d’été , une a été détruite , elle était située près de groseilliers maintenant isolés dans la lande qui peu à peu s’urbanise. Alors que les travaux des archéologues s’éternisent , Erlendur , Elinborg et Sigurdur Oli commencent leur enquête auprès des personnes âgées susceptibles d’avoir connu l’époque présumée du meurtre. L’auteur réussit parfaitement à nous faire partager sa passion pour l’Islande et son Histoire récente : le passage de la comète de Halley en 1910 , la seconde guerre mondiale , l’exode rurale.

    Deux autres récits sont offerts au lecteur . Eva Lind , enceinte de sept mois est au plus mal , son bébé est mort. Son père Erlendur est à son chevet , le médecin lui a conseillé de parler à sa fille. Dans son comas , elle entend sans doute les voix et cela peut l’aider. Et puis il y a la narration d’une sordide histoire de violence conjugale , terme officiel qui ne retrace aucunement l’enfer physique et psychologique vécu par une mère et ses enfants . Dans les deux cas , impossibilité de communiquer. Les personnes violentées ne dénoncent pas leur calvaire. Erlendur ne parvient pas à parler à sa fille.

    Erlendur , Sigurdur Oli et Elinborg poursuivent leurs recherches . Les fausses pistes , les impasses sont nombreuses mais Erlendur est persuadé que la solution est liée à cette mystérieuse femme habillée en vert qui a été aperçue fréquemment près des groseillers.

    Peu à peu le récit des violences conjugales rejoint l’enquête de la police de Reykjavik . Peu à peu Erlendur va parler à sa fille et lui révéler son histoire d’homme à défaut d’avoir une histoire de père à raconter.

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