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Demain c’est loin - Jacky Schwartzmann

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Résumé :

« J’avais un nom de juif et une tête d’Arabe mais en fait j’étais normal. » Voici François Feldman, originaire de la cité des Buers à Lyon, plus tout à fait un gars des quartiers mais n’ayant jamais réussi non plus à se faire adopter des Lyonnais de souche, dont il ne partage ni les valeurs ni le compte épargne. Il est entre deux mondes, et ça le rend philosophe. Juliane, elle, c’est sa banquière. BCBG, rigide et totalement dénuée de sens de l’humour, lassée de renflouer le compte de François à coups de prêt. « Entre elle et moi, de sales petites bestioles ne cessaient de se reproduire et de pourrir notre relation, ces sales petites bêtes contre lesquelles nous ne sommes pas tous égaux : les agios. » Mais le rapport de force va s’inverser quand, un soir, François lui sauve la mise, un peu malgré lui, suite à un terrible accident. Et la banquière coincée flanquée du faux rebeu des cités de se retrouver dans une improbable cavale, à fuir à la fois la police et un caïd de banlieue qui a posé un contrat sur leurs têtes. Pour survivre, ils vont devoir laisser leurs préjugés au bord de la route, faire front commun. Et c’est loin d’être gagné.

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Vos #AvisPolar

  • jeanmid 14 avril 2020
    Demain c’est loin - Jacky Schwartzmann

    J’ai kiffé grave sa mère ce roman comme aurait pu, à juste titre, le dire François Feldman , le héros de "Demain c’est loin". François n’est ni juif, ni chanteur, ni arabe comme son physique pourrait le laisser penser, mais il a de la suite dans les idées. Difficile en effet de monter un business quand on vient d’une cité de la banlieue lyonnaise et ce n’est pas cette nouvelle idée géniale qui convaincra plus sa conseillère à la Banque Populaire , une certaine Juliane Bacardi ...Mais les circonstances de la vie et le hasard peuvent de temps en temps faire basculer certaines certitudes : comme celles de transformer ses meilleurs potes en ses pires ennemis ou de trouver des alliés inattendus dans l’adversité ...
    Ce roman est une vraie tuerie : un humour corrosif qui décape dans les coins et fait preuve d’un sacré bon sens. Un road movie qui dépote du début à la fin . Total no limit . Pas le temps de souffler avec Monsieur Jacky Schartzmann il carbure au speed. C’est drôle , sans tabous et ne devrait pas déplaire aux fans de l’humour vache à "La Daronne ".

  • Sylvie Belgrand 4 janvier 2020
    Demain c’est loin - Jacky Schwartzmann

    Court roman ( 192 pages ) mais bel exercice de style. Tout le charme de l’histoire est dans la gouaille, l’humour parfois du 3ème ou 4ème degré, qui donnent quelques scènes d’anthologie, cf le tatouage de Johnny. C’est aussi émaillé l’air de rien de réflexions pleines de bon sens sur l’état de notre société sans pour autant être moralisateur.
    Vous l’aurez compris, on n’est pas dans le politiquement correct, et c’est ça qui est bon !

    #JackySchwartzmann #Seuil #polar #lecture #livres #chroniques

    Le quatrième de couverture :
    " J’avais un nom de juif et une tête d’Arabe mais en fait j’étais normal. " Voici François Feldman, originaire de la cité des Buers à Lyon, plus tout à fait un gars des quartiers mais n’ayant jamais réussi non plus à se faire adopter des Lyonnais de souche, dont il ne partage ni les valeurs ni le compte épargne. Il est entre deux mondes, et ça le rend philosophe. Juliane, elle, c’est sa banquière. BCBG, rigide et totalement dénuée de sens de l’humour, lassée de renflouer le compte de François à coups de prêt. " Entre elle et moi, de sales petites bestioles ne cessaient de se reproduire et de pourrir notre relation, ces sales petites bêtes contre lesquelles nous ne sommes pas tous égaux : les agios. " Mais le rapport de force va s’inverser quand, un soir, François lui sauve la mise, un peu malgré lui, suite à un terrible accident. Et la banquière coincée flanquée du faux rebeu des cités de se retrouver dans une improbable cavale, à fuir à la fois la police et un caïd de banlieue qui a posé un contrat sur leurs têtes. Pour survivre, ils vont devoir laisser leurs préjugés au bord de la route, faire front commun. Et c’est loin d’être gagné.

    Avec Demain c’est loin, Jacky Schwartzmann signe un polar sous haute tension, violemment drôle et d’une belle humanité.

  • Cigale17 3 novembre 2019
    Demain c’est loin - Jacky Schwartzmann

    Quand on porte le nom d’un chanteur ringard qui, en plus, « sonne » juif et qu’on a la tête d’un arabe (« surtout dedans »), pas facile, facile de consolider un prêt bancaire avec une jolie petite bourgeoise des beaux quartiers ; alors en obtenir un nouveau, ça va être du sport… C’est rien de dire que François Feldman galère ! Et d’ailleurs, c’est un incompris. Il a monté une petite boîte de tee-shirts avec des slogans sympas qu’il compose lui-même, du style à faire les faire mourir de rire lui et ses potes, mais qui s’exportent mal au-delà du quartier des Buers, dans la presqu’île lyonnaise par exemple. Et quand Juliane Bacardi, sa conseillère financière, panique et renverse le neveu du caïd de la cité, les choses vont un peu se compliquer pour ce couple improbable.

    J’ai beaucoup aimé ce court roman policier, même si l’intrigue en est parfaitement loufoque : ce n’est pas là que réside son intérêt. La langue de Jacky Schwartzmann est colorée, incisive, vivante, ironique. Les situations dans lesquelles il place ses personnages les emmènent au bout d’eux-mêmes, là où ils n’envisageaient pas de se rendre. Impossible après ça de faire marche arrière. Si la langue est intéressante, le propos l’est aussi. On est bien loin de la rectitude politique, et l’auteur assène quelques vérités bien senties et pas très agréable à entendre… Difficile de le situer politiquement : il tape un peu dans tous les sens. Et surtout, il est drôle, vraiment drôle, parfois de manière tellement décalée qu’on est un peu gêné d’avoir ri…

  • dubonheurdelire 19 juillet 2019
    Demain c’est loin - Jacky Schwartzmann

    Les éditions Point ont organisé cet hiver un petit jeu pour gagner un mug ainsi qu’un livre et pour une fois j’ai eu un peu de chance et j’ai gagné Demain c’est loin et un sympathique mug rose ! C’est donc l’occasion de plonger dans un petit polar un peu déjanté !
    « « J’avais un nom de juif et une tête d’Arabe mais en fait j’étais normal. » Voici François Feldman, originaire de la cité des Buers à Lyon, plus tout à fait un gars des quartiers mais n’ayant jamais réussi non plus à se faire adopter des Lyonnais de souche, dont il ne partage ni les valeurs ni le compte épargne. Il est entre deux mondes, et ça le rend philosophe. Juliane, elle, c’est sa banquière. BCBG, rigide et totalement dénuée de sens de l’humour, lassée de renflouer le compte de François à coups de prêt. « Entre elle et moi, de sales petites bestioles ne cessaient de se reproduire et de pourrir notre relation, ces sales petites bêtes contre lesquelles nous ne sommes pas tous égaux : les agios. » Mais le rapport de force va s’inverser quand, un soir, François lui sauve la mise, un peu malgré lui, suite à un terrible accident. Et la banquière coincée flanquée du faux rebeu des cités de se retrouver dans une improbable cavale, à fuir à la fois la police et un caïd de banlieue qui a posé un contrat sur leurs têtes. Pour survivre, ils vont devoir laisser leurs préjugés au bord de la route, faire front commun. Et c’est loin d’être gagné.

    Pour tout vous avouer, au début j’ai été un peu déstabilisée…je ne m’attendais pas à ce ton cru, un peu vulgaire parfois et souvent très oralisé. La situation de départ est aussi un peu rocambolesque : une banquière qui écrase un petit délinquant des cités et qui s’enfuit grâce à un de ses clients et qui n’est franchement pas un modèle en terme d’épargnant ! Mais au fil des pages, on se laisse complètement embarquer dans cette histoire un peu folle et on s’attache aux personnages qui sont surprenants. La BCBG va se révéler être une jeune femme avec des valeurs et elle semble même prête à baisser sa garde et à faire tomber les apriori. Quant à François Feldman – déjà quel nom ! – il va lui aussi vous surprendre !
    En résumé : aux premiers abords un peu réticente, j’ai beaucoup ri en lisant ce polar qui sort de l’ordinaire !

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