Club Sang

Profitez de toutes nos fonctionnalités et bénéficiez de nos OFFRES EXCLUSIVES en vous inscrivant au CLUB.

JE REJOINS LE CLUB SANG

La voix - Arnaldur Indridason

Club Sang

Inscrivez-vous ou connectez-vous pour pouvoir participer au Club !

6 #AvisPolar
1 enquêteur
l'a vu/lu
1 enquêteur
Veut la voir/lire

Résumé :

Mauvaise publicité pour l’hôtel de luxe envahi par les touristes ! Le pantalon sur les chevilles, le Père Noël est retrouvé assassiné dans un sordide cagibi juste avant le traditionnel goûter d’enfants. La direction impose la discrétion, mais le commissaire Erlendur Sveinsson ne l’entend pas de cette oreille. Déprimé, assailli par des souvenirs d’enfance douloureux, il s’installe dans l’hôtel et en fouille obstinément les moindres recoins...

L'œuvre vous intéresse ? Achetez-la chez nos partenaires !

En librairie

Et chez vos libraires indépendants

  • Acheter sur Jesoutiensmalibrairie.com
  • Acheter sur lalibrairie.com
  • Acheter sur Place des libraires

Vos #AvisPolar

  • angelita 17 février 2024
    La voix - Arnaldur Indridason

    La voix d’Arnaldur Indridason, présentation
    Sa voix est prête à conquérir le monde. Il donne un récital.

    Jour 1 : ce sont les fêtes de Noël en Islande. Elinborg attend Oli et Erlendur dans un hôtel. Scène de crime dans un petit local. Le portier semble avoir été assassiné.

    Avis La voix d’Arnaldur Indridason
    Erlendur#8

    Quelques mois ont passé depuis la dernière enquête. Eva Lind est sortie du coma et de l’hôpital. Elle a passé sa convalescence chez son père Erlendur. Oli s’est marié et il tente d’avoir un enfant avec sa femme. On est à quelques jours de Noël et l’équipe est appelée dans le deuxième grand hôtel d’Islande où un homme a été retrouvé mort, lacéré de coups de couteau et le pénis découvert. Cet homme était le portier de l’hôtel. Il vivait dans un cagibi au sous-sol. Il faisait également le Père Noël pour les enfants des clients et du personnel. Dans sa pièce, il y avait très peu d’affaires. La police ne doit pas faire de vagues, être la plus discrète possible, ne pas fermer l’hôtel à cause de la grosse affluence des fêtes de Noël. Le directeur y tient. Mais tout le personnel doit être interrogé et Erlendur décide de s’installer dans une des chambres pour mener son enquête. Il refuse les invitations d’Oli et d’Elinborg pour passer les fêtes de Noël avec eux.

    Qui était réellement cet homme, Gudlaugur ? Portier, il avait été licencié et devait quitter les lieux. Les employés n’avaient aucune relation avec lui. La mort de cet homme les laisse indifférent. Au fur et à mesure de l’enquête, des interrogatoires des uns et des autres, l’équipe d’Erlendur se penche sur le passé de Gudlaugur. Ils arrivent à découvrir qu’il avait été un enfant star, un enfant à la voix pure, qui avait enregistré deux disques et qui allait devenir une star internationale, jusqu’au drame d’un concert. Gudlaugur n’a pas eu d’enfance. Il était seul et devait constamment travailler avec son père.

    Un roman qui retrace le harcèlement vécu par les enfants qui sont différents des autres. Ils doivent faire face à cette violence quotidienne qu’elle soit physique ou mentale. Une violence même au sein du cercle familial quand un des parents place tous ses espoirs dans son enfant car il a tout pour devenir une star, même si ce n’est que pour quelques mois. Devenu adolescent puis adulte, Gudlauger s’est rebellé contre son père, mais il a toujours voulu que ce dernier lui pardonne.

    C’est également un roman qui démontre que l’Islande n’est pas prête à accepter l’homosexualité, cette chose contre nature. Les homosexuels devaient se cacher, ne rien laisser paraître et étaient repoussés au sein du cercle familial. C’est un véritable déshonneur. Une partie est également consacrée à la pédophilie. Surtout lorsqu’un homme tient des propos sur ces petits garçons.

    Un roman également sur la cupidité quand il reste quelques exemplaires de disques qui peuvent valoir des millions. Chacun veut sa part du gâteau.

    Et dans tout ça, il y a Erlendur et son passé qui se rappelle à lui de plein fouet et auquel il ne peut toujours pas trouver les mots. Il y a toujours cette culpabilité du survivant en lui et se rappelle les heures, les jours, les mois après la disparition de son frère. Erlendur a endossé l’habit du survivant et se demande pourquoi lui. Il se rappelle tout ce qui est arrivé lors de la disparition de son frère de huit ans, qu’il n’a pas su protéger. Il se rappelle les dégâts que cela a causé à son père et également à sa mère. Mais Erlendur était seul pour affronter tout cela alors qu’il n’était qu’un enfant de 10 ans.

    Dans ce roman, Eva Lind est de plus en plus présente. Elle tente de s’en sortir, de ne pas replonger dans la drogue et surtout de faire le deuil de la mort de sa petite fille. Mais qu’est-ce que c’est dur pour elle. Même si Erlendur ne sait pas réellement comment lui parler, il se révèlera présent pour elle et s’ouvrira à elle.

    Arnaldur Indridason nous offre un bon polar nordique, toujours aussi bien écrit et qui plonge dans le passé des uns et des autres. Arnaldur Indridason détaille son pays l’Islande, un petit pays qui offre beaucoup de choses à ses voyageurs. Mais derrière, il suffit de gratter pour se rendre compte qu’il n’y fait pas si bon vivre. Comme toujours, prostitution et drogue tiennent une grande place dans ce roman. Il a été très long à se mettre en place et La voix a été plus intéressante à lire à partir des 3/4 du roman. Par conséquent, ce n’est pas un coup de coeur. Il m’en reste 7 à lire et j’espère retrouver ce qui m’a plu chez l’auteur.

  • angelita 17 février 2024
    La voix - Arnaldur Indridason

    La voix d’Arnaldur Indridason, présentation
    Sa voix est prête à conquérir le monde. Il donne un récital.

    Jour 1 : ce sont les fêtes de Noël en Islande. Elinborg attend Oli et Erlendur dans un hôtel. Scène de crime dans un petit local. Le portier semble avoir été assassiné.

    Avis La voix d’Arnaldur Indridason
    Erlendur#8

    Quelques mois ont passé depuis la dernière enquête. Eva Lind est sortie du coma et de l’hôpital. Elle a passé sa convalescence chez son père Erlendur. Oli s’est marié et il tente d’avoir un enfant avec sa femme. On est à quelques jours de Noël et l’équipe est appelée dans le deuxième grand hôtel d’Islande où un homme a été retrouvé mort, lacéré de coups de couteau et le pénis découvert. Cet homme était le portier de l’hôtel. Il vivait dans un cagibi au sous-sol. Il faisait également le Père Noël pour les enfants des clients et du personnel. Dans sa pièce, il y avait très peu d’affaires. La police ne doit pas faire de vagues, être la plus discrète possible, ne pas fermer l’hôtel à cause de la grosse affluence des fêtes de Noël. Le directeur y tient. Mais tout le personnel doit être interrogé et Erlendur décide de s’installer dans une des chambres pour mener son enquête. Il refuse les invitations d’Oli et d’Elinborg pour passer les fêtes de Noël avec eux.

    Qui était réellement cet homme, Gudlaugur ? Portier, il avait été licencié et devait quitter les lieux. Les employés n’avaient aucune relation avec lui. La mort de cet homme les laisse indifférent. Au fur et à mesure de l’enquête, des interrogatoires des uns et des autres, l’équipe d’Erlendur se penche sur le passé de Gudlaugur. Ils arrivent à découvrir qu’il avait été un enfant star, un enfant à la voix pure, qui avait enregistré deux disques et qui allait devenir une star internationale, jusqu’au drame d’un concert. Gudlaugur n’a pas eu d’enfance. Il était seul et devait constamment travailler avec son père.

    Un roman qui retrace le harcèlement vécu par les enfants qui sont différents des autres. Ils doivent faire face à cette violence quotidienne qu’elle soit physique ou mentale. Une violence même au sein du cercle familial quand un des parents place tous ses espoirs dans son enfant car il a tout pour devenir une star, même si ce n’est que pour quelques mois. Devenu adolescent puis adulte, Gudlauger s’est rebellé contre son père, mais il a toujours voulu que ce dernier lui pardonne.

    C’est également un roman qui démontre que l’Islande n’est pas prête à accepter l’homosexualité, cette chose contre nature. Les homosexuels devaient se cacher, ne rien laisser paraître et étaient repoussés au sein du cercle familial. C’est un véritable déshonneur. Une partie est également consacrée à la pédophilie. Surtout lorsqu’un homme tient des propos sur ces petits garçons.

    Un roman également sur la cupidité quand il reste quelques exemplaires de disques qui peuvent valoir des millions. Chacun veut sa part du gâteau.

    Et dans tout ça, il y a Erlendur et son passé qui se rappelle à lui de plein fouet et auquel il ne peut toujours pas trouver les mots. Il y a toujours cette culpabilité du survivant en lui et se rappelle les heures, les jours, les mois après la disparition de son frère. Erlendur a endossé l’habit du survivant et se demande pourquoi lui. Il se rappelle tout ce qui est arrivé lors de la disparition de son frère de huit ans, qu’il n’a pas su protéger. Il se rappelle les dégâts que cela a causé à son père et également à sa mère. Mais Erlendur était seul pour affronter tout cela alors qu’il n’était qu’un enfant de 10 ans.

    Dans ce roman, Eva Lind est de plus en plus présente. Elle tente de s’en sortir, de ne pas replonger dans la drogue et surtout de faire le deuil de la mort de sa petite fille. Mais qu’est-ce que c’est dur pour elle. Même si Erlendur ne sait pas réellement comment lui parler, il se révèlera présent pour elle et s’ouvrira à elle.

    Arnaldur Indridason nous offre un bon polar nordique, toujours aussi bien écrit et qui plonge dans le passé des uns et des autres. Arnaldur Indridason détaille son pays l’Islande, un petit pays qui offre beaucoup de choses à ses voyageurs. Mais derrière, il suffit de gratter pour se rendre compte qu’il n’y fait pas si bon vivre. Comme toujours, prostitution et drogue tiennent une grande place dans ce roman. Il a été très long à se mettre en place et La voix a été plus intéressante à lire à partir des 3/4 du roman. Par conséquent, ce n’est pas un coup de coeur. Il m’en reste 7 à lire et j’espère retrouver ce qui m’a plu chez l’auteur.

  • Marielle69 10 août 2023
    Marathon du polar 2023, équipe SERIALLECTRICES
    La voix - Arnaldur Indridason

    Arnaldur Indridason, un de mes auteurs nordiques préférés :-)
    Une fois que vous aurez réussi à ne pas mélenager les personnages avec leurs noms compliqués pour nous sudistes, lorsque vous arriverez à vous repérer dans les différents lieux... vous allez adorer vous aussi cet auteur et surtout ce roman qui est mon Number One.
    Il y a beaucoup d’humanité dans ce roman policier malgré les sujets traités comme l’homosexualité, le harcèlement et la maltraitance des enfants, le tout au sein de la société islandaise.
    Ici, pas de cadavres à profusion (un seul suffit, et pas des moindres), pas de courses-poursuistes rocambolesques, juste une enquête simple, efficace avec la magnifique plume d’Arnaldur Indridason.

  • stokely 29 octobre 2021
    La voix - Arnaldur Indridason

    Je pense avoir retrouvé à nouveau un nouvel auteur que j’apprécie beaucoup dans la littérature nordique et pourtant ce n’est pas le genre de thriller après lequel je cours le plus, mais Indridason est en train de devenir un auteur dont j’apprécie de plus en plus les ouvrages.

    Ici la quatrième de couverture indiquant un meurtre d’un homme déguisé en Père Noël est poignardé en plein coeur dans le sous sol d’un hôtel, celui est également retrouvé le sexe à l’air, cela semblant glauque à souhait j’ai foncé dans ma lecture.

    Et j’aime toujours autant l’écriture de l’auteur, je trouve certaines répliques vraiment cyniques à souhait et cela me plait beaucoup, ici dans l’enquête qui va se dérouler dans l’hôtel plusieurs sujets sont évoqués comme la prostitution, le chant, l’homosexualité et l’enquête sur le passé de la victime est vraiment très intéressante.

    J’ai dévoré ce récit et je suis très heureuse d’avoir la suite de cette saga dans ma bibliothèque, ils sont cependant resté un certains nombres d’années sagement à m’attendre dû à mon appréhension sur le polar nordique.

    J’ai aimé ici aussi le contraste avec la période ou se déroule le récit durant la période des fêtes de Noël et ce meurtre plus que sordide.

  • Sharon 30 mars 2019
    La voix - Arnaldur Indridason

    Noël approche. La neige remplace la pluie incessante. La famille est au coeur de l’intrigue. Famille aimante pour Elinborg, qui déploie ses talents de cuisinière avec amour pour sa grande tribu. Famille à construire pour Sigurdur Oli, plus sympathique dans ce volume car nettement moins égocentré. Sa vie de couple est loin d’être rose et les scènes incessantes de sa femme sont loin de garantir une bonne entente. Famille à définir et à reconstruire pour Erlendur et sa fille. L’enquête, par une de ses coïncidences qui font la vie même, se remémore l’épisode douloureux de son enfance qui a construit l’homme qu’il est devenu. Il se livre enfin, à sa fille d’abord, parce qu’elle a frôlé la mort, et à une quasi-inconnue (même en Islande, il semble que cela soit plus facile de se livrer intimement à quelqu’un qui ne vous connaît pas). Si Eva Lind parle toujours avec ce ton inimitable, mélange de franchise, de grossièreté et de désinvolture, elle paraît véritablement touchée par les épreuves qu’elle a traversé (et que l’auteur nous fait partager). Elle est prête à s’en sortir, puisqu’elle reconnaît ses difficultés et ses échecs. Sa lucidité s’étend à ce qui l’entoure, et elle aide son père dans son enquête.
    Même le crime sordide sur lequel enquête Erlendur reste un crime qui puise ses racines dans une histoire familiale complexe. La victime est un ancien enfant prodige avec lequel sa famille avait rompu trente ans plus tôt. La voix, qui donne son titre au roman est la sienne, enfant, capable même de bouleverser Erlendur. le thème de l’enfant prodige, s’il semble nous ramener implicitement au passé (voir le poster de Shirley Temple) est pourtant très actuel. Combien d’enfants sont mis sur le devant de la scène pour compenser les ambitions déçues de leurs parents et se faire aimer d’eux ? Beaucoup. Si la maltraitance est ici morale, la pédophile est néanmoins évoqué, par la figure du collectionneur trouble Henry Whapshott.
    Le commissaire doit faire face à des résistances, de la part de cette famille qui ne veut pas se livrer et de la part du grand hôtel, qui a ses petits et grands secrets à cacher. A cette affaire se superpose une autre : un procès pour maltraitance d’enfants est sur le point de s’ouvrir, et bouleverse Elinborg, qui a enquêté et craint de ne pas avoir suffisamment d’éléments pour faire condamner le père maltraitant. Ces deux affaires ont en commun la nécessité pour les enquêteurs d’aller au-delà des apparences et de découvrir une vérité inattendue.

  • 1001histoires 28 mars 2019
    La voix - Arnaldur Indridason

    La voix : publié en Islande sous le titre original de "Röddin" en 2002.

    Presque huit mois après l’hospitalisation d’Eva Lind ( voir "La femme en vert" ) une nouvelle enquête est confiée à Erlendur. Noël approche , un corps est retrouvé poignardé dans les sous-sols d’un grand hôtel de Reijkjavik. Il s’agit de Gudlaugur, il occuait un emploi de portier mais il était aussi l’homme à tout faire de l’hôtel. Il s’apprêtait à faire le Père Noël pour les enfants du personnel de l’hôtel. Tout le monde était habitué à le voir mais personne ne le connaissait. Cela faisait vingt ans qu’il vivait dans un cagibi qui lui servait de chambre. Le personel de de l’hôtel est comme dénué de sentiments et de compassion envers la victime. Certains s’inquiètent plus de la réputation de l’établissement que du sort de Gudlaugur.

    Erlendur prend une chambre dans l’hôtel pour s’immerger sur les lieux du crime au milieu des clients et du personnel. Sigurdur Oli s’occupe des recherches extérieures , notamment de retrouver la famille de Gudlaugur. Elinborg doit se consacrer à une autre enquête, une affaire émouvante de violence sur un enfant ; le lecteur et Erlendur sont tenus informé de cette tragédie jusqu’à son épilogue surprenant.

    Erlendur s’efforce de retracer la vie de Gudlaugur . Pourquoi menait-il une vie si anonyme et solitaire ? Quel a été son enfance ? Pourquoi avait-il choisi comme unique décoration de sa minuscule chambre , une vieille affiche représentant l’enfant-star Shirley Temple dans le film "The Little Princess".

    Le passé de la victime est relaté au moyen de flash-back mis en évidence dans des paragraphes imprimés en italiques ( comme un clin d’oeil de l’auteur qui a été critique cinématographique ). Le lecteur voit défiler les principaux épisodes de la vie de Gudlaugur , jusqu’à sa mort dans des conditions inattendues.

    L’enfance est le thème central de ce roman qui permet de découvrir une partie de la jeunesse d’Erlendur à travers les confidences qu’il fait à Valgerdur , une femme membre de la Brigade scientifique de la Police et dont il tombe amoureux. Pris dans une tempête de neige avec son frère alors qu’il avait dix ans , Erlendur échappa de peu à la mort mais il lacha la main de son petit frère qui ne fut jamais retrouvé malgré des recherches assidues. Pourquoi , lui Erlendur a t-il survécu et pas son frère ? Il est hanté par cette question.

    Erlendur ne quitte pas l’hôtel durant toute l’enquête. Comment ne pas être persuadé que la solution est là où Gudlaugur a passé les vingt dernières années de sa vie . Un seul lien relie Erlendur avec l’extérieur , Eva Lind lui rend visite régulièrement et il la voit peu à peu sombrer de nouveau dans la drogue.

Votre #AvisPolar

Votre note :
Forum sur abonnement

Pour participer à ce forum, vous devez vous enregistrer au préalable. Merci d’indiquer ci-dessous l’identifiant personnel qui vous a été fourni. Si vous n’êtes pas enregistré, vous devez vous inscrire.

ConnexionS’inscriremot de passe oublié ?

Bepolar.fr respecte les droits d’auteur et s’est toujours engagé à être rigoureux sur ce point, dans le respect du travail des artistes que nous cherchons à valoriser. Les photos sont utilisées à des fins illustratives et non dans un but d’exploitation commerciale. et nous veillons à n’illustrer nos articles qu’avec des photos fournis dans les dossiers de presse prévues pour cette utilisation. Cependant, si vous, lecteur - anonyme, distributeur, attaché de presse, artiste, photographe constatez qu’une photo est diffusée sur Bepolar.fr alors que les droits ne sont pas respectés, ayez la gentillesse de contacter la rédaction. Nous nous engageons à retirer toutes photos litigieuses. Merci pour votre compréhension.