Club Sang

Profitez de toutes nos fonctionnalités et bénéficiez de nos OFFRES EXCLUSIVES en vous inscrivant au CLUB.

JE REJOINS LE CLUB SANG

La porte interdite - Dean Koontz

Club Sang

Inscrivez-vous ou connectez-vous pour pouvoir participer au Club !

4 #AvisPolar
3 enquêteurs
l'ont vu/lu
0 enquêteur
Veut la voir/lire

Résumé :

Le quatrième volet des aventures de Jane Hawk, mue par la soif de justice et de vengeance, par Dean Koontz, l’un des auteurs américains de thrillers les plus lus au monde.
" Je viendrai vous chercher. Rien ne m’arrêtera ! "

Jane Hawk, que la presse a surnommée le " Beau Monstre ", vient d’être inculpée pour espionnage, trahison et meurtres. Autant de crimes dont elle est innocente...

L’organisation secrète aux nombreuses ramifications qu’elle combat a décidé de resserrer son étau. Mais Jane, qui se rapproche du cerveau du complot, contre-attaque. Ses ennemis vont bientôt apprendre le sens du mot " peur ".

Leur riposte ne se fait pas attendre. De nouvelles menaces se dressent devant elle. Objectif : la neutraliser. Et Travis, son fils âgé de cinq ans, est enlevé.

S’engage alors un combat sans merci entre Jane et l’organisation secrète, qui redoute que la porte interdite soit franchie...

L'œuvre vous intéresse ? Achetez-la chez nos partenaires !

En librairie

Et chez vos libraires indépendants

  • Acheter sur Jesoutiensmalibrairie.com
  • Acheter sur lalibrairie.com
  • Acheter sur Place des libraires

Vos #AvisPolar

  • Clem_YCR 12 avril 2022
    La porte interdite - Dean Koontz

    Déjà le quatrième tome de la série Jane Hawk, mon rendez-vous incontournable de début d’année ; l’avant dernier tome avant que Jane ne tire sa révérence. Si vous n’avez pas lu les premiers livres de la série, cet avis risque de contenir des révélations.

    A chaque nouvel opus, je crains que l’on ne finisse par tourner en rond ; à chaque nouvel opus, j’ai peur que l’intrigue ne perde de son intérêt. Si les ficelles de Dean Koontz parfois un peu grosses et ses personnages caricaturaux (spécialement côté "vilains"), le récit est toujours hyper addictif et La porte interdite est un vrai page-turner. Par contre, certains passages sont un peu longuets et il y a pas mal de redites (au niveau du passif des "vilains" justement), ce qui a pour effet d’être rébarbatif et de nous confirmer qu’il est tant que la fin arrive !

    Ce volet est à nouveau un beau pavé, découpé en plusieurs grandes parties ; les chapitres sont alignés les uns à la suite des autres, sans aucune séparation, ce qui donne une impression de densité. Ici, Jane, l’héroïne, est moins présente que dans les tomes précédents ; de longs passages sont consacrés à des personnages secondaires, dont certains sont des petits nouveaux.

    La conspiration des Arcadiens prend de l’ampleur (si l’on peut dire) : Jane, surnommée le Beau Monstre par les médias est devenue l’ennemi public numéro 1. Une campagne médiatique est lancée dans le but de la dénigrer, comme si elle commençait réellement à effrayer l’organisation. J’ai beaucoup aimé les parties consacrées aux réactions des proches de Jane, proches que l’on cherche à atteindre pour faire pression sur la jeune-femme.

    Comme toujours, l’auteur creuse le passé et les sentiments des personnages, nous expose de manière claire et concise ce qu’il se passe dans leur tête, comme un déroulé parfaitement millimétré. Cela donne de la profondeur aux protagonistes et du rythme du récit. A mon sens, trois se démarquent, et deux d’entre eux sont des enfants : Laurie, la fille ainée d’amis des beaux-parents de Jane, qui se retrouve prise pour cible par une Arcadienne et découvre une partie de la vérité ; Travis, le fils de Jane, et Cornell, qui a recueilli ce dernier. Handicapé par son incapacité à vivre en société, Cornell se dépasse pour protéger Travis et les passages entre les deux personnages sont parmi mes préférés.

    Le récit de Dean Koontz reste implacable, il ne fait pas dans les sentiments et n’épargne aucun innocent. Travis apporte un peu de douceur et d’innocence dans ce récit où la folie s’est invitée depuis bien longtemps. Nous avons la possibilité de le constater à travers le comportement de plusieurs personnages clés (ou non) de la révolution Arcadienne, dont la façon de penser est vraiment effrayante et parfois, on ne peut s’empêcher de le penser, idiote. Peu semblent sains d’esprit et pourtant, c’est entre leurs mains que repose un pouvoir apocalyptique. Des parallèles sont faits entres les actes des Arcadiens et ceux d’Hitler, notamment à travers l’un des alliés de Jane qui a séjourné dans un camp de concentration.

    Petite nouveauté ici ! Si Jane a toujours su compter quelques alliés, auxquels elle ne faisait appel qu’en cas d’extrême urgence, pour ne pas les mettre en danger, ceux-ci semblent être de plus en plus nombreux et commencent à agir dans l’ombre. Une révolution silencieuse contre la révolution.

    Les scènes d’asservissement mental sont toujours aussi glaçantes et extrêmement violentes. Dean Koontz a cette capacité de décrire les choses avec un grand réalisme, quand bien même cela semble souvent inconcevable.

    L’intrigue dure à peine quelques jours, nous donnant l’impression d’une course contre la montre et, nous n’apprenons finalement pas grand chose de nouveau. Après les révélations de L’escalier du diable, seuls les sous-fifres des Arcadiens sont évoqués ici et l’intrigue se consacre entièrement à une chasse à l’homme (ou plutôt à la femme), laissant de côté les instigateurs de ce vaste complot. Jane semble, quant à elle, manifester quelques signes de faiblesse et arriver au bout de sa force mentale, même si elle n’en montre rien.

    Je suis curieuse et impatiente de découvrir le dernier tome, avec, je l’avoue, l’inquiétude de rester sur ma faim.

  • ludi33 23 février 2021
    La porte interdite - Dean Koontz

    Mais quelle série ! Après la fin du tome 3 qui nous laissait sur un suspense haletant, j’ai enfin pu lire la suite des aventures de Jane Hawk. Ici, la jeune femme est un peu moins présente, au profit d’autres personnages, dont certains arcadiens que l’on suit dans leur traque. Occasion nous est alors donnée de voir la folie qui les habite, mais aussi leur orgueil qui leur fait croire qu’ils sont au dessus du commun des mortels. On retrouve également avec plaisir certains amis de Jane, toujours prêts à l’aider dans sa quête.
    Grâce à des chapitres courts, qui rythment le récit et alternent les points de vue, on peine à lâcher ce livre avant la fin.
    Encore un fois, Dean Koontz nous régale avec un tome prenant et plein de suspense, où les personnages se croisent et Jane comme son fils risquent à tout moment d’être découvert par les Arcadiens.
    En attendant le cinquième (et dernier) tome, je remercie Mylène des éditions de l’Archipel et Netgalley pour cette lecture haletante.

  • Le Monde de Marie 11 février 2021
    La porte interdite - Dean Koontz

    On retrouve Jane où on l’a laissée. Son fils n’est plus en sécurité et elle doit absolument le rejoindre. Un sentiment d’extrême urgence qui va nous prendre les tripes dès les premières pages et ne pas nous lâcher avant la toute fin. Une fin qui, je vous l’annonce déjà, ne marque pas encore le dénouement de son combat.

    Des chapitres courts dans lesquels on va pouvoir suivre le déroulement des faits à tout les niveaux. Que ce soit Jane, Travis ou encore plusieurs équipes d’Arcadiens, l’auteur ne nous laisse pas le temps de reprendre notre souffle. J’ai parfois trouvé Jane absente durant de longues périodes. Je n’avais qu’une hâte, celle de savoir où elle aussi en était. Le suspense se faisait intense.

    Dans ce quatrième volet on va découvrir que, outre le fait que les personnes employées par les Arcadiens sont bien souvent folles elles-mêmes (pour un personnage en particulier j’ai adoré l’ironie et l’humour noir autour de sa psychose), le sérum qu’ils ont développé peut, une fois injecté, tourner en leur défaveur. Le corps humain et plein de surprises et le lecteur va assister à un véritable chaos. D’où la signification ici du titre même de l’ouvrage.

    Une saga qui ne cesse de me séduire et de me surprendre. J’ai été avide en tournant ses pages qui ont filées bien trop vite. Vivement la suite.

  • LesRêveriesd’Isis 6 février 2021
    La porte interdite - Dean Koontz

    Cela fait quelques temps déjà que je suis la saga Jane Hawk de Dean Koontz. J’avais adoré La Chambre des murmures, j’avais été emportée par L’Escalier du diable et je me faisais donc une joie de plonger vers La Porte interdite. Et je n’ai pas boudé mon plaisir. Si vous n’avez pas lu L’Escalier du diable ou les tomes précédents, et que vous souhaitez le faire, je vous déconseille de lire la chronique en entier, je ne voudrais pas vous gâcher la découverte.

    Nous reprenons les aventures de Jane exactement là où nous les avions laissées : elle, tout juste rescapée d’une confrontation violente, son fils en proie aux tourments puisque les personnes chargées de sa sécurité ont été tuées et qu’il est donc sans protection. Cette entrée en matière crée bien entendu une tension intense dès le début du roman. Le lecteur perçoit le sentiment d’urgence qui est imprimé et se montre des plus attentifs. Cela offre un début à l’intrigue resserrée sur l’essentiel : l’auteur ne perd pas de temps à nous rappeler les choses longuement, il glisse les des allusions aux faits importants du tome précédent et nous permet ainsi d’embarquer dans une folle équipée – sans nous sentir perdus. Il m’a fallu l’espace d’une vingtaine de pages pour replacer tout le contexte dans ma tête, alors que j’avais dévoré le tome précédent il y a un an. Ainsi, la gestion de la jonction entre les tomes est presque parfaite… je dis presque seulement parce qu’il y a parfois quelques redites dans les rappels concernant les personnages. Vu la multitude d’individus qui poursuivent Jane, ce n’est pas forcément superflu, mais lorsque le rappel apparait deux fois, je trouve que l’un des deux est en trop. J’ai bien conscience de pinailler, mais je me suis vue lever les yeux au ciel une fois ou deux parce que je souvenais très bien de qui on me parlait et que je me sentais infantilisée par ce deuxième rappel.

    Dans la Porte interdite, ne vous attendez pas à la résolution de l’histoire de Jane. C’est peut être le deuxième chose qui m’a frustrée – alors que j’étais prévenue ! Ici, vous trouverez une course contre la montre pour sauver un enfant et pour échapper à un piège aussi cruel que pervers. Tous savent dans quelle région se trouve Travis : Jane et les Arcadiens convergent vers ce lieu, pour mettre la main sur lui. Les Arcadiens déploient leur toile, attirant la mère désespérée par la menace sourde qu’ils laissent planer, ils se constituent une petite armée de Modifiés pour servir leurs plans et démontrent une fois de plus qu’ils ont gangréné chaque sphère de la société. De son côté, Jane s’entoure de personnes rencontrées au gré de ses mésaventures : des belles personnes qui partagent le goût de la Justice et de la Liberté. Cela devient le moineau becquetant le chasseur (pour parodier Hugo) : trois personnes chargeant un contingent avec pour seule armure quelques armes, une détermination sans faille et le sentiment de bien agir.

    Finalement, ce tome est comme un temps suspendu. En réalité, l’action qui se passe entre ces pages est condensée sur quelques jours – signe que l’action est trépidante – et permet surtout de redistribuer les cartes entre belligérants. Temps suspendu ne veut donc pas dire ennui et manque d’actions. En fait, avec La Porte interdite, une faille dans le plan des Arcadiens se dessine : certains Modifiés ouvrent la Porte interdite et la chambre des murmures devient l’antre du diable. Les créatures peuvent aussi se rebeller et mettre à mal le plan de leur créateur. Ce ressort de l’intrigue redynamise le récit et permet d’éviter que ce volume ne soit qu’une énième chasse à l’homme. Arrivé en fin de tome, la situation de Jane n’est pas radicalement transformée mais l’équilibre des forces en présence laisse entrapercevoir une lutte intéressante dans la suite.

    Dans ce roman, la présence de Jane se fait un peu plus diffuse. Nous la suivons bien sûr, mais l’auteur s’attache aussi à nous montrer – avec des détails peu flatteurs – les personnes qui appartiennent aux Arcadiens. Nul doute que ces personnalités nous font frémir et qu’elles apportent un petit plus au roman en détaillant les tenants et les aboutissants de cette révolution. Nous découvrons des personnes égocentriques, avides de pouvoir et de reconnaissance, des personnes clairement instables à qui l’on confie un pouvoir inquiétant. Ces à-côtés dressent un portrait sombre des Arcadiens et légitime une fois de plus le combat de Jane. De plus, le duo Cornell – Travis est très présent pour notre plus grand bonheur. Il ajoute un zeste de douceur, de bienveillance et d’humanité au beau milieu de la force brute, de la violence et de l’horreur. La relation que tissent Cornell et Travis est très touchante. C’est l’élément que j’ai préféré dans ce volume et j’en redemande tant ce duo fonctionne à merveille. Chacun apprend de l’autre, grandit, évolue en un élégant partage empli de bonté.

    Ainsi, La Porte interdite a le défaut de ses qualités. C’est un roman frustrant parce qu’arrivés au terme, nous ne pouvons guère savoir si Jane s’en sortira, mais il est aussi trépidant et intéressant puisqu’il ajoute de nouveaux pions sur l’échiquier et redistribue les cartes, donnant de nouveaux atouts à Jane tout en nouant une belle amitié qui soulage un peu le cœur du lecteur.

Votre #AvisPolar

Votre note :
Forum sur abonnement

Pour participer à ce forum, vous devez vous enregistrer au préalable. Merci d’indiquer ci-dessous l’identifiant personnel qui vous a été fourni. Si vous n’êtes pas enregistré, vous devez vous inscrire.

ConnexionS’inscriremot de passe oublié ?

Bepolar.fr respecte les droits d’auteur et s’est toujours engagé à être rigoureux sur ce point, dans le respect du travail des artistes que nous cherchons à valoriser. Les photos sont utilisées à des fins illustratives et non dans un but d’exploitation commerciale. et nous veillons à n’illustrer nos articles qu’avec des photos fournis dans les dossiers de presse prévues pour cette utilisation. Cependant, si vous, lecteur - anonyme, distributeur, attaché de presse, artiste, photographe constatez qu’une photo est diffusée sur Bepolar.fr alors que les droits ne sont pas respectés, ayez la gentillesse de contacter la rédaction. Nous nous engageons à retirer toutes photos litigieuses. Merci pour votre compréhension.