- Editeurs : Kate Collins, Les Escales éditions
- Date de sortie : 26 septembre 2024
- EAN : 9782365698368
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Résumé :
Une maison idéale pour élever des enfants... Ou pas.
2017. Le mari d’Orla a insisté pour que leur famille s’installe dans une vieille demeure sur les falaises du Dorset. Mais, très vite, c’est seule avec ses enfants qu’Orla passe la plupart de ses journées. Dans cette maison qui lui est si peu familière, elle commence à entendre des bruits étranges, des portes qui claquent, et son fils discuter avec un ami imaginaire.
1976. Lydia est employée en tant que gouvernante par une veuve dépassée. Elle s’occupe avec amour des enfants comme s’ils étaient les siens. Jusqu’à ce que des événements incompréhensibles troublent la tranquillité du foyer.
Personne ne croit Orla et Lydia quand elles racontent ce qu’elles vivent, mais elles sont, elles, bien décidées à tout faire pour protéger les enfants du mal qu’elles sentent rôder.
spitfire89 13 décembre 2024
La maison idéale - Kate Collins
Premier roman de Kate Collins, thriller gothique fantastique, l’ambiance est oppressante, mystérieuse, effrayante. Les personnages sont complexes mais pas attachants. Un récit avec une double temporalité. Maison hanté, Amour, Maternité, Art, Famille et Secrets. Une plume addictive et fluide, une lecture prenante mais pas aussi sombre ou horrifiant que j’imaginé.
"Personne ne vous dit jamais à quel point le coup de foudre peut devenir étouffant. Vous devez renoncer à peser le pour et le contre, reculer semble impossible. Il vous engage dans une voie que vous n’aviez peut-être pas envisagée ni voulue, et la décision de vous en détourner paraît à peine moins douloureuse que celle de suivre le mouvement. Aussi, quand Nick lui avait annoncé son intention de l’épouser, Orla s’était-elle sentie à la fois piégée et comblée par la certitude qu’il avait de pouvoir bâtir un avenir avec elle."
"Il est possible de trop aimer. Il est même possible d’aimer jusqu’à la mort. Sam avait 7 semaines quand, un soir où il hurlait à s’en rendre écarlate, en proie à cette fureur existentielle propre aux bébés, Orla McGrath, penchée sur son berceau, songea : Je t’aime tellement que je pourrais te tuer. Cette pensée ne fit que lui traverser l’esprit avant de se dissiper dans la nuit humide mais, au fil des ans, elle se rappellerait parfois l’avoir eue et un flot d’adrénaline déferlerait en elle."