Club Sang

Profitez de toutes nos fonctionnalités et bénéficiez de nos OFFRES EXCLUSIVES en vous inscrivant au CLUB.

JE REJOINS LE CLUB SANG

La machination - Jeremy Ergas

Club Sang

Inscrivez-vous ou connectez-vous pour pouvoir participer au Club !

7 #AvisPolar
1 enquêteur
l'a vu/lu
0 enquêteur
Veut la voir/lire

Résumé :

Un meurtrier à Genève... Un premier thriller glaçant.
Une nuit de novembre à Genève, un jeune écrivain en vogue, Benjamin Novelle, est torturé et tué au retour d’une soirée littéraire. Le lendemain, des promeneurs découvrent son corps, un texte est gravé dans le dos en lettres de sang avec une précision spectaculaire. C’est une liste des "Sept Commandements de l’Écriture’ que Novelle a enfreints.
Le meurtre fait la une des journaux et la peur s’installe dans la ville, d’autant qu’un éditeur et un agent littéraire célèbres sont aussi retrouvés assassinés au cours des semaines qui suivent. Sur leurs dos, d’autres commandements ont été inscrits à l’aide d’une machine d’exécution semblable à celle de La Colonie pénitentiaire de Kafka.
L’objectif du tueur est maintenant clair : par ses actes de terrorisme littéraire, il veut restaurer la grandeur passée du livre et l’empêcher de devenir un vulgaire objet de consommation. Reste à déterminer le coupable parmi les écrivains genevois suspectés...

L'œuvre vous intéresse ? Achetez-la chez nos partenaires !

En librairie

Et chez vos libraires indépendants

  • Acheter sur Jesoutiensmalibrairie.com
  • Acheter sur lalibrairie.com
  • Acheter sur Place des libraires

Vos #AvisPolar

  • Le Boobooker 10 juillet 2019
    La machination - Jeremy Ergas

    PAPAPAPAPA ! Quel thriller de folie les ami(e)s ! Pour un premier livre, c’est pas seulement réussi, c’est plus que réussi, c’est abouti, travaillé, original tant dans la forme que dans le fond, et écrit de très belle manière 😁
    .
    Le pitch rapidement : Un écrivain est assassiné, dans son dos un texte gravé en lettres de sang, la liste des Sept Commandements de l’Ecrivain. Cette affaire très médiatique va entraîner d’autres meurtres tout aussi macabres. Le reste, à vous de vous lancer et de découvrir ce livre 😋
    .
    Je n’ai jamais lu un livre comme celui-ci, tant au niveau scénario que dans la manière dont l’auteur nous entraîne dans cette histoire. Ce n’est pas seulement un thriller osé, c’est aussi une satyre sur le monde du livre, sur l’abrutisation des masses, le non respect des auteurs inconnus mais qui ont un talent indéniable. C’est pas seulement un thriller ni une satyre, c’est aussi un livre qui dénonce les comportements individualistes de la société, les magouilles, les gens qui ont du pouvoir mais qui vivent sans penser aux conséquences de leur parole et de leur actions.
    .
    Une oeuvre engagée, construite de manière à nous faire réfléchir, non seulement sur nous, mais aussi sur les autres, sur le monde qui nous entoure. Tout ça très implicitement parfois, d’autres fois à travers des dialogues ou des flashbacks coup de poing. Le suspense est présent dans chaque page, l’enquête principale est menée tambours battants tout en prenant le temps de développer tous les points obscurs de celle-ci. Bref c’est un vrai vrai coup de coeur ❤
    .
    La couverture prend très vite tout son sens, frissons garantis croyez moi de ce côté là. L’auteur a un talent fou, et j’ai hâte de pouvoir lire un autre roman qui confirmera très certainement tout le bien que je pense déjà.

  • lecturesdudimanche 6 avril 2019
    La machination - Jeremy Ergas

    Quand un écrivain à la mode est retrouvé exposé mort nu et avec une liste des « Sept Commandements de l’Ecriture » gravés sur le corps, c’est l’émoi à Genève ! Pour la presse autant que pour la police, ce meurtre spectaculaire est une énigme, sauf peut-être pour le journaliste Jean Cros, qui fait très vite le lien avec « La Colonie Pénitentiaire » de Kafka. Et lorsque l’assassin s’en prend à un éditeur et à un agent littéraire, ses intentions se confirment, et avec elles naît la peur…

    Honnêtement, j’avais de grosses attentes sur ce livre, tout d’abord grâce au résumé, et ensuite parce que le premier chapitre m’a immédiatement plongée dans le bain avec une force incroyable, entrant dans la tête du tueur en pleine « création ».

    Malheureusement, le soufflé est assez vite retombé. Non seulement, nous n’avons plus eu d’incursions dans la tête de l’assassin, mais ensuite, je n’ai pas aimé la manière qu’a eue l’écrivain de tourner en ridicule les autorités. Entre l’adjoint qui crie au coupable à chaque fois qu’il rencontre un témoin et le procureur qui se comporte comme un roquet enragé, j’ai eu du mal à accepter qu’on tourne ainsi en ridicule des métiers qui, certes, ne regorgent pas que de blanches colombes, mais quand même ! Par moment, Mister Bean n’aurait pas eu moins de crédibilité !

    Durant l’enquête, on s’approche également de personnalités décalées, allant du fils à maman au bourgeois désenchanté. Et encore une fois, la palette de personnage m’a paru trop forcée, trop caricaturale. Le tout sur fond d’une explication pas totalement convaincante, je crains que pour moi, le flop ait été inévitable !

  • Booksnpics 27 mars 2019
    La machination - Jeremy Ergas

    Avec ce premier roman, Jeremy Ergas nous plonge dans un récit noir et captivant !
    Benjamin Novelle, « génie précoce » de la littérature genevoise, est assassiné au retour d’une soirée littéraire. Sur son dos, on retrouve les « Sept Commandements de l’Ecriture » gravés à l’aide d’une machine directement inspirée de « La Colonie Pénitentiaire » de Kafka (publiée pour la première fois en 1919). Il n’en faut pas plus à l’auteur, pour nous emmener au coeur de l’enquête.
    J’ai beaucoup aimé le rythme de la narration, cette alternance entre les personnages et les récits qui apporte cette dynamique propre aux thrillers et qui m’a fait douter de l’identité du meurtrier jusqu’au dernier moment. A chaque fois, mes certitudes se voyaient refoulées. Chapeau !
    J’ai beaucoup aimé aussi cette association de personnages si différents les uns des autres apportant chacun leur pierre à l’édifice : du procureur, à l’agent littéraire en passant par l’éditeur, le journaliste et les apprentis écrivains. J’ai cependant une mention spéciale pour son duo d’enquêteurs, l’inspecteur Pierre Chapel et son assistant hyper motivé mais quelque peu maladroit, Achille Cornuz, dont les échanges valent le détour et m’ont souvent fait sourire.
    « La Machination », à travers les yeux, les mots et les actes glaçant de ce défenseur des Belles Lettres, entraîne le lecteur dans une lente descente aux enfers où le monde littéraire et ses dérives sont mis à nu.
    Un premier essai réussi pour Jérémy Ergas qui laisse présager un bel avenir ! Le monde du thriller suisse semble avoir encore de nombreux joyaux à découvrir
    Je remercie les éditions Slatkine & Cie pour leur confiance renouvelée.

  • warlop 19 mars 2019
    La machination - Jeremy Ergas

    Une claque un roman coup de cœur, une lecture captivante, addictive, une intrigue osée sur le monde littéraire, une fin grandiose, insoupçonnée.

    Un jeune romancier assassiné avec gravé dans le dos en lettre de sang un texte récapitulant les 7 commandements de l’écrivain.

    j’étais en croisade contre un système, pas contre un individu

    Le monde genevois est en émoi devant cet acte horrible, cet acte de GUERRE contre le monde littéraire.
    La mise en scène est macabre, aucune empreinte, aucun indice, l’enquête est au point mort. Le Monde littéraire est à nouveau frappé, la victime horriblement mutilée, nue suspendue telle une offrande sacrificielle représentant la luxure, la débauche. A nouveau les 7 commandements gravés dans le dos identiques à l’œuvre de « Kafka » « la colonie pénitentiaire ». La monstruosité des sévices, le sadisme de la mise en scène, la célébrité de la victime horrifient et la peur gagne le monde restreint des artistes. 1 journaliste et 2 écrivains décident d’écrire sur cette affaire et surtout comprennent les actes du tueur sans absoudre son geste. Le meurtrier s’érige en Dieu de la littérature, en TERRORISTE littéraire contre ces artistes dégénérés qui se prostituent pour vendre plus de livres. Tuer pour la grandeur de la Littérature. Un génie maléfique qui a créé une machine démentielle, un appareil de torture qui grave sur la peau et s’enfonce jusqu’à vider la victime de son sang.

    Un livre puissant sur le milieu de l’édition un univers impitoyable qui broient et achèvent les rêves de ceux qui ne rentrent pas dans le moule. Une écriture fluide des pages qui se tournent à un rythme effréné pour découvrir le meurtrier, mais c’est au dernier chapitre que tout s’éclaire, l’auteur m’avait embrouillé l’esprit
    Un coup de maître

  • L’atelier de Litote 13 mars 2019
    La machination - Jeremy Ergas

    Je me suis laissée mener par la machination de Jérémy Ergas avec un plaisir infini. J’ai beaucoup aimé le thème de l’intrigue qui nous emporte dans le monde du livre et de la littérature. Écrivains, maisons d’éditions, agents littéraires, tout se tient et prend sens au fur et à mesure que se déroule un scénario qui fait trembler. On retrouve le corps supplicié d’un jeune écrivain avec un texte gravé à vif sur la peau de son dos, en titre « Les sept commandements de l’écriture ». Qui a voulu donner ce genre de leçon ? Dans le petit monde genevois c’est l’émoi et dans notre cerveau aussi ça bouillonne pas mal. L’arme du meurtre fait référence à une œuvre de Kafka « La colonie pénitentiaire » que je regrette de ne pas avoir lu plus tôt. D’autres corps seront retrouvés tués selon le même mode opératoire. On comprend que l’on a affaire à un intégriste de la grande littérature. Le petit monde de l’édition tremble et nous est dévoilé comme jamais dans tout ce qu’il a d’injuste, de pernicieux et de mauvais. Les actes du tueur sont explicites en revanche pour arriver à savoir qui il est, il vous faudra lire jusqu’au dernier chapitre. Je me suis surprise à être d’accord avec plusieurs de ses commandements sans toutefois avaliser ses actes.
    La galerie des personnages qui mènent l’enquête, flic, procureur, journaliste est dynamique et ma préférence s’en est allée au duo Chapel et Cornuz, duo improbable mais qui fonctionne bien. Le personnage truculent de Jean Cros apporte beaucoup d’énergie et j’ai adoré découvrir ses articles pour La Tribune. Un livre qui se dévore en passant d’un personnage à un autre, d’un soupçon à un autre. L’auteur maîtrise parfaitement son sujet et on enchaîne les chapitres sans s’en rendre compte tout en restant bouche bée devant son imagination fertile. Un livre étonnant qui nous pousse à réfléchir (ce qui est suffisamment rare pour être souligné) et à la fois il n’y a plus qu’à se laisser guider sur les rails tracés pour nous.

  • L’atelier de Litote 13 mars 2019
    La machination - Jeremy Ergas

    Je me suis laissée mener par la machination de Jérémy Ergas avec un plaisir infini. J’ai beaucoup aimé le thème de l’intrigue qui nous emporte dans le monde du livre et de la littérature. Écrivains, maisons d’éditions, agents littéraires, tout se tient et prend sens au fur et à mesure que se déroule un scénario qui fait trembler. On retrouve le corps supplicié d’un jeune écrivain avec un texte gravé à vif sur la peau de son dos, en titre « Les sept commandements de l’écriture ». Qui a voulu donner ce genre de leçon ? Dans le petit monde genevois c’est l’émoi et dans notre cerveau aussi ça bouillonne pas mal. L’arme du meurtre fait référence à une œuvre de Kafka « La colonie pénitentiaire » que je regrette de ne pas avoir lu plus tôt. D’autres corps seront retrouvés tués selon le même mode opératoire. On comprend que l’on a affaire à un intégriste de la grande littérature. Le petit monde de l’édition tremble et nous est dévoilé comme jamais dans tout ce qu’il a d’injuste, de pernicieux et de mauvais. Les actes du tueur sont explicites en revanche pour arriver à savoir qui il est, il vous faudra lire jusqu’au dernier chapitre. Je me suis surprise à être d’accord avec plusieurs de ses commandements sans toutefois avaliser ses actes.
    La galerie des personnages qui mènent l’enquête, flic, procureur, journaliste est dynamique et ma préférence s’en est allée au duo Chapel et Cornuz, duo improbable mais qui fonctionne bien. Le personnage truculent de Jean Cros apporte beaucoup d’énergie et j’ai adoré découvrir ses articles pour La Tribune. Un livre qui se dévore en passant d’un personnage à un autre, d’un soupçon à un autre. L’auteur maîtrise parfaitement son sujet et on enchaîne les chapitres sans s’en rendre compte tout en restant bouche bée devant son imagination fertile. Un livre étonnant qui nous pousse à réfléchir (ce qui est suffisamment rare pour être souligné) et à la fois il n’y a plus qu’à se laisser guider sur les rails tracés pour nous.

  • calyenol 8 mars 2019
    La machination - Jeremy Ergas

    "Une véritable oeuvre d’art,les lettrines placées au début de chaque ligne se prolongeaient en une forêt d’enjolivements qui recouvraient la peau d’un dessin infiniment détaillé et précis dont la beauté était digne des plus somptueuses enluminures du Moyen-Age."

    Et bien quelle lecture,un wahou s’impose !

    Un romancier assassiné...on retrouve son corps avec,dans le dos,un texte gravé en lettre de sang,la liste des sept commandements de l’écrivain.
    D’autres meurtres suivent,toujours dans les mêmes conditions avec cette fois les sept commandements de l’éditeur gravés dans le dos pour l’un et les sept commandements de l’agent littéraire pour l’autre.
    Tout ça dans la douleur et sur l’idée d’un livre qu’est "La colonie pénitentiaire" de Franz Kafka où il a imaginé un appareil inscrivant la loi sur la peau du condamné.
    La peur s’installe à Genève où un journaliste et deux écrivains décident chacun d’en écrire un roman.

    Un livre sur l’interprétation du génocide de la littérature par l’industrie de l’édition,où comment peuvent être traités des ouvrages pas assez "in" par un éditeur ou un agent littéraire,le tout associer à un auteur jamais publié qui se transforme en meurtrier pour montrer au monde qu’il veut rendre à la littérature ses lettres de noblesse.

    Avec une intrigue prenante et une plume fluide,l’auteur m’a faite douter jusqu’au bout sur le personnage qu’est l’ancien commandant dont la trilogie des sept commandements a su me garder matin et après-midi avec le livre dans les mains.
    Un livre captivant avec un rythme soutenu dont je n’ai pas vu les pages tourner.
    Une très belle découverte d’auteur.

Votre #AvisPolar

Votre note :
Forum sur abonnement

Pour participer à ce forum, vous devez vous enregistrer au préalable. Merci d’indiquer ci-dessous l’identifiant personnel qui vous a été fourni. Si vous n’êtes pas enregistré, vous devez vous inscrire.

ConnexionS’inscriremot de passe oublié ?

Bepolar.fr respecte les droits d’auteur et s’est toujours engagé à être rigoureux sur ce point, dans le respect du travail des artistes que nous cherchons à valoriser. Les photos sont utilisées à des fins illustratives et non dans un but d’exploitation commerciale. et nous veillons à n’illustrer nos articles qu’avec des photos fournis dans les dossiers de presse prévues pour cette utilisation. Cependant, si vous, lecteur - anonyme, distributeur, attaché de presse, artiste, photographe constatez qu’une photo est diffusée sur Bepolar.fr alors que les droits ne sont pas respectés, ayez la gentillesse de contacter la rédaction. Nous nous engageons à retirer toutes photos litigieuses. Merci pour votre compréhension.