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La femme à la mort - Samuel Sutra

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La Rochelle, 2012. Le commissaire divisionnaire Jacques Verdier s’apprête à prendre sa retraite. C’est la quille bien méritée d’un flic au pedigree impeccable, bien décidé à se la
couler douce.

Mais, à six mois de la fin du bail avec remise des clefs, voilà qu’une touriste décide de mourir dans une chambre d’hôtel du centre ville. Un suicide tellement parfait que l’ambassade s’en mêle et fait vite classer le dossier. Trop vite peut-être. Verdier est de ceux à qui on ne la fait pas, et il aimerait partir l’esprit tranquille. Qui est réellement cette
Russe ? Aucune idée. Pourquoi avoir fait ce voyage ?

Les enquêteurs n’en savent rien. Verdier décide alors de faire appel à son vieil ami Stan, un ex-flic baignant dans le milieu, aux manières peu orthodoxes et aux informateurs aussi inattendus qu’infréquentables. Ils reprennent tout à zéro, partant de la seule certitude concernant cette affaire : elle est déjà classée et le corps est dans un cercueil plombé en route pour Moscou.

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Vos #AvisPolar

  • jeanmid 5 avril 2019
    La femme à la mort - Samuel Sutra

    C’est le genre de roman rafraîchissant que l’on peut lire d’une traite . Outre vous offrir un bol d’air maritime ce roman vous embarque sans coup férir dans une histoire captivante grâce à son réalisme et à un style qui sait accrocher le lecteur .
    Les faits : La Rochelle de nos jours , une jeune femme d’origine russe est retrouvée morte dans un petit hôtel du centre. Tout semble penser qu’elle s’est suicidée : porte de la chambre fermée à clefs , fenêtre fermée de l’intérieur , l’arme encore dans la main de la défunte . C’est d’ailleurs ce que confirme le commandant de police Marchetti présent sur les lieux du drame .
    L’enquête : Malgré les évidences le commissaire Jacques Verdier demande à un ami de 20 ans , Stanislas Naja , ancien barbouze mis en retraite prématurément par sa hiérarchie, de mener une enquête sur cette mort en sous-marin . En effet certains détails le gênent et son intuition de flic lui souffle que quelque chose "cloche" dans cette affaire trop rapidement classée à son goût et qu’il n’aimerait pas garder sur la conscience à six mois de la retraite.
    Il est vrai que Stan dispose de sérieux atouts : une solide expérience , une discrétion qui fait partie de la panoplie nécessaire de tout agent des Services Secrets qui se respecte et surtout un réseau parfaitement tissé au cours de sa carrière dont certaines ramifications se trouvent justement en Russie . Mais tout cela ne serait rien sans le flair de l’ancien agent doublé d’une certaine insouciance naturelle qui va lui permettre de percer les mystères qui se cachent sous cette affaire , plus complexe qu’elle ne paraît au premier abord.

    Rassurez- vous , Samuel Sutra ne nous refait pas une resucée du " Mystère de la chambre jaune " , il nous propose plutôt une intrigue policière bien ficelée alliant des personnages originaux et attachants avec en toile de fond la belle ville de la Rochelle . Des déambulations d’enquêteur qui mêlent les plaisirs de la chair(e) et de l’investigation . Un suspens final total . Une belle réussite.

  • Sharon 21 février 2019
    La femme à la mort - Samuel Sutra

    Jacques Verdier est un policier qui prendra sa retraite dans six mois. Seulement, il a un défaut, ou une qualité, comme vous voulez : il veut que ses affaires soient en ordre avant son départ. Officiellement, tout est en ordre, et il ne pense pas qu’une nouvelle grosse affaire survienne – dans ce cas, il déléguerait. Non, il a une affaire, là, agaçante, agaçante parce qu’officiellement classée, sans aucun problème, mais elle lui reste sur l’estomac.
    Pourquoi une jeune femme venue de Russie s’est-elle suicidée dans sa chambre d’hotel à la Rochelle ? Là, je convoque « l’instant psy ». Oui, si un psy s’était glissé à cet instant dans le roman, il aurait peut-être dit qu’on ne pouvait jamais savoir pourquoi une personne se suicidait. Point. Seulement, Jacques Verdier n’aime pas trop les explications psychologiques basiques, et même si son ami Stan fait plus confiance à la psychologie, il s’appuie sur les statistiques, et c’est difficile de contrer les statistiques, surtout quand on pense qu’une moyenne contient aussi en ses chiffres les deux extrêmes.
    Stan, c’est un ami de Jacques. Ancien flic, mis à la retraite plus qu’anticipée, il accepte de temps en temps des missions pour aider des amis – lui vit très bien, je vous remercie. Et là, sa mission, qu’il a accepté, c’est d’amener Jacques à comprendre, y compris ce qui aurait pu échapper à ses hommes dans cette version du suicide en chambre close. Et cela ne plaît pas du tout à Jacques de penser que « ses » hommes auraient pu être induits en erreur.
    Stan enquête, et, au passage, revient au coeur de sa ville, qu’il nous fait découvrir avec un regard aimant et acéré. Stan n’est plus dans le circuit, du coup, il a le droit d’activer toutes ses connaissances, d’utiliser des voies un peu détournées : la ligne droite n’est pas toujours le chemin le plus direct vers la vérité.
    Ce que j’ai aimé dans ce roman, c’est la capacité de jouer avec les codes (la femme fatale, la mort en chambre close, le suicide, la vengeance aussi) et de les détourner pour tendre vers une toute autre intrigue que celle à laquelle on pouvait s’attendre. Il est toujours bon d’être surpris(e). Jacques et Stan, au vue de ce qu’ils ont découvert, ne sont peut-être pas d’accord avec moi

  • lecturesdudimanche 30 janvier 2019
    La femme à la mort - Samuel Sutra

    Pour commencer cette chronique, il me faut remercier NetGalley ainsi que Flamant Noir Editions, grâce à qui j’ai pu réitérer l’expérience de la plume de Samuel Sutra, qui m’avait charmée avec son « Coupable[s] » (ma chronique ici) et qui vient encore de faire mouche !

    Tout d’abord, aussi étrange que celui puisse paraître, j’avais presque dans les oreilles une mélodie de jazz jouée sur un saxophone aux accents langoureux, tandis que ma tête construisait des images en noir et blanc, à la manière d’un vieux film de détective ! Allez savoir pourquoi, puisque l’histoire est résolument contemporaine, j’en veux pour preuve l’utilisation de téléphones portables et d’e-mails !

    Bref, cette ambiance m’a bercée tout au long de ma lecture sans que je me l’explique, et lui a donné une saveur particulière !

    Tout part du suicide d’une belle jeune femme russe, qui n’a rien trouvé de mieux que de se faire sauter la cervelle au beau milieu de sa chambre d’un petit hôtel charmant au centre de La Rochelle. Les conclusions de la police sont indiscutables, et pourtant l’un des enquêteurs, à six mois de la quille, ressent comme « un truc qui cloche ». Plutôt que de soulever des questions gênantes dans son service, il décide de déléguer à son ami Stan, ex-flic chevronné aux relations influentes dans certains milieux infréquentables !

    Celui-ci s’installe alors dans la chambre de la suicidée et remonte le temps pour tenter de comprendre les motivations de la belle, aidé de la charmante employée de l’hôtel qui ne le laisse pas indifférent.

    J’ai aimé les questionnements, les développements, les personnages riches. J’ai retrouvé l’écriture de Samuel Sutra qui m’avait d’emblée plue. En peu de pages (à peine plus de 150), l’auteur nous balade dans La Rochelle et nous le suivons au rythme des pensées de Stan qui vont nous mener de pierre en pierre vers une révélation qui, seul bémol, se voit arriver de loin mais n’en reste pas moins bien emballée !

    Un bon moment de lecture, décidément, un auteur que je vais suivre !

  • Ju lit les Mots 14 janvier 2019
    La femme à la mort - Samuel Sutra

    Un hôtel… Une chambre dont la porte est fermée à clef « de l’intérieur », l’unique fenêtre fermés, pas de cheminée… Une touriste russe qui se suicide… L’Ambassade Russe qui fait rapatrier le corps en quatrième vitesse… Comme pour cacher quelque chose… Mais quoi ? Le commissaire Verdier est à 6 mois de la retraite et trop de questions le hantent… Stan, ex-flic et ami vient à la rescousse.

    Avec « La femme à la Mort », Samuel Sutra, fait un petit clin d’œil au « Mystère de la chambre jaune » de Gaston Leroux, qu’on ne peut qu’apprécier. Son duo d’enquêteurs atypiques va tout reprendre et décortiquer cette enquête bâclée, dès le départ…

    Une équipe de choc menée par un ancien flic, aux méthodes peu orthodoxes.

    Malgré une intrigue sombre, l’auteur a réussi à plusieurs reprises à me faire sourire. J’ai apprécié cette plume maîtrisée, emprunte de Légèreté, parfois burlesque. Les dialogues sont par moment jubilatoires, créant un texte unique dans son genre.

    Une plume directe qui ne se perd pas en descriptions trop longues, l’auteur ferre son lecteur et l’entraine dans les tréfonds d’une enquête rondement bien menée. Des retournements de situations très bien pensés, sans tomber dans les rebondissements répétitifs qui pourraient alourdir le récit. Le tout est nourri avec une gouaille de titi qui fait penser aux vieux films où l’argot donnait du corps.

    C’est le deuxième livre de l’auteur que je découvre et je dois dire que l’auteur sait manier les mots et même si dans « Coupables » sa plume est beaucoup plus sombre, il ose une écriture totalement différente, qui m’a complètement embarquée.

    Publié en 2012 aux Éditions Sirius, Flamant noir a eu l’excellente idée de rééditer ce texte, permettant ainsi de redécouvrir un excellent polar avec une très bonne intrigue.

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