- Auteur : Patricia Cornwell
- Genre : Policier / Thriller
- Série : Kay Scarpetta
- Date de sortie : 25 octobre 2009
- EAN : 978-2253134145
Disponible sur
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Résumé :
Kay Scarpetta est experte en sciences légales sur CNN et conseillère auprès du médecin en chef de l’institut médico-légal de New York. Le producteur de CNN souhaite que Scarpetta lance une nouvelle émission. Mais cette notoriété accrue semble déclencher une série d’événements inattendus. Alors qu’elle intervient en direct au sujet d’une affaire très médiatisée, la disparition et la mort présumée d’une millionnaire, Kay reçoit un appel surprenant d’une téléspectatrice, qui se révèle être une ancienne patiente de son mari Benton Wesley, et, de retour chez elle, elle trouve un inquiétant paquet. Scarpetta, dont la vie est menacée, se lance alors dans une enquête qui implique un acteur célèbre, qu’on accuse d’un crime sexuel, et sa nièce Lucy, qui aurait eu des liens avec la millionnaire disparue...
universpolars 9 mai 2024
L’instinct du mal - Patricia Cornwell
Cela doit bien faire 20 ans que je n’ai pas lu un bouquin de cette auteure. Je pense en avoir lu une quinzaine, mettant en scène la médecin légiste Kay Scarpetta, et j’ai certainement dû saturer. Celui-ci traînait dans ma bibliothèque et j’ai souhaité vérifier si mon « trop plein » s’était atténué. Malheureusement pas.
Le viol et le meurtre d’une joggeuse, perpétrés à Central Park, sera le fil rouge de cette intrigue. Ces faits représenteront la base nécessaire pour pouvoir disserter, argumenter, raisonner, se contredire, contester ou encore s’énerver. Lorsque Kay Scarpetta est dans les parages, ça y va en théories !
C’est un peu moqueur, c’est vrai, mais ça en envoie parfois un peu trop à mon goût. Le côté didactique lié à la médecine légale me gave au bout d’un moment.
Niveau enquête, c’est propre et poussé. L’auteure ne lésine pas sur les détails quant à l’évolution de cette enquête. Patricia Cornwell va chercher plusieurs morceaux de l’intrigue, à gauche et à droite, les rassemblent et nous les sert. À nous ensuite de les interpréter. C’est propre oui mais, par contre, c’est bien trop éparpillé. Il faut dire qu’au bout d’un moment j’en avais marre de suivre l’auteure allant chercher ses morceaux d’intrigue comme si elle allait aux champignons.
Et que c’est long ! Après 350 pages, j’avais le sentiment d’être toujours au prologue. Les détails, c’est bien, moult explications, c’est bien aussi, mais avancer et tenter de ne pas trop stagner c’est encore mieux. J’en arrive même à avoir du mal à argumenter mon retour de lecture tellement ça tourne en rond.
Mon plus gros souci avec cette trame, c’est que l’auteur nous éloigne fréquemment de l’intrigue principale pour nous raconter la vie des personnages, leurs états d’âme, leur point de vue ou leurs soucis du moment. C’est bien de le faire, évidemment, mais quitter l’intrigue sur une dizaine de pages à chaque fois pour ça, pour moi, c’est bien trop (chiant).
Je dois admettre que j’ai lu le dernier tiers en mode automatique, car les infos sont terriblement longues à venir. Je pense que le tour du problème qui nous occupe ici a été fait une vingtaine de fois ! Les sillons sont profonds …
Eh non, je n’ai pas vraiment adhéré à cette intrigue.
universpolars 9 mai 2024
L’instinct du mal - Patricia Cornwell
Cela doit bien faire 20 ans que je n’ai pas lu un bouquin de cette auteure. Je pense en avoir lu une quinzaine, mettant en scène la médecin légiste Kay Scarpetta, et j’ai certainement dû saturer. Celui-ci traînait dans ma bibliothèque et j’ai souhaité vérifier si mon « trop plein » s’était atténué. Malheureusement pas.
Le viol et le meurtre d’une joggeuse, perpétrés à Central Park, sera le fil rouge de cette intrigue. Ces faits représenteront la base nécessaire pour pouvoir disserter, argumenter, raisonner, se contredire, contester ou encore s’énerver. Lorsque Kay Scarpetta est dans les parages, ça y va en théories !
C’est un peu moqueur, c’est vrai, mais ça en envoie parfois un peu trop à mon goût. Le côté didactique lié à la médecine légale me gave au bout d’un moment.
Niveau enquête, c’est propre et poussé. L’auteure ne lésine pas sur les détails quant à l’évolution de cette enquête. Patricia Cornwell va chercher plusieurs morceaux de l’intrigue, à gauche et à droite, les rassemblent et nous les sert. À nous ensuite de les interpréter. C’est propre oui mais, par contre, c’est bien trop éparpillé. Il faut dire qu’au bout d’un moment j’en avais marre de suivre l’auteure allant chercher ses morceaux d’intrigue comme si elle allait aux champignons.
Et que c’est long ! Après 350 pages, j’avais le sentiment d’être toujours au prologue. Les détails, c’est bien, moult explications, c’est bien aussi, mais avancer et tenter de ne pas trop stagner c’est encore mieux. J’en arrive même à avoir du mal à argumenter mon retour de lecture tellement ça tourne en rond.
Mon plus gros souci avec cette trame, c’est que l’auteur nous éloigne fréquemment de l’intrigue principale pour nous raconter la vie des personnages, leurs états d’âme, leur point de vue ou leurs soucis du moment. C’est bien de le faire, évidemment, mais quitter l’intrigue sur une dizaine de pages à chaque fois pour ça, pour moi, c’est bien trop (chiant).
Je dois admettre que j’ai lu le dernier tiers en mode automatique, car les infos sont terriblement longues à venir. Je pense que le tour du problème qui nous occupe ici a été fait une vingtaine de fois ! Les sillons sont profonds …
Eh non, je n’ai pas vraiment adhéré à cette intrigue.