- Auteur : Rachel Abbott
- Editeur : Belfond
- Date de sortie : 6 novembre 2014
- ISBN : 2714457606
Disponible sur
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Résumé :
Sir Hugo Fletcher vient d’être retrouvé mort dans son lit, nu, attaché dans une position des plus équivoques. Chargé de l’enquête, Tom Douglas, fraîchement débarqué au sein de la police londonienne, s’interroge : ce crime sulfureux ne colle pas avec l’image respectable de Fletcher, richissime philanthrope connu pour son engagement au sein d’Allium, une association qui aide à soustraire de jeunes immigrées de l’Est à la prostitution. Alors que les médias s’emparent de l’affaire et pleurent la perte du généreux milliardaire, Tom se focalise sur l’épouse de ce dernier, la discrète lady Laura... À son contact, Tom découvre un tout autre portrait de l’homme. Mais peut-il faire confiance à cette séduisante veuve noire ? Que cache-t-elle des activités réelles d’Allium ? Et si la vérité était plus sordide encore que le crime ?
Pandi_lit 11 janvier 2023
Illusions fatales - Rachel Abbott
Dans les premiers chapitres du livres, je ne suis pas convaincue. Un homme très riche et célèbre meurt à la suite d’une possible partie de jambe en l’air avec une femme fatale toute vêtue de cuir. Hm. On commence dans un parfait cliché qui ne m’intéresse pas le moins du monde.
L’histoire avance et nous emmène dans les méandres de cette famille à l’allure pourtant parfaite, on découvre une femme salie, malmenée, brisée. On découvre la violence psychologique qui, minimisée parce qu’invisible, n’en est pas moins toute aussi dévastatrice que la violence physique. Une grande complexité est menée sur les caractères du couple Fletcher mais Laura se révèle finalement plus courageuse et forte qu’elle n’a voulu paraître.
Tout au long du livres, des secrets sont levés sur la vie que mène réellement sir Hugo et pour moi ça a été un vrai page turner. Avec des révélations toutes aussi délirantes les unes que les autres, parfois choquantes, parfois dégoutantes, mais quoi qu’il en soit ; jamais positives.
Bien que normalement je flaire bien vite le fin mot de l’histoire, je n’ai pas vu venir un élément fondamental qui aurait pu pourtant me sauter aux yeux. Et c’est à ça que je peux décider que c’est un super roman !