- Auteur : Stephen King
- Editeur : Le Livre de Poche
- Date de sortie : 27 septembre 2017
- ISBN : 2253083275
- EAN : 9782253083276
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Résumé :
En prenant sa retraite, John Rothstein a plongé dans le désespoir les millions de lecteurs des aventures de Jimmy Gold. Devenu fou de rage depuis la disparition de son héros favori, Morris Bellamy assassine le vieil écrivain pour s’emparer de sa fortune et, surtout, de ses précieux carnets de notes. Le bonheur dans le crime ? C’était compter sans les mauvais tours du destin... et la perspicacité du détective Bill Hodges.
Trente ans après Misery, Stephen King renoue avec l’un de ses thèmes de prédilection : l’obsession d’un fan. Dans ce formidable roman noir, où l’on retrouve les protagonistes de Mr Mercedes (prix Edgar 2015), il rend un superbe hommage au pouvoir de la fiction, capable de susciter chez le lecteur le meilleur... comme le pire.
Lilo0606160616 6 avril 2023
Carnets noirs - Stephen King
"Carnets Noirs" ou les dérives de la passion de la lecture. Morris Bellamy est, en 1978, un jeune homme dangereusement fougueux, issu d’une famille d’un milieu correcte (ils ne sont pas à la rue mais ne sont pas non plus couvert d’or), avec des fréquentations douteuses et un penchant pour la brutalité. Sa passion ? La lecture et plus particulièrement John Rothstein, un écrivain renommé qui a créé le personnage de Jimmy Gold dont Morris se sent (très) proche. Accompagné de collègues, il va s’infiltrer dans la maison reculée de l’écrivain pour lui voler ses écrits (notamment des cahiers Moleskine), écrits que des ragots disent secrètement et jalousement conservés dans un coffre fort. Cependant, le cambriolage va mal tourner et Morris, emballé par sa passion pour Jimmy Gold, va perdre les pédales et assassiner l’écrivain ainsi que ses acolytes. Quelque temps plus tard, après avoir pris soin de cacher les précieux carnets de John Rothstein et l’argent volé en le enterrant sous un arbre, il se fera interpeller pour viol sans être inculpé pour les meurtres commis qui resterons, pendant un temps, insoupçonnés. Il écopera de plus de vingt années de prison au cours desquelles il tentera de réduire sa peine. Quelques années plus tard, Peter Saubers, fils de l’une des victimes du City Center (Cf : Mr Mercedes), va trouver par hasard les carnets et l’argent qu’il voit comme un graal pour sauver sa famille qui rencontre des difficultés. Mais cela est sans compter sur la remise en liberté de Morris, prêt à tout pour récupérer sont du. Au cours du récit, on retrouvera l’inspecteur Hodges, Holly et Jérôme, nos détectives en herbe du premier volet de la saga, qui vont apporter une aide précieuse au jeune Peter.Ce deuxième volet ne m’a pas emballée plus que cela, malheureusement. J’espérais, après ma déception envers le roman Mr Mercedes, retrouver la plume des années 90/2000 de Stephen King mais je ne suis pas parvenue à partager les sentiments des personnages, à ressentir leurs émotions, pas autant que pour "La Ligne Verte" ou encore "Shining". L’écriture reste fluide, agréable à lire (nous sommes tout de même avec Monsieur King, ne l’oublions pas), mais le fond manque de personnalité et les chapitres traînent en longueur. L’auteur s’assagirait-il ? Ou peut-être que cette saga est davantage destinée à un public préférant des descriptions "softs" ? Dans tous les cas on a la sensation d’un polar un peu délaissé par l’auteur, un polar qu’il n’a pas vraiment ressenti au cours de son écriture et malheureusement la lectrice que je suis l’a ressenti au fil des pages.L’histoire en elle-même est, à l’image de Mr Mercedes, un peu trop "simpliste" à mon goût, un récit un peu trop "déjà-vu". La chose qui peut éventuellement intriguer sont les nouvelles capacités paranormales du tueur à la Mercedes, personnage que l’on retrouve dans quelques pages du présent polar. Apparaît également la figure du père qui aimerait sauver sa famille mais que des évènements extérieurs viennent perturber, une famille aimante mais néanmoins à deux doigts du drame. La figure de l’assassin ayant une enfance difficile, des conflits avec ses parents sont des sujets récurrents, qui auraient mérité d’avoir davantage la patte de Stephen King. Un polar à lire les jours de grand vide dans sa PAL, dommage.
Pandi_lit 17 mars 2023
Carnets noirs - Stephen King
J’aime beaucoup le départ du roman en double temporalité, c’est une organisation que j’affectionne beaucoup.
On part de la même trame que Misery, un fan obsessionnel mécontent de la fin de son roman de prédilection et prêt à tout pour en changer.
Doucement, se met en place une histoire chanceuse pour Peter, tout semble lui sourire quand Morris refait surface. On découvre le côté très sombre d’un criminel qui n’en a que pour son idole, tout ce qui se met sur son chemin doit être décimé. Ses actes sont aussi inattendus qu’effroyables.
J’ai trouvé qu’il manquait de Bill Hodges dans ce tome, on parle quand même de la trilogie "Bill Hodges" donc le fait qu’il n’intervienne qu’à la moitié du livre m’a un peu dérangé. J’ai lu Carnets noirs pour la première fois à sa sortie, sans même savoir qu’il faisait partie d’une saga, et ça n’avait posé aucun problème de compréhension de l’histoire.
angelita 4 septembre 2021
Carnets noirs - Stephen King
Carnets noirs de Stephen King, présentation
En 1978, Rothstein a 80 ans. Il est réveillé par trois hommes, dans sa ferme. Il est un ancien écrivain reconnu. Il a été en colère toute sa vie.
Il ne veut pas qu’on lui prenne ses carnets.
En 2009, dispute chez les Saubers. Il y a un marché de l’emploi.
Une Mercedes fonce dans la foule.
Avis Carnets noirs de Stephen King
Cela faisait un grand moment que je voulais lire la suite de Mr MERCEDES avant de me consacrer au troisième volet de la saga. Voilà, c’est chose faite avec Carnets Noirs. Les premières pages m’ont fait penser que j’avais déjà lu le roman sauf que Stephen King revient sur la tentative de meurtre sur de nombreuses personnes candidates à l’emploi. Et donc on retrouve dans ce roman un des accidentés qui ne pourra pas marcher pendant très longtemps et dont la famille va vivre sur le fil du rasoir pendant de nombreuses années, suite aux pertes d’emploi avant qu’une manne s’ouvre.
Stephen King fait alterner pendant quelques chapitres les années 1978 et 2009. Pour les premières, c’est l’histoire d’un jeune homme, bien sous tout rapport, mais qui lorsqu’il boit, c’est le trou noir et il commet des actes qui l’envoient soit en maison de redressement, soit en prison. Il est fan d’un auteur qui s’est retiré de la vie publique depuis de nombreuses années. Quoi de mieux qu’un cambriolage chez cet auteur pour voler de l’argent et éventuellement des écrits, c’est ce que pense Morris. Mais tout ne se passe pas comme prévu ou Morris avait tout prévu, pratiquement tout prévu. Dans les années 2009, chez les Saubers, la vie est difficile, le couple est au bord de la rupture, par manque d’argent, par manque de travail. Le fils Peter essaie de fuir cette ambiance et essaie de protéger sa soeur. Lors d’une de ses promenades, il tombe sur une valise, la malle aux trésors et sera l’ange gardien de sa famille, pendant de nombreuses années. De plus, il va découvrir un auteur, ses histoires et ce sera son bien le plus précieux. Mais au fil des années, tout le monde grandit, la famille retrouve un semblant d’aisance financière, mais pas assez pour envoyer Tina dans une école privée. Peter va essayer de tout faire pour combler sa petite soeur.
Du grand, du grand Stephen King. Comme d’habitude, dois-je écrire ? Comment deux époques, deux histoires vont se recouper avec la rencontre de personnages, un homme qui a passé pratiquement toute sa vie en prison, avec un but ultime et un jeune adolescent. L’un et l’autre ne le savent pas, mais ils sont fans d’un auteur. Le premier veut enfin lire ces fameux carnets, le second veut les protéger, parce que lui les a lus mais il ne sait pas comment. Peter sait que cela peut lui amener la fortune en les vendant au marché noir, mais il sait aussi qu’il peut être interrogé sur la police sur l’existence de ces carnets. Par contre, il ne connait pas la véritable histoire. Le lecteur assiste à la transformation de Peter, de jeune homme taiseux, assez secret, en quelques semaines, il sera l’ombre de lui-même. Mais il veut protéger les siens et il adapte ses plans au fur et à mesure des évènements. Mais sa soeur veille et elle se confie. Entrent en scène Hodges et deux autres amis à lui. Les relations entre tous les personnages sont tout de même très proches.
Toujours ou très souvent chez Stephen King, l‘histoire d’un auteur. Ici, il a été adulé pendant de nombreuses années. Mais il a décidé de se retirer. Ses écrits sont tout ce qu’il lui reste et il aurait dû partir avec eux. Histoire également de deux fans de cet auteur. L’un est contre ce qui s’est passé dans le dernier roman car cela ne correspond pas à ce qu’il souhaite. L’autre, jeune, découvre la littérature et sera happé par l’histoire qu’il va lire. On peut faire beaucoup pour des mots, on peut aimer, adorer, haïr quand on se rapproche d’un personnage, qu’il a bercé des instants de lecture, qu’on s’identifie à lui.
Un véritable coup de coeur.
Riz-Deux-ZzZ 3 septembre 2021
Carnets noirs - Stephen King
En bref, un deuxième tome bien éloigné de Mr Mercedes... et de Bill Hodges.
J’avais hâte de retrouver cet univers polar de Stephen King que j’avais adoré dans Mr Mercedes, le premier tome. Finalement, je ressors de cette lecture plutôt mitigée, car je n’ai pas retrouvé ce que j’attendais, même si l’intrigue en elle-même est bien menée.
Si vous avez aimé Misery, Stephen King nous offre ici une autre version du fanatique qui s’en prend à un auteur renommé : moins sanglant et plus centré sur l’héritage de l’auteur, le récit met également en avant les dérives que peuvent entraîner le succès d’un écrivain et sa difficulté à contenter les lecteurs.
L’alternance passé/présent est intéressante, d’autant plus que les personnages ont beaucoup de similitudes dans leurs vies respectives, notamment la maison où ils ont grandi. Stephen King montre qu’il sait toujours manier ses protagonistes et ses univers puisqu’il se sert également ici du drame ouvrant le roman Mr Mercedes. Ainsi, les histoires s’entremêlent et cela donne l’impression d’une unité entre les 2 histoires.
Cependant, Bill Hodges et ses acolytes mettent énormément de temps à arriver puisqu’il faut attendre la moitié de la lecture pour enfin les retrouver. Et finalement, l’immersion du groupe de Hodges dans la vie des personnages que l’on suit déjà depuis 200 pages m’a semblée un peu forcée, comme s’il fallait les intégrer à tout prix. À mon sens, l’histoire de base aurait facilement pu être totalement indépendante.
[...]
Avis complet : https://www.instagram.com/p/CRrYP11H0R4/
Aelithsu 15 février 2021
Carnets noirs - Stephen King
Carnets noirs est la suite de Mr Mercedes, dont des événements en découlent directement, ainsi que le fameux détective Bill Hodges et son équipe. Un célèbre auteur est assassiné par un fan déçu … De nombreuses années plus tard, un petit garçon trouve un coffre rempli d’argent et de carnets remplis d’histoires de cet auteur …
J’ai beaucoup aimé cette suite. J’y ai retrouvé tous les éléments que j’avais aimé dans Mr Mercedes : le suspense, les circonstances prenantes et les retournements de situation.
Nous allons faire connaissance avec de nouveaux protagonistes aussi sympathiques que les anciens.
L’auteur maîtrise son roman du début jusqu’à la fin, faisant monter le suspense progressivement. Le fait qu’on sache où se trouve le méchant et en suivant ses pensées contribue à cette tension ! J’avais hâte de savoir ce qui allait se passer et la façon dont la situation allait s’arranger ou dégénérer !
Encore une excellente lecture du King ! Je ne tarderai pas à lire la suite car la fin de ce tome est remplie de questions !
Livresovore 9 novembre 2020
Carnets noirs - Stephen King
Encore un très bon roman du King ! Un peu en dessous du premier tome pour moi, mais ça reste un roman que j’ai adoré et dévoré.
J’ai adoré retrouvé le personnage de Hodges et ses deux acolytes complètement hors normes. Ils sont moins présents que dans le premier tome, mais j’ai tout de même pris plaisir à voir leurs évolutions.
L’histoire est géniale : Faire d’un événement du passé un problème dans le présent, c’était une superbe idée ! Surtout que le présent est également rattaché au tueur à la Mercedes.
Morris Bellami est un personnage comme je les aime et comme King sait les construire : torturé, fou et prêt à faire le mal pour assouvir leurs pulsions. Bellami est un obsédé à l’image de Annie Wilkies.
Peter et sa famille est aussi assez addictive parce que tous les personnages (sauf la mère peut-être) ont réussi a vraiment capter mon attention. Peter pense faire le bien et va se retrouver sans un engrenage infernal !
Quant à Jimmy Gold, le héros des roman, j’ai très très envie de lire ses aventures.
Une histoire hyper addictive, intéressante avec des personnages qui captent l’attention et sont travaillés : on adore !
Le Monde de Marie 4 novembre 2020
Carnets noirs - Stephen King
Lorsqu’on veut passer un bon moment en compagnie d’un thriller à l’intrigue très bien construite, à l’écriture fluide et aux personnages approfondis il n’y a rien de tel qu’un Stephen King. Il va ici nous montrer la folie dans laquelle peut tomber un lecteur lorsque son attachement à un personnage de fiction, à un auteur, prend le pas sur sa raison.
Une intrigue qui a été travaillée avec finesse. Par une alternance entre passé et présent on va apprendre comment tout a commencé, comment la folie d’un lecteur est née et le mal qu’elle a engendré.
On prend également beaucoup de plaisir à retrouver Bill Hodges, Holly ou encore Jérôme. Mais aussi, j’ai adoré que la famille de Pete est un lien avec les évènements tragiques de Mr Mercedes. On y découvre les conséquences du drame sur un homme grièvement blessé et sa famille et on est admiratif devant la volonté d’un petit garçon d’aider sa famille en voulant leur éviter le danger.
J’ai déjà hâte de me plonger dans le dernier tome de cette trilogie. Surtout que l’épilogue annonce un joli tournant fantastique et le retour d’un monstre.
colorandbook 2 mai 2020
Carnets noirs - Stephen King
Je conseille vivement de commencer par M. Mercedes. C’est essentiel pour bien comprendre ce roman. C’était encore une très bonne lecture avec Stephen King. Quel bonheur de retrouver Hodge dans une nouvelle enquête : une véritable course infernale entre Morris un tueur fanatique de l’écrivain John Roshstein devenu fou, notre chère Hodge et le jeune homme qui a découvert les carnets de John Rothstein enterré par Morris plus de 30 ans en arrière.
Les + :
* L’histoire de ce roman était passionnante. J’ai adoré retracer l’histoire de ces carnets et des romans jamais publiés de John Rothstein. Meme si il m’a manqué un petit je ne sais quoi dans cette histoire pour égaler M.Mercedes.
* J’ai beaucoup aimé les sujets traités dans ce roman, la relation auteur / lecteur qui peut devenir malsaine et les références à la littératures .
* Les personnages de cette histoire sont juste passionnants. J’ai totalement été conquise par eux. Ils sont subtils, intelligents, travaillés et profonds. Quel bonheur de retrouve le trio infernal et de découvrir Morris et la famille Saubers.
* La plume de l’auteur est forte, intelligente, belle et efficace. Il prend son temps pour tout développer et arrive à faire passer énormément d’émotions.
Les - :
* Le roman
est très long à démarrer. Seulement ça ne m’a pas
posé de problème, j’ai même trouvé ça essentiel .
* Il y a tout de même quelques longueurs tout au long du roman notamment au milieu !
lecturesdudimanche 16 octobre 2019
Carnets noirs - Stephen King
Deux époques, deux histoires au préalable distinctes. Voilà ce que nous propose le King. D’abord l’histoire de Morris Bellamy qui, en 1978, est un jeune homme frustré parce que le héro littéraire rebelle qu’il admirait a fini par se ranger dans une petite vie pépère, ce que Morris juge parfaitement inacceptable. Il en impute la faute à l’écrivain qui a mené son héro vers ce sacrilège. Ensuite, Peter Saubers, dont le père est l’une des victimes du massacre du City Center perpétré par LE fameux Brady Harsfield de Mr Mercedes. Lourdement handicapé suite à l’accident, le père de Pete ne trouve plus de boulot, dépense des fortunes en soins médicaux… Et voilà sa petite famille contrainte de déménager, ayant de plus en plus de mal à joindre les deux bouts et menant les parents dangereusement proche de la pente escarpée du divorce. Le destin de ces deux jeunes, à quelques décennies d’intervalle, va se rejoindre d’une bien étrange manière…
Le King a cette particularité de prendre tout son temps pour baliser ses intrigues. Cette fois, il renoue avec un thème qu’il affectionne : la relation entre écrivain, fiction et public fanatique, sous un autre angle que celui qu’il avait abordé dans le mythique « Misery ». Et autant lorsque Musso s’y est essayé, j’ai été assez critique (souvenez-vous ici), autant je suis tombée sous le charme des mots du King. Lui, l’écrivain qui s’amuse, qui divertit, qui énonce, qui réfléchit et qui nous rappelle…
Entre fascination et déraison, qui n’a pas, un jour, éprouver cet coup de foudre pour un personnage de fiction ? Qui n’a pas, un jour, pesté contre un auteur qui matraque sans remord le destin de son héro de papier ? Qui n’a pas crié au génie ou, au contraire, à l’hérésie à la lecture de simples mots sur une page blanche ? Qui mieux que nous, lecteurs compulsifs, peut comprendre le pouvoir d’un mot, d’une phrase, d’une histoire ? Tandis qu’il nous plonge dans la vie de Morris et de Peter tout en disséquant le contexte social, le King s’autorise plusieurs angles de vue pour nous permettre d’analyser les tenants et aboutissant dans leur globalité, en n’oubliant pas de largement dépeindre le côté humain de l’intrigue. Puis tout d’un coup, il met un coup d’accélérateur, emballant son moteur dans les cent dernières pages de l’histoire. La précipitation succède à la langueur, l’action remplace la réflexion. Rien à redire, c’est le King, et si vous n’êtes pas d’accord, je m’en fiche, parce que « cette connerie, c’est des conneries« , comme dirait Jimmy Gold. Et moi, conneries ou pas, j’ai diablement aimé ça !
LeoLab 1er août 2019
Carnets noirs - Stephen King
Un ton au dessous du premier tome. Ceci-dit, la plume du King a cette fluidité et cette magie très spéciales qui opèrent toujours au fin fond de mon être. J’ai été ravi de retrouver les protagonistes de Mr Mercedes. L’épilogue annonce un troisième tome absolument passionnant. Vivement !
lireencore93420 23 juin 2019
Carnets noirs - Stephen King
Il est question pour ce 2éme tome, comme l’indique le titre de carnets, un auteur célèbre, mais qui écrit plus depuis plusieurs années, se fait cambrioler, et supplie de ne pas prendre ses manuscrits, mais le cambrioleur est fan de l’auteur donc il les prend, et la commence l’histoire de ces fameux carnets noires.
Morris, cambrioleur et tueur, fan de la série sur Jimmy Gold, as pour lui des trésors, mais quelle solution trouveras-t-il pour faire revivre son héros ?
On retrouve de nouveaux personnages, Morris, le tueur, et un jeune homme bigrement, intelligent et vont s’affronter, pour avoir les fameux noirs.
L’opus est très psychologique, sur la fan-attitude, qu’est qu’on est prêt à faire pour des manuscrits inédits de notre auteur chouchou ? On s’est tous poser cette question…
Mais Stephen King, mon auteur chouchou, as remixer en polar, un duel entre un cambrioleur fan de littérature et un jeune bigrement intelligent, aussi qui adore ce fameux auteur, et Bill Hodges va venir au secours du jeune pour se sortir de ce méli-mélo.
C’est extrêmement addictif, le sujet est original, et surtout ces personnages sont tellement bien construits, comme d’habitude avec cet auteur, j’en ressors époustouflée par autant de talent et comment il arrive à nous embarquer dans son univers et dans la trame qui nous livre.
21e livre de cet auteur, c’est encore une belle satisfaction, et hâte de lire le suivant, qui seras probablement ma prochaine lecture.
lireencore93420 23 juin 2019
Carnets noirs - Stephen King
Il est question pour ce 2éme tome, comme l’indique le titre de carnets, un auteur célèbre, mais qui écrit plus depuis plusieurs années, se fait cambrioler, et supplie de ne pas prendre ses manuscrits, mais le cambrioleur est fan de l’auteur donc il les prend, et la commence l’histoire de ces fameux carnets noires.
Morris, cambrioleur et tueur, fan de la série sur Jimmy Gold, as pour lui des trésors, mais quelle solution trouveras-t-il pour faire revivre son héros ?
On retrouve de nouveaux personnages, Morris, le tueur, et un jeune homme bigrement, intelligent et vont s’affronter, pour avoir les fameux noirs.
L’opus est très psychologique, sur la fan-attitude, qu’est qu’on est prêt à faire po²ur des manuscrits inédits de notre auteur chouchou ? On s’est tous poser cette question…
Mais Stephen King, mon auteur chouchou, as remixer en polar, un duel entre un cambrioleur fan de littérature et un jeune bigrement intelligent, aussi qui adore ce fameux auteur, et Bill Hodges va venir au secours du jeune pour se sortir de ce méli-mélo.
C’est extrêmement addictif, le sujet est original, et surtout ces personnages sont tellement bien construits, comme d’habitude avec cet auteur, j’en ressors époustouflée par autant de talent et comment il arrive à nous embarquer dans son univers et dans la trame qui nous livre.
21e livre de cet auteur, c’est encore une belle satisfaction, et hâte de lire le suivant, qui seras probablement ma prochaine lecture.