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Atmore, Alabama - Alexandre Civico

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Résumé :

Lorsqu’il atterrit en Floride, il sait exactement où sa voiture de location doit le mener : Atmore, bourgade paumée au fi n fond de l’Alabama. Il s’installe chez l’habitant, instaure un semblant de routine et rencontre une jeune Mexicaine désespérée. Un lien naît entre lui, l’étranger que l’on devine ravagé par la douleur, et cette fille à la dérive, noyée dans la drogue. Que vient chercher ce Français au royaume des rednecks, de l’ennui et des armes à feu ? Rien ne paraît l’intéresser sinon la prison, à l’écart de la ville, autour de laquelle il ne peut s’empêcher d’aller rôder…
Porté par une écriture affûtée à la poésie sèche, parfois tendre, ce roman de la chute, noir, dense, invoque dans un même surgissement le décor d’une Amérique qui s’est perdue et le saccage intérieur d’un homme qui ne sait plus comment vivre.

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Vos #AvisPolar

  • Mes Carnets Litteraires 5 août 2022
    Atmore, Alabama - Alexandre Civico

    Ce livre, que je qualifierais de "roman d’ambiance", est très court et résolument mystérieux.
    Il y règne une atmosphère sombre et poisseuse.
    L’auteure nous emmène en Floride, mais on est bien loin du fameux "rêve américain" (ou ce qu’il en reste...). Ici, nous sommes au coeur de la Floride pauvre et crasseuse, au milieu des prostituées, des toxicos, de la violence et des armes à feu.
    L’histoire est un peu floue mais on devine l’essentiel à demi-mot, notamment lors de certains passages en italique.
    La fin est surprenante, un peu dfficile à interpréter mais ce roman noir est vraiment unique en son genre !

  • stokely 8 juillet 2021
    Atmore, Alabama - Alexandre Civico

    Il est difficile avec un récit si court de faire mouche à mes yeux surtout avec du roman noir, ou la plume trouve grâce à mes yeux ou cela n’est pas le cas. Ici la plume n’est pas désagréable à suivre mais je suis cependant resté totalement extérieure au récit.

    Nous suivons ici un jeune homme complétement paumé qui erre aux alentours d’une prison, il fait la rencontre d’une jeune femme mexicaine paumé elle aussi, je n’ai pas du tout trouvé le récit novateur il est même plutôt très cliché, l’action se déroulant dans le fin fond de l’Amérique profonde, la rencontre de ces deux personnes se faisant d’une manière plutôt classique pour ce type de roman.

    Une fin qui ne m’a pas emballé et un roman noir sans bon final je n’en vois pas tellement l’intérêt, un récit qui ne prend pas tellement de temps à lire vu son faible nombre de page mais pour lequel je ne garderai pas de souvenir durant un long moment.

  • emilie77400 26 février 2021
    Atmore, Alabama - Alexandre Civico

    J’avais de grandes espérances, je lis peu de romans noirs et celui-ci avait été chaudement recommandé par une booktubeuse que j’apprécie, alors j’ai tenté l’aventure.
    Hélas, tous les goûts sont dans la nature et ce livre n’a pas satisfait les miens.
    On y découvre un homme endeuillé, meurtri, qui semble effectuer un voyage vers une destination dont il ne semble pas vouloir revenir... L’histoire se passe à Atmore, ville de l’Amérique profonde, avec tous ses travers : racisme, drogue, prostitution... le raffinement n’est vraiment pas au programme.
    Notre héro semble obnubilé par la prison locale...on s’attend à quelque chose de grand, à une montée en puissance et puis... et puis... on se dit "tout ça pour ça ?".

  • Alex-Mot-à-Mots 4 décembre 2020
    Atmore, Alabama - Alexandre Civico

    Que vient chercher ce Français au royaume des rednecks, de l’ennui et des armes à feu ? Rien ne paraît l’intéresser sinon la prison, à l’écart de la ville, autour de laquelle il ne peut s’empêcher d’aller rôder…

    Et c’est là mon bémol pour cette lecture : je n’ai pas compris pourquoi il tenait absolument à entrer à l’intérieur.

    Je n’ai pas compris non plus pourquoi il cherchait absolument à se fair emal pour se sentir exister. Il y a d’autres moyeuns, à mon avis. Ou bien il ne sait pas comment exprimer sa douleur autrement qu’en se faisant du mal.

    Ceci dit, le roman m’a transporté en Alabama, pays des rednecks : tout est immense et plein de poussière ; les jours s’étirent interminablement.

    Parfois, en italique, nous lisons l’histoire du narrateur quand il était encore prof à Paris.

    On boit beaucoup de cafés et de bières, on mange beaucoup de donuts, les maisons sont délabrés et les hommes prêts à cogner.

    Dépaysant.

    Quelques citations :

    Ils (les politiciens) ont des gens pour ça. Pour avoir mal à leur place. Alors ils ne peuvent pas savoir ce qui est vrai. La réalité. Le réel, c’est quand on se cogne. (p.65)

    Tu vois, l’Amérique est là, dans le simulacre. Tous ces gens voient la copie mais ce n’est pas la copie. Ils veulent que ça soit la réalité alors c’est la réalité. Ils ferment leurs petits yeux et prient pour que ça soit vrai. (p.74)

    L’image que je retiendrai :

    Celle des champs de coton en fleurs.

    https://alexmotamots.fr/atmore-alabama-alexandre-civico/

  • IsaVP 11 octobre 2020
    Atmore, Alabama - Alexandre Civico

    A 48 ans, il décide de faire le trajet depuis Paris jusqu’à Atmore aux Etats-Unis. Pourtant il n’y a pas grand-chose dans cette petite ville d’Alabama, des champs de coton, un casino, une réserve d’indiens CREEKS et le pénitencier d’Holman. Et c’est cette prison qui a l’air d’être la seule raison de sa venue ici, et en particulier un détenu, enfermé dans le couloir de la mort.
    Une quête destructrice que n’empêcheront pas les femmes hors du commun qu’il rencontrera, Eve la prostituée droguée, Mae la mère d’un condamné et Betty la serveuse.
    Car rien ne pourra le sauver, lui qui au fond, se sent déjà mort depuis longtemps.
    Au fil de la fête populaire locale, l’histoire va s’éclaircir, mêlant le passé de cet inconnu aux instants d’insouciance des festivités.
    Un roman très sombre, qu’illuminent pourtant ces trois femmes, où l’on se sent envahir par la noirceur sans fond du personnage.
    On y retrouve l’ambiance pesante des villes rurales du Sud et l’écriture d’Alexandre CIVICO, à la fois nerveuse et poétique, s’inscrit bien dans la veine de la littérature américaine contemporaine.
    Un roman poignant et un grand auteur.

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