- Auteur : Alessandro Robecchi
- Traducteur : Agathe Lauriot & Paolo Bellomo
- Genre : Polar, Suspense
- Editeur : Éditions de l’Aube
- Date de sortie : 2 septembre 2021
- EAN : 9782815939218
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Résumé :
Carlo Monterossi, détective à ses heures perdues, est ravagé par la culpabilité : après avoir pris un verre avec Anna, une escort girl avec laquelle il a partagé un moment de surprenante sincérité, il est parti de chez elle sans fermer derrière lui, laissant le champ libre à un meurtrier tortionnaire. Les pistes suivies par la police semblent annoncer une intrigue d’une complexité effarante, mais Alessandro Robecchi la détricote avec habilité et malice, pour le plus grand bonheur de son lecteur. Son regard aiguisé sur la société milanaise et ses innombrables milieux nous offre une histoire où la pègre et les gens comme il faut s’avèrent aussi féroces les uns que les autres…
Source : Edition de l’Aube
« Si vous cherchez un bon polar, le voilà. » Il venerdì de La Repubblica
Mousquetaire11 3 juillet 2022
De rage et de vent - Alessandro Robecchi
Qu’on se le dise, Milan est une ville qui a toujours été épargnée par le vent. Quand celui-ci vient s’engouffrer dans les rues de cette capitale de la mode, cela n’annonce rien de bon... Est-ce que la découverte d’Anna, une escort-girl sauvagement assassinée et d’un concessionnaire retrouvé baignant dans son sang sont-ils à l’origine de ce phénomène inexplicable ?
Carlo, est la dernière personne à avoir vu Anna quelques heures avant sa mort. Ce producteur de télé-réalité désabusé et pleins de rage face à ce meurtre va se lancer dans les investigations avec le brigadier Ghezzy en repos forcé et son sous-brigadier Carella.
Seule la réponse et la justice sera la clef pour que le vent arrête de souffler !
Suite de "ceci n’est pas une chanson d’amour", ce 2ème tome peut se lire indépendamment du premier. Pourtant je pense que sa lecture me manquait car beaucoup de références concernant les personnages y sont faites. Même si j’adore les romans policiers à l’humour noir et caustique, mon intérêt pour lui est vite redescendu au bout d’une centaine de pages. C’est dommage qu’un courant d’air ait fait retomber ce soufflé qui avait l’air pourtant si beau et bon...