Club Sang

Profitez de toutes nos fonctionnalités et bénéficiez de nos OFFRES EXCLUSIVES en vous inscrivant au CLUB.

JE REJOINS LE CLUB SANG

Comme si de rien n’était - Barbara Abel

Club Sang

Inscrivez-vous ou connectez-vous pour pouvoir participer au Club !

9 #AvisPolar
1 enquêteur
l'a vu/lu
0 enquêteur
Veut la voir/lire

Résumé :

Adèle, maman d’un garçon de 8 ans et architecte d’intérieur, regarde, écoute, analyse tout ce qui l’entoure.

Car dans l’existence d’Adèle, chaque chose est à sa place, toujours. Elle règne sur sa vie, parlemente avec le destin, orchestre le hasard. Ce hasard qu’elle a appris à dompter et qui, elle ne le sait pas encore, est sur le point de lui exploser au visage.

À la sortie du cours de musique de son fils, elle rencontre le nouveau professeur de solfège, Hugues Lionel. Leurs regards se croisent. Hugues est troublé, il reconnaît Adèle, qu’il appelle pourtant Marie. Adèle quant à elle ne le reconnaît pas du tout et ne cache pas son malaise devant l’insistance du professeur. Contrairement à Adèle, dans la vie de Hugues rien n’est sous contrôle, et celui-ci se demande quand l’univers lui accordera un peu de répit. Depuis trois ans, il subit de lourdes déconvenues : la perte de son emploi précédent, une séparation, l’annonce de la maladie de son père… Et maintenant, cette femme. Qu’il pensait ne jamais revoir.

Pourquoi prétend-elle ne pas le reconnaître ? A-t-elle oublié ? Que cache-t-elle ?

L'œuvre vous intéresse ? Achetez-la chez nos partenaires !

En librairie

Et chez vos libraires indépendants

  • Acheter sur Jesoutiensmalibrairie.com
  • Acheter sur lalibrairie.com
  • Acheter sur Place des libraires

Vos #AvisPolar

  • Musemania 15 mai 2024
    Comme si de rien n’était - Barbara Abel

    Soyons chauvins, nous aussi les Belges ! Barbara Abel est une romancière belge, reine du thriller en général mais également du thriller psychologique. La suivant depuis plusieurs années, j’avais hâte de découvrir son dernier bouquin ! J’ai eu la chance de la rencontrer, en petit comité, un jour avant sa publication officielle et ainsi de parler de son nouvel opus.

    Ici, on fait la connaissance d’Adèle et Bertrand, un couple bourgeois vivant dans une banlieue assez cossue en compagnie de leur fils, Lucas. Un jour, en allant chercher son fils au cours de solfège, elle rencontre son professeur, Hugues Lionel qui dit la connaître et la prénommer Marie. Adèle est certaine de ne pas le connaître tandis que lui prétend l’avoir déjà rencontrée….

    De là commence une histoire sous haute tension, où le lecteur n’en mène pas large et veut à tout prix découvrir le lien qui unit ces deux personnes. J’ai vite été happée comme si – moi-même – je menais une enquête.

    Il est très intéressant de voir comment Barbara Abel défie ses protagonistes, somme toute ordinaires, comme peuvent l’être nos amis ou nos voisins et ensuite, leur faire vivre un total cauchemar, dans lequel personne ne voudrait se trouver. C’est cette banalité de la vie, des gens, des situations qu’elle choisit de décortiquer dans ses livres, qui touchent d’autant plus les lecteurs et dont Barbara Abel a fait sa marque de fabrique qui fonctionne terriblement bien…

    Ce livre est très travaillé sur la psychologie des protagonistes et j’ai vraiment apprécié l’écriture fluide et agréable si caractéristique de l’autrice. Elle ne manipule pas seulement ses personnages mais aussi ses lecteurs. Et ça, j’aime beaucoup !

    Vous l’aurez donc compris ; je vous conseille vivement ce dernier livre de Barbara Abel : « Comme si de rien n’était ».

  • L’atelier de Litote 12 mai 2024
    Comme si de rien n’était - Barbara Abel

    Dans son dernier roman, Barbara Abel nous plonge avec brio dans les tréfonds d’une famille apparemment ordinaire. Ses thrillers sont toujours prenant émotionnellement et traite de thèmes universels. Derrière les façades bien rangées se cachent en réalité des non-dits, des secrets inavoués et des blessures mal refermées. L’autrice excelle à disséquer avec finesse les relations familiales, mettant en lumière les failles et les fragilités de chacun des personnages. On ne peut que saluer son talent pour camper des protagonistes attachants et véridiques, dans lesquels chaque lecteur pourra se reconnaître un peu. Le récit s’articule autour de la figure centrale d’ Adèle, une femme mariée et mère d’un petit garçon et qui semble avoir tout pour être heureuse. Pourtant, la rencontre avec Hugues, le professeur de solfège de son fils vient bouleverser son équilibre et la force à regarder en face les erreurs du passé.
    À travers ce prisme intimiste, Barbara Abel aborde avec justesse des thèmes où chacun peut se reconnaître comme les secrets , les non-dits, la culpabilité, la famille et de beaux passages sur la maladie d’Alzheimer. Son écriture ciselée nous happe dès les premières pages pour ne plus nous lâcher. Un thriller psychologue qui nous emporte sur plusieurs générations pour mieux comprendre l’effet délétère de certains secrets de famille. L’autrice navigue avec aisance entre les différents points de vue, nous faisant saisir toute la complexité de la vie des protagonistes. On ne peut que s’attacher à ces antihéros imparfaits et qui ont tous quelque chose à cacher, mais par là même, tellement humains. Une écriture tout en retenue avec un démarrage plutôt lent mais qui peu à peu se densifie jusqu’au final aussi inattendu que ravageur. Une fois refermé, ce roman continue de résonner en nous, porté par des personnages qui nous hantent bien après la dernière page tournée.

    http://latelierdelitote.canalblog.com/2024/04/comme-si-de-rien-n-etait.html

  • L’atelier de Litote 12 mai 2024
    Comme si de rien n’était - Barbara Abel

    Dans son dernier roman, Barbara Abel nous plonge avec brio dans les tréfonds d’une famille apparemment ordinaire. Ses thrillers sont toujours prenant émotionnellement et traite de thèmes universels. Derrière les façades bien rangées se cachent en réalité des non-dits, des secrets inavoués et des blessures mal refermées. L’autrice excelle à disséquer avec finesse les relations familiales, mettant en lumière les failles et les fragilités de chacun des personnages. On ne peut que saluer son talent pour camper des protagonistes attachants et véridiques, dans lesquels chaque lecteur pourra se reconnaître un peu. Le récit s’articule autour de la figure centrale d’ Adèle, une femme mariée et mère d’un petit garçon et qui semble avoir tout pour être heureuse. Pourtant, la rencontre avec Hugues, le professeur de solfège de son fils vient bouleverser son équilibre et la force à regarder en face les erreurs du passé.
    À travers ce prisme intimiste, Barbara Abel aborde avec justesse des thèmes où chacun peut se reconnaître comme les secrets , les non-dits, la culpabilité, la famille et de beaux passages sur la maladie d’Alzheimer. Son écriture ciselée nous happe dès les premières pages pour ne plus nous lâcher. Un thriller psychologue qui nous emporte sur plusieurs générations pour mieux comprendre l’effet délétère de certains secrets de famille. L’autrice navigue avec aisance entre les différents points de vue, nous faisant saisir toute la complexité de la vie des protagonistes. On ne peut que s’attacher à ces antihéros imparfaits et qui ont tous quelque chose à cacher, mais par là même, tellement humains. Une écriture tout en retenue avec un démarrage plutôt lent mais qui peu à peu se densifie jusqu’au final aussi inattendu que ravageur. Une fois refermé, ce roman continue de résonner en nous, porté par des personnages qui nous hantent bien après la dernière page tournée.

    http://latelierdelitote.canalblog.com/2024/04/comme-si-de-rien-n-etait.html

  • angelita 11 mai 2024
    Comme si de rien n’était - Barbara Abel

    Comme si de rien n’était de Barbara Abel, présentation
    Un quartier huppé où il fait bon vivre. Mais une maison attire tous les regards, celle des Moreau où vit un petit garçon. L’employée de maison trouve la maîtresse de maison assassinée dans son lit. Le mari a disparu mais il est très vite retrouvé et avoue le meutre.

    Avis Comme si de rien n’était de Barbara Abel
    Que se passe-t-il quand les portes des maisons cossues sont fermées ?

    Je n’arrive pas à savoir si Adèle est vraiment victime de son mari ou si elle est une manipulatrice. Si elle est réellement victime de violences psychologiques comme cela est sous entendu, Barbara Abel a, malheureusement, pas assez détaillé. Par conséquent, je penche pour la deuxième version. Adèle semble heureuse en ménage. Elle et son mari ont réussi professionnellement. Ils ont un petit garçon qui ne se lie pas facilement. Il ne montre pas ses émotions, même avec ses parents. Il ne se livre pas, préfère rester dans son monde imaginaire. Il transgresse certaines lois et peut être prompt à de grosses colères, même s’il arrive à la canaliser, même à son âge. Adèle sait que son mari ne supporte pas le mensonge. Leurs disputes peuvent être énormes, épiques et il peut se passer des jours avant qu’ils ne fassent pas la paix. Adèle veut vivre dans le regard de son homme, elle est dépendante de lui, elle recherche l’admiration dans son regard, dans ses gestes, pour éprouver de l’estime d’elle-même. Pour se punir, le punir, à chaque dispute, Adèle trompe son mari. Est-ce que cela lui fait un bien fou ? Le passé va lui revenir comme un boomerang car le professeur de musique de son fils, Lionel, reconnait cette femme avec qui il a vécu un coup d’un soir. Mais cela ne s’arrête pas là. Pour éviter les fortes disputes, les semaines sans échanges, Adèle préfère avouer des crimes non commis à son mari. Mais cela la ronge. Comment se sortir de cette possible révélation, comment se sortir de ce que Lionel lui impose ? Elle profitera des opportunités qui lui sont offertes.

    Avec cette histoire de paternité, Adèle va tout faire pour protéger sa famille, son fils et elle-même. Elle n’y croit pas au début, n’y croira pas mais elle acceptera les demandes. Ce seront des nuits sans sommeil, des journées à se torturer afin que son secret ne soit pas dévoilé. Et le drame se joue en huit-clos avec trois personnes et un enfant qui se cache en haut des escaliers et qui a tout vu et entendu. Sa mère ne pourra rien y faire, à part se sauver elle-même des rouages judiciaires et tenter de vivre sa vie avec ce drame qui s’est passé.

    Bertrand, le mari d’Adèle, se sent supérieur à elle. Il a pris une revanche sur son passé de petit garçon harcelé. Il ne supporte pas le mensonge et sa vie se doit d’être idyllique. Il essaie de mener tout le monde à la baguette. Rien ne doit casser ce cadre. Il sait ce qu’il risque avec ce drame et il demande à sa femme de choisir.

    Pour Hugues Lionel, cette rencontre avec Adèle, soit Marie, pour lui, ce sera une véritable obsession. De son côté, il vit un drame. Son père est atteint de la maladie d’Alzheimer et il n’est pas préparé à affronter ce pan de sa vie. A 40 ans, le fait de comprendre qu’il a un fils va forcément changer sa vie. Il va vouloir s’immiscer dans la vie de son fils pour créer un lien. Mais il n’a pas du tout élevé cet enfant et la justice ne pourra pas lui donner raison, car son fils ne manque de rien, sa famille ne le brutalise pas.

    Et qu’en est-il de ce petit garçon de même pas 10 ans ? En définitive, tout tourne autour de lui. Lucas a toujours été un petit garçon secret. Sa mère, Adèle, s’en est beaucoup inquiété. Elle aurait voulu partager beaucoup plus de choses avec lui, qu’il soit beaucoup plus tendre. Mais Lucas s’enferme dans son monde, il est réservé, il est souvent très loin. Il a peu d’amis. Il ne supporte pas l’injustice. Il tente de juguler ses profondes colères. Et il se fait ses propres opinions car il se cache quand il y a des disputes et il entend tout.

    Barbara Abel commence son roman par un meurtre. Elle va revenir avant ce meurtre et raconter l’histoire d’Adèle et de Hugues, en trompant bien son lecteur. Mais cela s’arrête franchement là pour moi. J’aime beaucoup certains romans de Barbara Abel, mais d’autres, comme celui-ci ne sont pas étoffés, je ne les comprends pas. Je comprends toutefois que le drame d’ouverture a bien un point d’ancrage. Des secrets sont toujours présents dans les familles. Les enfants en pâtissent bien souvent et ne peuvent pas grandir, avoir confiance en eux, pour vivre leur propre vie. Un roman qui ne me laissera pas un souvenir impérissable. Dommage.

  • angelita 11 mai 2024
    Comme si de rien n’était - Barbara Abel

    Comme si de rien n’était de Barbara Abel, présentation
    Un quartier huppé où il fait bon vivre. Mais une maison attire tous les regards, celle des Moreau où vit un petit garçon. L’employée de maison trouve la maîtresse de maison assassinée dans son lit. Le mari a disparu mais il est très vite retrouvé et avoue le meutre.

    Avis Comme si de rien n’était de Barbara Abel
    Que se passe-t-il quand les portes des maisons cossues sont fermées ?

    Je n’arrive pas à savoir si Adèle est vraiment victime de son mari ou si elle est une manipulatrice. Si elle est réellement victime de violences psychologiques comme cela est sous entendu, Barbara Abel a, malheureusement, pas assez détaillé. Par conséquent, je penche pour la deuxième version. Adèle semble heureuse en ménage. Elle et son mari ont réussi professionnellement. Ils ont un petit garçon qui ne se lie pas facilement. Il ne montre pas ses émotions, même avec ses parents. Il ne se livre pas, préfère rester dans son monde imaginaire. Il transgresse certaines lois et peut être prompt à de grosses colères, même s’il arrive à la canaliser, même à son âge. Adèle sait que son mari ne supporte pas le mensonge. Leurs disputes peuvent être énormes, épiques et il peut se passer des jours avant qu’ils ne fassent pas la paix. Adèle veut vivre dans le regard de son homme, elle est dépendante de lui, elle recherche l’admiration dans son regard, dans ses gestes, pour éprouver de l’estime d’elle-même. Pour se punir, le punir, à chaque dispute, Adèle trompe son mari. Est-ce que cela lui fait un bien fou ? Le passé va lui revenir comme un boomerang car le professeur de musique de son fils, Lionel, reconnait cette femme avec qui il a vécu un coup d’un soir. Mais cela ne s’arrête pas là. Pour éviter les fortes disputes, les semaines sans échanges, Adèle préfère avouer des crimes non commis à son mari. Mais cela la ronge. Comment se sortir de cette possible révélation, comment se sortir de ce que Lionel lui impose ? Elle profitera des opportunités qui lui sont offertes.

    Avec cette histoire de paternité, Adèle va tout faire pour protéger sa famille, son fils et elle-même. Elle n’y croit pas au début, n’y croira pas mais elle acceptera les demandes. Ce seront des nuits sans sommeil, des journées à se torturer afin que son secret ne soit pas dévoilé. Et le drame se joue en huit-clos avec trois personnes et un enfant qui se cache en haut des escaliers et qui a tout vu et entendu. Sa mère ne pourra rien y faire, à part se sauver elle-même des rouages judiciaires et tenter de vivre sa vie avec ce drame qui s’est passé.

    Bertrand, le mari d’Adèle, se sent supérieur à elle. Il a pris une revanche sur son passé de petit garçon harcelé. Il ne supporte pas le mensonge et sa vie se doit d’être idyllique. Il essaie de mener tout le monde à la baguette. Rien ne doit casser ce cadre. Il sait ce qu’il risque avec ce drame et il demande à sa femme de choisir.

    Pour Hugues Lionel, cette rencontre avec Adèle, soit Marie, pour lui, ce sera une véritable obsession. De son côté, il vit un drame. Son père est atteint de la maladie d’Alzheimer et il n’est pas préparé à affronter ce pan de sa vie. A 40 ans, le fait de comprendre qu’il a un fils va forcément changer sa vie. Il va vouloir s’immiscer dans la vie de son fils pour créer un lien. Mais il n’a pas du tout élevé cet enfant et la justice ne pourra pas lui donner raison, car son fils ne manque de rien, sa famille ne le brutalise pas.

    Et qu’en est-il de ce petit garçon de même pas 10 ans ? En définitive, tout tourne autour de lui. Lucas a toujours été un petit garçon secret. Sa mère, Adèle, s’en est beaucoup inquiété. Elle aurait voulu partager beaucoup plus de choses avec lui, qu’il soit beaucoup plus tendre. Mais Lucas s’enferme dans son monde, il est réservé, il est souvent très loin. Il a peu d’amis. Il ne supporte pas l’injustice. Il tente de juguler ses profondes colères. Et il se fait ses propres opinions car il se cache quand il y a des disputes et il entend tout.

    Barbara Abel commence son roman par un meurtre. Elle va revenir avant ce meurtre et raconter l’histoire d’Adèle et de Hugues, en trompant bien son lecteur. Mais cela s’arrête franchement là pour moi. J’aime beaucoup certains romans de Barbara Abel, mais d’autres, comme celui-ci ne sont pas étoffés, je ne les comprends pas. Je comprends toutefois que le drame d’ouverture a bien un point d’ancrage. Des secrets sont toujours présents dans les familles. Les enfants en pâtissent bien souvent et ne peuvent pas grandir, avoir confiance en eux, pour vivre leur propre vie. Un roman qui ne me laissera pas un souvenir impérissable. Dommage.

  • lillybouquine 4 mai 2024
    Comme si de rien n’était - Barbara Abel

    Adèle est une jeune femme énigmatique dont la personnalité interroge, maman d’un petit Lucas tout aussi insaisissable.Bertrand son papa est lui aussi un personnage ambivalent, le couple en apparence heureux semble dissimuler avec beaucoup d’habileté de profondes fêlures, et un secret de famille se dévoile dès les premières pages. Lorsque Adèle croise Hugues le nouveau professeur de solfège , celui ci la reconnait immédiatement. Dans son souvenir elle s’appelle Marie ils ont vécu une torride nuit d’amour 8 ans auparavant. Immédiatement dans la tête de Hugues un déclic, une fixation un engrenage meurtrier s’engage jusqu’au drame.

    Je vous avoue qu’en débutant ce roman je n’aurais jamais pensé en écrire une chronique en demi teinte. Dès les premières lignes on retrouve la plume si caractéristique de Barbara Abel, des personnages complexes à l’apparence parfaite mais à l’âme noire, on devine le drame, on effleure du doigt les contours d’une histoire macchiavélique, on sent poindre une atmosphère moribonde, mais d’un coup tout retombe comme un soufflet.

    J’avais à la lecture du résumé imaginé et espéré une montée en puissance jusqu’à l’explosion ultime , mais je n’ai pas ressenti ce que j’aurais voulu.

    J’avais tellement aimé les fêlures qui est un de mes thrillers préférés, et j’ai dès les premières lignes pensé retrouver la violence sous jacente de Derrière la haine, je m’attendais à suffoquer avec Adèle, à souffrir avec Lucas,je me suis accroché à toutes ces émotions que Barbara Abel fait d’ordinaire naître en moi et je n’ai pas éprouvé de peur, je n’ai pas eu d’empathie pour les personnages et je pense être complètement passée à côté du roman ce qui me désole.

    Je reconnais par contre que la plume est addictive et si je connaissais pas aussi bien l’autrice j’aurais surement plongé dans cette histoire. Le coup de coeur sera pour le prochain.
    Vu les très bonnes critiques de ce roman je vous conseille de le découvrir.

  • lillybouquine 4 mai 2024
    Comme si de rien n’était - Barbara Abel

    Adèle est une jeune femme énigmatique dont la personnalité interroge, maman d’un petit Lucas tout aussi insaisissable.Bertrand son papa est lui aussi un personnage ambivalent, le couple en apparence heureux semble dissimuler avec beaucoup d’habileté de profondes fêlures, et un secret de famille se dévoile dès les premières pages. Lorsque Adèle croise Hugues le nouveau professeur de solfège , celui ci la reconnait immédiatement. Dans son souvenir elle s’appelle Marie ils ont vécu une torride nuit d’amour 8 ans auparavant. Immédiatement dans la tête de Hugues un déclic, une fixation un engrenage meurtrier s’engage jusqu’au drame.

    Je vous avoue qu’en débutant ce roman je n’aurais jamais pensé en écrire une chronique en demi teinte. Dès les premières lignes on retrouve la plume si caractéristique de Barbara Abel, des personnages complexes à l’apparence parfaite mais à l’âme noire, on devine le drame, on effleure du doigt les contours d’une histoire macchiavélique, on sent poindre une atmosphère moribonde, mais d’un coup tout retombe comme un soufflet.

    J’avais à la lecture du résumé imaginé et espéré une montée en puissance jusqu’à l’explosion ultime , mais je n’ai pas ressenti ce que j’aurais voulu.

    J’avais tellement aimé les fêlures qui est un de mes thrillers préférés, et j’ai dès les premières lignes pensé retrouver la violence sous jacente de Derrière la haine, je m’attendais à suffoquer avec Adèle, à souffrir avec Lucas,je me suis accroché à toutes ces émotions que Barbara Abel fait d’ordinaire naître en moi et je n’ai pas éprouvé de peur, je n’ai pas eu d’empathie pour les personnages et je pense être complètement passée à côté du roman ce qui me désole.

    Je reconnais par contre que la plume est addictive et si je connaissais pas aussi bien l’autrice j’aurais surement plongé dans cette histoire. Le coup de ❤️sera pour le prochain.
    Vu les très bonnes critiques de ce roman je vous conseille de le découvrir.

  • Kamiyu-chan 4 mai 2024
    Comme si de rien n’était - Barbara Abel

    J’ai découvert Barbara Abel avec Derrière la haine. C’est peu dire que j’avais adoré ce roman. Quand j’ai vu qu’elle avait écrit un nouveau roman, je me suis littéralement jetée dessus pour le plus le lâcher avant de l’avoir fini. Comme si de rien n’était est un très bon thriller psychologique comme je les aime.

    Les apparences sont systématiquement trompeuses et tous les personnages ont quelque chose à cacher ou une part d’ombre. Très vite, on pense les avoir cerné puis, alors que l’intrigue avance, on se rend compte de son erreur. Leur psychologie est disséquée avec minutie, apportant beaucoup de noirceur à une famille qui semble en tout point idéale. La maison de rêve d’Adèle devient presque une prison tant l’ambiance est pesante, lourde et angoissante.

    Avec sa plume toujours aussi fluide et addictive, Barbara Abel maîtrise parfaitement l’art de manipuler son lecteur. Le rythme assez lent n’empêche pas le suspense de monter crescendo, alors que l’on sent bien qu’un drame va arriver, jusqu’à un dénouement aussi noir, explosif que savoureux. Les multiples rebondissements, le suspense à couper au couteau ainsi que l’intrigue bien retorse rendent cette lecture hautement addictive.

    Pour conclure, Barbara Abel nous offre un nouveau roman addictif qui se lit d’une traite. C’est toujours un plaisir d’entrer dans ses histoires et de me laisser mener en bateau.

  • Cindymartin.13 3 mai 2024
    Comme si de rien n’était - Barbara Abel

    Adèle est une femme et une mère de famille au quotidien bien ordonnée.
    Luca, son fils, est un enfant un peu spécial et s’inquiète beaucoup pour lui tout le contraire de Bertrand le père.
    Le nouveau professeur de solfège de Luca, Mr Hugues Lionel pense reconnaître Adèle ou plutôt Marie, pourquoi prêtant-elle le contraire ?
    Les erreurs du passé refont surface quand on s’y attend le moins, mais peut-on indéfiniment faire Comme Si De Rien N’était ?

    Un roman psychologique envoûtant par les apparences trompeuses de ce cocon familial un peu trop parfait bien que Luca n’exprime aucun sentiment et reste en retrait d’à peu près tout.
    Le nouveau professeur de Luca va faire effondrer la plénitude de la famille Moreau.
    Le récit est merveilleusement bien écrit par la plume de l’autrice aussi fluide qu’incisive.
    Je me suis immédiatement attaché à Adèle, tout l’inverse avec Bertrand, un homme, complètement déstabilisant par son caractère.
    Le professeur Hugues m’a émue par son quotidien et ses problèmes, mais il est devenu très horipilan à mon goût par la suite.
    L’histoire m’a tenue en haleine jusqu’à un certain moment, certains choix ne m’ont malheureusement pas convaincu.
    Ceci dit ce roman se dévore par des révélations inattendues.

    Un rythme constant et plaisant qui nous entraîne dans une spirale infernale.
    Le final est sympathique même si je l’ai trouvé un peu trop vite expédié.
    Une bonne lecture, cependant, il m’a manqué une certaine dose d’adrénaline et de frisson pour être véritablement conquise.

    Je vous recommande fortement de vous faire votre propre avis pour échanger par la suite.

Votre #AvisPolar

Votre note :
Forum sur abonnement

Pour participer à ce forum, vous devez vous enregistrer au préalable. Merci d’indiquer ci-dessous l’identifiant personnel qui vous a été fourni. Si vous n’êtes pas enregistré, vous devez vous inscrire.

ConnexionS’inscriremot de passe oublié ?

Bepolar.fr respecte les droits d’auteur et s’est toujours engagé à être rigoureux sur ce point, dans le respect du travail des artistes que nous cherchons à valoriser. Les photos sont utilisées à des fins illustratives et non dans un but d’exploitation commerciale. et nous veillons à n’illustrer nos articles qu’avec des photos fournis dans les dossiers de presse prévues pour cette utilisation. Cependant, si vous, lecteur - anonyme, distributeur, attaché de presse, artiste, photographe constatez qu’une photo est diffusée sur Bepolar.fr alors que les droits ne sont pas respectés, ayez la gentillesse de contacter la rédaction. Nous nous engageons à retirer toutes photos litigieuses. Merci pour votre compréhension.