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L’Ame du mal - Maxime Chattam

Enquêteurs qui l'ont lu

Nofret

1 #AvisPolar / 54 notes

Son #AvisPolar sur L’Ame du mal - Maxime Chattam

Joshua Brolin, inspecteur - profileur, enquête sur un tueur en série, le bourreau de Portland. Alors que ce tueur semblait avoir été mis hors jeu, de nouvelles victimes tuées avec son mode opératoire sont découvertes.

J’ai apprécié ce premier tome de la Trilogie du mal, l’intrigue avec l’Enfer de Dante en toile de fond, les personnages (en particulier Joshua et Juliette).
Le rythme est soutenu, le suspense, bien dosé ; les meurtres sont violents, les scènes de crimes détaillées, cela peut mettre un peu mal à l’aise certains lecteurs.

bernard11

1 #AvisPolar / 7 notes

Langevin

1 #AvisPolar

UnChatparmilesLivres

1 #AvisPolar / 7 notes

Cey Line

1 #AvisPolar / 3 notes

IRD79

1 #AvisPolar / 16 notes

leslecturesdecaroline

1 #AvisPolar / 105 notes

kris_k

1 #AvisPolar / 284 notes

Son #AvisPolar sur L’Ame du mal - Maxime Chattam

Alors âmes sensibles s’abstenir !
J’ai pourtant déjà lu des livres que je pensais dur, mais celui-ci dépasse tous ceux que j’ai déjà lu.
J’avoue avoir eu du mal à lire certains passages, et je me suis demandé si un tel monstre existait vraiment... et si on en avait déjà rencontré dans la rue sans le savoir !
Bref c’est un sujet effrayant mais également intéressant !
Les personnages sont attachants et on perçoit facilement ce qu’ils vivent
Ce fût mon premier Chattam et un de ceux que j’ai beaucoup aimé ! Si vous êtes fans du sujet tueurs en série, foncez !

Cocomilady

1 #AvisPolar / 427 notes

Olenya

1 #AvisPolar / 1 notes

Fanny Dbl

1 #AvisPolar / 113 notes

_bychloe

1 #AvisPolar / 16 notes

La_bibliojouille

1 #AvisPolar / 28 notes

LeoLab

1 #AvisPolar / 118 notes

Melvent

1 #AvisPolar / 1 notes

Ingrid Delormeau

1 #AvisPolar / 1 notes

cathy13600

1 #AvisPolar / 12 notes

Son #AvisPolar sur L’Ame du mal - Maxime Chattam

Celles ou ceux qui me suivent régulièrement connaissent la place particulière que tient Maxime Chattam dans ma bibliothèque. Depuis février 2018 où, grâce à sa trilogie sur la Section de Recherches de Paris, je découvrais en compagnie de @lireencore93420 un auteur talentueux, brillantissime, qui, malgré sa parfaite maîtrise des rouages du thriller, n’hésitait pas à sortir de sa zone de confort pour nous offrir avec « L’appel du Néant » une intrigue plus axée sur le documentaire. « Les arcanes du chaos » et « le signal » n’ont fait que conforter mon impression d’excellence. Au point que, comme Nathalie, je me demande s’il me décevra un jour.
Les louanges sur la trilogie du mal se succédant les unes aux autres sur les réseaux sociaux, je me devais de m’y essayer. Escortée de mon acolyte, Je décidais donc de faire route vers L’Âme du mal, premier opus de cette série paru en 2002 aux éditions Michel Lafon et qui a reçu le Grand Prix Sang d’Encre la même année. Motivée à l’idée de retrouver le romancier, je me lançais avec joie, curiosité et l’espoir de dénicher une perle éventuelle.
Très vite, dans une ambiance sombre sur un rythme trépidant, nous plongeons dans l’univers glauque, nauséabond des serial killers. J’ai alors su que je ne m’étais pas trompée. Je renouais avec le style si particulier, si envoûtant de l’auteur. Des heures de plaisir se profilaient.
Quelques jours plus tard, malgré la lourdeur et la barbarie du thème, je ressortais de cette lecture avec un sentiment de plénitude, conquise par l’ensemble, en ayant la certitude de continuer de lire ce maître du roman policier français.
Je souhaitais également savoir si ce tome 1, publié pour la première fois sous le pseudonyme de « Chattam », était digne de ses successeurs tant dans la distillation de l’horreur que dans l’intérêt ou encore dans la manière de mener l’intrigue. Je suis ravie ! C’est un coup d’essai réussi.
Bienvenue au purgatoire ! L’ancien étudiant en criminologie nous amène effectivement dans un monde aux esprits torturés où cohabitent le machiavélisme, l’insoutenable, l’abomination à l’état pur. Nous voyageons au cœur de la noirceur humaine.
Le corps d’une femme affreusement mutilée repêchée dans une rivière de Portland. Précédemment, deux autres cadavres découverts atrocement torturés. Voilà autant de cas curieux que l’on doit affronter lorsque l’on rencontre véritablement Joshua Brolin, inspecteur au sein de la police de cette grande ville de l’Oregon.
Rompu aux enquêtes délicates par sa capacité à cerner la nature criminelle, ce profileur transfuge du FBI se prépare pourtant au pire. Un tueur abattu semble avoir ressuscité, massacrant ses proies de manière rituelle, laissant des indices issus de la Divine Comédie.
Pas plus que sa jeune assistante, étudiante en psychologie, le jeune flic ne pense que les tueurs en série reviennent d’outre-tombe. Fût-il le monstrueux bourreau de Portland qui étouffait et vitriolait ses victimes avant de les découper avec précision. Mais il est mort et le carnage se poursuit, identique : un même cérémonial horrible. le nouveau criminel agit-il seul ou fait-il partie d’une secte ? Pure sauvagerie ou magie noire ? Brolin a peur. Cette affaire dépasse tout ce qu’on lui a enseigné. Aidé de sa comparse, il commence une enquête difficile. S’immerger complètement dans la psychologie d’un monstre, le comprendre afin de le cerner et de prévoir ses crimes, devenir un monstre soi-même, tels sont les moindres risques de son métier, tandis que la police scientifique et la médecine légale se perdent en conjectures.
Progressivement, va surgir un secret effroyable que nos limiers devront affronter au péril de leur âme. Quel est-il ? A quoi vont-ils se mesurer ? Les embûches seront-elles nombreuses ? Que vont-ils combattre ? Un psychopathe ? Une organisation ésotérique ? le diable ? Tomberont-ils en enfer ?
Pénétrez à votre tour dans cette Âme du mal qui ne vous laissera pas reprendre votre souffle et vous saurez…
Trame divisée en trois parties dans lesquelles l’homme de lettres incorpore, à chaque fois, de nouvelles composantes, de nouveaux rebondissements afin que nous spéculions sans cesse sur le dénouement ainsi que sur l’identité du coupable. Nous sommes pris d’entrée de jeu dans les mailles de cet ouvrage que nous ne pourrons plus lâcher.
Nous tentons aux côtés de nos héros d’élucider cette affaire complexe aux connotations d’occultisme.
Tout du long, nous alternons avec des périodes ténébreuses, d’autres d’investigations policières intenses sans oublier la touche de romantisme. Je n’en dévoilerai pas plus. 😉
En préface, Maxine nous indique qu’il a tenté d’écrire ce roman en étant le plus près possible de la réalité. Qu’elle dépasse la fiction. Au terme de cette épopée lugubre, je vous certifie qu’il dit vrai. En s’appuyant sur ses deux années d’analyse des méthodes de police scientifique, de physiologie, de médecine légale et de psychiatrie criminelle, il ne pouvait que nous offrir un écrit bluffant de réalisme, de justesse. Magistralement documenté, basé sur des explications non fastidieuses car simples et compréhensibles par tous. En décrivant avec force détails les différences scènes de violence, de torture, d’homicide, il ne nous épargne rien. L’atrocité n’a plus de limite. Nous rentrons dans la tête du meurtrier, nous devenons lui en quelque sorte, surtout après avoir lu les déductions de Brolin.
A travers une course poursuite menée sur le fil du rasoir, à la recherche de l’un des tueurs les plus célèbres et impitoyables. Grâce à des situations imprévisibles mais totalement réalistes, à une cadence effrénée, à une dose élevée de suspense et de morbide, M.C. a réussi à me donner ce que je recherche dans des romans de ce type : la peur, le frisson qui parcourt l’échine, celui qui vous empêche d’éteindre la lumière après avoir fermé le livre, celui qui vous fait voir une ombre qui en réalité n’est pas là, celle qui reste attachée à vous pendant longtemps.
L’ambiance monte en tension peu à peu au fil de l’avancée pour atteindre son paroxysme dans les derniers passages jusqu’à la chute finale. Chute finale stupéfiante que je n’avais nullement imaginée. Ici et là, je me suis doutée néanmoins de certains faits.
L’épilogue, quant à lui, est énigmatique et habillement amené. Je préciserai juste qu’il se termine sur une fin ouverte qui laisse place à des supputations diverses et variées. Je pense avoir compris dans les grandes lignes…
Plume fluide, agréable, tranchante qui sert le tempo effréné de l’histoire.
Les personnages, qu’en dire ?
Le duo d’enquêteurs, que je considère comme la clef de voûte de ce volet, est un binôme des plus attachants qu’il m’ait été donné de rencontrer. J’ai immédiatement éprouvé de l’affection de l’empathie pour eux. Ils sont intelligents, professionnels, pragmatiques et tellement courageux (surtout Juliette).
Joshua, jeune trentenaire d’une grande compétence, sûr de son savoir, n’est pas pour autant imbu de sa personne. Il écoute, accepte d’être contredit et ne refuse aucune aide. Il m’est également apparue comme un être gentil, sensible. Belle découverte !
Juliette possède une force de caractère incroyable. Volontaire, audacieuse, elle est, en outre, très cultivée. Elle épaule Brolin efficacement et précieusement. Leur entente sans pareil est remarquable. Jolie amitié avec Camelia.
Les protagonistes secondaires ne sont pas en reste. Tout en étant moins développés, j’ai aimé les accompagner. Ils sont, eux aussi, consciencieux, déterminés et attendrissants. J’ai eu un faible pour Larry Salhindro. Il possède un côté paternaliste qui m’a enchantée.
En conclusion, ce récit est l’occasion de faire connaissance avec l’ange du mal. C’est addictif, flippant (âmes sensibles s’abstenir) mais nous ne demandons qu’à poursuivre l’aventure à la fin.
Un des meilleurs livres, selon moi, de l’écrivain. Il accouche avec brio d’un scénario mélangeant l’horreur absolue avec une idylle des plus tendres.
Bien que ce bouquin soit brutal, ignoble par moment. Bien que les sujets qu’il traite ne soient pas des plus agréables, ni des plus faciles, nous apprenons beaucoup, au-delà des explications techniques et scientifiques. En clair, c’est du Chattam ! Un thriller psychologique que je qualifierai de sensationnel, qui possède le caractère sombre et sublime de l’oeuvre de Dante.
Mon avis : Une histoire parfaitement construite, parfaitement maîtrisée. Noire, macabre, angoissante au possible, hautement recommandée à tous les amateurs du genre. Aux lecteurs intéressés par la criminologie, la médecine légale, que les descriptions pointues ne rebutent pas. Si vous êtes concernés, des heures de plaisir vous attendent. Vous ne serez pas déçus. Sachez toutefois que vous devrez avoir les nerfs solides.
In Tenebiris 1, 2, 3 partez…

lireencore93420

1 #AvisPolar / 274 notes

Son #AvisPolar sur L’Ame du mal - Maxime Chattam

Joshua Brolin, profiler, qui préfère être sur le terrain que dans les bureaux du FBI, est sur l’affaire du bourreau de Portland, ou il sauve une victime de justesse, mais il va revenir encore plus fort, est ce que le talent de cet enquêteur seras encore à la hauteur ?
8e livre de cet auteur, je pense comme la plupart des personnes, cela va être mon préféré.
Joshua Brolin est fin profiler, il analyse tout, les scènes de crime, évidemment, mais aussi le moindre comportement du tueur, dans ce tome, il écrit, donc il scrute ce qu’il veut faire comprendre par ses mots. Il fait tout pour se mettre dans la peau de ce bourreau.
J’adore les histoires ou il y a des profileurs, leur analyse est généralement très précise, et tout est regarder à la loupe, c’est extrêmement intéressant.
Ce qui est passionnant dans ce tome, c’est le rôle de la victime qui va sauver, en début de récit, elle va prendre part à l’enquête et beaucoup aider Joshua, il y aura également un brin de sentimentaliste dans le livre, ça donne un peu de fraicheur, dans un récit qui reste assez dur.
Pour la trame en elle-même, l’auteur nous balade au cours de ses 594 pages, qu’on ne pourra jamais deviner, qu’elle va être l’issue.
J’ai vraiment adoré, c’est un gros coup de cœur, on retrouve la précision des détails de l’auteur surtout dans les scènes macabres, c’est un peu sa marque de fabrique, mais moi personnellement j’aime ça, on a vraiment l’impression d’être présent dans la pièce, on est réellement embarqué dans l’histoire.

Loudiebouhlis

1 #AvisPolar / 171 notes

Son #AvisPolar sur L’Ame du mal - Maxime Chattam

Tout d’abord, pour remettre les choses dans leur contexte, je suis une grande liseuse de thriller. Je pense pouvoir dire que c’est mon genre littéraire de prédilection, et au fil du temps, je deviens de plus en plus exigeante. J’ai découvert Maxime Chattam au mois d’Avril dernier avec sa saga Young Adult – SF. Et qu’elle ne fut pas ma surprise en découvrant que cet auteur a un certain talent pour capter l’attention de son lecteur.

Dés le début, on entre dans le vif du sujet en suivant le kidnapping de Juliette, en alternance, Josh Brolin, enquêteur à la police de Portland tente d’élucider des meurtres atroces de jeunes femmes, qui sont l’œuvres d’un tueur en série.

J’ai beaucoup aimé cette première partie où se succèdent les passages du tueur et du policier indépendamment de l’autre.

La totalité du roman sera construit de la sorte, nous permettant d’avoir deux visions de l’enquête ce qui nous aide à être rapidement, et surtout de façon addictive, imprégné dans l’histoire. On devient même un enquêteur à part entière dans cette histoire. Cependant le suspense reste à son comble, à aucun moment les passages où l’on suit le tueur en série, nous informe sur son identité. Quoi qu’il arrive, tout comme l’inspecteur Josh Brolin, nous ne comprendrons qu’à la toute fin.

C’est ce que j’aime avec les livres de Maxime Chattam. Celui-ci fait de son lecteur, un personnage à part entière. Afin de vous permettre de vivre l’histoire et de ressentir le dégoût lorsque c’est nécessaire, de l’agacement aussi, puis de la peine. Ou encore de la colère. Sans oublier la joie, par moment.

On débute par des petits chapitres, de deux à trois pages. Mystérieux, évasifs mais laissant présager des scènes macabres. Puis dans l’avancement du roman, les chapitres se développent, devenant de plus en plus long, avec un amas d’informations qui pourraient laisser sceptique. Cependant à aucun moment, la lecture ne m’est apparut comme longue. Bien au contraire.

J’ai d’ailleurs eu peur de cet afflue de détail de la part de l’auteur puis finalement, on se rend compte que c’est une construction de l’intrigue, mais surtout du dénouement.

Les quelques points qui m’ont dérangés lors de ma lecture, ont été optimisés à la perfection, transformant ces points négatifs en positifs.

Je terminerais par dire que ce premier tome de « La trilogie du mal » est une lecture incroyable, surprenante à souhait, qui balade son lecteur tout en l’incluant dans l’évolution de l’histoire. Ce qui rend la lecture clairement addictifs. Six cents pages qu’on ne voit pas défiler.

Cependant avis aux âmes sensibles, tout comme la totalité du roman, la description des meurtres ou état des cadavres peut se révéler choquante, parfois même mettre mal à l’aise.

Coup de cœur.

lecturesdudimanche

1 #AvisPolar / 312 notes

Son #AvisPolar sur L’Ame du mal - Maxime Chattam

Depuis toujours, il existe un nom incontournable dans la littérature noire française : Maxime Chattam ! Bien consciente de cet état de fait, j’avais, il y a deux ans de cela, décidé d’aller à la rencontre de l’auteur en me lançant dans « Le Coma des Mortels » ! Grand mal m’en a pris car, en plus d’avoir détesté (ma chronique ici), j’ai totalement fermé la porte à l’auteur !

Sauf qu’ils étaient nombreux, sur la blogosphère, à épiloguer sur ce titre hors-normes qui divisait même les « Chattamien ». Je me suis donc dit : Allons, sortons de cet extrémisme et laissons une chance à l’auteur ! Voilà donc plusieurs mois que je me ballade avec la trilogie du Mal dans ma liseuse. Et le soleil de Samos m’a semblé l’endroit idéal pour ranger mes préjugés et repartir d’une page blanche avec l’auteur !

Et cette fois, j’ai compris ! J’ai reconnu la patte d’un auteur qui peut vite rendre ses lecteurs addicts. Evidemment, côté histoire, j’ai un peu regretté quelques raccourcis et quelques thèmes trop évidents, mais rien qui ternisse vraiment ma lecture !

Juliette est une miraculée : kidnappée par un tueur en série extrêmement violent (baptisé le boucher de Portland quand même, ça situe…), elle s’en sort in extremis grâce à l’intervention d’un flic, ex-agent de l’Unité des Sciences du Comportement de Quantico (ouais ouais, celle-là même qui habite les supers profilers !). Celui-ci met une balle dans la tête du bourreau. Rideau. L’ordure est morte et la Belle est vivante ! Traumatisée, mais vivante !

Un an plus tard, la jolie Juliette met tout en oeuvre pour s’en sortir, et ce avec l’aide de « son » super-flic, Joshua Brolin. C’est l’instant que choisit un copycat pour se mettre à massacrer des gens avec la même hargne, mais surtout le même mode opératoire que le défunt boucher.

Démarre alors une course contre la montre pour comprendre qui, pourquoi, mais surtout comment se fait-il que toutes les preuves ramènent les flics sur les traces d’un mort ?

Evidemment, la belle Juliette a à cœur de ne pas revivre un enfer et elle décide donc, contre toute attente, d’aller elle aussi à la traque de l’assassin, sa santé mentale en dépendant !

Donc, vous l’aurez compris, on a ici un condensé de tout ce que j’aime : une bonne dose d’hémoglobine, un très bon flic (et même pas vieux, alcoolo ou border-line ! Sissi, je vous jure !), une héroïne courageuse, des méchants ultra violents (et timbrés, aussi…), de l’action rapide et des éléments qui s’enchaînent. Comme je le disais, Chattam a malheureusement usé des cordes un peu trop habituelles pour les fans du genre (quoique, la première parution date quand même de 2002, il n’est pas improbable qu’il était, à l’époque, un pionnier !) mais le tout dans une dynamique d’écriture bien dosée, alternant enquêtes, sentiments, incompréhension, recherches et le tout avec une approche assez profonde des personnages.

Me voilà réconciliée avec Chattam ! Et même désireuse d’aller plus loin, puisque les dernières lignes de ce tome I sont la promesse de nouvelles aventures bien sanglantes !

Nahjka

1 #AvisPolar / 10 notes

unevietoutesimple

1 #AvisPolar / 176 notes

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