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La conjuration primitive - Maxime Chattam

Enquêteurs qui l'ont lu

Musemania

1 #AvisPolar / 417 notes

Son #AvisPolar sur La conjuration primitive - Maxime Chattam

Après l’échec cuisant de ma dernière entrevue avec Maxime Chattam et son dernier opus « Lux » (voir ma chronique sur mon blog), je n’avais pas envie de rester sur une mauvaise note.

A l’occasion de sa dernière parution au format « poche » avec le tome IV (sur IV) des aventures de Ludivine Vancker, « La constance du prédateur », j’ai eu la chance de partager un moment privilégié en la compagnie de l’auteur et de trois amis blogueurs et instagrammeurs : Nathalie du compte Instagram et du blog @Mes lectures du dimanche (même alias sur Instagram), Frédéric Ernotte de @La Boîte et aussi auteur, Pascale du compte Instagram @Entre deux pages ainsi que Thibault du compte Instagram et blog @Le Belge qui lit. Toute cela avait été orchestré par le trio magique de l’Iris Noir et grâce aux Editions Pocket.

Je me suis, dès lors, dit que c’était l’occasion de lire cette quadriplégie dans l’ordre et donc, de débuter par le commencement avec « La Conjuration primitive ».

Là, j’ai pu y retrouver la plume bien noire et acérée de Maxime Chattam, comme je l’aime tant. Je l’ai dévorée littéralement (le livre bien sûr, pas l’auteur hein !) les pages montant crescendo…

De nombreuses surprises et rebondissement égrènent l’enquête policière, au point que le lecteur a l’impression de la ” vivre ” lui aussi. Chaque détail a été pensé et réfléchi ; rien n’est laissé au hasard et ça, j’apprécie beaucoup !

Bien entendu, Maxime Chattam aime se jouer de ses lecteurs et ce livre en est l’exemple criant. Page-turner incontournable de la bibliographie de l’auteur, je l’ai adoré de bout en bout…

Tellement heureuse de retrouver à nouveau les éléments que j’aime chez cet auteur, je ne peux que vous le conseiller très vivement.

Musemania

1 #AvisPolar / 417 notes

Son #AvisPolar sur La conjuration primitive - Maxime Chattam

Après l’échec cuisant de ma dernière entrevue avec Maxime Chattam et son dernier opus « Lux » (voir ma chronique sur mon blog), je n’avais pas envie de rester sur une mauvaise note.

A l’occasion de sa dernière parution au format « poche » avec le tome IV (sur IV) des aventures de Ludivine Vancker, « La constance du prédateur », j’ai eu la chance de partager un moment privilégié en la compagnie de l’auteur et de trois amis blogueurs et instagrammeurs : Nathalie du compte Instagram et du blog @Mes lectures du dimanche (même alias sur Instagram), Frédéric Ernotte de @La Boîte et aussi auteur, Pascale du compte Instagram @Entre deux pages ainsi que Thibault du compte Instagram et blog @Le Belge qui lit. Toute cela avait été orchestré par le trio magique de l’Iris Noir et grâce aux Editions Pocket.

Je me suis, dès lors, dit que c’était l’occasion de lire cette quadriplégie dans l’ordre et donc, de débuter par le commencement avec « La Conjuration primitive ».

Là, j’ai pu y retrouver la plume bien noire et acérée de Maxime Chattam, comme je l’aime tant. Je l’ai dévorée littéralement (le livre bien sûr, pas l’auteur hein !) les pages montant crescendo…

De nombreuses surprises et rebondissement égrènent l’enquête policière, au point que le lecteur a l’impression de la ” vivre ” lui aussi. Chaque détail a été pensé et réfléchi ; rien n’est laissé au hasard et ça, j’apprécie beaucoup !

Bien entendu, Maxime Chattam aime se jouer de ses lecteurs et ce livre en est l’exemple criant. Page-turner incontournable de la bibliographie de l’auteur, je l’ai adoré de bout en bout…

Tellement heureuse de retrouver à nouveau les éléments que j’aime chez cet auteur, je ne peux que vous le conseiller très vivement.

virginie Libercier

1 #AvisPolar / 1 notes

kris_k

1 #AvisPolar / 284 notes

ju_se_livre

1 #AvisPolar / 185 notes

Son #AvisPolar sur La conjuration primitive - Maxime Chattam

Une histoire captivante, du suspense insoutenable, des personnages attachants, des crimes à faire frissonner d’angoisse et des "oh p****n c’est pas vrai !!", voilà comment résumer ma lecture. JE SUIS FAN !

J’aime quand on rentre directement dans le vif du sujet parce qu’attention, l’auteur ne passe pas par quatre chemins. Il met les pieds dans le plat dès les premiers chapitres. Et sincèrement pendant une bonne partie du livre je me suis demandée mais c’est quoi ce bordel ?? Impossible de trouver le pourquoi du comment de tous ces crimes qui s’enchaînent dans un déferlement de violence, plus atroces les uns que les autres comme une sorte de jeu entre plusieurs tueurs. Et l’épidémie va s’étendre et s’amplifier.

Maxime Chattam explore la face plus qu’obscure de l’homme et le fait parfaitement bien.

La liseuse heureuse

1 #AvisPolar / 291 notes

Loudiebouhlis

1 #AvisPolar / 171 notes

Son #AvisPolar sur La conjuration primitive - Maxime Chattam

Encore une fois, Maxime Chattam nous emporte sans préambule dans les pires horreurs que l’homme est capable de réaliser. Quand on connait Chattam, on sait qu’il faut être prêt à lire des choses qui parfois ne seront pas faites pour protéger la fragilité du lecteur. Bien au contraire et c’est d’un réalisme surprenant. Et c’est probablement ce qu’il y a de pire dans ses écrits, de savoir que ça pourrait être réel.

Ici, nous suivons Alexis Timée, un gendarme qui se retrouve à la tête d’une équipe d’enquêteurs afin d’investiguer sur de mystérieux meurtres. Parmi tous ces meurtres, une similitude, une signature celle d’un « *e ». Très vite, Alexis et son équipe en déduise qu’il s’agit d’un groupe de tueurs en série agissant pour une cause. Mais laquelle ? Et au nom de quoi ? Et surtout qu’elles sont les limites de cette cause ? Beaucoup de questions qui vont mener Alexis et son équipe au quatre coins du monde. 

Au tout début, je dois reconnaître avoir eu du mal à m’accrocher. Mais comme tous les livres de cet auteur, celui-ci prend le temps de développer son intrigue, son décor et surtout ses personnages. Maxime Chattam est quelqu’un de minutieux et d’organiser. Tel une araignée, il tisse sa toile. Dans ces romans, il tisse son intrigue permettant au lecteur de pouvoir se projeter sans grands soucis dans sa lecture. C’est ce que j’aime avec cet auteur, peu importe le livre, je le vois comme un film, se dérouler dans mon cerveau tout le long de ma lecture. 

Encore une fois, Maxime Chattam fait le choix de créer des personnages abîmés par la vie, qui tout au long du livre ne seront épargnés à aucun moment. Ne laissant aucun espoir de bonheur, ou de lumière. C’est d’ailleurs ce qui est plaisant chez lui, nous sommes dans du thriller pur et simple, l’intrigue du livre n’est pas mangé par une romance qui n’a clairement rien à faire là. Au contraire, tout est fait avec une certaine finesse. 

Comme vous pouvez vous en douter le coup de coeur est clairement annoncé, Le clin d’oeil de l’auteur a ses premiers romans a fini de me conquérir. 

ninie5131

1 #AvisPolar / 18 notes

Nahjka

1 #AvisPolar / 10 notes

cathy13600

1 #AvisPolar / 12 notes

Son #AvisPolar sur La conjuration primitive - Maxime Chattam

Celles ou ceux qui me lisent régulièrement, connaissent mon goût immodéré pour les thrillers ou autres romans noirs avec une préférence pour ceux d’Harlan Coben.
Je ne suis pas pour autant insensible à la prose d’autres auteurs de cette catégorie et je ne m’interdis jamais d’en découvrir de nouveaux.
C’est pourquoi, après avoir lu mon premier Stephen King sur recommandation de ma chère amie Nathalie, je décidais ou plutôt nous décidions de partir ensemble à la rencontre de Maxime Chattam et de son premier tome de la série sur la section de recherches de Paris, à savoir « La conjuration primitive ».
Autant l’admettre, dès les premiers instants de lecture, j’ai su que mon choix avait été le bon. Je tenais dans les mains un livre incroyable, fichtrement bien construit, qui allait indéniablement m’ensorceler.
L’ayant définitivement posé il y a quelques jours, je confirme son excellence et un seul mot me vient à l’esprit pour le qualifier : Waouh !
A travers cette intrigue époustouflante, on plonge dans l’abomination, l’insoutenable, la barbarie à l’état pur. On voyage au coeur de la noirceur humaine dans l’univers du mal. Âmes sensibles s’abstenir !
On pénètre dans l’antre d’une cellule de gendarmerie spécialisée dans la résolution de crimes complexes, abjectes, incompréhensibles de prime abord.
Nos héros - deux hommes et une femme - qui composent donc cette brigade, stationnée porte de Bagnolet, dans le XXe arrondissement de la capitale, son confrontés à une véritable épidémie de meurtres des plus cruels. Après avoir analysé maintes et maintes preuves, étudié différents profils types d’assassins, suivi de nombreuses pistes, les enquêteurs se retrouvent le bec dans l’eau. Ils n’avancent plus depuis plusieurs mois : un ou plusieurs tueurs sont-ils à l’oeuvre ? Ont-ils affaire à un ou des sérials-killers ? Pourquoi ces forfaits éloignés dans le temps et géographiquement se rapprochent subitement au point d’être commis simultanément ? Malgré des modes opératoires dissemblables, que signifie le « *e » gravé sur chacune des victimes ? Plusieurs pays sont touchés par cette hécatombe, que faut-il en déduire ?
Pour tenter d’éclaircir ces zones d’ombres afin d’aboutir, Alexis, Ludivine ainsi que Segnon (nos gendarmes) vont s’attacher les services du célèbre « profiler » à la retraite, Richard Mikelis.
Que découvriront-ils ? A quoi vont-ils être exposés ? Mettront-ils un terme à ces carnages ?
Vous trouverez les réponses à ces interrogations lors d’un périple qui vous conduira de France vers le Canada, via l’Espagne, l’Ecosse ou encore La Pologne. A vous de voir…
Récit divisé en trois parties : « Lui », « Elle », « Eux » dans lesquelles notre écrivain incorpore, à chaque fois, de nouvelles composantes, de nouveaux paramètres afin de faire évoluer son scénario et d’arriver au dénouement. Je m’arrêterai là dans mon résumé. Je ne veux rien vous gâcher.
Roman surprenant, structuré à merveille basé sur une conception destinée à le rendre plausible et réaliste. Les éléments sont tellement cohérents, les scènes d’homicides décrites avec une justesse sans pareil que cela en donne la chair de poule et que l’on se prend à rêver que ce ne soit jamais réel.
Texte enrichi par de nombreux bouleversements et autres twists imprévisibles. Gage, selon moi, d’un bon thriller. Sans le dévoiler, sachez seulement que le premier d’entre-eux m’a laissée pantoise et anéantie.
Plume fluide, tranchante qui sert parfaitement le rythme effréné de l’histoire. J’ai apprécié.
Même si l’on rencontre l’ignominie, la répulsion, l’effroi, cet opus est palpitant, addictif, glauque, plaisant à suivre. On est en présence d’un turnover, difficile à lâcher.
Et les personnages, qu’en dire ?
On est face à des protagonistes humains, concentrés sur leur mission, en adéquation totale avec l’époque. Ils sont attachants, attendrissants. J’ai particulièrement aimé les accompagner. Au fil de la progression, on devient inquiet quant à leur sécurité.
J’ai eu un faible pour Alexis. Ce jeune responsable d’enquête ma convaincue par son professionnalisme, sa vivacité, sa fine analyse. Mais c’est sa sensibilité, son manque de confiance en lui dans la vie privée qui m’ont le plus touchée. Sa complicité avec sa collègue féminine est le grain de folie, de peps bienvenu et nécessaire pour pouvoir encaisser la dureté de l’aventure.
Ludivine m’est apparue comme un être plus froid, plus « carriériste » au départ. Au gré de l’investigation, je me suis rendu compte qu’elle se forgeait une carapace, grâce au travail, au sport, pour cacher une importante fragilité. Elle doute énormément quant à sa situation personnelle.
Le criminologue, Richard Mikelis, est bluffant par sa connaissance sur les profils psychologiques des criminels. Il apporte un côté paternaliste non négligeable. Il est tout en maitrise de soi. C’est ce que l’on demande en général à ces spécialistes, non ?
En bref, un bouquin trash, sombre, hard, sinistre que je ne suis pas prête d’oublier. Pour être honnête, au commencement, je ne pensais pas qu’en lisant certaines scènes, j’allais éprouver tant d’horreur, de mal être, de peur.
Pour une première concernant cet auteur, je dirai que c’est une vraie réussite. M.C. a su m’hypnotiser et surtout m’effrayer comme aucun autre écrivain n’y est parvenu jusqu’alors.
Je vous remercie de m’avoir fichée la trouille. J’ai adoré !
Il est incontestable que vous avez dorénavant une place réservée dans ma bibliothèque. Votre suite, « La patience du diable », est d’ailleurs bien entamée…
A entreprendre ?
 Si vous êtes un inconditionnel du genre, lancez-vous en sachant tout de même que l’histoire fait froid dans le dos 😱
 Si non, Je vous conseille de passer votre chemin au risque de cauchemarder longuement.

VinceVil2

1 #AvisPolar

Mastodon85

1 #AvisPolar / 5 notes

sardara

1 #AvisPolar / 2 notes

Marson

1 #AvisPolar / 1 notes

pascal

1 #AvisPolar

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