Club Sang

Profitez de toutes nos fonctionnalités et bénéficiez de nos OFFRES EXCLUSIVES en vous inscrivant au CLUB.

JE REJOINS LE CLUB SANG

Rebecca - Daphné du Mourier

Club Sang

Inscrivez-vous ou connectez-vous pour pouvoir participer au Club !

11 #AvisPolar
9 enquêteurs
l'ont vu/lu
2 enquêteurs
Veulent le voir/lire

Résumé :

Un manoir majestueux : Manderley. Un an après sa mort, le charme noir de l’ancienne propriétaire, Rebecca de Winter, hante encore le domaine et ses habitants. La nouvelle épouse, jeune et timide, de Maxim de Winter pourra-t-elle échapper à cette ombre, à son souvenir ?
Immortalisé au cinéma par Hitchcock en 1940, le chef-d’œuvre de Daphné du Maurier a fasciné plus de trente millions de lecteurs à travers le monde. Il fait aujourd’hui l’objet d’une traduction inédite qui a su restituer toute la puissance d’évocation du texte originel et en révéler la noirceur.

L'œuvre vous intéresse ? Achetez-la chez nos partenaires !

En librairie

Et chez vos libraires indépendants

  • Acheter sur Jesoutiensmalibrairie.com
  • Acheter sur lalibrairie.com
  • Acheter sur Place des libraires

Pour aller plus loin

Vos #AvisPolar

  • Peluche0706 22 février 2024
    Rebecca - Daphné du Mourier

    Quoi de mieux que de commencer l’année avec un classique efficace et passionnant ? J’ai enfin réussi à trouver un moment pour lire un roman de Daphné du Maurier et je n’ai aucun regret.
    Rebecca est l’ancienne femme de Maxim. Elle est décédée lors d’un accident de bateau et depuis, le manoir Manderley est comme hantée par son souvenir. Les domestiques l’appellent Mme de Winter malgré le fait que Maxim se soit pourtant remarié depuis.
    L’auteur ne nous donne pas vraiment beaucoup d’élément en faveur de la nouvelle femme de Maxim : on ne connaît même pas son prénom. Toute la première partie du roman, elle est effacée et n’arrive pas à s’imposer face à son propre mari, ni auprès des domestiques. On a d’ailleurs du mal à croire au couple des Winter au départ.
    La force de ce roman est le mystère conservé de bout en bout et le fait que l’on est un peu comme la nouvelle femme de Winter : on est dans le doute constamment. Il faut dire qu’elle ne cherche pas à savoir ce qui s’est passé dans cette maison du temps de Rebecca et qu’elle ne veut pas le savoir de peur d’être comparée à elle.
    En bref, une très belle découverte que ce roman. Je compte bien continuer à découvrir des romans de cette auteure.

  • S.M.Wanda 12 août 2023
    Marathon du polar 2023, équipe LESSOEURETTES
    Rebecca - Daphné du Mourier

    Roman énigmatique qui nous plonge dans l’aristocratie britannique.
    Il se trame quelque chose dans ce manoir isolé, mais quoi ? La tension est oppressante tout du long.
    La plume de Daphné Du Maurier est délicate et on se laisse transporté avec plaisir.

  • Cyvan Lblc 11 août 2023
    Marathon du polar 2023, équipe LESLOUVESDUSANCY
    Rebecca - Daphné du Mourier

    Rebecca, est un petit bijou d’écriture paru en 1938. Il reste un classique incontournable de la littérature anglaise. L’aura de Rebecca a toujours le même impact sur moi… Il reste l’un de mes livres de chevet favoris. Une jeune demoiselle de compagnie, timide et réservée, fait la connaissance de Maxim de Winter. Au grand étonnement de tous, ils se marient quelques temps plus tard.
    Pourtant, la seconde Madame de Winter est loin de ressembler à la première, Rebecca, épouse parfaite en apparence, adorée de tous et tragiquement disparue en mer un an plus tôt.
    De retour à Manderley, le manoir familial, l’ombre de Rebecca plane encore et toujours. Sa présence est palpable dans toutes les pièces. La jeune femme souffre terriblement de la comparaison qu’elle sent dans le regard des domestiques et particulièrement dans celui de la gouvernante, Mrs Danvers. Maxim fait-il lui aussi la comparaison, aime-t-il toujours Rebecca ? Ces questions lancinantes trouveront peut-être leur réponse le jour où...
    Daphné du Maurier a signé avec « Rebecca » son oeuvre la plus magistrale. L’écriture superbe fait naître graduellement le malaise, l’angoisse, la stupeur. Les personnages avancent vers leur destinée et le lecteur les accompagne, bien plus qu’en simple spectateur. Les peurs de la narratrice sont communicatives et ses doutes deviennent nos doutes, ses espoirs, nos espoirs. Ses efforts pour s’affirmer et s’imposer reçoivent tout notre soutien même si l’on sent que le destin, implacable, la rattrapera d’une façon ou d’une autre.
    Daphné du Maurier était un écrivain prolifique, qui ne s’est pas cantonné à un genre littéraire. Elle a écrit des romans historiques, des sagas familiales, de l’anticipation, tout cela avec un bonheur quasi constant. Mais pour moi, c’est dans l’angoisse qu’elle atteint son plus haut niveau, et avec « Rebecca », sa plus grand maîtrise.

    Rebecca est avant tout un roman d’atmosphère qui puise sa principale inspiration dans les œuvres gothiques du XIXème siècle. Comment ne pas dès lors penser à Jane Eyre et à son héroïne tout aussi insipide que la narratrice de Rebecca ? Une jeune femme maladroite qui, grâce à sa bonté, réussira malgré elle finalement à conquérir le cœur tout comme l’esprit de son maître… A l’instar de Mr Rochester qui a séquestré sa première épouse complètement folle, le protagoniste principal dissimule lui aussi une vérité abominable…

    Mme Danvers, cette gouvernante glaciale et délétère, cultive une fascination morbide pour son ancienne maîtresse Rebecca et a conservé ses effets tout comme sa chambre qu’elle a transformé en véritable mausolée. Ce personnage à la voix doucereuse est particulièrement ignoble et demeure encore le plus mémorable du livre… Hitchcock l’avait admirablement bien restitué dans sa version de 1940 (une adaptation excellente que je vous recommande chaudement) et avait accentué encore davantage son ambiguïté…

  • lemurmurdesameslivres 23 juin 2021
    Rebecca - Daphné du Mourier

    « J’ai rêvé l’autre nuit que je retournais à Manderley. »

    La narratrice est une jeune dame de compagnie, au service d’une femme arriviste et antipathique.
    A Monte-Carlo, elle fait la rencontre de Maxim de Winter, un veuf, propriétaire du majestueux domaine de Manderley.
    Ils vont se marier assez rapidement et emménager dans cette grande propriété, où l’empreinte de feue Rebecca de Winter est encore très présente.
    Comment rivaliser avec cette défunte épouse, dont la prestance et le charisme sont encore dans toutes les mémoires ?

    Pendant longtemps, j’ai eu quelques difficultés à nouer un lien avec la narratrice, tellement réservée et tellement passive.
    J’ai souffert avec elle tout au long du roman.
    Je me suis sentie opprimée face à la haine et au mépris de la gouvernante, rabaissée par les paroles infantilisantes de l’époux, blessée par l’indélicatesse de l’entourage.

    Puis au fil de ses découvertes, devinant les secrets les plus tragiques, elle prend enfin de l’assurance.
    Observer les évènements à travers ses yeux est la clé de cette atmosphère angoissante, de cette tension croissante.

    Ecouté en audio, l’aura de mystère qui se dégage du récit est pleinement mise en valeur par l’interprétation de Virginie Méry.

    J’ai beaucoup apprécié ma lecture et j’ai hâte de découvrir le film d’Hitchcock et sa mise en scène de l’histoire.

    Caroline - Le murmure des âmes livres

  • Miss.Amends 14 mars 2021
    Rebecca - Daphné du Mourier

    Un début laborieux dû à une héroïne trop naïve, un retournement de situation renversant et un suspens haletant jusqu’au dénouement 🖤

  • Lectures noires pour nuits blanches 23 février 2021
    Rebecca - Daphné du Mourier

    "J’ai rêvé la nuit dernière que je retournais à Manderley."

    Première phrase du livre et on se questionne d’emblée : Que s’est-il passé ? Nous ne connaîtrons la réponse qu’à la toute dernière phrase du livre. L’auteure réussi le tour de force de maintenir ce suspense jusqu’au bout.

    Dès les premières pages, j’ai été subjuguée par la plume de Daphné du Maurier, éloquente, intense, limpide. Chaque mot semble minutieusement choisi et parfaitement à sa place. J’ai avalé les 200 premières pages en un rien de temps (et je ne suis pas une lectrice rapide). Je ne pouvais pas m’arrêter, j’étais envoûtée.

    L’histoire en soi n’a rien de bien extraordinaire pourtant on n’est pas loin du chef-d’oeuvre. L’ambiance pesante que l’auteure installe dès le départ, cette atmosphère de mystère, cette tension toujours latente, l’intrigue si habilement menée et la finesse de la psychologie des personnages. Daphné du Maurier réussi à maintenir toute notre attention de bout en bout du roman.

    Les personnages, charismatiques ou pas, sont inoubliables. Certains hantent le roman du début à la fin, d’autres se révèlent au fil des pages.
    Il y a tout d’abord la narratrice, la nouvelle Mme de Winter, jeune, timide, banale, effacée, pour ne pas dire insignifiante. Tellement insignifiante que l’auteure ne lui donne même pas de prénom. Et naïve, limite cruche. Le genre de personnage qui m’exaspère d’habitude mais là, je ne sais pas, je n’ai pu que compatir. Elle ne se sent pas à sa place, se laisse manipuler. Elle n’est pas de taille pour lutter et effacer le souvenir de Rebecca. Et pourtant, elle va évoluer et la chenille va devenir papillon.
    Maxim de Winter, un personnage très énigmatique qui m’a plu d’entrée. Son aura entouré de mystère sans doute. Il se dévoile si peu, semble avoir plein de secrets, que cache-t-il ?
    Rebecca, la si regrettée Rebecca. Même morte elle continue à fasciner tout le monde. Tout le monde l’aimait, tout le monde la regrette. Elle était belle, talentueuse, inoubliable, parfaite. Beaucoup trop lisse et parfaite pour moi.
    Les autres personnages ne sont pas en reste. La cruelle Mme Danvers, le bon et loyal Frank, l’insupportable Favell.
    Et puis il y a Manderley, le sublime manoir empli de mystère. Manderley et son atmosphère à la fois lugubre, oppressante et charmante. On a envie d’arpenter les couloirs, de se promener dans les jardins, de percer tous ses secrets.

    Ce classique de la littérature anglaise est un excellent thriller psychologique. Il possède tous les ingrédients, les secrets que l’auteure nous dévoile avec parcimonie, le suspense, la tension qui monte crescendo, l’angoisse qui nous étreint et ce sentiment d’oppression qui ne nous lâche pas jusqu’au dénouement. Si je ne devais que retenir qu’une seule chose de ce roman, mis à part la qualité de l’écriture, ce serait le mystère. Ce mystère qui plane de la première à la dernière ligne.

    Je gardais un souvenir très nébuleux du film d’Hitchcock que j’ai vu il y a 15 siècles et j’avais très envie de lire le livre en même temps qu’il me faisait peur. J’ai été envoûtée par ce brillant récit, je l’ai dévoré, j’en ai savouré chaque ligne. Un gros coup de coeur et pour le livre et pour l’auteure que j’ai bien l’intention de continuer à découvrir.
    J’aimerais, comme l’héroïne rêver que je retourne à Manderley.
    Quel roman ! A lire absolument si ce n’est déjà fait.

  • leslecturesdecaroline 9 décembre 2020
    Rebecca - Daphné du Mourier

    J’ai souvent entendu du bien des romans de Daphné du Maurier et la sortie en livre de poche de la nouvelle traduction de Rebecca (avec une très jolie couverture) a été pour moi le prétexte de découvrir cette auteure. Et je dois dire que je suis ravie de cet achat !

    Ce roman est très bien écrit et très poétique : j’ai été subjuguée par l’atmosphère envoûtante qui s’en dégage dès le premier chapitre et ça me donne envie de voir l’adaptation en film d’Alfred Hitchcock.

    Un classique de la littérature anglaise qu’il faut avoir lu !

  • Charline Vauselle 26 août 2020
    Rebecca - Daphné du Mourier

    Enchantée par la lecture de cette oeuvre que j’ai dévorée. J’ai été absorbée par l’histoire, les personnages, par cette ambiance oppressante et grâce à cette plume parfaite. Un vrai bonheur !

  • Sylviane 6 juin 2019
    Rebecca - Daphné du Mourier

    Message à la personne qui tape les titres, c’est Du Maurier et pas Du Mourier !

  • Sylviane 6 juin 2019
    Rebecca - Daphné du Mourier

    On ne peut pas aimer la littérature policière à suspense, les thrillers sans aimer Rebecca. Rebecca, personnage central du roman, qui hante l’histoire du début à la fin. Et cette écriture, si élégante, nous entraîne dans un monde précieux, aristocratique tout en distillant un suspense froid et glaçant.

  • Maks 9 février 2019
    Rebecca - Daphné du Mourier

    Rebecca, Alfred Hitchcock en a fait un film, rien d’étonnant car le tableau peint par Daphné du Maurier à vraiment tout d’une ambiance Hitchcockiène, oui tableau car les descriptions de Manderley (La demeure au centre du roman) ont vraiment tout d’une peinture. C’est mystérieux, angoissant et en même temps chaleureux et beau.

    Rebecca, contrairement à ce que l’ont pourrait croire n’est pas l’héroïne du livre à proprement parler, en tout cas ce n’est pas la narratrice, mais tout dans ce livre tourne autour du personnage de Rebecca, une femme morte qui va hanter les pensées de notre narratrice tout au long du récit.

    Beaucoup de suspense pour ce "thriller" faisant parti des classiques de la littérature anglo-saxonne, on le retrouve d’ailleurs parmi les 100 meilleurs romans policiers de tous les temps (je l’ai lu lors d’une lecture commune basée sur cette information).

    Jamais je n’aurais cru lire ce livre, je ne l’aurais d’ailleurs pas fait sans cette lecture commune et je dois avouer que je suis très surpris de la qualité de l’écriture et de ce roman en général, malgré qu’il contienne plus de 600 pages je ne me suis jamais ennuyé bien au contraire je n’avais qu’une envie, connaître la suite, savoir comment allait se poursuivre le récit, prendre ma dose de suspense !

    Pour conclure cette chronique, je ne vous conseillerai qu’une chose, laissez-vous embarquer dans la vie du domaine de Manderley avec la nouvelle traduction de 2016 qui rend le récit très moderne, un roman indispensable dans une bibliothèque.

Votre #AvisPolar

Votre note :
Forum sur abonnement

Pour participer à ce forum, vous devez vous enregistrer au préalable. Merci d’indiquer ci-dessous l’identifiant personnel qui vous a été fourni. Si vous n’êtes pas enregistré, vous devez vous inscrire.

ConnexionS’inscriremot de passe oublié ?

Bepolar.fr respecte les droits d’auteur et s’est toujours engagé à être rigoureux sur ce point, dans le respect du travail des artistes que nous cherchons à valoriser. Les photos sont utilisées à des fins illustratives et non dans un but d’exploitation commerciale. et nous veillons à n’illustrer nos articles qu’avec des photos fournis dans les dossiers de presse prévues pour cette utilisation. Cependant, si vous, lecteur - anonyme, distributeur, attaché de presse, artiste, photographe constatez qu’une photo est diffusée sur Bepolar.fr alors que les droits ne sont pas respectés, ayez la gentillesse de contacter la rédaction. Nous nous engageons à retirer toutes photos litigieuses. Merci pour votre compréhension.