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Les fils d’Odin - Harald Gilbers

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Résumé :

Berlin, début 1945. Au cœur d’une ville dévastée, Richard Oppenheimer, juif et ancien commissaire, vit dans la peur de faire partie des tout derniers déportés. Aidé par son amie Hilde, fervente opposante au régime, il mène une existence dans l’ombre. La situation s’aggrave brusquement lorsque Hilde est accusée d’avoir tué son ex-mari, membre des SS impliqué dans les atroces expériences humaines menées à Auschwitz. Avec une broche portant un sigle runique comme seul indice, Oppenheimer se lance dans une enquête risquée pour démasquer le vrai coupable. Ses recherches le mènent à un mystérieux culte germanique qui n’a qu’un seul objectif : assurer la suprématie de la race aryenne.

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Vos #AvisPolar

  • 1001histoires 13 octobre 2020
    Les fils d’Odin - Harald Gilbers

    Les fils d’Odin : Richard Oppenheimer a échappé à la mort. Mais il n’est plus le commissaire qui avait aidé la SS à élucider une série de meurtres ( voir le tome 1 ICI ). Difficile de survivre à Berlin en janvier 1945 quand on est juif, Richard est devenu Hermann Meier, gardien de nuit dans une banque. Il ne peut revoir sa femme Lisa que secrètement, elle n’est pas juive et a été affectée à une unité de DCA à Potsdam. Il faut imaginer la majorité des berlinois vivre dans la peur constante des contrôles et des rafles de la Gestapo, comme dans les pays étrangers occupés par la Wehrmacht. A Berlin il existe des réseaux d’opposition, Hitler vient d’échapper à un attentat au grand désespoir de Hilde von Strachwitz ( l’amie de Richard est issue de l’aristocratie allemande et sa famille est liée à certains conjurés ).

    La défaite est proche et des dirigeants nazis souhaitent déserter alors que les hordes russes foncent sur Berlin. C’est le cas d’Erich Hauser en fuite d’Auschwitz où il était médecin de la SS. C’est l’ancien mari de Hilde mais ils n’ont pas officiellement divorcé. Il reprend contact avec son épouse, il a un plan pour fuir et surtout il a beaucoup d’argent pour obtenir un laisser-passer et quitter Berlin. Hauser est assassiné, son argent volé. Hilde est accusée et sa culpabilité ne fait aucun doute pour la Gestapo, la justice expéditive du Volksgerichtshof ne devrait pas hésiter et prononcer la peine de mort et une exécution par la guillotine. C’est donc à Oppenheimer d’agir et il dispose de peu de temps pour innocenter son amie. Il est aidé par des résistants allemands clandestins et par le cabinet d’avocats qui souhaite contre toute attente défendre Hilde lors de son procès.

    Mener une enquête clandestine relève de l’impossible mais c’est ce qui la rend encore plus passionnante. Jusqu’à la dernière page le suspense est total. Alors qu’Oppenheimer assiste à la mise à mort du nazisme, ses recherches le mènent aux origines des théories de la race aryenne supérieure faussement empruntées aux mythologies germaniques et scandinaves fascinant de hauts dignitaires nazis.

    L’intérêt de ce récit réside également dans la part faite au quotidien berlinois durant les tragiques semaines qui précèdent la fin de la seconde Guerre mondiale. Les services administratifs continuent de fonctionner sous les bombardements de plus en plus intenses. Il y a bien sûr le rationnement et le marché noir mais les transports en commun, la radio, le téléphone, la distribution de l’eau et du gaz fonctionnent par intermittence. Oppenheimer/Meier est forcé d’incorporer la Volkssturm, une unité militaire composée de personnels âgés et sans équipement. La classe 1929 est appelée sous les drapeaux. La propagande ordonne de croire en la victoire. La désertion et parfois le suicide des nazis face à une défaite inévitable sont de plus en plus présents alors que pour la population civile le salut réside dans l’exode avant l’arrivée de l’ogre bolchevik. Il n’y a plus d’honneur en Allemagne et Harald Gilbers laisse Oppenheimer se poser la question "Pourquoi ne pas se rendre ?".

    Bibliographie de l’auteur ICI

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