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Les Visages - Jesse Kellerman

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Résumé :

La plus grande œuvre d’art jamais créée dort dans les cartons d’un appartement miteux. Ethan Muller, un galeriste new-yorkais, décide aussitôt d’exposer ces étranges tableaux, qui mêlent à un décor torturé d’innocents portraits d’enfants. Le succès est immédiat, le monde crie au génie. Mais un policier à la retraite croit reconnaître certains visages : ceux d’enfants victimes de meurtres irrésolus...

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Vos #AvisPolar

  • Marielle69 18 août 2023
    Marathon du polar 2023, équipe SERIALLECTRICES
    Les Visages - Jesse Kellerman

    Encensé par les médias il y a plusieurs années et attirée par la première de couverture et par son résumé, ce roman m’a déçu. Je pense que j’en attendais trop et que ce thriller "machiavélique" ne l’était pas du tout.
    L’histoire, qui se passe dans le monde de l’art et des galeries new-yorkaises est sympa. Mais il n’y a pas assez de suspense et il manque l’originalité tant attendue.
    J’ai aussi trouvé le rythme trop lent.
    Dommage, une lecture sans plus qui ne restera pas dans mes meilleurs souvenirs.

  • livresetcompagnie_7998 13 avril 2021
    Les Visages - Jesse Kellerman

    Il s’agit ici de ma première lecture de cet auteur. J’ai été attirée par sa couverture pour le moins surprenante et quelque peu effrayante. Kellerman nous emmène ici au cœur d’une enquête dont le dénouement nous est donné peu à peu par quelques indices disséminés çà et là .

    Ce questionnement face à un meurtre si ancien nous fait débuter sans aucun indices si ce n’est un panneau où sont dessinés des enfants dont les meurtres n’ont jamais été élucidés.
    Cette approche originale met en exergue une dimension psychologique qui m’a séduite.

    Celle-ci se trouve travaillée afin de donner aux personnages des dimensions spécifiques mais surtout d’expliquer leurs divers comportements. L’enquête est un noyau à partir duquel l’auteur dessine les racines d’une construction humaine, d’une psychologie éprouvante et d’actes humainement expliqués (humainement ne signifie pas ici que ce sont des actes bons mais des actes expliqués).

  • Marion Souch 9 octobre 2020
    Les Visages - Jesse Kellerman

    On plonge dans l’univers de l’art, où Ethan Muller, propriétaire d’une galerie, découvre une série de dessins d’une qualité exceptionnelle.
    Le mystérieux auteur, Victor Crack à disparu. Ses dessins rendus publics, sont salués par la critique.
    Tout dérape lorsqu’un flic a la retraite reconnaît sur certains dessins, le visage d’enfants victimes d’un tueur en série.

    L’intrigue est plaisante. On découvre, a différentes époques, les personnages principaux. J’ai eu un peu de mal à me mettre dedans mais je ne regrette rien.

  • universpolars 24 novembre 2018
    Les Visages - Jesse Kellerman

    Dans cette histoire, le lecteur sera mêlé au milieu de l’art, avec ses passionnés, ses faux-culs, ses riches, ses faux riches ou encore sa belle panoplie d’opportunistes pathétiques et pitoyables. Un milieu fort restreint, un microcosme d’hommes et de femmes qui vivent, pour moi, dans un monde parallèle, une bulle qui n’est pas prête d’éclater (heureusement...). L’art est absolument tout et n’importe quoi, du moment qu’on arrive à y donner de l’intérêt et peut-être du sens.

    Ce monde prisé et bien réglé va être ici complètement dérangé par une autre sphère : celle de la violence et de la mort. Ce mélange, cet enchevêtrement va nous parvenir, je dois l’admettre, d’une manière subtile. J’y reviens après.

    Nous irons également dans le passé, témoins impuissants d’événements troublants, tristes et écœurants. Ces retours en arrière seront la base de tout.

    Ethan Muller, homme prétentieux et pathétique, est galeriste à New-York. Sélectif et intraitable, il faut dire qu’il se débrouille plutôt bien. Parmi toutes les expos qu’il organisera, une seule fera vraiment la différence : des dessins retrouvés dans un appartement miteux et poussiéreux, situé dans la tour d’un quartier tout aussi dégueulasse. Le locataire - certainement l’auteur de ces dessins - ne payait plus les loyers et a disparu du jour au lendemain.

    Ces dessins extrêmement troublants, d’une qualité et d’une vivacité surprenantes, suscitant de l’inquiétude et de l’admiration à la fois, vont dès lors être exposés publiquement. Des feuilles A4 par milliers, qui ont toutes un lien les unes avec les autres, dans un ordre bien précis : de la folie pure.

    Des visages d’enfants, des courbes inquiétantes, une sorte d’égarement, des traits adroits ou abstraits, des visions débouchant sur de l’objectivité pure, soit énormément de démence mais aussi de génie.

    Une fresque gigantesque qu’il faudra décortiquer, morceau par morceau, pour en faire ressortir la folie qui en découle et ainsi la matérialiser. Oui, car les visages d’enfants qui sont si bien représentés sur cette « toile folle » sont de réelles petites victimes de meurtres perpétrés il y a bien longtemps et encore irrésolus.

    Un vieil inspecteur de police à la retraite va entrer dans cette danse macabre en découvrant un extrait de cette exposition dans la presse. Les visages innocents qui figurent sur cette œuvre magistrale, il les connaît très bien.

    Une enquête à la « cold case » va donc nous tenir en haleine un moment, effectuée par un personnage qui n’est pourtant pas censé le faire, Ethan Muller, le galeriste. D’une part, ce n’est pas son job et, d’autre part, ce n’est pas son genre.

    Niveau personnages, l’auteur nous offre un rendu d’une grande qualité. Il prend son temps, il nous conduit dans leur passé, soit il nous donne beaucoup de détails soignés pour nous les décrire. Le personnage d’Ethan Muller est un bon exemple. D’une part, nous en apprenons énormément sur lui, sur sa famille et, d’autre part, c’est lui le narrateur, c’est lui qui nous fait avancer dans cette histoire, dans son histoire.

    Le dénouement est d’une belle subtilité mais reste pour moi tout de même un peu plat. Les liens du sang seront ici mis à l’honneur.

    Bonne lecture.

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