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Jusqu’à ce que la mort nous unisse - Karine Giebel

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14 #AvisPolar
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Résumé :

L’Ancolie est une fleur aussi belle que toxique. Belle, à l’image de certains souvenirs. Toxique, à l’image de certains regrets.
L’Ancolie, c’est aussi le nom d’un chalet perdu en pleine montagne.
C’est là que vit Vincent, un homme seul et meurtri. Rejetant son passé et redoutant son avenir, il préfère vivre dans le présent. Une existence éprise de liberté qu’il consacre entièrement à sa passion pour la montagne et à son métier de guide.
Jusqu’au jour où la mort frappe tout près de lui, l’obligeant à sortir de sa tanière.
Aux yeux de tous, un tragique accident, une chute mortelle. Seul Vincent est persuadé qu’il s’agit d’un meurtre, que ce n’est pas la montagne qui a tué, et que les vrais coupables doivent payer.
Alors, aidé par Servane, une jeune recrue de la gendarmerie avec laquelle il a noué une étrange relation, il se lance dans une quête de vérité.
Une quête qui va le conduire sur d’effroyables sentiers, le confronter à ses propres démons.
Une quête qui va déterrer un à un des secrets profondément enfouis au coeur de cette paisible vallée, et qui auraient dû le rester à jamais.
Car si le mensonge blesse, la vérité peut être fatale...

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Vos #AvisPolar

  • Cyvan Lblc 23 août 2023
    Marathon du polar 2023, équipe LESLOUVESDUSANCY
    Jusqu’à ce que la mort nous unisse - Karine Giebel

    Un roman bouleversant et très efficace.
    Karine Giebel a du talent, tant pour son style incisif que pour la qualité de ses scénarios. Giebel ne verse pas dans le thriller à l’américaine où tout finit bien. Rien de cela. Elle joue avec la ponctuation. Elle fait le choix de phrases courtes, de phrases choc. De celles qui se fraient un chemin jusqu’à nos tripes avant de les retourner.

    Dans ce livre, Giebel fait monter la pression tout en douceur. Elle nous accorde un moment de répit, si bien qu’elle nous laisse entrevoir une fin optimiste. Si seulement. L’auteure fait rarement dans le happy ending. Et c’est peut-être ce qui fait la force de ses romans et les rend si vivants.

    Un polar de haute voltige. Karine Giebel installe son intrigue sanglante dans un cadre naturel paradisiaque, le massif du Mercantour. Un décor somptueux, des sommets vertigineux et des randonnées sportives offrent des moments de paix magiques. On sillonne les petits sentiers, on s’approche fébrilement des ravins, on se méfie des pentes abruptes, on admire les lacs et les cascades… Jusqu’à ce que la mort nous unisse – belle ode à la vie – offre une douce communion avec Dame Nature. Jusqu’à ce qu’elle se trouve bouleversée et saccagée par la haine, la corruption, le profit. Salie par les mensonges, par les trahisons, par la cruauté. Éclaboussée par la lâcheté des hommes. La montagne se fait menaçante et devient le lieu de tous les dangers…

    Jusqu’à ce que la mort nous unisse propose une intrigue prodigieuse dans laquelle nature et homme s’entrecroisent – pour communier ou pour s’entrechoquer. La perfidie humaine semble ne plus avoir de limite, comme la souveraineté de la montagne. Karine Giébel crée une atmosphère ambiguë : magique et envoûtante dans les hauteurs, elle finit par verser peu à peu dans l’angoisse et le sordide. Le tout avec tellement de finesse, tellement de subtilité. C’est lent, on s’enlise sans même s’en rendre compte. Jusqu’à toucher le fond, surpris.

    Jusqu’à ce que la mort nous unisse est bien plus qu’un simple roman à suspens. Ce thriller psychologique met en scène deux personnages meurtris par la vie, esquintés par un passé trouble et difficile, ayant pour seules armes leur humour et leur force de caractère. Karine Giébel prend le temps d’installer son intrigue, de préparer son décor et de présenter ses principaux protagonistes. Le roman accorde une place importante à la relation entre Vincent et Servane. Leur amitié se construit au fil des journées passées ensemble, des randonnées effectuées, des soirées à dîner en tête à tête. On assiste à la naissance d’un profond attachement. D’abord balbutiant, il le voit évoluer et s’affirmer. Se transformer ? L’authenticité est au rendez-vous – accentuée par la prose familière et efficace de Karine Giébel. Une prose qui sait s’adapter aux situations. Saccadée et décousue pour accroître la tension, poétique et descriptive pour dépeindre les paysages, tendre et délicate pour évoquer les sentiments et les émotions des personnages.

    Jusqu’à ce que la mort nous unisse est un roman fort et poignant. Un roman multiple qui allie avec brio noirceur et sensibilité. On y vit des moments de pure tension, d’horreur, et des moments d’accalmie, où le rire et la joie l’emportent. Le tout dans un décor montagnard divin !

  • Kamiyu-chan 22 juillet 2023
    Marathon du polar 2023, équipe CAMVAL
    Jusqu’à ce que la mort nous unisse - Karine Giebel

    Encore un très bon thriller de Karine Giebel, sur fond de superbes, mais parfois dangereux, paysages de montagne.

    Dans Jusqu’à ce que la mort nous unisse, Vincent, un guide séducteur au passé tourmenté, et Servane, une jeune gendarme, mènent l’enquête suite à la mort de Pierre, meilleur ami de Vincent. Ils vont découvrir que leur village et la montagne cachent de lourds secrets...

    J’ai beaucoup aimé cette atmosphère à la fois belle, sauvage et angoissante. Les personnages sont attachants, les rebondissements et révélations s’enchaînent jusqu’à un dénouement que je n’ai pas vu arriver. Quelques longueurs néanmoins, mais compensées par de magnifiques descriptions de la nature du Vercors et du Mercantour.

  • Asmo Stark 22 janvier 2023
    Jusqu’à ce que la mort nous unisse - Karine Giebel

    🗻 Jusqu’à ce que la mort nous unisse - Karin Giebel 🗻

    Résumé :
    La montagne ne pardonne pas. Vincent Lapaz, guide solitaire et blessé par la vie, l’apprend aujourd’hui à ses dépens : la mort vient de frapper, foudroyant un être cher. Simple accident ? Vincent n’en croit rien : la victime connaissait le parcours comme sa poche. C’est un meurtre. Avec l’aide d’une jeune gendarme, Vincent mène l’enquête, de crevasses en chausse-trapes, déterrant un à un les secrets qui hantent cette vallée. Et Lapaz non plus n’est pas du genre à pardonner...

    Nouveau coup de coeur. Impossible de lâcher ce livre !
    J’ai adoré Vincent et Servane, les deux personnages principaux du livre. Vincent, guide de montagne, homme torturé qui passe ses souffrances en enchaînant les coups d’un soir, n’ayant aucun scrupule à rejeter ses proies dès le lendemain matin. Dit ainsi on se dit que c’est quelqu’un que l’on va détester et pourtant... derrière cette image de goujat, on découvre un homme blessé, perdu qui nous touche. Servane elle est une nouvelle recrue de la gendarmerie qui essaye de faire sa place dans la caserne et d’apprivoiser son nouvel environnement. Elle a quelque chose qui nous la rend de suite sympathique. Ces deux là vont se lier d’amitié et se retrouver embarquer dans une histoire qui va finir par les dépasser. J’ai adoré l’environnement du livre, les randonnées en montagne, le chalet au milieu de la nature, l’ambiance petit village. Quant à l’enquête, elle nous tient, c’est rythmé et très prenant ! Et je suis plutôt fière de moi, j’ai réussi à deviner certaines choses hihi.
    Bref c’est un roman addictif, avec des personnages forts dans un décor de rêve 😊.

  • lireencore93420 26 décembre 2022
    Jusqu’à ce que la mort nous unisse - Karine Giebel

    L’Ancolie, c’est aussi le nom d’un chalet perdu en pleine montagne. C’est là que vit Vincent, un homme seul et meurtri. Rejetant son passé et redoutant son avenir, il préfère vivre dans le présent. Une existence éprise de liberté qu’il consacre entièrement à sa passion pour la montagne et à son métier de guide.

    Ce livre a une particularité moi qui suis fan de cette autrice, et elle m’a habituée à des scènes assez violentes, quand j’ouvre un livre d’elle, je sais dans quoi je m’embarque, et bien là dans celui-là ce n’est pas le cas, il y a des meurtres, mais pour moi ce n’est pas gore, et bien qu’il n’ait pas ce ce côté, j’ai beaucoup aimé.

    Par contre le côté commun à tous ces livres que j’ai pu lire, c’est un cadre psychologique, Karine Giebel aime entrer dans la tête de ses personnages, et par son écriture immersive, je suis rentrée très facilement également dans leur esprit.

    J’ai beaucoup apprécié l’évolution du personnage de Vincent et j’ai ressenti que la rencontre avec Servane, jeune gendarmette qui découvre la montagne avec son premier poste, va le bouleverser et le faire grandir.

    Les bouleversements sont nombreux, c’est vraiment addictif, c’est aussi un récit qui m’a dépaysé dans les yeux de Servane, j’ai découvert la vie dans l’univers montagneux, et cela, l’air vraiment magnifique.

    L’homosexualité féminine est abordée et encore ses tabous dans le milieu de la gendarmerie et également que cela soit passée dans un village de montagne, le sujet est vraiment intégré dans l’investigation et je n’ai trouvé qu’elle a vraiment bien exploitée ce thème.

    Cette autrice a aussi cette faculté de nous faire découvrir un personnage qu’on va détester et au fil des pages, on va bien l’aimer, à chaque fois, je me dis, c’est incroyable, elle est trop forte.

    C’est mon 10e livre de l’autrice, et plus je la lis plus je l’adore, j’entends souvent des critiques sur son écriture, mais vraiment, ce n’est pas mon ressenti, ce cadre psychologique est tellement fascinant, c’est vraiment ce genre de récit que je préfère.

    Malheureusement il m’en reste très peu à lire dans ma bibliothèque, mais à chaque fois, je suis enthousiasmé, donc si vous aimez le gore sauf celui-là ne passez pas à côté de cette autrice.

  • SIGPRO2022 19 novembre 2022
    Jusqu’à ce que la mort nous unisse - Karine Giebel

    Jusqu’à ce que la mort nous unisse de Karine Giebel
    La montagne ne pardonne pas. Vincent Lapaz, guide solitaire, blessé par la vie, coureur de jupons impénitent, l’apprend à ses dépens lorsque la mort vient de frapper dans cette vallée ou une famille tient la mairie et d’autres personnes sous la loi du silence. Lors de cette mort très tôt qualifiée d’accident par l’adjudant Vitori, chef de brigade de Gendarmerie, Vincent n’en croit rien. La victime garde du Parc Nationale du Mercantour, où des braconniers tuent des chamois pour leur trophée, connaissait ce parcours par cœur. Une jeune femme gendarme Servane Breitenbach venant d’arriver à la brigade va mener en parallèle cette enquête et au fur et à mesure de ses courses en montagne avec Vincent, s’aguerrir à cette pratique, tout en cultivant son territoire secret objet de remarques, de quolibets, de remontrances de ses supérieurs comme l’on dit dans ce milieu militaire, que je ne connais très bien. Au fur et à mesure ces deux personnes vont petit à petit déterrer un à un des secrets qui hantent cette vallée. Ce livre si vous ne le connaissez pas encore, lisez-le séance tenante. Le 3 mai, le jour se lève à l’Ancolie, au chalet de Vincent Lapaz, perdu dans la montagne. Malgré l’absence de réveil, Vincent le sait, il est 7 heures, les premières joutes musicales des oiseaux. A côté de lui à sa droite, la silhouette de celle qui a partagé sa nuit. Sa nuit pas celle de ses cauchemars. Quelques instants plus tard, sur la terrasse il retrouve son chien berger des Pyrénées Galilée. A la deuxième page de ce roman, l’on sait tout de suite que Vincent dont sa femme est partie il y a cinq ans lui laissant un message laconique sur son ordinateur, est comme l’on dit un homme à femme. Une femme pour une nuit et basta ! A la remarque de celle-qui vient de se réveiller à ses côtés, il dit « Faut pas le prendre mal, tu sais… Avec moi, c’est comme cela ! » Quelques pages plus loin nous le retrouvons faisant un petit tour dans le village à l’office de tourisme pour savoir si des clients veulent grimper dans la montagne. C’est dans ce lieu qu’il fera la rencontre d’une nouvelle recrue pour la saisons touristique Myriam. Retour à son chalet, Pierre son ami d’enfance garde du Parc National du Mercantour l’attend et l’invite à monter au lac, histoire de vérifier comment les touristes se comportent dans ce lieu. Pierre montra seul en direction du Lac. Nous faisons alors connaissance avec Servane Breitenbach, une jeune femme gendarme qui vient d’arriver à la caserne de Colmars. Son arrivée dans ce monde masculin est bien rendue. Maintenant cela est une chose normale, mais il y a quelques dizaines d’années, les hommes faisaient attention à ne pas trop leur parler en dehors du service pour ne pas en rentrant à la maison à avoir des comptes à rendre à leur épouse ! Quelques jours plus tard Servane souhaitant découvrir la région retrouve à son chalet Vincent. Leur première rencontre est absolument croustillante, entre cette très jeune femme venant de Colmar qui ne connaissait absolument pas l’univers de la montagne et Vincent qui se présente comme un ours mal léché. Ce qui est également très agréable dans ce roman de Karine Giebel est le voyage que l’on fait dans le paysage du Mercantour par les descriptions des lieux des villages des hameaux, ce qui nous amène à rechercher une carte Michelin pour s’y retrouver. Myriam va connaitre Vincent très intimement, malgré les mises en garde de Michele responsable de l’office de tourisme. Une seule nuit mais qui sera déterminante. C’est alors que Pierre va être retrouvé mort au fond d’un ravin. Cette mort qualifiée accidentelle va alors réunir dans une complicité sur une enquête non officielle, ou tendresse, amour et non-dit vont se télescoper Servane et Vincent. A partir de cet instant, Karine Giebel déroule avec un grand talent ses intrigues. Je vous assure vous serez comme moi embarqué dans cette quête de vérité, qui rebondit de chapitre en chapitre notamment par le truchement d’un étrange informateur (Il fallait oser faire porter ce costume au personnage que vous découvrirez), jusqu’à la fin de cette aventure qui se termine en apothéose. Tout y est dans ce thriller de Karine Giebel Jusqu’à ce que la mort nous unisse, la beauté et l’âpreté de la montagne, des assassins qui pensent être au-dessus des lois, des pleutres et des lâches, des maitres chanteurs, mais aussi une enquêtrice pugnace et enfin la réponse à cette question qui a tué Pierre. Lorsqu’elle tout l’histoire vous sera révélée tout vous apparaitra claire comme de l’eau de source, aux regards des éléments distillés par Karine Giebel tout au long de son roman. Vraiment du très bel ouvrage, que je vous incite à découvrir séance tenante. Bien à vous.

  • Loudiebouhlis 11 avril 2022
    Jusqu’à ce que la mort nous unisse - Karine Giebel

    En commençant cette lecture, j’étais terriblement enthousiaste à l’idée de retrouver la plume de Karine Giebel, mais aussi à l’idée de faire cette lecture en compagnie de malau.readbooks et millelectures.

    Et malheureusement, c’est un flop. Une triste déception. Après avoir été subjugué par Meurtres pour rédemption, ce thriller me paraît bien fade.

    Au départ, j’ai eu le plaisir de me prendre d’affection pour les deux personnages principaux, mais alors les événements qui s’enchaînent s’avèrent tristement prévisible. Et le genre de prévision qui ne fait pas plaisir.

    J’ai malheureusement tout vu venir, passant à côté des effets de surprise que met en place l’auteure. Une chose m’a tout de même paru intéressante, la notion de personnage à part entière de la montagne que nous fait ressentir Karine Giebel, et encore j’aurais aimé que ce soit plus développé.

    Je passe à côté de cette lecture malheureusement.

  • Loudiebouhlis 11 avril 2022
    Jusqu’à ce que la mort nous unisse - Karine Giebel

    En commençant cette lecture, j’étais terriblement enthousiaste à l’idée de retrouver la plume de Karine Giebel, mais aussi à l’idée de faire cette lecture en compagnie de @malau.readbooks et @millelectures.

    Et malheureusement, c’est un flop. Une triste déception. Après avoir été subjugué par Meurtres pour rédemption, ce thriller me paraît bien fade.

    Au départ, j’ai eu le plaisir de me prendre d’affection pour les deux personnages principaux, mais alors les événements qui s’enchaînent s’avèrent tristement prévisible. Et le genre de prévision qui ne fait pas plaisir.

    J’ai malheureusement tout vu venir, passant à côté des effets de surprise que met en place l’auteure. Une chose m’a tout de même paru intéressante, la notion de personnage à part entière de la montagne que nous fait ressentir Karine Giebel, et encore j’aurais aimé que ce soit plus développé.

    Je passe à côté de cette lecture malheureusement.

  • Priou Alain 23 juin 2021
    Jusqu’à ce que la mort nous unisse - Karine Giebel

    Très bon auteur. J aime beaucoup ses livres dont celui ci

  • kris_k 10 mars 2021
    Jusqu’à ce que la mort nous unisse - Karine Giebel

    Ahhhh la montagne, l’air pur, les randonnées et la neige en hiver. Bref tout y est pour qu’on aime cette montagne. En tout cas Vincent, un des personnages principales, en est tombé amoureux et nous transmet cette amour avec générosité.
    Mais ce n’est pas tout, il nous transmet aussi sa tristesse d’avoir été abandonné du jour au lendemain par la femme de sa vie.
    Et d’autres choses, que je garderai pour moi, ben oui sinon ça ne sert plus à rien de lire le livre.
    Conclusion, un très bon livre avec lequel j’ai passé un très bon moment, même si j’ai trouvé qu’il était un cran en dessous de ’Juste une ombre’. Donc si je peux donner un conseil pour ceux qui débute avec cet auteur, commencez par celui-ci ou un autre qui est un rien en dessous pour après dévorer les autres.

  • Belette 14 janvier 2020
    Jusqu’à ce que la mort nous unisse - Karine Giebel

    Vincent Lapaz est un guide de haute montagne. Son meilleur ami Pierre, guide lui aussi, décède dans ce qui ressemble être un accident. Mais Vincent pense le contraire. Il va mener l’enquête avec Servane, une jeune gendarme nouvellement arrivée dans la région.

    J’ai lu quelques romans de Karine Giebel, et je dois avouer que c’est une auteure qui arrive toujours à me surprendre. Et ce même si souvent ces personnages sont toujours assez sombres, dissimulant des secrets. Ce sont des personnages torturés mais qui ont un caractère assez fort pour aller de l’avant et se relever de leurs difficultés. Servane et Vincent sont des êtres torturés et ils vont se rapprocher, livrant peu à peu leurs côtés sombres.
    On suit leur enquête qui va les conduire dans un monde de pouvoir, de corruption, et de secrets.
    La montagne, la nature, sont au cœur de ce roman, à la fois protectrices, à la fois ennemies pour ceux qui la côtoient.
    L’intrigue est bien menée et le suspense est bien présent. Même si j’ai perçu quelques petits éléments, j’étais loin de la résolution finale.
    Comme souvent, les livres de Karine Giebel sont de petits pavés (600 pages pour celui-ci) mais je ne les vois pas passer. Et ce même si j’ai trouver les débuts de celui-ci un peu lents…

    Bref, j’ai bien aimé !

  • Morgane Andre 5 septembre 2019
    Jusqu’à ce que la mort nous unisse - Karine Giebel

    Qui dit Karine Giebel dit huit clos ... et là , surprise , on se retrouve à faire de la randonnée en Montagne avec un guide macho et une gendarme cachant sa vie privée et n’ayant jamais mis les pieds en montagne ! Lors des randonnées , on a presque envie de remplir nos poumons de leur ascension .

    Nous retrouvons nos deux personnages , à la fois aussi différents que semblables, en plein cœur d’un petit village rempli de secrets , de mensonges et de magouilles entre voisins , tentant de résoudre la mort du meilleur ami de notre homme des montagnes . Une enquête policière qui entraînera la découverte de nouveaux morts et de nouveaux et/ou d’anciens secrets ...

    Certainement pas le meilleur roman de l’auteure , d’un point de vue psychologique en tout cas , il nous entraîne tout de même à porter un regard nouveau sur la nature nous entourant et sur le rôle de Mère Nature dans nos vies ..

  • claire chronique 6 mars 2019
    Jusqu’à ce que la mort nous unisse - Karine Giebel

    on y découvre les personnages principaluxde vincent et servane !!! servane gentille mais un peu niaise.vincent guide tirailler par la perte de sa femme avec un autre homme 5 ans au paravent.arrivés à 28% du livre il y eu enfin du suspense car avant l’histoire était trop détaille:les magouilles, mesquineries et autres histoires sordides des humains.une lecture prenante car on veut farfouiller avec eux mais si vous êtes un amateur de thriller vous trouverais je pense assez facilement les chutes et rebondissement. pas un des meilleurs karine giebel mais ce laisse lire tranquillement.

  • valmyvoyou lit 26 février 2019
    Jusqu’à ce que la mort nous unisse - Karine Giebel

    Si je n’avais jamais lu Karine Giebel, je pense que j’aurais été de suite happée par l’ambiance de ce livre. Mais j’ai déjà enchaîné les livres de cette auteure. Aussi, il m’a fallu un peu de temps pour rentrer dans l’histoire. Je me suis ennuyée un peu au début, car ce n’était pas ce à quoi je m’attendais.

    J’attendais des coups de force dès le début, des rebondissements, je n’étais pas dans l’état d’esprit pour la lecture de "Jusqu’à ce que la mort nous unisse". Mais au fil des pages, je me suis laissé prendre par l’histoire. Je me suis attachée à la personnalité de Vincent et de Servane, les personnages principaux. Cependant, j’avais l’impression de lire un roman plaisant. Je ne ressentais pas ce besoin de reprendre ma lecture aussitôt que j’avais un moment de libre. Mais d’un coup, le suspense s’est accéléré et je me suis surprise à lire de plus en plus vite, car je voulais savoir la suite.

  • universpolars 24 novembre 2018
    Jusqu’à ce que la mort nous unisse - Karine Giebel

    Karine Giébel nous emmène en montagne ! Cela nous changera - peut-être ! - des huis clos dont elle est, pour moi, une grande spécialiste. Nous sommes dans le département des Alpes-de-Haute-Provence, dans la vallée du Verdon, dans une station touristique réputée pour les plaisirs de la randonnée.

    Vincent Lapaz est guide de montagne, un vrai tombeur - pas en montagne ! -, pour ne pas dire un vrai salopard. C’est en tout cas ce que vous diront quelques jeunes filles si vous leur posez une fois la question ! Vincent s’est fait larguer il y a 5 ans, - grande souffrance !

    Après quelques dizaines de pages, j’ai finalement envie de revenir sur ce que j’ai dit. Nous sommes bel et bien dans une sorte de huis clos, mais en pleine montagne ! Ce monde-là, qui gravite autour du parc très sauvage du Mercantour, est une sorte de microcosme, tout le monde se connaît, et ceci depuis très longtemps. La rude montagne unit les gens, pour le meilleur et pour le pire.

    Karine Giébel nous donne un aperçu de chaque personnage, un petit bout de leur parcours de vie, une ouverture sur leur âme, leurs secrets bien enfuis que nous percevons mais que nous ne connaissons pas ; bref, elle nous plonge dans son thriller d’une main légère mais insistante. Et bien évidemment, nous plongeons la tête la première sans aucun effort, bien au contraire.

    Un personnage troublant m’intrigue pas mal. Le guide de montagne Vincent Lapaz dévoile plusieurs facettes assez complexes de lui-même. Un homme de la nature aimant la liberté, ses vieux amis et son job, un type bien et simple, et paradoxalement une sorte de prédateur en puissance, un "avaleur" d’âmes. Nous apprendrons à bien le connaître et son histoire va, je pense, bien vous toucher.

    Ce qui est intéressant dans ce thriller, c’est ce côté "ambiance dans une contrée retirée", où la région elle-même porte une âme assez intense et persistante. En tant que lecteurs, nous ne faisons pourtant que passer, - nous nous sentons un peu étrangers -, mais nous allons tout de même nous immiscer dans des affaires très personnelles.

    Qui dit petit village, dit arrangement et petits salopards d’élus politiques. Dans cette intrigue, l’auteur mettra en avant des pratiques et des comportements similaires à un amas de déchets ambulants non compostables.

    Qui dit petit village, dit quelques secrets sur des affaires gênantes, bien enfouies, qui ne devraient jamais être déterrées. Mais apparemment quelqu’un souhaite jouer le rôle de fossoyeur et déterrer une puissante masse de merde.

    Deux personnes, courageuses et animées par leur besoin de rendre justice, vont être au cœur d’une sale affaire.

    Karine Giébel, fidèle à son style, va nous préparer un terrain maudit sans se presser, en prenant son temps, pour ne rien négliger.

    Mais fidèle à ce que j’aime et surtout à ce que je n’aime pas, il y a certaines longueurs qui m’ennuient assez. Je suis bien conscient que l’auteur cherche à nous enfouir dans son atmosphère, ses personnages, mais sur ce coup-là, pour moi, c’est un peu plat durant bien des pages.

    Il y a un "personnage" à part entière qui prend une place énorme dans cette histoire, c’est la montagne. Un grand paradoxe cette région ! Tant de beauté, d’espace et de liberté dans une ambiance finalement très noire, étouffante et violente.

    Les révélations qui arriveront petits à petits, - les pièces du puzzles qui s’assemblent lentement -, nous détruiront à petit feu à travers la douleur des personnages qui reçoivent des salves de violence en plein visage. Leur douleur et leur souffrance deviendront désormais les nôtres.

    Cette histoire prend une accélération surprenante et nous envoie au tapis en pas mal de rounds. Nous nous relevons toujours, avec à chaque fois quelques blessures superficielles, jusqu’à recevoir un coup dévastateur dans le ventre.

    Au final, un grand coup de coeur, surtout au niveau des personnages qui m’ont énormément touché. Avec ce thriller, Karine Giébel vous donnera l’occasion de développer une rage et une haine sans précédent. Une histoire d’une puissante cruauté, mais également une très belle histoire. Un contraste qui dégage de fortes émotions !

    Bonne lecture.

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