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Crotales - Jean-Luc Bizien

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Résumé :

Ciudad Juarez, à la frontière entre le Mexique et les Etats-Unis. Ciudad Juarez, ses gangs armés, ses combats clandestins, ses cadavres exposés au soleil. Ciudad Juarez, ses policiers corrompus, ses agents infiltrés et depuis plusieurs semaines maintenant, son mystérieux sniper qui tue impunément le long de la frontière de métal. Le paradis pour les truands, l’enfer pour les autres. Voilà où Paik Dong-Soo, ex officier du Renseignement nord-coréen, a décidé de trouver refuge après avoir quitté New York. Mais c’est là aussi que débarque Nero, le représentant des familles italiennes de la côte Est, pour conclure un important marché avec le patron du cartel local, Torres. Un homme sanguinaire qui parade devant ses affidés, au bras de sa compagne, l’intrigante et sculpturale Salma. Quand Nero reconnaît un jour en Dong-Soo l’homme qui a tué son ancien patron, il n’a plus dès lors qu’un seul projet : rapporter à ses maîtres la tête du Coréen. Seul et affaibli, Dong-Soo devra faire appel à toutes ses ressources pour échapper à ses poursuivants. Autant de crotales pour qui trahir est une seconde nature... Et tuer un véritable plaisir.

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Vos #AvisPolar

  • jeanmid 5 mars 2019
    Crotales - Jean-Luc Bizien

    Ciudad Juarez parlera certainement à ceux qui ont lu « Cartel » de Don Winslow : une ville mexicaine située à la frontière américaine et tenue par les narco trafiquants . Une cité où la mort est rarement naturelle mais plutôt la conséquence de règlements de comptes ou de ses effets collatéraux .Quelque chose comme l’enfer sur Terre .C’est cette ville et l’essentiel du business de la drogue que dirige Torres alias « Santa Sangre » de sa forteresse du désert en faisant régner une véritable terreur au royaume de la poudre blanche .Sa jeune compagne , Salma , doit vivre avec ses sauts d’humeur multiples et la peur qu’il s’en prenne physiquement à son jeune frère , Pablo. A ses côtés pour le conseiller , le fantasque Reiner , ce géant américain aux chemises hawaïennes qui joue un jeu plus que trouble , affublé de son jeune adjoint mexicain aux dents longues , Ortiz. Dans ce caravansérail proteiforme on trouve également ce personnage secret et discret , Paik Dang Soo , que l’on surnomme "le chinois " un survivant dont le passé tumultueux se rappelle à chaque instant à son bon souvenir . Ajoutez à toute cette brochette de protagonistes bigarrés une bande de cul terreux yankees totalement dégénérés qui s’excitent en tirant sur des cibles vivantes de l’autre côté de la frontière.
    Mélangez tout ça et vous obtiendrez un roman destructeur en vies humaines où l’espoir a fait long feu et où chacun cherche à sauvez sa peau souvent au dépend de l’autre .
    Première découverte avec l’univers noir de Jean Luc Bizien qui ne nous montre pas dans ce roman l’aspect le plus reluisant de l’espèce humaine. Il s’agit plutôt d’un combat primaire et animal où cruauté et (bas ) instinct de survie font souvent bon ménage .
    A noter que ce livre fait partie d’une trilogie mais peut se lire de manière totalement autonome .

  • C’est Contagieux 20 novembre 2018
    Crotales - Jean-Luc Bizien

    Ah le Mexique, pays de contrastes et de fortunes diverses. Ce pays l’Amérique l’aime tellement qu’elle rêve d’y construire un mur autour pour le garder jalousement près d’elle et rien que pour elle. Ah non, Donald T. me dit que c’est l’inverse. Ah quand on s’appelle Donald, on est sans limite niveau blagues !
    Décidément Bizien aime bien les contrées chaudes et étouffantes. Après la Corée du Nord, c’est au tour du Mexique d’être le landscape de l’action.

    Pas le Mexique des cartes postales et du guide du routard – Exit Cancún et les pyramides Aztèques – non ici le Mexique est rugueux, dangereux, poussiéreux et sale. Fascinant pour le lecteur en fait.

    On est d’ailleurs beaucoup plus proche de l’ambiance moite et viscérale du film « Sicario » (clique ici pour la chronique) dont les références sont évidentes et assumées par l’auteur, que de « La Coccinelle à Mexico ». Encore que niveau horreur ça se défende.

    Rien que le titre, « Crotales », te mets dans l’ambiance. Ça va s’approcher sournoisement de toi, se faufiler dans les herbes hautes et te piquer mortellement. Bloody Snake !

    Et si on ajoute une superbe couverture qui te plonge délicieusement et directement dans l’ambiance, il est évident qu’un lecteur aussi curieux que toi va rêver de s’y plonger.

    Et c’est à un western contemporain que Jean-Luc Bizien nous convie, une aventure crépusculaire et teigneuse. On est d’ailleurs plus dans « l’actionner » que le thriller à proprement parler. Au programme femme fatale, gangsters burinés et burnés, agents infiltrés, rednecks dégénérés, congénitaux et racistes. Bref un régal fleurant bon la série B dynamitée. L’auteur nous plonge avec sa plume cinématographique dans un univers visuel qui imprime les rétines et l’imaginaire. Le décor se construit à mesure que fusent les mots. Moteur !

    Les personnages sont typés mais pas caricaturaux. On parlera ici d’archétypes. Des sortes d’icônes qui définissent bien pour chacun ce qu’ils sont, leur rôle, leur moteur. Ce n’est évidemment pas aussi poussé ou déjanté que dans les aventures du « Bourbon Kid » auquel il fait penser – saga encore jamais évoquée dans ces pages et pourtant multi-dévorée par votre serviteur (Shame on me ! Attendez-vous à ce qu’une chronique vous déboule vite dessus !) – mais chacun de ces personnages possède une patine et une identité qui lui est propre. C’est une galerie très attachante et admirablement incarnée que nous a concocté Bizien.

    « Crotales » est donc un western post-moderne avec son lonesome cowboy asiatique (!). Car enfin, on ne peut pas parler de personnages sans s’arrêter quelques instants sur Paik Dong-Soo ! Tout l’éclair de génie de Jean-Luc Bizien est d’avoir créé un personnage atypique, attachant et pugnace. Paik dégraisse ses ennemis plus vite qu’un liquide vaisselle ! Une véritable star dont le lecteur jamais rassasié réclame sans cesse de nouvelles aventures. C’est tout de même sa quatrième et Bizien arrive à ne pas lasser et proposer à chaque fois quelque chose de nouveau. C’est si rare.

    L’écriture est fulgurante et crépite comme une mitraillette tout en nous ménageant des moments de pause d’une beauté absolue (La patte Bizien) aussi fascinants qu’une aurore boréale se reflétant dans les yeux hagards et éberlués du lecteur.

    Souvenez-vous, si c’est bien, c’est Bizien ! Bah oui, fallait le dire !
    https://cestcontagieux.com/2017/06/07/crotales-de-jean-luc-bizien-la-chronique-qui-crache-son-venin/

  • Ophé Lit 7 septembre 2018
    Crotales - Jean-Luc Bizien

    Crotale : espèce de serpent venimeux. La forme de leur tête et leurs attaques fulgurantes ont valu à certaines espèces de crotales le surnom de « fer-de-lance ».
    Crotales : espèce de roman venimeux qui m’a valu quelques frayeurs, fait frôler l’arrêt cardiaque et les nuits blanches…
    Un roman de Jean-Luc Bizien qui, une fois encore, m’a uppercutée !
    Construit comme « le berceau des ténèbres », chaque chapitre porte le nom d’un personnage et déroule l’intrigue en plaçant ledit personnage au centre de l’action.
    Aprés les deux Corées et New-York, Jean-Luc nous transporte au Mexique. Une fois n’est pas coutume, il dresse avec réalisme le portrait d’un pays où le narco trafiquant est roi, où la pauvreté et l’esclavage humain sont le quotidien d’une population qui rêve encore… L’immersion est totale… chaque fois que j’ouvrais mon livre j’étais transportée de l’autre côté du globe, au son du Boss Bruce Springsteen. Loin d’être une visite touristique, c’est en enfer que j’atterrissais… de guerre des gangs en trafic de drogues, Crotales m’a secoué !
    J’ai retrouvé Paik-Dong-Soo avec plaisir, dans chaque aspect qui le caractérise : loyauté, rigueur, droiture, justicier… et découvert d’autres personnages attachants qui m’auront émue aux larmes quand d’autres m’ont donné la nausée !
    J’ai fait la connaissance d’un vieux médecin dont l’histoire m’a interpellée… Il m’a fait penser à d’autres expatriés qui ont rejoint l’Amérique du Sud en d’autres temps pour fuir leur responsabilités…
    J’ai rencontré Pablo, un merveilleux petit garçon qui rêvait d’un ailleurs…
    J’ai rencontré Salma, magnifique jeune femme qui a compris combien une belle plastique peut sauver la vie dans ce Mexique…
    J’ai rencontré Torres, Santa Sangre, narco trafiquant qui rêve de gloire et de pouvoir…
    j’ai rencontré la famille Dalton, une de ces familles du sud américain qui ne jure que par la race blanche, les armes, vivant recluse dans son désert…
    Crotales m’a fait plonger dans un monde qui n’est pas le mien, qui est certes un roman mais tellement proche de la réalité…
    Pour une fois je ne reprendrai pas la quatrième de couverture, je pense vous en avoir assez dit pour vous donner envie de découvrir ce roman. Vous avez tous les ingrédients pour deviner des éléments de l’intrigue… laissez parler votre imaginaire.
    Dans tous les cas attendez vous à ne pas sortir totalement indemne de cette immersion dans un nid de Crotales…

  • Nicolas Elie 17 janvier 2018
    Crotales - Jean-Luc Bizien

    J’ai traîné. Mais j’ai pas traîné parce que je me faisais suer, j’ai traîné parce que j’avais pas envie de le finir trop vite.
    Tu vois le truc ?
    Y a 540 pages à avaler, mais si j’ai un conseil à te donner, c’est de prendre ton temps, même si les 50 premières pages te laissent un peu sur ta faim.
    Attends, et continue.
    En plus, tu te balades au Mexique, et il fait super chaud. Ça veut dire que tu vas avoir vraiment soif, si tu fais pas gaffe et que tu lis avec la bouche ouverte…
    Le pitch, sans rien te dire.
    T’es à la frontière entre le Mexique et les States. Ça s’appelle Ciudad Juarez. Il y a des flics et des gangs. Pour l’ambiance, c’est bien. C’est là que les cartels ils passent de la drogue, à travers des galeries que t’y mettrais pas les fesses. D’ailleurs, c’est des mômes qui y mettent les fesses. Ils sont plus petits, donc ils passent mieux.
    Il y a un mec qui dégomme les gens aussi.
    Au hasard.
    Et puis y a une nana, et un petit garçon. Elle s’appelle Salma. Il s’appelle Pablo.
    Il y a Paik Dong-Soo. Il est coréen. Il a déjà fait des trucs dans d’autres bouquins de M’sieur Bizien. Je les ai pas lus, alors je sais pas vraiment, mais je vais les lire.
    Bon, en même temps, vu la gueule de mes étagères, je vais les lire en 2024…
    Je rigole.
    Puis il y a Torres. Lui… c’est pas un gentil garçon. Tu vas pas l’aimer, tu verras. Il fait des trucs pas cool à sa compagne. Ça, j’ai pas aimé.
    Les mecs violents avec les filles, je les aime pas. C’est bien que Jean-Luc y fasse allusion. Faut pas que t’oublies que ça existe.
    Comme moi, tu vas te rendre compte que t’as la mâchoire un peu fermée depuis dix minutes et que ça te fait mal aux dents.
    540 pages, donc.
    Le Diable sait que je suis difficile en « roman à suspense ».
    La première des choses que je remarque, souvent, et je vais nommer personne (ma recherche effrénée de copains), c’est l’espèce de transparence des personnages. Pas de chair autour des os. Pas de neurones dans le cerveau. Du rien, autour de pas grand-chose.
    Pas là.
    Certains d’entre eux, t’as envie de leur coller une balle dans la tête, et d’autres, je dis pas lesquels, t’as envie de leur dire de pas s’inquiéter. Que Jean-Luc, il va faire gaffe qu’il leur arrive rien.
    T’espère qu’il va faire gaffe.
    Chaque chapitre va t’obliger à tourner les pages, parce que tu veux savoir.
    Mais non ! Va pas trop vite, je te le redis…
    J’ai pensé parfois à « Il reste la poussière » de Sandrine Collette. Et ça, c’est un grave compliment, et je fais pas souvent des compliments.
    Je t’ai pas parlé de Timmy Dalton.
    Nom de Dieu, Timmy…
    Sans doute mon personnage préféré. Sans doute aussi le plus réussi du roman. Et pourtant, le niveau est vachement haut. Si Jean-Luc Bizien décide un jour de faire un bouquin sur un tueur en série, ça va être un grand livre.
    Des fois, je fais Madame Irma…
    Parce que finalement, dans ce roman, et c’est juste génial, t’as plusieurs histoires qui se télescopent. Des personnages qui ne devraient pas se rencontrer et qui se croisent quand tu t’y attends pas.
    De toute façon, c’est pas toi qui écris l’histoire, t’as juste à lire et à te laisser emporter… T’as juste à essayer d’imaginer la fin, et tu vas te gourer.
    Forcément.
    Parce que M’sieur Bizien, il écrit foutrement bien.
    Et la fin de l’histoire, tu crois que je vais te raconter ?
    Ben non.
    Je vais pas te mentir. Tu me connais un peu.
    Au début, j’ai pensé que j’allais me faire suer. Je me suis dit que plus de 500 pages, ça risquait d’être long.
    J’ai même dit à ma libraire que j’étais pas sûr d’aimer, que je trouvais l’écriture un peu facile parfois.
    Le mec difficile, tu vois ?
    Genre qui cherche London, Hemingway ou Faulkner à chaque fois qu’il ouvre un bouquin…
    Je me suis gouré.
    Quand t’as lu les 40 premières pages, tu continues.
    T’as pas le choix.
    Il y a le gros barbu habillé bizarre qui va venir chez toi, si t’as été sage, et si les flics le laissent circuler, ce qui est pas gagné.
    Mais bon, s’il passe les barrages, demande-lui s’il peut t’apporter « Crotales ».
    Tu regretteras pas.

  • Nicolas Elie 7 juillet 2017
    Crotales - Jean-Luc Bizien

    J’ai traîné. Mais j’ai pas traîné parce que je me faisais suer, j’ai traîné parce que j’avais pas envie de le finir trop vite.
    Tu vois le truc ?
    Y a 540 pages à avaler, mais si j’ai un conseil à te donner, c’est de prendre ton temps, même si les 50 premières pages te laissent un peu sur ta faim.
    Attends, et continue.
    En plus, tu te balades au Mexique, et il fait super chaud. Ça veut dire que tu vas avoir vraiment soif, si tu fais pas gaffe et que tu lis avec la bouche ouverte…
    Le pitch, sans rien te dire.

    T’es à la frontière entre le Mexique et les States. Ça s’appelle Ciudad Juarez. Il y a des flics et des gangs. Pour l’ambiance, c’est bien. C’est là que les cartels ils passent de la drogue, à travers des galeries que t’y mettrais pas les fesses. D’ailleurs, c’est des mômes qui y mettent les fesses. Ils sont plus petits, donc ils passent mieux.
    Il y a un mec qui dégomme les gens aussi.
    Au hasard.
    Et puis y a une nana, et un petit garçon. Elle s’appelle Salma. Il s’appelle Pablo.
    Il y a Paik Dong-Soo. Il est coréen. Il a déjà fait des trucs dans d’autres bouquins de M’sieur Bizien. Je les ai pas lus, alors je sais pas vraiment, mais je vais les lire.
    Bon, en même temps, vu la gueule de mes étagères, je vais les lire en 2024…
    Je rigole.
    Puis il y a Torres. Lui… c’est pas un gentil garçon. Tu vas pas l’aimer, tu verras. Il fait des trucs pas cool à sa compagne. Ça, j’ai pas aimé.
    Les mecs violents avec les filles, je les aime pas. C’est bien que Jean-Luc y fasse allusion. Faut pas que t’oublies que ça existe.
    Comme moi, tu vas te rendre compte que t’as la mâchoire un peu fermée depuis dix minutes et que ça te fait mal aux dents.
    540 pages, donc.
    Le Diable sait que je suis difficile en « roman à suspense ».
    La première des choses que je remarque, souvent, et je vais nommer personne (ma recherche effrénée de copains), c’est l’espèce de transparence des personnages. Pas de chair autour des os. Pas de neurones dans le cerveau. Du rien, autour de pas grand-chose.
    Pas là.
    Certains d’entre eux, t’as envie de leur coller une balle dans la tête, et d’autres, je dis pas lesquels, t’as envie de leur dire de pas s’inquiéter. Que Jean-Luc, il va faire gaffe qu’il leur arrive rien.
    T’espère qu’il va faire gaffe.
    Chaque chapitre va t’obliger à tourner les pages, parce que tu veux savoir.
    Mais non ! Va pas trop vite, je te le redis…
    J’ai pensé parfois à « Il reste la poussière » de Sandrine Collette. Et ça, c’est un grave compliment, et je fais pas souvent des compliments.
    Je t’ai pas parlé de Timmy Dalton.
    Nom de Dieu, Timmy…
    Sans doute mon personnage préféré. Sans doute aussi le plus réussi du roman. Et pourtant, le niveau est vachement haut. Si Jean-Luc Bizien décide un jour de faire un bouquin sur un tueur en série, ça va être un grand livre.
    Des fois, je fais Madame Irma…
    Parce que finalement, dans ce roman, et c’est juste génial, t’as plusieurs histoires qui se télescopent. Des personnages qui ne devraient pas se rencontrer et qui se croisent quand tu t’y attends pas.

    De toute façon, c’est pas toi qui écris l’histoire, t’as juste à lire et à te laisser emporter… T’as juste à essayer d’imaginer la fin, et tu vas te gourer.
    Forcément.
    Parce que M’sieur Bizien, il écrit foutrement bien.
    Et la fin de l’histoire, tu crois que je vais te raconter ?
    Ben non.
    Je vais pas te mentir. Tu me connais un peu.

    Au début, j’ai pensé que j’allais me faire suer. Je me suis dit que plus de 500 pages, ça risquait d’être long. J’ai même dit à ma libraire que j’étais pas sûr d’aimer, que je trouvais l’écriture un peu facile parfois. Le mec difficile, tu vois ? Genre qui cherche London, Hemingway ou Faulkner à chaque fois qu’il ouvre un bouquin…
    Je me suis gouré.
    Quand t’as lu les 40 premières pages, tu continues.
    T’as pas le choix.
    Il y a le gros barbu habillé bizarre qui va venir chez toi, si t’as été sage, et si les flics le laissent circuler, ce qui est pas gagné. Mais bon, s’il passe les barrages, demande-lui s’il peut t’apporter « Crotales ».
    Tu regretteras pas.

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